www.planeur.net | www.netcoupe.net | www.volavoile.net
Aller au contenu

delta217

Membres
  • Compteur de contenus

    602
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par delta217

  1. Des nouvelles de HD : longue carrière à Saint Auban, puis racheté par Lyon et enfin par moi-même en 2000. Il a volé à Paray le Monial, Autun (un peu), et surtout Aspres et Aubenasson. Son port d'attache est aujourd'hui incertain : Romorantin ou Aubenasson. En ce qui concerne sa dérive, histoire de son ponçage quand nous l'avons repeint : sous le bleu, du rouge, sous le rouge, de l'orange, et sous l'orange encore une autre... Pour ce qui est de son immat. dite concours, il fallait trouver quelquechose, alors ce fût 217, son numéro de série : http://images3.hiboox.com/vignettes/1308/r4vdl2oa.jpg HD/217, le seul LS1 en France du monde ou on prend le soleil sur les jambes ! http://images3.hiboox.com/vignettes/1308/up18v1ic.jpg Ca veut dire quoi, "les pages dynamiques dans les tags ne sont pas autorisées", en bon français ? Et comment fait-on pour insérer des photos en taille non réduite ?
  2. Je n'arrive pas à ouvrir l'EXCEL ? "Erreur de fichier"
  3. Il en est malheureusement des forums comme des mouvements de foule : ils ont parfois tendance à déraper, voire à partir en autorot. Merci aux derniers contributeurs de l'avoir remis en ligne de vol ! Sur un autre post, "A60" évoque cette question de privés dans les clubs en disant que chacun doit participer à "l'effort de guerre". J'aime bien cette expression qui résume bien la situation, que ce soit pour le mot guerre qui évoque les menaces sur notre mouvement, et le mot effort qui indique le moyen de s'en protéger. Sur le plan financier, les Lyonnais - qui connaissent bien mon LS1 qui fût le leur - indiquent le chemin de la sagesse (dicton Lyonnais : "au boulot on fait ce qu'on peut, au club on se force..."). Avec 3 pilotes et un stationnement sous hangar, HD amenait d'office 40 heures de vol (ou équivalent) au minimum dans la besace du club. Cette relation financièro-commercialo-associative était - me semble-t-il - parfaitement équilibrée.
  4. Ca, c'est sûr que c'est LE sujet qui décoiffe.... La raison en est sans doute qu'il concentre toutes les contradictions et forces centrifuges qui traversent notre mouvement : - les fortunés et les moins fortunés - les "privés" et les autres (NB: on peut être fauché et néanmoins "privé") - les associatifs et les consommateurs - les pour et les contre la banalisation - les compétiteurs et les pilotes du dimanche - les vols locals et les vols au large - les qui ont du temps et ceux qui n'en n'ont pas - les bonnes volontés et les autres - les associés et les dirigeants A ce stade, on en est à 512 combinaisons différentes ! En dehors de l'équitation, je ne vois pas d'autres activités ou se juxtaposent des interêts associatifs et des interêts privés, en tout cas avec des investissements financiers significatifs (ce qui justifie et explique leur utilisation associative). Pour répondre à Robert, je pense en effet que la solution du forfait minimum (ou participation, peu importe son nom) est certainement la meilleure (pourvu que les privés l'acquittent). Mon expérience personelle est qu'elle est difficile à faire passer dans un petit club de province où la pensée enracinée depuis des lustres est "je paie pour ce que j'ai consommé". Quant à la banalisation qui semble en fait être la question originale du post, c'est d'une complexité infinie....
  5. Heu... Youpi Delta, c'est exactement le contraire ! Un club a tout interêt à avoir recours aux planeurs banalisés, car cela lui permet d'avoir des revenus sans avoir à investir, puisque le privé le fait à sa place. Après, il y a plein de problème d'organisation, d'assurance etc... surtout si le planeur est cassé. Quant aux mots de ton ex-président, ils sont peût-être crus, mais c'est néanmoins la stricte vérité. Un associé se doit de respecter les statuts et le règlement intérieur de l'association (et donc les tarifs). C'est la règle de toute communauté (entreprise, mariage,...). Après, l'associé a un bulletin de vote à l'assemblée générale, et il a tout le loisir d'exprimer son désaccord le cas échéant, et surtout de proposer une alternative.
  6. Ca, je ne peux pas le croire. Tout simplement pour la raison suivante : si les cotisations (et autres frais de participation) couvraient tous les frais fixes, alors un club qui ferait zéro heures de vol dans l'année aurait son compte d'exploitation équilibré. En général, il me semble au contraire que le sourire du trésorier s'élargit proportionellement au gonflement des cumulus... Petit calcul simple d'un club qui remplirait cette condition (frais fixes = cotisations) Le club achète 30000 € un planeur qu'il amortit sur 6000 heures de vol. Coût de l'heure de vol : 30000/6000 = 5€ Facturation du remorqué sur le prix de l'essence = 12 € A part çà, je suis bien d'accord avec plein de chose évoquées ci dessus, et notamment : - les privés font généralement beaucoup pour les clubs : oui - un planeur privé coûte (éventuellement cher) : oui - c'est pratique d'avoir un planeur privé pour aller où on veut quand on veut : oui - c'est bien que les privés amènent de l'activité : oui etc.... Je ne doute pas qu'il y ait des clubs où cela se passe bien sans règle particulière, comme cela est évoqué plus haut, pourvu que le nombre soit limité et que par chance, le "privé" soit justement celui qui se défonce pour le club. Ca se complique quand le phénomène prend de l'ampleur et que l'on frise la parité. Je peux vous citer un club où les instructeurs remettent régulièrement la subvention qui leur est attribuée pour passer l'ITP ou l'ITV dans le pot du club, tandis que dans le même temps certains privés ne payent pas leur place dans le hangar... Jéjé, pourquoi tu t'énerves ?
  7. Fatale erreur ! à lire sur : http://fiches.cyberjeune.org/ficheprat/fic...che.php3?Id=116 L'apport de connaissances ou l'apport d'activités. La volonté de " ... mettre en commun des connaissances ou une activité...", constitue l'un des éléments principaux du contrat d'association. L'absence d'un tel engagement serait de nature à remettre en cause la qualification d'un tel regroupement d'individus. Une mise en commun" permanente"Cette précision met l'accent sur le caractère permanent qui lie les parties du contrat. Donc, il y a précisément une quasi obligation légale de mise en commun de l'activité, et de manière permanente. Car on pourrait s'interroger sur "l'engagement" (au sens du législateur) d'un membre qui n'utiliserait que les services du remorqueur. L'exemple du bateau me semble particulièrement mal choisi : soit on loue un 470 dans une école de voile type 1901, soit on loue un bateau à une structure commerciale, soit on achète un droit à anneau dans un port. Je ne crois pas qu'il existe de structure mixte dans ce domaine. L'équitation pourrait être un exemple, avec des chevaux clubs et des chevaux privés. Mais il me semble que bien souvent on trouve alors juxtaposé une association 1901 et une structure commerciale. Peut-être, mais cela est une décision individuelle qui ne doit pas interférer avec le fonctionnement du club. L'argument "mon planeur m'a couté cher" n'est pas recevable.
  8. Justement non, je ne suis pas du tout d'accord. Comme je l'ai dit plus haut, sauf l'essence et les pneus, l'immense majorité des charges sont "quasiment" fixes (impôts, maintenance avion et planeur, assurances, entretien locaux,.... et même d'une certaine manière les amortissements). Les cotisations sont très loin de couvrir tout cela. Donc, il faut 1/voler, et 2/voler dans les planeurs du club pour le faire vivre. Ca n'empêche pas de voler sur son planeur non plus... Je pense qu'il devrait y avoir une obligation pour tous les membres d'un club de passer par la case "conseil d'administration", voire par la case "trésorier".
  9. Le financement des frais fixes peut aussi être fait sur les remorquages ou les treuillées. A partir de là, tes "privés" participent aussi au fonctionnement (donc aux recettes) du club en décollant tout simplement. CQFD CQFD... pas tout à fait. Dans les frais fixes, le remorqueur à lui tout seul est la pièce maîtresse. Les frais fixes des planeurs se limitent au renouvellement du CDN et quelques bricoles. En d'autres termes, la surfacturation des heures de vol planeur sert à payer également les minutes sous-facturées du remorqueur. Les privés - dont je suis - le savent bien : le coût de renouvellement leur CDN et de la maintenance de leur planeur, divisé par les heures de vol annuelles est bien inférieur au prix pratiqué par leur club préféré. C'est ainsi que j'avais proposé à mon prédecesseur président de club de multiplier les coûts de remorquage par deux, et de réduire à quasiment rien les heures de vol planeur. Dans ces conditions en effet, la participation des privés devient acceptable (de ce point de vue, la facturation évoquée plus haut à Challes me parait relever du même esprit). Mais les jours incertains, plus personne ne décollerait avec des tarifs de remorqué dissuasifs.... Donc, il est à mon sens strictement faux d'affirmer que le paiement du remorqué "suffit". Si la situation des privés dans les clubs était aussi désavantageuse que cela, nous verrions immanquablement sortir des clubs de remorquage (+ hangarage, accueil, sanitaires, impôts, etc) se constituer. Coût du forfait 10 heures obligatoire = 180 € il y a 2 ou 3 ans.
  10. Un sujet qui revient régulièrement sur le tapis.... Je suis propriétaire d'un LS1, et ancien président de club. Problème de comptabilité élémentaire : les recettes du club doivent de préférence égaler, voire dépasser, les charges. La quasi totalité des charges sont fixes. Les charges variables sont l'essence, l'electricité, les pneus,.... et c'est à peu près tout. Un système de facturation qui reflèterait cette réalité économique serait constitué d'une cotisation énorme (les frais fixes divisés par le nombre de membres), des minutes de remorquage facturées uniquement sur le coût de l'essence, et des heures de vol planeur facturées sur l'usure du, voire des, pneus. Autant dire qu'on aurait du mal à faire les inscriptions en début d'année. Donc, pour rendre la chose acceptable, on se débrouille pour faire absorber les frais fixes par des surfacturations sur les minutes de remorquage et les heures de vol. Cela a un inconvénient majeur : selon la météo, les rentrées d'argent sont éxécrables ou au contraire mirobolantes... Ainsi donc, la facturation des heures planeur sert à financer les frais fixes du club. Arrive notre pilote privé : s'il ne vole pas sur les machines du club, il ne paie pas sa part de frais fixes, c'est à dire qu'en fait c'est les copains qui payent pour lui. D'ou le système que nous avions mis en place à Paray le monial : tout le monde doit acheter un minimum de 10 heures de vol. Le privé les utilise ou non, c'est son problème (un zeste de double, quelques vols avec la copine ou les copains, et c'est réglé). Heu, j'ai lu plus haut qu'à Romo il n'y avait pas de problème pour les planeurs privés ? Ce n'est pas ce que j'ai cru comprendre quand j'ai évoqué la possibilité d'y baser mon LS1 !!!
  11. Et oui, nous ne mesurons pas notre chance dans le vol à voile.... Les parapentistes passent sous les fourches caudines de la Jeunesse et Sport, donc se tapent la totale, pour déboucher sur un BEES (brevet d'état d'éducateur sportif) du 1er degré. Notre ITV dépend de l'aviation civile, et nous permet d'avoir un BEES 2ième degré par équivalence, ce qui est infiniment supérieur. Mais chut.... Merci à l'aviation civile, et à la fédé qui se bat pour maintenir cette situation.
  12. Bien sûr, il faut explorer cette piste de financement à fond. J'ai obtenu l'accord du FONGECIF Bourgogne pour un financement intégral (aux réserves près formulées dans le message ci dessus) ITP et ITV. Je n'ai pu aller jusqu'à l'ITV par suite d'un changement professionnel intervenu en cours de route. La motivation "associative" est parfaitement recevable. Les caisses qui allouent les fonds ont des quotas selon le type de formation, donc la question est de savoir si ta caisse a des fonds disponibles pour ce genre de formation. En Bourgogne, 2 de mes ex-collègues avaient décroché leur financement pour une formation instructeur parapente qui - soit dit en passant - est infiniment plus lourde, et donc plus chère : quasiment 6 mois à temps plein. Il faut à mon sens bien soigner sa lettre de motivation. Bonne chance et écris moi si tu souhaites plus d'infos.
  13. Tout simplement superbe, très bien fait, un grand bravo, ça donne vraiment envie d'aller vous voir. Les treuillages sur la plage, c'est où ?
  14. La plate-forme d'Aspres est tout à fait exceptionelle. Le site en porte-avion est magnifique, et la nuit, on se croit un peu sur la Lune, les lumières alentour étant sous l'horizon. La plate forme a ceci d'exceptionnel qu'elle est très agréable pour ceux qui ne volent pas : vaste camping ombragé jouxtant le terrain, beauté du site, piscine (quasi déserte ces temps derniers). J'y suis allé très régulièrement depuis 8 ans. Vélivolement parlant, elle est fumante par temps de brise, et tout à fait éxécrable par vent Nord.... La seule activité permise alors est la tournée des champs vachables, où l'on constate que les collègues des autres plate-formes volent, eux !!! Je pense que çà va être très dur de lutter contre un projet qui semble économiquement majeur et, semble-t-il, soutenu par les élus locaux. En outre, l'AAA ne me semble pas dans un état de santé mirobolant (alors que dans le même temps, la plate-forme commerciale de Serres marche à plein). Je sais aussi, pour avoir eu il y a quelques années des contacts à très haut niveau avec le conseil général, que ce dernier est sensible à la carte touristique et au rôle du vol à voile dans cette dernière. Cette affaire difficile au premier abord pourrait peut-être se retourner à notre profit : demandez à reloger tout le monde sur une plate-forme pratiquable par tout temps, avec une longueur compatible avec le treuil.
  15. Version latine pour professeur agrégé : VENI, VIDI, VOLI
  16. Un mode de financement à ne pas hésiter à essayer : le FONGECIF, qui peut financer la formation et le salaire à concurrence de 80%. Ceci est valable pour les salariés. Il faut présenter un dossier bien ficelé au niveau motivation, et sans doute aussi tomber sur un FONGECIF qui a des fonds disponibles pour ce type de formation. J'avais décroché le financement intégral ITP + ITV, mais j'ai du laisser tomber l'ITV du fait d'un changement professionnel intervenu en cours de route. Il est tout à fait légitime que le FONGECIF finance une formation à objectif associatif, cela fait parti de ses attributions.
  17. Le sujet difficile que voilà.... A mon sens, tout dépend du montant de la location (donc de la manière dont cela a été négocié et mis par écrit avec l'ANEG....) du planeur. On peut imaginer que celui-ci inclut la cotisation annuelle ANEG. Dans ce cas, pilote club ou pilote ANEG, c'est à l'ANEG de supporter le préjudice sur son compte ANEPVV. La solution du "pilote payeur" est possible. Auquel cas, le pilote ANEG vole gratuitement sur le planeur (casse supportée par le compte ANEG du planeur), et le pilote club paye au club pour financer le compte ANEPVV du club en cas de casse. Un logiciel comme VULCAIN sait très bien gérer cela. C'est vrai que le planeur privé banalisé est une aubaine pour le club, lui faisant l'économie de l'investissement, sauf si, comme dit plus haut, on ruine le club en le cassant.... Et à condition sans doute que le phénomène reste marginal. On assiste me semble-t-il à une privatisation - rampante ou galopante ? - du matériel, avec le risque d'une évolution à l'américaine : un club réduit à quelques bois et toile, et plein de bécanes finesse 45 autour. Fin du vol à voile associatif que nous avons connu, apprécié, et apprécions encore....
  18. Là, Théo, il a pas lu mon message précédent.... Justement, une aile de planeur fonctionne très exactement comme une voile de bateau qui remonte au vent ou qui avance perpendiculairement au vent (et un peu moins aux allures portantes, où la voile de bateau fonctionne comme un parachute de l'ancienne époque). Donc, une surpression à l'intrados, et une dépression à l'extrados....
  19. delta217

    Pilatus Qui Remorque!

    Ce qui est assez comique sur le site de Tarade Aéro Service, c'est l'ASK21, "planeur pour les vols d'imitation"..... !!!
  20. La réponse est - me semble-t-il - plus technique. Il n'y a strictement aucune différence entre le fonctionnement aérodynamique d'une voile de bateau aux allures non portantes (du "prés serré" jusqu'au "petit largue"), et celui d'une aile : surpression à l'intrados, dépression à l'extrados. Mais les marins sont un peu plus malins, ils arrivent à remonter au vent, alors que les vélivoles arrivent difficilement à aller au delà de la finesse 50 et ne sont pas foutus de monter dans la masse d'air... A noter que les parachutistes parlent aussi de voile. Dans le cas des parachutes de ma jeunesse, c'était l'inverse par rapport à nous : leur voiles fonctionnaient comme un bateau aux allures portantes cette fois (type spinnaker). Leur voiles sont maintenant tout à fait profilées, et la diminution de taille est d'ailleurs tout à fait remarquable.
  21. Pour le prix de la 3000h, demande à Paray le Monial qui vient d'en faire une. Son président est Julien (mail Julien)
  22. merci pour cette excellente suggestion, que je vais vérifier dès que possible.
  23. Je me casse la tête avec ma radio Becker AR2008. Elle reçoit toujours, mais l'émission, c'est quand elle veut. Ce peut-être un désastre (pas d'émission vers le remorqueur en dépit d'une batterie fraichement chargée), ou au contraire excellent (hier, 5/5 avec un planeur du Léman depuis la Drôme). La batterie semble être hors de cause, j'ai changé l'alternat à tout hasard, et je me perds en conjecture.... Un expert peut-il m'aider ? Merci.
  24. La lecture du manuel de vol est interessante : celui du LS1 conseille de se poser avec 50% d'AF
  25. Pas de doute, c'est bien LFQF, d'ailleurs ne suis-je pas sous l'aile de Mike Bravo ? En te posant, tu aurais pu voir çà : http://www.mezimages.com/image/bjp71/Image00001.jpg et surtout repartir les mains pleines, puisque : Article 5 : les lots ne sont ni livrés à domicile, ni envoyés par la poste. Ils sont à prendre sur place le jour J
×
×
  • Créer...