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delta217

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Tout ce qui a été posté par delta217

  1. Je suis sur le site SGP depuis mon PC, avec le commentaire en français sur le site indiqué par le lien. Tandis que les concurrents (en tout cas les premiers) avaient largement viré le col de Cabre, le commentaire en était toujours à la branche Orpierre-Cabre (il me semble que le commentateur s'en est aperçu à un moment donné).
  2. Course tout à fait passionnante aujourd'hui ! A condition de suivre en 2D et non en 3D, on y arrive bien (Laurent Aboulin qui va chercher le Piolit - erreur fatale, Nicolas Veron au coude à coude tout le long). Dommage qu'on ne puisse visualiser sur une carte en relief. Les commentaires sont parfois complètement décalés (une branche !), on se dit qu'ils devraient installer un PC en double sur la table du commentateur ! C'est vrai que le concept - et la réalisation - sont tout à fait remarquables.
  3. Par exemple quand ils racontent que Kawa est sur la montagne de Chabre, et qu'on le voit filer plein sud sur Sisteron !!!
  4. Bon, d'accord, j'ai un peu oublié la température au sol ! Pour avoir 3000, il faudrait qu'il fasse sacrément chaud au sol. Maître Michel, les vélivoles de la région Centre refusent votre démission (.... et la perte de leur bulletin météo quotidien) ! Entre épaisseur moyenne théorique de la convection exploitable, et plafond (sous cumulus ou pas), la différence me semble mineure, non ? Le sondage ci-dessus pour Romo me donne à penser que çà devrait être bougrement chargé entre 1000 et 2000 : de fait, et pour employer la terminologie de météofrance, la situation est "peu favorable".
  5. Bonjour, Heureusement, il y a des passionnés qui innovent, et nous permettent d’occuper les journées de chiottes qui sont notre pain actuel... Bravo pour cette initiative tout à fait remarquable. Grâce au rasp-gramme, j'ai pu expliquer la chose à mon épouse, ce que je n'aurai jamais tenté avec un émagramme classique. J'ai donc joué avec le modèle dans l'espace-temps, variant les lieux et les heures à n'en plus finir. Je suis finalement tombé sur cette situation, à Aubenasson : http://www.heberger-image.fr/data/images/61269_lfjf.jpg Et là je m'interroge (ou je n'ai pas compris ?) : ma lecture est qu'on devrait avoir un plafond tout à fait remarquable, de l'ordre de 3000m, tant par l'inflexion de la courbe d'état (vers le noir) que par la base possible des cumulus (rapport de mélange). Or le modèle donne 1600m de plafond (bande jaune). Donc ?
  6. Merci CPT, j'aime bien l'aide pour les mules... Pendant que tu y es, peux expliquer la substantifique moelle des vitesses verticales ? Merci.
  7. Bonjour, Un sujet pour week-end pluvieux... : en dehors de la différence relative au ciel bleu (noir dans un cas, blanc dans l'autre...), que faut-il retenir des différences entre les deux modèles ? En d'autres termes, l'un est-il supérieur à l'autre ? Ou c'est comme les voitures, certains préfèrent les allemandes et d'autres les anglaises ? http://www.heberger-image.fr/data/images/88247_gfs.jpg http://www.heberger-image.fr/data/images/60760_wrf.jpg
  8. Débat récurrent... Dans un autre post, j'avais proposé cette grille, basée sur des pratiques des ingénieurs conseils (sauf que les ingénieurs conseils, ils ne font que des grilles 2x2, niveau maximum de complexité qu'ils sont capables de saisir - mais chacun sait le niveau d'intelligence exceptionnel des vélivoles !) http://imageshack.com/a/img843/2328/grillel.jpg
  9. Donnes moi ton adresse (en MP si besoin), et je t'envoie un programme LS1d agréé GNAV tout fait...
  10. Connaissant l'angle et la vitesse de décollage, la pente de la zone de réception, on devrait pouvoir calculer une pseudo-finesse, à savoir combien ils gagnent par rapport à une trajectoire purement parabolique. Robert va bien nous faire çà....
  11. Bon, personne n'a relevé la c.....ie que j'ai écrite sur les lavabos et Coriolis. Si (aux pôles, pour faire simple), la vitesse verticale de l'eau qui s'écoule dans la bonde ne génère pas de force de Coriolis (les vecteurs oméga et vitesse sont colinéaires), la vitesse radiale de l'eau qui converge vers le centre du lavabo en génère bien une, et donc le fameux tourbillon. Mais pour en revenir au "glissement" de la terre, il y a l'expérience du whisky (tous les dimanches midi, en hiver...) : quand je tourne mon verre dans la main, le glaçon reste immobile.
  12. Hum, je ne suis pas tout à fait d'accord. S'agissant de l'eau, la terre "glisse" bien sous l'eau quand les lavabos se vident. Du reste, les liens indiqués laissent entendre que la rotation de la terre n'est pas pour rien dans les alizés (en plus de Coriolis). Le glossaire de MF évoque bien aussi le phénomène de friction sur 1500 m. Ceci donne à penser qu'au dessus, l'air est "libre" (et en particulier soumis à Coriolis, comme l'indique MF). Le glossaire de MF est intéressant, mais la définition de Coriolis peu accessible au commun des mortels. Je préfère cette image : un terroriste tire à la kalachnikov sur un hélicoptère en vol stationnaire à sa verticale. S'il est aux pôles, il fait mouche, s'il est à l'équateur, il le rate...
  13. Salut, Magnifique en effet. Une question pour les experts. Quand on regarde les vents à l'échelle mondiale, ils tournent globalement d'ouest en est, dans les deux hémisphères. Depuis les pôles (vu du haut), la rotation est donc trigonométrique au nord, et horaire au sud. Mais, en considérant la rotation de la terre, et sachant que l'atmosphère n'est pas rigidement liée à la terre, la terre devrait "glisser" sous l'atmosphère. Les vents devraient donc être globalement dans l'autre sens, d'est en ouest... Quelqu'un a une explication ?
  14. delta217

    Systeme Top

    Une bonne âme pour nous mettre une photo d'un système pareil ? Nos amis modélistes sont bluffants. Ces maquettes sont simplement superbes et diablement bien conçues, calculées et réalisées. Bravo à eux.
  15. delta217

    Nouvelle Offre Du Cnvv

    Choix parfaitement compréhensible et respectable : j'ai moi-même un LS1, juste un peu mieux (?) que le K6. Il est tout à fait exact que le parc machine et son évolution fait parti du "système" vol à voile. On a assisté - et on assiste toujours - à une course à l'armement. Résultat : rarissimes sont les clubs qui achètent des machines neuves. Continuons le "benchmarking" avec des activités similaires : la planche à voile. Dans les années 80, elle a été en passe de devenir un sport de masse. La Dufour à moins de 2000 F (500 € aujourd'hui) en était le vecteur. La planche à voile est morte... de la course à l'armement. On aurait pu imaginer un autre scénario pour le vol à voile : plutôt que la fuite en avant sur la finesse, concevoir des machines à finesse identique (disons Pégase) mais moins chères : envergure moindre, remorque plus petite, pas de permis E, coût de fabrication moindres, etc... Nous aurions peut-être piqué 10.000 adhérents au parapente ?
  16. delta217

    Nouvelle Offre Du Cnvv

    Pour fréquenter quelques parapentistes dans mon entourage, je pense que leurs budgets sont largement comparables au nôtres, voire supérieurs : parce qu'après avoir tâté de la voile d'occasion, ils en achètent une de performances supérieures, puis une voile bi pour emmener madame, puis une voile légère pour la monter au sommet du Mont Blanc, et ainsi de suite. Restreindre leur budget à la voile d'occasion de début à 2500 € équivaut au vélivole qui en reste au K18 jusqu'à la fin de ses jours... Je rassure Mike Lima : j'ai beaucoup de plaisir à faire du vol à voile ET AUSSI de l'instruction. Point de frustration. C'est d'ailleurs l'avantage du bénévolat, c'est qu'on le gère de manière à ce qu'au global, le plaisir l'emporte à coup sûr. Simplement, je refuse que l'on brocarde les instructeurs (et remorqueurs) au motif qu'ils volent "gratuitement". Tant qu'on y est pas passé, on ne peut pas mesurer la charge de travail que cela représente, pendant les vols, mais aussi en piste, au rangement, à la sortie des machines, pour tailler le bout de gras avec papa-maman, etc... Il n'est pas rare que je rentre chez moi en ayant le sentiment d'avoir fait une journée de "boulot" (bénévole...). Si l'instructorat était un eldorado, nos clubs devraient crouler sous les bénévoles. Le "système" que j'évoque est - entre autre - le bénévolat, qui atteint ses limites, pour tout un tas de raison (éloignement familial, vies professionnelles moins linéaires, individualisme,...). Car, aux instructeurs et remorqueurs, il faudrait ajouter les treuillards (qui ne volent même pas, eux), les mécanos les mains dans la résine tout l'hiver, le trésorier le nez dans son PC, le président en réunion au conseil général, etc... Hier, nous avions notre réunion de section de fin de saison. Le taux de participation des adhérents n'est pas avouable. Donc, la question qui se pose au vol à voile est l'adéquation entre un système (basé sur le bénévolat à 90%) et une demande qui ressemble de plus en plus à une demande de service (au prix du bénévolat, bien entendu !).
  17. delta217

    Nouvelle Offre Du Cnvv

    OK pour la remarque relative à la comptabilité "officielle". La question est ici le "calcul" du prix facturé. Concernant la dernière contribution, il me semble opportun d'aller faire un petit tour chez nos cousins ou frères parapentistes, par exemple. Lire à ce sujet l'article du Monde que voici. Le parapente est un système "commercial". Si, dans le vol à voile, un instructeur qui fait mine de se faire rémunérer est "mal vu" (cf. contribution ci-dessus !), dans le parapente c'est le contraire : un instructeur qui ferait mine de faire du bénévolat se fait jeter de la pente par les autres instructeurs (idem dans le parachutisme). Si nous poursuivons le "benchmarking" avec le parapente : - le parapente est commercial, - le parapente n'est pas spécialement moins cher que le vol à voile (sans doute même plus cher ?), - le parapente (à ma connaissance) ne fait aucun effort pour former des jeunes (moins de 20 ans), il "tape" dans les jeunes seniors installés dans la vie, - le parapente fait un excellent lobbying qui lui permet de gérer convenablement la question des parcs nationaux, - le parapente a su créer (et faire connaitre) une activité économique autour de lui (cf. article ci-dessus). Le résultat est qu'il y a 42000 licenciés à la FFVL.... Le modèle économique du vol à voile, quoique très avantageux, ne fonctionne pas (ou plus). Encore une fois, mon propos n'est pas de prétendre qu'un système est "mieux" (d'un point de vue moral) qu'un autre, juste de regarder comment font les autres et les résultats que ça apporte. Je pense que le vol à voile ne va pas échapper - à terme - à une révision déchirante de son modèle. Un instructeur (par ailleurs chômeur dans la vie civile) qui fait gratuitement des tours de piste en K13 quand les autres sont partis en 300 ou 500 en Discus.
  18. delta217

    Nouvelle Offre Du Cnvv

    Si je suis le raisonnement, une association qui se ferait intégralement subventionner (collectivité, mécène,...) une machine devrait la proposer à 0 € de l'heure ! Ce n'est pas raisonnable. Une bonne gestion de "père de famille" commande de couvrir l'amortissement (et l'entretien) du matériel de manière à le renouveler le moment voulu. Peu importe la façon avec laquelle elle a été "acquise". A contrario, il est clair que nous vivons dans un monde qui a largement bénéficié de subsides divers et variés, et que les sources se raréfient. J'ai même dans l'idée que ce fonctionnement largement subventionné a déréglé la juste perception des réalités économiques par les vélivoles. Exemple : la formation est gratuite, et tout le monde trouve cette situation "normale". Savez-vous combien coûte un test en vol pour devenir instructeur ULM ? 400 €. Pour un seul vol ! J'imagine la tête des vélivoles si les ITV demandaient 40 € pour un BPP, 20 € pour un emport passager, 30 € pour un lâcher campagne !!! Ceci n'est pas un jugement de valeur sur l'un ou l'autre système, juste une information pour méditer le soir à la veillée...
  19. Ce n'est que pour nos consœurs ??? De prime abord, j'ai parcouru la partie aérodynamique, laquelle me semble tout à fait remarquable (très pédagogique). Merci pour le lien.
  20. delta217

    Place Arrière

    Et oui, les français ont pris la peine de rédiger leur manuel de vol (art consommé de la duplication inutile), forcément meilleur que le manuel d'origine... Je me rappelle une discussion avec un gros calibre (forcément très bon) relativement au manuel de vol du LS1. Le manuel allemand préconise les AF en partie sortis pour améliorer le contrôle du roulis au roulage (j'ai essayé, c'est très efficace, j'en étais sur le moment tout surpris moi-même). Le gros calibre m'a rétorqué que seul me manuel français était digne de foi (juridiquement, c'était sans doute vrai à l'époque - aujourd'hui ?). Le manuel (français donc) du Twin comporte quelques bizarreries : page 2.8 - vitesse maximale autorisée au treuil : VW 120 km/h. Diable, il ne faut pas perdre de temps pendant la rotation... page 4.6 - lancer au treuil : le décollage se fait manche au neutre. Je n'ai pas vraiment envie d'essayer ! page 4.7 - aérofreins : en configuration finale d’atterrissage, il convient d'utiliser les aérofreins avec modération. Je trouve qu'au contraire, on peut sans soucis tout sortir sans surprise... page 4.8, une coquille - la sortie des AF provoque un léger couple piqueur favorisant la maintenance de la vitesse d'approche choisie. et encore il est recommandé de ne pas sortir encore plus les AF au cours de l'arrondi. et enfin, la cerise, page 6.1 - le montage peut s'effectuer à 4 personnes. Et bien çà, j'aimerai voir... Plutôt 4 par aile, plus 4 pour le fuselage, et encore 4 autres pour donner des conseils !!!
  21. J'ai refait mes saumons de LS1 cet hiver, ils étaient vilains : peinture blanche et adhésif coupé quelques millimètres avant les bords d'attaque et de fuite. Simple et de bon goût à mes yeux... http://imageshack.us/a/img59/1184/20130329153708.jpg
  22. Cette affaire se conclut donc positivement. C'est bien la somme des PTAC qui est prise en compte pour apprécier ou non le dépassement des 3,5 T. Donc, cboulengez pourra continuer à tirer sa remorque de 1200 kg sans l'extension B96 (sauf si le PTAC de son véhicule dépasse 2300 kg, ce dont je doute fortement). Pour ma part, moyennant la formation B96, je pourrai tracter 1450 kg avec mon VW T4, au lieu de 750 kg. C'est donc bien un progrès notoire....
  23. Il reste aujourd'hui bon nombre de subventions au niveau régional, départemental, voire municipal, qui ont pris le relais des "primes d'achat". Je voudrais bien savoir s'il se réalise aujourd'hui dans les clubs des investissement significatifs quelconques sans aucune subvention ? M'est avis que non. Pour ce qui est des comportements et contributions des membres, je vous soumet la grille de lecture ci-dessous. J'ai emprunté le concept aux ingénieurs conseils qui interviennent dans les entreprises (avec des axes un peu différents : évaluation personnelle, adhésion aux valeurs de l'entreprise...). Normalement, les graphiques sont en matrice 2x2, car c'est le niveau maximum de compréhension des ingénieurs conseils. Je l'ai porté à 3x3, pour tenir compte de l'intelligence supérieure bien connue des vélivoles !!! http://img843.imageshack.us/img843/2328/grillel.jpg Par "contribution associative au vol à voile", il faut comprendre la somme des contributions : club, régional, fédéral, etc.... Chacun démarre, comme au Monopoly, dans la case départ. Le problème du pilote privé, s'il ne fait rien d'autre, c'est qu'il y reste. Le boulot du président de club, quand il arrive le matin, c'est de tirer tout le monde vers le haut et vers la droite. Tout un programme.
  24. Salut Stéphane ! Oui, tu as raison, mais çà mérite des commentaires. L'état a délégué à la FFVV la formation des cadres et l'organisation des compétitions. Si certains peuvent se foutre de l'absence de compétition (vol à voile loisir), c'est difficile d'envisager un vol à voile sans instructeur. Si les clubs plongent, la FFVV et le CNVV plongent, et la question est réglée : nous accrocherons nos planeurs (privés et clubs) à nos plafonds. C'est différent en vol moteur, puisque c'est l'état qui forme les instructeurs. Tu décris une évolution du vol à voile "à l'américaine": - un petit club avec un K13, 1 super javelot, un K18. Un instructeur bénévole, age moyen 67 ans. Cas favorable : le club est riche, il a 1 vieux Twin et un Cirrus. Heure de vol à 20 €. Remorquage à 25 € - une structure commerciale à côté avec un ou deux Duo, quelques Pégases et autres LS4. Instructeur salarié, age moyen 40 ans (encore mieux : instructrice top model). Heure de vol : 50 €, remorquage 50 €, et tu payes l'instruction 40 € (moins cher que le garagiste) - 30 planeurs privés sur la plateforme : ventus, ASG29, NIVD, et tous les autres (motoplaneurs). Ils se font remorquer par la structure commerciale. A l'entrée du terrain tu fais en enquête de CSP - CSP ++ : 80% radiologues, notaires, pilotes de ligne, chefs d'entreprise (qui ont réussi), avocats, etc... - CSP + : 15% ingénieurs, etc... - les autres : 5% quelques jeunes qui vont à l'école de pilotage associative, et se disent qu'ils ne pourront jamais se payer le bijou d'à côté. Je ne pense pas que cette évolution soit souhaitable, et milite pour maintenir notre régime associatif qui a certainement des défauts, mais qui permet un certain brassage social.
  25. Analyse complètement erronée, et d'ailleurs le contributeur lad donne lui-même la réponse : l'immense majorité du parc français, des C800 et bijaves et encore jusqu'à maintenant, a été financé pour une bonne partie avec des subventions. Il était un temps où il suffisait quasiment de passer un coup de téléphone pour aller chercher un Morane tout neuf à Tarbes sans débourser un centime. Le vol à voile vit sur cet acquis (pour les Morane, çà commence à être difficile...). Le rachat de planeur moderne d'occasion est un phénomène relativement récent, et qui montre bien que les clubs sont incapables financièrement de faire de tels investissements. Oui, bien sûr, le vol à voile est associatif. Donc on signe un contrat d'association et on en accepte les termes : statuts, réglement intérieur, etc... Si tu veux un bel accueil avec tapis rouge et belle hotesse, cela s'appelle du vol à voile commercial, et il n'y en a pas (ou pas encore, ou si peu) en France. Mais il te faudra payer l'hotesse, le tapis rouge, la TVA, les impots sur les bénéfices, et l'absence de subvention. L'avantage (?) sera qu'en cas de mécontentement, tu pourras te plaindre et exiger ceci ou cela en regard du contrat de prestations ou de vente que tu auras signé (voir les conditions générales au verso etc....). En associatif, l'association, c'est toi, donc si tu n'es pas content, tu présentes ta candidature aux élections. Je ne doute pas que l'accueil soit une source potentielle d'amélioration dans le vol à voile, mais les personnes que tu as en face de toi sont (dans 99% des cas) bénévoles, et elles font ce qu'elles peuvent sur leur temps de loisir, avec parfois (souvent ?) un dévouement insensé.
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