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Robert Ehrlich

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Tout ce qui a été posté par Robert Ehrlich

  1. Le vol à voile est facile : un mois après mon premier vol, Nini, mon instructrice, me demande " Est-ce que tu as fait ta visite médicale ?" Moi :"ben non, y a pas d'urgence"; elle : "T'est con, t'es lachable mais si t'as pas ta visite on peut pas te lacher". Par comparaison ça fait pas loin d'une cinquantaine d'années que j'essaie de jouer de la flûte et du piano et je crois que je n'ai pas encore réussi à jouer un morceau d'un bout à l'autre sans fausse note. Le vol à voile n'est pas cher : mon autre sport favori, c'est le ski, mais bien que le pratiquant depuis bien plus longtemps (63 ans contre 17 ans pour le planeur) je crois que j'ai moins d'heures de ski que de planeur entre autres parce que le même nombre d'heures en ski me couterait beaucoup plus cher qu'en planeur.
  2. Dans le dernier supplément "Sport et Forme" du journal "Le Monde" un article sur le patinage de vitesse "Short Track" m'apprend que cette discipline compte à peu près 500 pratiquants en France, il y bien plus marginal que nous et pourtant on en parle. C'est comme le ski, c'est les deux. Et comme pour le ski, même en pratique de loisir, il faut un minimum de compétences et de performance du matériel.
  3. Pour rester dans cette analogie, si les contructeurs de voitures ne construisaient plus que des Ferrari, l'avenir de l'automobile serait ce qu'est l'avenir du planeur.
  4. Chez moi je n'ai rien fait, ni vidé le cache, ni enlevé de cookie, ni mis àjour mon navigateur, rien de rien, et ça remarche. Ça ne me surprend guère vu que ça marchait toujours jusqu'ici sans que je ne fasse rien de tel et que ça marchait encore sur un forum tout à fait similaire. C'est fort vraisemblablement sur www.volavoile.net que quelque chose avait changé et a encore rechangé, en bien cette fois.
  5. Il s'agit de la masse max ballasts vides si ballasts il y a. En ce sens, récent ou pas, j'espère bien que tout planeur peut se poser à la masse max. C'est bien ainsi que je l'entendais dans ma remarque sur la reprise de vitesse après casse de cable, en biplace avec un seul occupant, cette vitesse est largement suffisante et on peut sans doute se contenter d'un peu moins.
  6. Je n'ai pas le problème avec Windows, seulement avec Linux. Firefox 16.0.2 sous Windows, 3.5.1 sous Linux, impossible à changer sans changer d'abord toute la libc (merci le "versionning" des bibliothèques ).
  7. Je confirme, rien ne marche dans les menus d'édition, les menus "Polices" et "Tailles" ne déroulent plus rien. Dans un autre forum ça marche.
  8. Certainement rien de bon, mais c'est une drôle d'idée de mettre un grand coup de palonnier dans ces circonstances. En toute circonstances, dès que le sol n'est pas loin, les maîtres-mots ne sont ils pas : assiette ET symétrie ? En tout cas c'est ce que je dis à mes élèves. Ceci dit j'ai quelques doutes sur la vitesse à 100. Pour un K21 avec 2 occupants, la vitesse d'approche recommandée par le manuel de vol et le triangle jaune de l'anémomètre est 90, je conjecture que pour un K13 en solo ça doit être sensiblement moins et je ne vois pas de raison d'adopter une vitesse supérieure à cette vitesse d'approche. Après tout si on n'est pas haut, ce n'est pas non plus le moment de gaspiller ce peu de hauteur par une vitesse excessive.
  9. La première question qui me vient à l'esprit est : comment le pilote sait-il qu'il est à 90 m ? Consulter son alti dans ces conditions n'est pas la bonne solution, son imprécision pouvant être de plusieurs dizaines de mètres, ce qui est beaucoup trop pour estimer une hauteur de 90 m. Qui plus est, pour peu qu'on vole calé QNH, l'estimation de cette hauteur par ce moyen impliquerait un calcul au moment où on a le moins envie d'en faire. Je suis toujours perplexe devant les récits ou les manuels qui parlent de hauteur en cours de treuillée, qu'il s'agisse de critère pour décision en cas de casse ou pour décider de l'assiette de montée. On peut estimer grossièrement la distance horizontale parcourue depuis le décollage à 200-250 m (estimation par excès) ce qui laisse 650-700 m de piste devant. La norme exigeant que la finesse tombe à 7 ou en dessous plein AF à la VOA, cette finesse 7 pour 650 m met le point d'aboutissement au bout du terrain, confortant l'impression du pilote de n'avoir pas la place de se poser devant. Toutefois un rattrapage de plan devrait permettre d'y arriver quand même, d'autant que mon estimation de distance parcourue est volontairement une estimation haute. Quand je forme des élèves au décollage treuil je leur propose un critère de décision simple en cas de casse : après reprise de l'assiette et contrôle de la vitesse, si on voit le treuil on se pose devant, sinon on fait un tour de piste réduit, à éventuellemnt un 360 de retardement et perte d'altitude. Cela suppose évidemment que la trajectoire de montée ait été normale, et met en évidence le risque qu'implique une trajectoire de montée à trop faible pente : pour une trajectoires à pente standard, les zones correspondant aux deux options (droit devant ou tour de piste réduit) se recouvrent sur un partie où on a le choix, par contre si la pente est trop faible, il risque d'y avoir une zone où aucune des deux n'est possible.
  10. Evidemment, on comprend mieux quand on voit la face cachée.
  11. Comme protection contre l'effet "miroir parabolique", ça ne devrait pas marcher, c'est une protection contre le rayonnement transmis (verrière fermée) et non contre le rayonnement réfléchi (verrière ouverte).
  12. C'est une blague ou quoi ? Même seul en place avant au poids minimum et en gardant le manche au ventre et ailerons et direction contraires en butée, je n'ai jamais atteint le demi tour. Par contre avec son petit frère l'ASK23, autant de tours qu'on veut.
  13. C'est intrinsèque au procédé : le même courant traverse le régulateur et ce qu'on alimente, la tension chute de 7 V dans le régulateur et de 5 dans ce qu'on alimente, donc le rapport des puissances dissipée en chaleur dans le régulateur et utilisée est 7/5 et le rendement 5/12, à peu près 42%. Il vaut mieux que ce soit carré. Le transistor qui hache est, en dehors des phases de transition, soit passant (chute de tension (quasi) nulle, donc puissance consommée nulle) soit bloqué (courant nul donc là encore puissance consommée nulle), il n'y a que pendant les transitions qu'il y a dissipation d'énergie, donc il faut qu'elles soient les plus brèves possible. ce serait plutôt des centaines de kilohertz, probablement encore plus pour des convertisseurs très petits. Dans ces convertisseurs il y a nécessairement des composants qui stockent et restituent l'énergie (condensateurs et selfs) au cours d'une période de hachage et plus cette période est courte plus il peuvent être petits. Une self appropriée à une fréquence de 50/60 Hz aurait à peu près la même taille que la batterie. Dans la mesure où le hachage est carré, i.e. avec des fronts montants/descendants très raides, ça produit des harmoniques de fréquences beaucoup plus élevées que la fréquence de hachage, qui est déjà assez élevée, donc il y a toutes les chances que les centaines de MHz où fonctionnent nos radios soient atteints.
  14. Il me semble cependant que les règles de certification (ex JAR 22, ex CS 22, je ne sais plus comment ça s'appelle) exigent que cette "procédure universelle" soit efficace.
  15. définition Tout dépend de ce qui est considéré comme "habituel" ou "brusque". Une manoeuvre d'évitement est-elle de la voltige ? et un décollage au treuil ? encore davantage un exercice de simulation de casse au treuil ? Le simple fait que tous nos planeurs aient des variomètres à énergie totale pourrait faire considérer que tous les planeurs pratiquent plus ou moins la voltige, puisque les variations d'énergie totale ne diffèrent des variations d'énergie potentielle que lors de changements "brusques" d'assiette.
  16. Le fait que la dégradation se fasse par lignes entières fait plutôt soupçonner une rupture du contact entre l'écran et le reste de l'électronique même si le constructeur répare la chose en changeant le tout parce que c'est le plus simple pour lui. Le froid qui fait se rétracter le métal plus que le reste et les chocs et vibrations sont des causes probables. Par contre les afficheurs LCD n'aiment pas l'exposition violente au soleil, j'ai vu celui d'une radio portable ICOM dégager pour celà en Equateur, là ce n'était pas du tout par lignes, une tache noire a envahi progressivement tout l'écran.
  17. Pas si évident que ça. A mon avis, le temps est proche où la hauteur maxi des trajectoires des boules de pétanque sera limitée pour ne pas interférer avec les drones ; les horaires pendant lesquels la pétanque sera tolérée seront réduits, les terrains devront être homologués et un audit bi-annuel permettra de vérifier que tout est d'aplomb, etc, etc. Et des associations de riverains protesteront contre le bruit des chocs, les club de pétanque ne survivront que grâce à l'apparition de boules insonorisées dont le prix bien sûr n'aura rien à voir avec celui des boules traditionneles.
  18. Il me semble qu'au contraire son argumentation mettait en lumière l'avantage que donne le règlement actuel aux planeurs autonomes, ce qui est son cas. Personnel si on veut, mais dans le but de faire profiter tout le monde d'un avantage qui lui est personnel si je comprends bien.
  19. Je sais bien, mais ce n'est pas de cette courbe que je parlais, mais de celle qui visualise la graduation de l'anneau de MacCready, sur laquelle on trouve en abscisse une vitesse et en ordonnée un taux de chute, la vitesse pour chaque point de la courbe étant celle qui donne la meilleure finesse air pour le taux de chute correspondant. Le formateur qui nous a fait tracer cette courbe pendant mon stage d'instructeur a baptisé cette courbe "courbe de MacCready". Elle est constamment descendante (plus ça chute, plus il faut voler vite pour garder la meilleure finesse). Donc aucun taux de chute et aucune vitesse ne peuvent se retrouver 2 fois sur cette courbe. Cette courbe est beaucoup plus pentue que la polaire, chaque point de cette courbe est décalé du point de la polaire situé à sa verticale d'une quantité qui représente la descendance de la masse d'air (ou ascendance pour le début de la courbe) pour laquelle voler à cette vitesse est optimal. Elle démarre au dessus de la polaire, sur l'axe horizontal à la vitesse de chute mini (vitesse de meilleure finesse (infinie) quand le taux de chute est nul, i.e. l'ascendance de la masse d'air compense exactement le taux de chute mini), elle traverse la polaire au point de finesse max (couple vitesse/taux de chute optimal pour une masse d'air sans mouvement vertical) et reste en dessous de cette polaire au delà (ce n'est que dans de l'air descendant qu'il est optimal de voler plus vite qu'à la vitesse de finesse max). On ne trace pas cette courbe d'ordinaire pour les vitesses inférieures à la vitesse de taux de chute mini, de même qu'il n'y a pas de graduation de l'anneau de MacCready (calé 0) pour les Vz positives, en principe pour ces Vz on est en spirale à la vitesse qui donne la meilleure montée (c'est une autre discussion que de savoir laquelle) mais il n'est pas totalement absurde de le faire. Cette partie de la courbe donnerait la vitesse à laquelle voler aux Vz positives (masse d'air ascendante de vitesse supérieure aux taux de chute mini) pour avoir l'angle de montée maximum. Cette partie de la courbe est au dessus de l'axe horizontal et les vitesses sont inférieures à celle de chute mini. Même en la rajoutant aucun taux de chute et aucune vitesse ne peuvent se retrouver 2 fois. Elle finit en asymptote verticale à la vitesse de décrochage.
  20. Les informations ne sont pas différentes. Le document cité par JMC ne donne que les courbes, sans texte précisant les modalités de charge possibles. Dans celui que je cite il y a les mêmes courbes, plus un texte explicitant ces modalités. Si je le comprends bien, la charge à 14,7 V n'est qu'une possibilité permettant une charge plus rapide puisqu'à 13,65 V la batterie limite d'elle même le courant. Mais rien n'indique que la charge à 13,65 V ne permet pas une recharge totale si on attend le temps qu'il faut, le paragraphe que j'ai cité indiquerait plutôt le contraire. L'intérêt de ce dernier mode de charge est qu'il ne nécessite pas de chargeur spécifique, une simple alimentation continue à carctéristique carrée (limitation en tension à 13.65 V, en courant à 1/10 ème de la capacité, soit 700 mA) suffit. La limitation en courant est semble-t-il inutile pour ces batteries Yuasa, mais peut être nécessaire pour d'autres modèles. A Beynes il y a fort longtemps (avant 1995, année de mon inscription) qu'un membre du club nous a réalisé un chargeur multiposte basé sur ce principe avec une seule connection secteur et une trentaine d'emplacements de charge, chacune ayant sa petite carte de limitation courant/tension. Jusqu'ici il donnait entière satisfaction, mais les batteries du Duo qui datent de Juin sont déjà presque HS. Je soupçonne que ça ne vient pas du chargeur mais du Duo, plus précisément du calculateur ILEC SN-10 qui semble-til consomme énormément et a dû nous flinguer les batteries en les amenant en décharge profonde. Le chargeur spécifique doit lui avoir une logique d'états(s) pour savoir où il en est dans le processus de charge et on se demande comment il initialise cet état quand on y connecte une batterie partiellement déchargée.
  21. +1 :lol: Ca dépend quelle courbe. Sur la courbe de MacCready, aucun taux de chute ne se retrouve 2 fois. Mais c'est particulièrement frappant pour le point correspondant à la finesse max, parce que le seul cas ou l'anneau de MacCready (calé à 0) doit dire de voler à la vitesse de finesse max, c'est quand la masse d'air n'est animée d'aucun mouvement vertical, pour une masse d'air descendante l'anneau doit dire de voler plus vite et pour une masse d'air montante moins vite.
  22. Salut Peut-être parce que tu es de part et d'autre du point de finesse max. Vu que la courbe est (approximativement) une hyperbole tu as deux abscisses possibles pour la même ordonnée. Bons vols Etienne Il a dit plus haut que -0.89m/s -- 88.7 km/h était le point correspondant à la finesse max, donc on ne devrait retrouver ce taux de chute pour aucun autre point. De toute façon la courbe de MacCready, i.e. celle qui fait correspondre vitesse V et Vz pour laquelle cette vitesse est optimale en calage 0, est monotone dans le domaine qui nous intéresse, donc on ne devrait jamais trouver la même vitesse pour deux Vz différentes. [matheux ON]c'est une parabole, l'hyperbole ne présente pas de maximum et n'est donc jamais dans ce cas[matheux OFF] C'est une parabole si on considère que la polaire est une parabole, ce qui n'est qu'un approximation commode, utilisée il est vrai dans la plupart des calculateurs et logiciels de vol. [Math ON] Plus précisément si l'équation de la polaire est : Vz = aV² + bV + c alors l'équation de la courbe de MacCready est : Vz = 2aV² + bV ce qui montre que : c'est une parabole ; elle est 2 fois plus "pointue" que la polaire ; elle coupe l'axe horizontal en 2 points, l'origine et le point correspondant à la vitesse de chute mini à la verticale du sommet de la polaire, son sommet à elle se trouve entre ces deux points du coté des Vz positives ; la branche qui part du point sur l'axe horizontal correspondant à la vitesse de chute mini vers les Vz négatives est constamment descendante. L'hyperbole ne présente pas de maximum si ses asymptotes sont parallèles aux axes, mais Etienne n'a pas affirmé ça. [Math OFF]
  23. Pourquoi ? Le vol en dessous de la vitesse de chute mini est interdit ? Pourquoi est-ce la même vitesse pour -0.89m/s et -1.0m/s ? Ou alors c'est moi qui ne comprends rien.
  24. Pourtant d'après ce document (Page 10), les batteries Yuasa NP peuvent aussi être chargées à 2,275 V par élément, ce qui donne 13,65 V pour 6 éléments. Oui, il s'agit de la tension finale en float, celle que tu peux appliquer en permanence après avoir effectué les 2 cycles de charge (le premier à courant constant de 0,25C (soit 1,75A dans le cas dela NP/) puis le second à tension constante de 14,7V pendant un certain temps (dixit Fernand) en général qqs heures. N'appliquer que la tension float de 13,7V (standard Dryfit Sonnenschein) te laissera la batterie chargée à 70-75%, d'où les déboires. jm Désolé, il y avait une erreur dans l'URL du document cité ("http://" doublé, corrigé ici et dans mon intervention précédente, mais pas dans la réponse de JMC où ça m'est impossible). Par ailleurs le numéro de page (10) est celui qui figure sur la page elle-même et non celui qu'affiche le lecteur PDF.Selon ce document, ce 2,275 V par élément peut être utilisé pour la charge complète : * c'est moi qui souligne
  25. Pourtant d'après ce document (Page 10), les batteries Yuasa NP peuvent aussi être chargées à 2,275 V par élément, ce qui donne 13,65 V pour 6 éléments.
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