cboulenguez

Il ne m'a pas l'air plus vilain qu'un autre, même si "des goûts et des couleurs"... Je préfère de toute façon taxier avec le Taurus, et ne vois pas bien ce que la gestion de son groupe motopropulseur a de plus compliqué par rapport à celui-là.

Il y a déjà un treuil à Cambrai, depuis quelques années...

C'est vrai qu'il est plus facile de l'admettre, intellectuellement parlant, pour un Taurus (un exemple au hasard:super:) que pour un VL3, mais ce sont tous deux des "planeurs ultra-légers motorisés" à ranger administrativement dans la même catégorie "trois axes". Point barre. Si nous ne savons pas faire la différence, comment voulez-vous qu'un journaliste non spécialisé la fasse ? Sur FR3 régional, il y a eu reportage accident avion-planeur où un témoin visuel affirmait avoir entendu une détonation et vu s'éjecter un parachute... Dans les reportages suivants, le témoignage avait été coupé au montage (j'étais attentif dès les premières infos radiophoniques, la météo ne se prêtait pas franchement au vol à voile ce jour-là : mais il est vrai que je ne vole que par beau temps). J'apprends sur ce forum que le VL3 n'aurait pas été équipé d'un parachute balistique... J'attends plus ample information et médite en attendant sur les faiblesses du témoignage humain.

Bon Anniversaire à lui ! En tout cas, d'être assis en Taurus a l'air de le rendre particulièrement jovial... :lol:

En ULM, pas de carnet de vol, ni de carnet de route. Les heures du pilote et de la machine n'existent pas (du moins du point de vue réglementaire). Pour le plaisir, c'est autre chose... Bienvenue au club ! Encore heureux que les kilomètres puissent être pris en compte à la netcoupe. On peut aussi participer à des compétitions de vol à voile, mais à condition d'être titulaire d'une licence FFVV... (je le fais seulement pour le fun, j'y suis ridicule, mais je l'étais déjà avant, avec un vrai planeur, certifié et tout et tout). :wacko: Un instructeur VàV peut aussi avec certaines machines agréées FFVV [le Taurus en fait partie] faire de l'instruction VàV, mais le lâcher n'est pas prévu : le texte fédéral concernant cette possibilité est un monument du genre, on est content de savoir à quoi nos instances fédérales passent ou ont passé leur temps, il faudrait pouvoir en graver les termes dans la moutarde, histoire de pouvoir les lire sans pleurer de rire :dodo: :rolleyes:

J'ai eu un LS3a (pas Blei) dont les ailes pesaient 70 kg chacune, et que j'ai dévaché plusieurs fois aidé seulement par ma femme : son affection pour moi a bien souvent compensé avantageusement son manque de musculature... :rolleyes: :lol:

Tu peux toujours régler l'intervalle d'enregistrement du Volkslogger plus long: à 4 secondes, ça fait des tracés bien ronds pour les spirales, et ça te laisse 10 h d'enregistrement quand tu le vides par MEMCLEAR avant le vol, et à partir de 8 heures de réserve, il couine toutes les 256 secondes pour te prévenir, mais tu peux supprimer ce signal par CONFIG, SND et WRN OFF (c'est facile, et ça me prévient au bout de 2 heures de vol). .Le seul inconvénient à mon sens, c'est que c'est la configuration "par défaut" (normal pour une alarme !) Maintenant, c'est une question de méthode, si tu veux garder tous tes vols de la saison, avec l'intervalle de 12 s, ça ne te fait que 30 h d'enregistrement... Mais, bon, il vaut mieux délogger de temps en temps, sinon tu risques de te retrouver hors délai pour la netcoupe.

Le ch'ti, il a déjà eu l'occasion plusieurs fois de se les geler copieusement par temps de mistral dans vos contrées méridionales soit-disant idylliques pour ne pas souffrir du complexe de latitude supérieure que vous tentez de lui infibuler. :lol: :lol: :lol: :super: Excuses pour le Hors Sujet !

Autant vous y faire, chez moi, c'est une occupation à plein temps (et tous temps) ! :lol:

J'ai déjà soulevé ce problème depuis quelques mois auprès de certains amis récemment promus P.E.N. A suivre..... C'est vrai que le titre de PEN, il y en a à qui ça monte à la tête... (ça fait partie des faiblesses humaines, il faut faire avec). Mais chut, pas de nom, crainte de représailles.... (je m'en fous, je fais désormais de l'ULM, même si il y en a à qui ça donne des boutons) :super:

Bravo pour le "diplôme". Je n'ai pas de compétences particulières pour les "Arts et belles lettres", mais je sais cependant qu'en l'occurrence, il ne faut pas lésiner sur les majuscules...

L'alcool isopropylique enlève bien les traces d'adhésif, et est moins agressif. Mieux encore et moins cher, white spirit... tout simplement.

Elle est toutefois strictement réservée aux ULM basés, cette sympathique plateforme... :lol: Désolé mes doigts ont fourché ... :lol: ce n'est pas LFNX mais FLNX et ce n'est pas une plateforme ULM. (pas pour l'instant) Vol sympa aujourd'hui de 2h20 avec un petit plafond à 1850 m :lol: FLNX n'existe pas ! LFNX (Béziers la Tour sur Orb) est à usage restreint et strictement réservé aux ULM basés : comme je ne dispose que d'un "planeur" ULM, cette plateforme au remeurant certainement très sympathique m'est interdite, ce que je me complaissais à souligner sans agressivité dans mon intervention précédente. Bons vols à vous à LFNX. :lol:

Elle est toutefois strictement réservée aux ULM basés, cette sympathique plateforme... :lol: :lol:

Dans le manuel de vol du LS, si je ne me trompe, il me semble avoir lu une procédure décollage aile basse qui décrivait un coup de palonnier en contre pour accélérer et donc lever l'aile basse. Jamais eu de problème avec ce procédé, avec le planeur (et le remorqueur) dans l'axe, mais je ne l'ai jamais fait planeur ballasté, et puis le crochet du LS dans le nez, c'est plus facile que celui du Pégase...

Oui, avec le"document libératoire" qui va bien...

Pour la mécanique du vol, autrement plus compliquée, il y a des spécialistes (de haut vol) qui interviennent. Mais pour de la mécanique élémentaire, personne ne veut se compromettre ??? Est-ce trop facile, est-ce que ça cache des pièges ??? Une variation de 10 kg du poids sur la queue pour une variation maxi d'assiette de 15 à 20 ° ne choque personne ???

Sans être un fanatique du calcul, on peut tout de même intuitivement se rendre compte que la variation d'assiette entre la position "en ligne de vol" et celle "posé sur le train et la queue" n'entraîne pas des modifications considérables sur la répartition des masses, et j'attends sans impatience que l'on me prouve le contraire...

N'est-il pas normal que, pour des cendres, les autorités aéronautiques hautement compétentes (et logiques) nous empêchent de monter ?

J'avais, sur mon LS3a, disposé un tuyau souple muni d'un embout, à partir du pied de manche jusqu'à l'arrière de la trappe de train, et orienté vers l'arrière (le tout sans JAA form one :lol: ). L'embout raccorde facilement un Péniflow (que je n'utilisais qu'en cas de besoin, la difficulté étant de s'équiper en vol ). On peut aussi s'équiper avant le vol, mais ça devient vite onéreux. La sortie de train génère une dépression qui pallie généralement suffisamment des petits défauts d'étanchéité... Les autres dispositifs que j'ai essayés sont moins sûrs (question de niveaux et de pressions). Question discrétion, pas de souci, c'est pratiquement vaporisé. Il n'y a que les initiés spiralant en dessous qui s'écartent de ma trajectoire quand ils me voient sortir le train d'atterrissage, et que les égrillards avérés qui racontent que je réitère de nombreuses fois consécutives cette manoeuvre d'entrée sortie en raison des variations cycliques de dépression qu'elle entraîne...

J'ai vu les précédentes, elles sont toutes belles, et il y en a de splendides... Mais l'âge ne fait rien à l'affaire, et, comme les gamins qui concourent à qui arrosera le plus loin, ou le plus haut, ça ne m'empêche pas d'affirmer, avec la plus parfaite mauvaise foi, que le mien est plus beau !

Je dispose des cartes VAC au format PDF sur mon PDA. Je me demande si mon manuel de vol (version approuvée, à jour et tout et tout) au même format sur mon PDA ne pourrait pas m'exonérer de l'obligation d'emport de la version papier (gain de poids, de place, meilleure conservation du document...) vis à vis des autorités qui nous contrôlent. Et pourquoi pas les autres documents ? On peut rêver... Bons vols

Arête, Arête ! Pour éviter la taxe à la pompe, tu n'as qu'à mettre le turbot.

Pourquoi tant de restriction ? Moi, je le trouve beau sous tous les angles ! :rolleyes: (et encore, ce n'est pas T6, mais là, je suis peut-être partial).

Salut 4- s'entrainer à utiliser la bille aiguille en assurant la sécurité (double commande et instructeur). Mais les 1- et 2- DOIVENT rester règle absolue. Mais bon, nul n'est soumis à l'impossible et l'erreur est humaine. Savoir la corriger peut vous sauver la peau en cas extrême et absolu. Bons vols Etienne Pour ce que j'en sais, la bille aiguille, dont le fonctionnement est basé sur le principe d'une stabilité dans le plan du gyroscope, implique qu'elle soit mise en fonction, en vol stable, largement avant d'entrer dans le nuage, ce qui implique, au moins dans quelques cas, une préméditation coupable sinon forcée (trou de foehn qui se referme, vol on top exagérément optimiste). J'ai essayé plusieurs fois, dans le ciel bleu, d'apprendre à m'en servir : les résultats n'ont jamais été à la hauteur des espérances que j'y avais mises... ce qui m'a rendu délibérément circonspect quant à son utilisation. Bonne chance aux audacieux !