cboulenguez

Ce certificat n'est exigible que pour la participation à la compétition, ou lors de l'établissement d'une première licence sportive. Ensuite, si pas de compétition organisée, plus rien (on peut discuter pour savoir si la netcoupe est stricto sensu une compétition). Voir le site FFPLUM assez clair sur le sujet, et qui se défend par ailleurs becs et ongles conte la visite "aéronautique", abusivement contraignante.

Pour ne pas multiplier les certificats (et les coûts), "J et S" souhaitait même à une époque que ce certificat soit très large (ce qui arrive aux confins de l'absurde). Du coup, j'arrive à me faire faire un certificat qui porte à la fois sur la pratique de l'aéromodélisme, du vol à voile, de l'ULM, du golf, du billard et des échecs, en et hors compétition. Plus con, tu meurs, mais c'est parfaitement utilisable, il suffit de faire des photocopies pour chaque discipline sportive.

Pourquoi parler aussi péremptoirement, être aussi affirmatif (avoir le ton sûr )?

Mais ça ne prête même pas à sourire vu les circonstances Sans vouloir prétendre à une exégèse, j'ai cru comprendre que le remorqueur était "flarmé", mais pas le "planeur de collection"... De toute façon, c'est vrai qu'il n'y a pas de quoi s'amuser des maladresses journalistiques. C'est un difficile métier de parler de tout sans connaître à fond le sujet, et en le rendant compréhensible.

Tu veux un mouchoir ??? :D

Si c'est pour ballaster, 1 bar ça fait déjà beaucoup pour des ballasts structurels...

J'y ai réfléchi dès que j'ai eu l'article de DG sous les yeux. Sur le Taurus, ce serait facilement faisable, j'ai même idée de comment je ferais , mais j'ai peur, à l'endroit où ça doit se faire (pour la dépression, au niveau du rétrécissement du maître couple) de compromettre la solidité de la structure en facilitant une amorce de rupture. Interroger Pipistrel est effectivement une solution, mais quand ils ont conçu le Taurus (le prototype), ils ne semblaient pas, aux dires de M. Zen, pressés d'apporter des modifications à l'aération, problème connu depuis longtemps par eux. Le reste en MP, s'il te plaît, j'ai peur de n'intéresser que le cercle restreint des amateurs de Taurus.

Mes quelques notions de toxicologie ne me permettent pas de classer ces produits par préférences . Ils sont aussi dangereux les uns que les autres. Leurs durcisseurs/catalyseurs aussi. J'ai souvenir du MEKP que l'on conseille de manipuler avec des lunettes, les projections entraînant des cécités définitives... c'est dire si ces produits sont charmants.

Arrrrgh ! ....du plaisir solitaire au partage à deux...à toi, à moi. A nous est réservé aux rares machines dites "côte-côte" Je confirme : le plaisir d'une promenade en Taurus n'a pas d'équivalent. Tout est cependant affaire de partenaire. :D

Personnellement, me priver de cette page, ça ne va pas me traumatiser beaucoup. Je ne suis pas près de confier ma peau à ce dispositif (mais peut-être suis-je d'un naturel méfiant et craintif).

C'est ce que je fais avec mon Volkslogger. Au démarrage, il est toujours automatiquement calé au 1013. Je le laisse là et je l'ai configuré en pieds, ce qui permet une lecture directe de l'altitude compatible FL. Ca doit être possible avec les autres systèmes... C'est ce que je fais aussi : ça m'a semblé plus astucieux que tout le reste... Mais plus modestement qu'au pic de Bure, c'est pour rester en dessous du FL 45.

Toute la différence entre le produit frais et le surgelé.

Attention ! Attention ! la critique acerbe de notre sacro-sainte institution n'est pas permise. Sinon, il y des coups de règle sur les doigts qui vont se perdre. On a juste droit aux compliments, même s'ils sont éhontés. (mais c'est vrai aussi qu'ils exagèrent. :D )

Bonjour à l'instructeur de mes débuts... et merci pour l'info qui va m'être bien utile, et que je ne savais pas trouver seul [comme on dit ici "dégourdi, ça ne s'apprend pas"].

Les housses d'origine [en option, faut pas rêver] de mon Taurus (Pipistrel) sont faites en Tyvek (de Dupont de Nemours). C'est blanc, léger, super (pour le hangar), c'est imperméable, et relativement résistant, et facile à coudre. Au point que j'en referai bien (mes housses ont sept ans). Le problème, c'est que je n'arrive pas à en trouver... Quelqu'un de plus dégourdi que moi saura peut-être.

Devant une attitude aussi cavalière, vous pouvez toujours aller vous brosser ! :D [Hors sujet, mais je n'ai pas pu m'en empêcher]

Moi non plus, je n'ai pas compris ça, mais peut-être que je ne sais pas bien écouter et/ou lire. De toute façon, en tant qu'ancien responsable fédéral, et ayant par le passé beaucoup travaillé sur le sujet [et immodeste avec ça !], je ne pouvais que me réjouir de la diffusion systématique quoique autoritaire d'un organe diffusant la bonne (et vraie) parole. Cette histoire pleine d'euphémismes de stages formateurs sous des cieux lointains m'avait seulement fait un peu tiquer, beaucoup moins en tout cas que l'auteur véhément d'une autre contribution.

Je jure, la main sur le coeur (et si vous ne croyez pas celle-là, je vous en raconterai une autre), que devant ce cliché ornitho-aéronautique, j'ai seulement pensé "Oh! Les deux beaux oiseaux !" Vérifiez, il y a en bien deux, mais il faut l'oeil aguerri et exercé au balayage sytématique du vélivole entraîné pour s'en rendre compte... et ne pas se laisser distraire par des contingences de portance et de finesse, et peut-être de centrage arrière.

Le meilleur conseil que je puisse donner pour une construction amateur de remorque : "Oubliez seulement l'idée!"

Il n'y a pas d'ULM quelconque à traiter par dessous la jambe (ou alors peut-être que je manque d'humour sur le sujet!!!) En tout cas j'en connais au moins un qui fait des ronds autour des planeurs que je connais.

De toute façon, ils ne sont pas très blancs : dans un contexte aéronautique évident, on voit qu'ils ont l'habitude de prendre l'air, mais que nonobstant le fait qu'ils se tiennent bien, il y a quand même un peu de laisser hâler. Plus HS que ça, tu meurs.

Non, non ! Ce n'est pas franchement hors sujet. L'allusion au nettoyage des écuries d'Augias, que suggère la contribution initiale, est évidente. La brosse (à dents ?) est superbe, la mousse abondante, le travail pénible : j'en veux pour preuve la tenue légère pour éviter la transpiration...

On peut aussi écrire "blancs seins", mais seulement quand on a l'humeur guillerette, et puis ça n'a plus rien à voir, c'est carrément hors-sujet (mais il n'y a plus que cela qui m'amuse).

Le fabricant fournissait à l'époque une "jauge" de calibration, ce qui élimine toute forfanterie... Je dois encore en avoir une dans un coin, que je peux faire parvenir à ceux qui voudraient organiser un concours. Avec la dépression qu'entraîne le tuyau d'évacuation, on peut prévoir un peu large sans inconvénient. Pour ce qui concerne ce qui est évacué, ça ne se voit pas, je pense même que c'est vaporisé avant d'arriver au sol...

C'est le matériel que j'utilise, et que je préfère. L'étanchéité est impeccable si on se prépare avant le vol, mais ça fait quand même 3 € à chaque fois. S'équiper en vol à la demande, à l'occasion d'une envie insurmontable est un peu plus délicat et peut être à l'origine de fuites surtout quand le dispositif est relié à une poche à urine (forcément à un niveau à peine plus bas). J'ai résolu (sur mon planeur perso) le problème en reliant ce matériel à un tuyau d'évacuation fixé au pied de manche et à l'autre extrémité sur une trappe de train, orienté vers l'arrière, et qui assure ainsi, train sorti, une dépression qui favorise l'imperméabilité pénis-étui pénien. Si c'est bien fait, il n'y a pas de projections sur le train (et donc pas de risque d'oxydation) ni sur le fuselage. Inconvénient : il ne faut pas oublier de sortir le train, et c'est défendu de jeter des choses d'un aéronef.