cboulenguez

Notre contrôleur GSAC, se référant au texte qui parle d'instruments manométriques (pneumatiques), imposait un contrôle des 3 : alti, vario et anémomètre. J'y ai été obligé en visite annuelle, alors que l'année précédente cette visite effectuée ailleurs n'avait réalisé qu'un contrôle d'anémomètre. Avec le G-NAV, qu'en sera-t'il?

J'ai le bonheur d'avoir un Winter 57 mm, qui est retourné trois fois sous garantie en usine pour révision/nettoyage (il doit être propre maintenant, à force), revenu avec la JAA Form one et/ou autre document qui va bien, et qui fonctionne avec une excellente précision à condition qu'on le tapote délicatement avant lecture. A la montée, généralement pas de problème, c'est à la descente qu'il se bloque et attend le petit toctoc qui lui fera perdre entre 200 et 600 m pour indiquer une valeur exacte. Mais je dois reconnaître qu'il est exact et précis et reproductible moyennant ces voies de fait. [il faut dire que j'avais choisi Winter en certifié, n'ayant pas trop confiance en l'altimètre chinois livré de série sur ma machine, qui lui, ne m'a jamais fait défaut, même sans tapotement...]

Il suffit de faire comme moi : j'ai dit ce que je pensais de la Fédé sur ce forum (c'était bêtement à propos de dimensions trompeuses d'auto-collants proposés à la vente), et j'ai été contacté rapidement par le Directeur en personne : je suis épaté, il avait même trouvé mon téléphone. Maintenant, j'ai aussi dit du bien de cette même Fédé sur ce forum (si, si, c'est possible, sans flagornerie), et j'ai retrouvé ma prose (publiée de façon anonyme, soit dit en passant) sur Planeur Infos... Effectivement, il y a certainement des choses très positives concernant notre Fédé, mais la communication (à l'instar des bonnes manières) n'est pas encore rangée dans ses priorités.

Ton atterrissage fortuit (de sécurité), ton interruption de circuit ne sont évidemment pas "verbalisables". Par contre, le fait que tu partes en circuit sans les documents qui vont bien est répréhensible, point barre. Tu peux t'en tirer les braies nettes face à la gendarmerie qui connaît moins bien cette situation et qui te demande éventuellement seulement tes documents d'identité et licences (licence de pilote et licence-assurance RC), mais si tu rencontres la GTA mieux au fait, et éventuellement prévenue par les premiers, ça ne te coûtera qu'un oeil. Maintenant,chacun li fait comme li veut, camarade, et si tu ne vois pas pourquoi, ça ne va pas les perturber autrement.

Tu te prépares bien des désillusions si tu pars sur la campagne sans les papiers du planeur. La seule dérogation, c'est en vol local, quand tu atterris sur ton terrain et que les papiers sont au club-house, c'est à dire à portée de main. Autrement, ça devient vite cauchemardesque (et coûteux).

En 1998, j'ai eu l'occasion de faire un stage à Saint-Auban. J'ai été lâché sur 3 machines (après avoir vu [et potassé ] le manuel de vol, bien sûr), mais jamais, je le jure, je n'ai vu un carnet de route. Peut-être que depuis, ça a changé ?

C'est évident que c'est évident. Mais si on doit la répéter régulièrement, ne serait-ce pas qu'elle est au moins partiellement inefficace et qu'elle doit nous amener, peut-être, à revoir plus profondément nos comportements, sinon notre communication ? Pardon pour ce sujet qui ne prête pas à rire, loin s'en faut, mais "objectif sécurité et plaisir", ça ne ferait pas penser à une publicité pour des préservatifs ? :D

Moi, ce que j'en ai appris (mais ne m'en demandez pas les références règlementaires), c'est que les aéronefs, à l'instar des bateaux, seraient dans l'obligation d'emporter un rôle d'équipage. Ce ne serait que par dérogation que cette liste pourrait rester à terre sous la forme de planche de vol, bien commode il est vrai par surcroît pour la facturation et l'activité du club ou de la plateforme. La planche de vol serait donc un élément obligatoire. Par le passé, elle nous a été demandée par la GTA qui s'y est référée pour vérifier les carnets de route des planeurs (et non les carnets de vol). Mais c'est ce que je crois savoir, et c'est sous toute réserve...

Vérification ce matin sur le nôtre (j'ai pris des photos, mais je ne sais pas les mettre ici) : Il y a un évent latéral fonctionnel, et un trou d'évent sur le bouchon qui n'est plus opérationnel, mais qui a dû l'être dans une vie antérieure (je ne sais pas pourquoi). De toute façon, l'important est qu'il y ait au moins une mise à l'air, que ce soit par un moyen ou un autre...

Je regarde le nôtre demain matin...

Précision complémentaire : sur mon LS3a, il y avait un amortisseur[stossdampfer] le long d'une jambe arrière du train destiné à amortir la sortie du train (c'est de celui-là dont il est question). Il y avait aussi un vérin à gaz, situé dans le fuselage, plus difficile à démonter, et dont le rôle semblait de faciliter la rentrée du train et son verrouillage.

Bon courage ! Pour info, ce n'est pas un vérin, mais un amortisseur. Impossible à trouver chez Stabilus, même avec les références, et pourtant j'ai cherché... Trouvé chez Boulanger (electroménager), avec les références Miele, mais ça me semblait hors de prix, et il fallait commander. Pour finir, trouvé à la SCAP à Bailleau, où il y en avait encore un, c'était il y a quelques années, et c'était déjà hors de prix... Bonne chance !

Que de certitudes. Il s'agit là, pour le moins, d'une vision manichéenne sinon étriquée du problème. Et ce n'est pas, à mon sens, une question d'optique, ni de vision, mais plutôt de largeur de vue (ou d'esprit). :D

Moi, je ne le dis pas OFF, je le dis en face ! Ce que votre médecin aéronautique ne sait pas ne peut pas lui faire de mal ! Le problème de l'aptitude médicale aéronautique (et de la visite médicale qui soit disant la détermine) est suffisamment important pour mériter un débat sérieux plutôt qu'un conseil style "comptoir de bistrot", qu'un jugement de "Café du Commerce" (il y a tellement de place ailleurs, pourquoi faire dans le mélo et choisir de s'écraser sur une habitation ?) :D Plus sérieusement, tu conduis encore ta voiture ???

Bien résumé car bien pensé. Je ne ferai pas mieux, mais je vais quand même essayer. Pour faire plus court "On n'a que ce que l'on mérite !" ou alors plus vernaculaire, plus imagé et plus terre à terre "Te brûles tin cul, te t'assieds su les cloques !" :D

Des promesses, toujours des promesses, comme disait le moineau en entendant péter le cheval...

On peut toujours rêver. Puisses-tu être de bon augure. Je le souhaite vivement, mais je pense qu'il y a encore loin de la coupe aux lèvres... ;)

- On peut penser que le pilote-propriétaire (représentant pour la Grèce de Pipistrel) sait ce qu'il fait, et au moins lui laisser le bénéfice du doute : il s'agit d'une vitesse au sol (vitesse GPS) qui n'a que de lointains rapports avec TAS et IAS (ça dépend du vent :lol: ). - Quant au bien fondé de l'établissement de tels records, et de leur intérêt autre qu'anecdotique, on peut en philosopher longuement... - Maintenant, si on parle d'autorité ou plutôt d'autoritarisme, je vois mal comment interdire de vol un pilote sur sa machine, à moins d'être responsable de club et/ou du parc, mais c'est pour le moins un tout autre débat. Et puis, un Taurus dans un parc planeurs d'association, ce n'est pas pour tout de suite...

Sur le mien, qui n'est pourtant probablement pas différent, je trouve en page 15 des informations qui me font penser le contraire... Est-ce que je me trompe ???

S'ils se mettent à sortir des nouvelles versions plus fréquemment que je ne rigole, ça va vite devenir un boulot à plein temps... D'ici que, en raison des frais occasionnés par cette valse des versions, ils se mettent à faire comme DG et à envisager une cotisation...

Je n'y ai pas trop de mérite, ce n'était pas trop loin... Je ne le regrette pas du tout, je craignais de m'endormir dans l'ennui d'une autosatisfaction ronronnante, mais pas du tout, j'y ai vu, et sans flagornerie aucune de ma part, des participants toniques et motivés; j'y ai ressenti un dynamisme que la nouvelle équipe avait déjà insufflé l'an dernier (mais j'étais alors encore un peu méfiant et sceptique). Tout n'est pas parfait, mais j'ai eu l'impression réconfortante d'être bien défendu en tant que vélivole. Et puis, joie sans mélange, j'y ai enfin trouvé des autocollants de forte taille qui m'ont consolé de ma déception de novembre dernier. :D

Pour brouiller l'écoute ? :D

Ben t'as de la chance. Avec mon ULM déguisé en planeur, la question est encore plus compliquée, et la réponse vaguement incertaine. La vache m'est réglementairement interdite (puisque j'ai un moteur !). Si l'activité est restreinte aux basés, ça ne redécollera pas, et pas question de qualification à obtenir et a fortiori à inscrire sur mon inexistant carnet de vol...

Peut-être que l'activité remorquage y change quelquechose, auquel cas je me rétracte, autrement la masse max est habituellement pour un ULM biplace de 450 kg, et avec parachute de secours de 472,5 kg.

Le mien est plus âgé, et me sert encore bien. Toutefois quelques lignes manquent sur l'écran en fonction de l'hygrométrie semble-t'il. Je ne vois pas de solution à ce problème... Bons vols à tous.