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Etude Marketing Planeur Bois


Nicolas Fsd

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Bonjour à tous,

 

je suis actuellement en école d'ingénieur à l'ENSTIB (Ecole Nationale Supérieure des Technologies et Industries du Bois) à Epinal et effectue avec des collègues une étude marketing sur le marché des reconstructions/repliques de planeurs en bois.

 

La question est simple, une entreprise se lancant sur ce marché aurait-elle des chances de perdurer ? Si oui, dans quels pays (FR, Anglais, Germanophones) ? Quels types de machines ? etc...

 

N'hésitez à nous donner vos ressentis quant à ce sujet !

 

 

Si vous aviez également quelques minutes, merci de répondre à ce petit questionnaire :

 

https://docs.google.com/forms/d/14sWUtyo8jTNPtB5PRT0q074H3R4y_YWQKm2y9S569wM/viewform

 

Le même formulaire en anglais sera également envoyé en UK et pays germanophones.

 

 

Merci beaucoup, vélivolement.

 

 

Nicolas

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Bonjour Nicolas,

 

Sans vouloir être pessimiste, au vu des prix de l'occasion des machines bois et toiles et du nombre d'heures nécessaire à une rénovation ou construction, je ne pense pas qu'il soit possible de faire beaucoup plus que du bénévolat

 

Bonne chance pour la suite.

Daniel Rossier, RD, GVV Yverdon (Suisse)

 

... et le véritable Gruyère n'a pas de trous

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Bonjour. Intéressante leur initiative !

Moi j'ai rempli le questionnaire et en remarque je leur ai mis ça :

 

"Plus que la restauration/réplique de planeurs en bois, il y aurait un fort intérêt à concevoir et fabriquer un successeur plus performant que l'ASK13 (en faisant attention à la place disponible pour les grands gabarits !!!) et que le pied serait même que ce nouveau planeur biplace bois et toile puisse relever de la réglementation ULM."

Le temps ne respecte pas ce qui se fait sans lui.
https://www.youtube.com/user/cherpasc?app=desktop
Cordialement
Pascal

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Si tu refais celui là, tu en vendra plein ;-)

 

http://www.dfs-habicht.de/home/100b.jpg

+1!!! :speeeeed: :speeeeed: :speeeeed: :speeeeed: :speeeeed: :speeeeed: :speeeeed:

http://www.dfs-habicht.de/home/100b.jpg

mes photos aéro sur EchoMike.free.fr

Parceque le ciel est merveilleux

Pour que voler soit toujours un plaisir

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A ma connaissance, il y a actuellement une seule firme polonaise qui s'occupe beaucoup de restauration de planeurs anciens, et les délais sont longs. La firme est aussi en train de construire à partir de zéro un "Salamandra", l'ancêtre de l'Emouchet. Il s'agit de "The Glider Factory Jezow" (www.szdjezow.com.pl), autrement dit, l'ancienne usine Schneider à Grunau. Mais ce n'est qu'une activité annexe. Toutes les autres reconstructions ont été réalisées par des bénévoles passionnés.

Modifié par Stéphane
Stéphane Vander Veken
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. Il y a beaucoup de planeur ancien en reconstruction (minimoasss, salamandra et bien d’autre).

 

Voici deux liens .

https://www.facebook.com/?ref=tn_tnmn#!/groups/199890593362947/?hc_location=stream

https://www.facebook.com/?ref=tn_tnmn#!/photo.php?fbid=560225517355805&set=o.199890593362947&type=1&theater

 

Mais le prix et pharaonique il ne son construit que par des passionnés qui ne compte pas les heures de travail.

 

Je ne parle même pas du prix d'une plaque de contreplaqué aéro.

 

Faire des planeurs en fibre n'est pas qu'une question de performance mais aussi une question de prix, faire une Breguet 904 équivaudrait à construire une Rolls.

 

De mon point de vu un k13 est en dessous du cout qu’il couterait à reconstruire aujourd’hui, heureux les petits clubs qui les achètent à leurs valeurs actuelles.

 

Ce prix n’est qu’un reflet de l’offre et de la demande.

920439_434994853259056_650944827_o.jpg


945547_560225517355805_510654367_n.jpg

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Bonsoir,

 

A citer une petite étude, actuellement en cours à Supaéro, sur la faisabilité d'un planeur biplace ultraléger. Sortie des conclusions préliminaires fin Juin.

 

Bon vol!

 

EB

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Bonjour,

 

N'étant pas vélivole je ne peux répondre à votre questionnaire. Néanmoins pratiquant de vol libre je souhaite vous apporter mon point de vue :

 

Si le marché de la réplique de planeur semble pour le moins difficile, il y a un secteur où tout semble possible même si ce n'est surement pas le meilleur moyen de devenir riche.


Il s'agirait de combler le trou béant entre vol à voile et vol libre par un appareil construction bois. En effet aujourd'hui seul 2 offres existent mais à des prix prohibitif pour le monde du vol libre.

http://www.aeriane.com/

http://www.ruppert-composite.ch/en/flugzeug/portrait.html

Finesse entre 20 & 30, VNE < 150, homologable ulm avec une motorisation légère prévue dès le départ.


Je ne sais pas quel pourrait être la proportion de vélivole acceptant de redescendre ainsi de gamme mais coté vol libre je pense que sur une décennie la vente de plusieurs milliers de machines n'est pas irréaliste si le prix restait contenu sous les 20 Keuros.

 

Ce qui ne pourrait être atteint que via une formule de kit plus ou moins achevé d'une technologie "abordable".

 

Voilà tout cela est de l'ordre de la prospective mais il semble que vous en soyez précisément là.

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Re-bonsoir,

 

Pour avoir été en veille sur le sujet sur une longue période (20 ans), je crois pouvoir dire que, globalement, la population vélivole n'est pas intéressée par une descente de gamme (quelle en serait la motivation?).

 

Le point de démarrage, mais marginal, est l'établissement de nouvelles structures de micro-clubs basés sur du matérial ultra-léger. Exemple: piste de type ULM/pas de hangar (machines toutes démontables en qq minutes à deux personnes - y compris les biplaces) mais en essayant de ne pas dégrader considérablement le spectre de perfos. Reste qu'un biplace ultra-léger (aux perfos des K13-SZD50) n'existe pas encore... et reste à inventer dans le cadre d'une reglementation aménagée (mais là, le mouvement ULM a fait le travail le plus dur: à nous d'en profiter). Avis aux amateurs!...

 

Et le vol à voile vivra!

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Re-bonsoir,

 

Pour avoir été en veille sur le sujet sur une longue période (20 ans), je crois pouvoir dire que, globalement, la population vélivole n'est pas intéressée par une descente de gamme (quelle en serait la motivation?).

la survie peut etre ? :sick:

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Je suis du même avis.

 

Si tu veux un bijave en état de vol tu en trouve à moins de 3000€ et personne ne les achètent.

 

PS : je suis pourtant un akro (deviné ou je travail ???) du bois et toile , ma famille en possède deux.

Nicolas si tu veux te faire une idée de ce que représente le travail de construction d'un planeur tu peux venir à pont st vincent

ce n'est pas trés loin d'Epinal ,tu demande à voir jean claude néglais ,il a construit une fauvel 222 il pourra te donner beaucoup d'info sur ce sujet.

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Bonjour

 

Et pourquoi ne pas visez plus haut que le K13 ?

Disons un mono ou bi avec de bonnes perfos en transition e une finesse de 40.

Et pour faciliter la diffusion une liasse sous forme de plans ou en kit.

Il faut une bonne année de menuiserie pour fabriquer un avion en construction amateur.

Disons pareil en club pour ce genre de becane.

Un challenge intéressant.

Parce qu'à 80000 euros le duo d'occase... c'est pas gagné pour renouveller le parc.

Et tant qu'il restera des K13 à 10000 euros la bête ca ne vaut pas le coup de les remplacer.

 

Mais excellent sujet d'étude.

 

 

EMc

Modifié par EMC
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Trouver des menuisiers aéro qualifiés serait peut-être problématique. En France, les derniers étaient chez Robin et Mudry, maintenant Robin new aircraft.

 

Mais, bon, à priori, il est techniquement possible de reconstruire des planeurs d'avant-guerre. On reconstruit bien des avions de collection, bien plus complexes.

 

Quant aux débouchés, il ne faudra surement pas compter sur des milliers d'exemplaires, et, je ne vois pas comment cela pourrait se faire à un coût modique.

 


Merci à TXII pour cette photos de Schwatze FVA-1.

Je ne pensais pas en voir un contemporain. 62 kg à vide, 136 kg en charge, c'était vraiment du léger.

 

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Et que se passera-t-il lorsque le vieillissement inéluctable de vos effectifs fera que dans une majorité de club les ressources bénévoles seront de fait mises hors-jeu ?

 

Hormis un répit temporaire sous forme de club ulm comme cela se passe déjà, le plus probable est la raréfaction des centres de pratique avec une évolution en structures commerciales mais on pourrait aussi rêver à une revitalisation de nombreux aérodromes et/ou bases ulm associatifs grâce à l'afflux de la population issue du vol libre orientée "vol perfo", ce qui rejoint ce que dit Ebenard concernant les micros-clubs.


Le point crucial est que sauf révolution technologique je ne crois pas possible de conserver le même spectre de perfo. Je pense que les limites sont assez bien mises en lumière par les machines existantes (sparrowhawk, silent, etc...).


Au risque d'être provocateur, une bonne proportion des vols réalisés en planeur ne pourraient-ils pas l'être avec des machines type bijave ou équivalent monoplace et avec sensiblement plus d'intérêt / de satisfaction puisque meilleur ratio potentiel / réalisé ?


Je peux me tromper mais je pense que pour beaucoup de vélivoles non compétiteurs l'attachement au niveau de perfo de vos machines tient au moins autant à la sécurité que procure la certitude de pouvoir rentrer au(x) terrain(s) qu'aux possibilités supplémentaires de cheminement. A condition de recouvrer la possibilité de poser aux vaches bien plus facilement comme en vol libre je pense que la redescente en gamme ne serait pas aussi douloureuse, en tout cas dans de nombreuses régions.


Et ce d'autant plus que si la motorisation est prévue dès le départ et avec les bons choix (moteur fixe type exel noin) on récupère en quelque sorte la finesse perdue, à une petite notion d'engagement prés comme aux grandes heures du vol à voile…


Je résume et j'arrête de vous embêter :

  • L'avenir (potentiel…) du vol à voile c'est le vol libre/ l'ulm (dérèglementation raisonnée, moindre besoin du collectif pour pratiquer correspondant à l'évolution sociétale vers l'individualisme, base de population / de catégorie socio-professionnelle plus grande, etc …).
  • Pour cela il faut lever l'écueil du ticket d'entrée dans l'activité d’où mon estimation du prix "acceptable" pour cette population (correspond au cout de dépréciation du matériel vol libre sur une période de 15 ans).
  • Ce qui ne peut être atteint à mon sens qu'avec des machines bois et toile en kit, suffisamment simple à produire pour pourvoir être micro-industrialisé en europe. Il y a d'ailleurs concernant la "toile" certainement quelque chose à voir du côté de l'ulm / le deltaplane ou la technologie est bien plus simple.

Ce que je trouve pathétique c'est qu'existe encore aujourd'hui "chez vous" à la fois les infrastructures et les compétences en terme de savoir–faire constructif mais qu'un certain aveuglement élitiste vous empêche de voir la situation telle qu'elle est…


De toute façon tout cela n'est que discussion de comptoir puisque le "vrai" problème est l'absence d'un acteur capable & désireux de se lancer dans l'aventure.

 

Bons vols

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Bonne analyse.

 

Un point très bloquant pour l'instant (mis à part ceux déjà mentionnés), c'est que, techniquement, la classe de planeur ultra-léger n'existe pas en France, sauf d'y greffer un moteur...

 

La classe de zéro reglementation européenne s'arrête à 80 kg en monoplace et 100 kg en biplace, mais pour l'instant cette classe de liberté n'est pas reconnue en France. Ou sinon, on tombe dans le décollable à pied.

 

Donc, voici à mon avis les options:

 

1. Ne rien faire...

2. Se focaliser sur le décollable à pied - là pas de problème de réglementation - de perfo (archéo - très cher d'ailleurs -, ULF1, BUG modifié..), et en particulier s'attaquer au biplace (l'outil de base pour développer un mouvement). Mais le nombre de joueurs interessés est très réduit.

3. S'attaquer à l'émergence d'une classe de planeurs ultra-légers (non décollables à pied) mais il faudrait mieux le soutien de la FFVV (bien timide pour l'instant - bon, faut reconnaitre qu'il y a déjà beaucoup à faire sans se préoccuper d'une activité potentielle!). Ou sinon initier qqchose hors FFVV..

 

D'un point de vue pragmatique, je crois qu'il vaut mieux commencer par l'option 2, afin d'évoluer sur le plus long terme sur la route 3. Comme mentionné par Dufaur, il faut définir une ligne d'action; suggestions:

 

a. recensemment des bonnes volontés/expertises/moyens;

b. mise en place d'un moyen de communication spécifique (à moins que cet excellent forum nous laisse un coin, sinon on peut se tourner vers du yahoo group ou autre);

c. propositions pratiques de développement(s)/chantier(s)

d. rencontre nationale annuelle/réseaux régionaux

 

Et le vol à voile vivra!

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... Ou sinon, on tombe dans le décollable à pied ...

...

... Se focaliser sur le décollable à pied ...

"Décollable à pied" est une surinterprétation du texte réglementaire définissant le planeur ultra-léger, qui ne dit rien de tel, voir http://www.volavoile.net/index.php?showtopic=5149&do=findComment&comment=41111

 

Par ailleurs pour ce qui est de l'avenir du bois, même dans cette catégorie, je n'y crois guère. Seul les composites permettent de respecter cette contrainte des 80 kg en conservant une solidité raisonnable et la fabrication d'un kit ne peut guère être qu'en composite si on veut éviter un coût prohibitif en main-d'oeuvre.

Modifié par Robert Ehrlich
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On peut essayer chez Altaya : votre planeur en Kit , premier N° 2 la nervure d'emplanture.

Si il est possible d'industrialiser partiellement le processus ou de lancer une production décentralisée on butte quand meme sur le prix du des matériaux de base (contreplaqué, spruce).

Horizon pas net reste à la buvette (marin Breton)
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A R. Ehrlich:

 

Ayant été en charge de dimensionner Elytre, mentionné dans le lien, je suis tout à fait conscient de l'interprétation à donner ou pas.

Etape 1: travailler dans un cadre à peu près bien défini (le décollable "à pied") afin de limiter le risque de se retrouver dans une impasse légale;

Etape 2: travailler sur un projet qui contribue à l'émergence d'une (petite) activité alternative; soit le biplace en priorité

 

Quant aux structures: ne sursimplifions pas. On peut tout à fait imaginer un hybride... En revanche, reconnaissons qu'avoir la même maitrise des composites, à la Sparrow Hawk, aiderait beaucoup l'émergence de machines pointues.

 

Bon vol!

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Il existe une activité dans les pays de l'est basée sur des planeurs poutres construits sur le mode des deltas: ailes en tissu tendues sur une structure tubulaire.

Les gamins décollent derrière une auto, font des sauts de puce et rigolent bien.

Si on veut tenter un coup "pas cher" et ludique, c'est le truc à faire.

 

Je vois mal un gestionnaire d'aérodrome avec une bande de drôles en train de faire les cons sur la piste avec des bagnoles et assis sur des cerfs volants.

Je vois mal aussi l'assureur ...

Ce n'est pas parce qu'ils sont nombreux à se tromper qu'ils ont raison.

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C'est vrai: de nombreuses machines existent...Bro11, BUG1à4, Floater (qui pourraient être interprétés comme des constructions amateur planeur)... Mais le but est-il vraiment de réinventer l'école en monoplace?

En tous cas à éviter sur une plateforme avec gestionnaire!

 

Quant à l'assureur: c'est là que le "décollable à pied" - ou la construction amateur planeur - définit un cadre déjà reconnu. Laissons les spécialistes en assurance commenter.

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"étude marketing sur le marché des reconstructions/répliques de planeurs en bois d'avant-guerre".

 

Il me semble que la question de l'auteur de ce post ne portait pas sur les possibilités de relancer ou d'aider à la pratique du vol à voile avec des planeurs "bois et toile".

Notre mouvement, de toute façon, inéluctablement, évoluera vers du matériel de plus en plus sophistiqué, comme toutes les sports mécanisés.

C'est un autre débat.

 

Par contre, une société construisant des répliques de planeurs, donc, par définition, de collection, est-elle viable?

 

On reconstruit bien des Spits, des Fw 190, des Me 262, et bien d'autres appareils, alors, pourquoi pas des planeurs? Donc, techniquement, on est capable de retrouver les gestes des anciens, dans les règles de l'art, ainsi que les matériaux autrefois utilisés.

 

Quant à ce que ce soit une activité financièrement viable, c'est loin d'être prouvé. C'est un domaine où il faut faire ses preuves et se tailler une réputation.

 

Lecteur du fana de l'aviation depuis sa création, je constate chaque mois, dans la première partie de la revue, que des quantités d'appareils magnifiques sont restaurés ou reconstruits à l'état collection. Il y a même eu quelques planeurs.

 

Mais combien de planeurs y aura-t-il potentiellement à construire ?

Une poignée, je pense, et, c'est la qu'est l'os ...

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"Un point très bloquant pour l'instant (mis à part ceux déjà mentionnés), c'est que, techniquement, la classe de planeur ultra-léger n'existe pas en France, sauf d'y greffer un moteur..."

 

Dans les textes réglementant la classe ULM pour les planeurs est-il indiqué quelque chose sur la puissance du moteur et sa capacité ou non à assurer un décolage autonome ? Si la réponse est non, pourquoi alors, pour "jouer" avec les textes, ne pas y mettre pour la forme un moteur du genre gros moteur brushless d'aéromodélisme de quelques millier de watt, une batterie Li Po pour faire juste tourner brièvement une petite hélice repliable de faible diamètre dans le nez ? Cette "motorisation" serait là juste pour la galerie ou faire office de ventilateur pour se rafraîchir lors de l'attente au sol par temps chaud :speeeeed:

Le temps ne respecte pas ce qui se fait sans lui.
https://www.youtube.com/user/cherpasc?app=desktop
Cordialement
Pascal

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A P. Chéreau: voir, par exemple, http://pouguide.org/reglementation . La notion de décollage (mais autonome?) apparait clairement! Reste à savoir si elle pourrait être tirée vers le bas, jusqu'au "turbo" (puisque c'est ce dont on parle). Peut-être que Sam TT , ou autres personnes qui ont l'expérience de la dépose de dossier ULM d'un planeur légèrement motorisé, pourrait nous renseigner. Evidemment s'il pouvait acquérir de manière claire et non disptable/disputée par l'administration un tel dossier alors cela ferait avancer rapidement des projets sur la base de planeurs anciens.

 

A THEO: tu as raison mais on n'a pas souvent l'occasion de voir ces sujets là discutés. Pour répondre: (i) mon principe de base serait qu'il n'y a pas beaucoup de bonne raison (mais discutable!) de recréer des planeurs non-français; (ii) d'ou l'établissement rapide d'une liste de planeurs ayant disparu, sans la possibilité d'en restaurer un. Ma suggestion: DACAL, PM200, Jalon, CM7, B906 dans les biplaces. Mais qui serait pret à payer pour un tel effort?

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