Bre901

ça me rappelle la fois où les gendarmes ont débarqué au Versoud (au siècle dernier) parce que le Libelle local avait été vu sur les crêtes du Vercors en train de chasser le chamois au fusil (le dénonciateur avait noté l'immat). Quand on leur a montré la machine, qu'on leur a dit que le CDB en cause (au vu de la planche) faisait 1m90 et 90kg et qu'on leur a proposé de s'asseoir dans le cockpit avec un morceau de bois de 1m de long pour voir comment on pouvait tirer au fusil, ils n'ont pas trop insisté ...

On pourra voir assez rapidement ce qu'elle vaut comme planeur, car elle est engagée aux championnats du monde de classe 13,5m en Lituanie au mois d'août http://www.soaringspot.com/en_gb/135-wgc2015/

Fred, 14 avril 2015 : pas loin de la pointe Percée ou de la pointe d'Areu, si je ne m'abuse ?

il y a une dizaine d'années, en arrivée sur Chartres depuis La Loupe, je suis passé au dessus d'un (gros) ré-émetteur TV (j'ai du passer dans un lobe d'émission secondaire), mon GPS (jaquette Navman) a été très perturbé, a perdu l'indication de l'altitude et m'a dit de faire un virage à 75° pour rejoindre mon point d'arrivée (alors que je voyais déjà, bien dans l'axe, la tache grise de la ville sur la Beauce), comme j'ai refusé d'obtempérer, il m'a dit un peu plus loin de faire un virage dans l'autre sens, puis a fini par me laisser tranquille. Résultat sur le tracé : un maginfique "doigt du tsar". Si je me souviens bien des radars des Alpes du Sud (Mont Agel ?) avaient aussi tendance à perturber la réception des GPS Les récepteurs d'aujourd'hui sont sans doute plus sensibles et robustes à la fois, mais on est quand même sur des niveaux de signaux très faibles, il en faut pas grand chose pour les perturber

Cf les recommandations sur les pages du Bon Coin :

L'idée est d'utiliser un planeur bi-fuselage (piloté ou radio-commandé) comme plateforme de lancement de mini-satellites. Le planeur serait remorqué à 40 000 pieds par un avion de transport, avant de lancer la fusée. Je ne vois pas bien l'intérêt par rapport à un engin du type White Knight de Rutan qui peut faire la même chose de façon autonome.

Intéressant de voir aussi que l'âge médian des femmes (seulement 7% de l'effectif) est de 25 ans alors que celui des hommes (93%) est de 46 ans. Comme on voit quelques jeunes filles dans les clubs, il faut croire qu'elles n'y font pas de vieux os ...

"... et le vol à voile vivra!" comme le disait, dans le même contexte, le regretté Pierre Vaysse

c'est bien vrai, ça, "Above gravity" serait déjà beaucoup mieux, et j'irais même jusqu'à "Beyond gravity" ou alors, si on veut ajouter une petite "Frenchie touch", "Beyond ze gravity" ;-)

site:revuevolavoile.ch filetype:pdf ramène plus de résultats

Train sorti, les céréales ne t'empêcheront pas de rejoindre le sol et si le train est rentré, ton bassin et tes vertèbres lombaires sont très près de tout ce qui peut traîner au sol (cailloux, tuyaux, etc) Sur une forêt, je n'ai pas d'avis

Il me semble avoir lu quelque par (bouquin bleu ?) qu'il fallait penser à sortir le train (pas de souci pour l'ASK21) pour éviter les effets d'"aspiration" vers le bas au moment du contact du fuselage avec l'eau

Comme la météo ne donne pas lieu à la publication de belles photos prises d'en haut, pour changer un peu des nuages : http://www.marc-till.com/tmp/planeur-mct.jpg pas grand chose à voir avec le vol à voile, je vous le concède, mais si l'on regarde mieux ...

Dans des conditions d'utilisation du type remplissage occasionnel de bouteilles, oui Il y a quand même un risque d'endommagement pendant la connexion et la déconnexion des bouteilles. Il faut être maniaque sur la propreté (ni graisses, ni poussières, sinon BOUM !) et le bon état du flexible, des portées de joints et des filetages. Dans l'industrie, les tuyaux flexibles doivent être munis, aux extrémités, de boucles de câble permettant de les accrocher aux robinets des bouteilles afin de les empêcher de fouetter en cas de rupture au niveau d'un raccord.

je pense qu'il faut lire lisse plutôt que drisse (qui est un terme de voile, mais sans vol) encore un coup du correcteur automatique fou ?

voir mes commentaires sur l'oxygène médical vs. industriel sur la page précédente.

ça ressemble beaucoup à celui-ci : http://www.volavoile.net/index.php?showtopic=11406

Je pense que le tableau de bord n'est pas d'origine :rolleyes: :rolleyes: http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Planeur_allemand_SG_38_Musee_du_Bourget_P1010702.JPG

5 vols de plus de 1000 km au départ de Calcinate del Pesce, dont un qui a viré à Puimoisson

Le rapport du BEA s'est borné à indiquer les faits qui sont à l'origine de l'accident. Ensuite c'est la justice qui a déterminé les fautes et les responsabilités

si c'est de ce site http://rhoenflug-gersfeld.de/ qu'il s'agit, il y a un contact mail sur la page "impressum" en envoyant un mail en anglais, il doit bien y avoir moyen d'avoir une réponse

La "dérive" (plutôt verticale qu'horizontale, si je ne m'abuse), semble n'être qu'une simple planche, pas bien épaisse, et pas peinte de la même façon, donc probablement non fonctionnelle ...

C'est le compresseur qui utilise 2l/min (et c'est lui le plus cher) pour l'instant la plus grosse bouteille remplissable fait 1,7 l (autonomie 4h à 1l/min), il faudrait peut-être pouvoir aller jusqu'à la B5 pour les biplaces et il est difficle de remplir rapidement plusieurs bouteilles (clubs ?)

les insuffisants respiratoires ont bien le droit d'opérer le concentrateur et le compresseur pour remplir eux-mêmes leurs bouteilles (système sécurisé), il faudrait surtout faire évoluer la règlementation pour homologuer l'utilisation des concentrateurs/compresseurs pour remplir des bouteilles aéro. ça c'est juste le compresseur, il faut aussi le concentrateur : http://www.equipmedical.com/p-concentrateur-d-oxygene-perfecto-2-p4825.html en gros 4500-5000 pour les deux il faudrait effectivement pouvoir coupler le compresseur avec une capacité tampon (1 ou 2 B50 - grande bouteille "standard") le compresseur remplit à 150 bars, il faut compter une heure par litre de capacité de bouteille, donc 5h pour une B5, 50h pour une B50 , le nombre de bouteilles que l'on pourra remplir dépendra de la pression mini que l'on veut avoir dans les bouteilles qui volent

C'est juste un problème de capacité de bouteilles, le concentrateur/compresseur remplit des bouteilles (portables dans ce cas) il n'a pas besoin de voler. La grande bouteille contient 240l d'O2 (4h à 1l/min) pour une capacité de 1,7l, on peut en déduire qu'elle est remplie à 150bars (le calcul exact donne 140 bars, on garde 10 bars de marge) ce qui est la pression de service des bouteilles aéro. Edit : la pression de service est précisément de 145 bars (ce qui ne change pas grand chose à l'autonomie), voir là : http://www.carbagas.ch/file/otherelementcontent/pj/40/55/4d/79/homefill2_fr_v2_low1232201795416030299.pdf A mon avis le concentrateur/compresseur devrait pouvoir, sans trop de problèmes (il faut vérifier qu'il assèche bien l'air), remplir des bouteilles de plus grande capacité à la même pression, ça devient très intéressant car on pourrait installer un concentrateur/compresseur par club et remplir à la demande. Je suis un peu étonné que MH ne propose pas déjà ce genre de système, si le grand public est autorisé à manipuler le compresseur et remplir des bouteilles, il n'y a pas de raison que les vélivoles n'y arrivent pas. Le problème vient peut-être de ce que la pureté de l'oxygène médical obtenu à partir de concentrateurs (90 à 95%) n'est pas (encore ?) homologuée en aéro, mais techniquement ça ne doit pas poser de problème (impuretés = N2+Ar; si c'est respirable par des insuffisants respiratoires, ça doit l'être par des gens en bonne santé physique)