www.planeur.net | www.netcoupe.net | www.volavoile.net
Aller au contenu

THEO

Membres
  • Compteur de contenus

    1 306
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par THEO

  1. Le poids et la taille d'un pilote de planeur ne pose guère de problème, à une exception près: Le soucis se situe plutôt dans la longueur des jambes du pilote, c'est à dire la distance entre le manche en position plein arrière et le palonnier en position de réglage la plus arrière. Si on est trop court, on est bon pour les chaussures à semelles Elton John ... J'ai tout de même connu un pilote très limite qui avait du mal à se servir du palonnier, surtout au décollage, et qui était obligé de se déhancher pour se servir de ses pieds
  2. THEO

    Vautours

    Bien beau d'un côté et bien triste d'un autre côté... Que faire ? Une fois de plus, les hommes ne savent que faire avec la nature et la nature n'aurait que faire des hommes, si elle n'avait pas à les subir . Enfin bon, trève de pessimisme, c'est quand même si bon de planer en compagnie des oiseaux ... Pas bien facile à photographier en vol, d'ailleurs.
  3. [En tout cas, vous avez intéret à conserver la maitrise des assurances par soucis d'économie, et eviter les redondances. Pour nous, à Pont sur Yonne, cela n'a pas été possible. La gestion est attribuée à une communauté de communes qui a entrepris d'assurer les bâtiments en RC, puisqu'on nous en a dépossédés, des fois qu'une tôle du hangar s"envolerait et irait décapiter un gendarme en train de vérifier les papiers d'un véhicule volant suspect ... Cela ne nous a pas empêché de continuer à assurer nos bâtiments comme d'hab. en attendant que tout soit bien clair . A titre indicatif, une commission paritaire composée de maires et de représentants des associations et des sociétés du terrain est en train de se mettre en place pour la gestion de l'aérodrome, ceci après quelques années de flou artistique . Quoi qu'il en soit, je répète ma question: connaissez-vous des aérodromes où l'on a rasé vos hangars pour mieux vous en louer des neufs ? Parce-que dans ces conditions, je serais tenté de sortir la clé de 13 et de démonter, pour remonter le tout sur une plateforme privée ... pour ceusses qui verraient où je veux en venir.
  4. Dans le câdre des mutations domaniales qui concernent la très grande majorité de nos plateformes vol à voile, il nous a été expliqué : D'abord que la gestion de notre aérodrome n'est plus assurée par l'Etat, mais par des collectivités locales. Soit, c'est la décentralisation. :lol: Ensuite que la propriété de la plateforme est également cédée. Cadeau d'aérodromes d'ailleurs souvent expropriés à l'approche de la guerre, et donc payées avec l'argent du contribuable de l'époque. Soit . :lol: Puis que la propriété des bâtiments (vos bâtiments) est aussi cédée ... Facile d'offrir ce qui n'est pas à soi ... On nous l'a expliqué progressivement, et dans cet ordre, l'inverse aurait été intolérable. Quand je dis "on", c'était en particulier un représentant du District aéro qui l'annonçait en réunion des usagers de l'aérodrome) Résultat, les associations vol à voile qui bénéficiaient d'AOT en principe gratuit, se retrouveraient en situation de louer une propriété bâtie (par leurs soins et à leurs frais, certains avec des remboursements de prêts en cours), ce qui n'empêche pas, d'ailleurs de payer la taxe foncière ... :lol: Pour que les choses soient plus nettes, la mode semblerait être d'estimer que nos hangars sont obsolètes, alors on les rase, on en construit des tout beaux, tout neufs et on est plus à l'aise pour vous les louer, n'est-ce pas, les copains d'Orléans ? Pour mon information, pour celle de mon Club, pour la vôtre, je serais heureux de recenser les endroits où ce dernier cas de figure se présente. J'ai entendu parler, par exemple de Châlons. Qu'en est-il ?
  5. Le mien n'est pas en panne, mais je profite du sujet ouvert. Qui peut me dire où je peux trouver le manuel d'utilisation en Français ?
  6. Joli ! surtout la première photo Je ne savais pas qu'à Chérence, on avait la folie des grandeurs Heureusement qu'il n'existe plus de Heinkel 111Z à 5 moteurs qui remorquaient des Me 321. Vous en réclameriez . Enfin, les pilotes remorqueurs pour ces bestioles, çà ne court pas les rues ...
  7. Merci, Stéphane, c'est bien à celui-là que je pensais . Les essais étaient effectivement réalisés à Chiemsee et Constance ( Aventures en plein ciel H.Reitsch page 112 et suivantes ) Câbles à flotteurs, catapultes ... même pas peur ! :wacko: Elle ne dit pas si l'hydro-planeur a correctement vieilli après ses séjours dans l'eau. Tout cela me laisse l'impression qu'à cette époque, le matériel était du consommable. :rolleyes: Dommage qu'elle n'ait raconté qu'une partie de ses aventures. çà méritait bien au moins le double de pages pour les fanas ... Quant à nous, je commande d'urgence 50m3 de balles de ping-pong pour remplir nos fuselages. A force de cogiter à tous les truc que peuvent arriver à un planeur ...
  8. Arriver à poser correctement un planeur sur l'eau, c'est une chose, mais récupérer le planeur et le faire revoler ... A supposer que l'on n'ai rien cassé (miracle), il faut aussi que l'eau soit assez propre, non salée, et que le bain ne dure pas longtemps . A titre indicatif, le Comité Bourgogne a récupéré un Marianne qui a séjourné à Avignon-Pujaut pendant, je crois, trois semaines dans 1,80 m d'eau à cause des inondations de cette année là. Il n'était pas question de le faire revoler, mais de le transformer en simulateur, ce qui fut fait. Une belle réussite, d'ailleurs . Nous avons donc entrepris -avec un drôle de pincement au coeur- de tronçonner le fuselage et les ailes, ce qui nous a permis d'accéder aux entrailles du planeur. Je n'ose imaginer le travail qu'il aurait fallu entreprendre si on avait voulu le faire revoler. Les instruments, nous ne les avions pas, mais j'imagine qu'au minimum, les instruments électriques étaient fichus. Les pièces en bois, même vernies ou enduites de résine étaient douteuses et toutes les articulations, roulements, rutules, etc, étaient encroûtées de limon et la corrosion avait démarré sur certaines pièces. Nous avons nettoyé tout cela correctement pour l'utilisation qu'on allait en faire, mais certainement pas pour revoler. S'il avait séjourné dans l'eau de mer, je crois que nous n'aurions même pas pu l'utiliser pour en faire un simu . Une remise en était aurait coûté bien trop cher pour la valeur du planeur. Non, vraiment, un planeur, c'est fait pour les zazurs, pas pour la flotte. Ou alors, il faut faire du planeur hydravion, ce qui a d'ailleurs existé. Quelqu'un aurait-il une photo ?
  9. Il me semble que dans certains pays, on pratique le vol à voile sans visite médicale ou avec d'autre périodicités. Y a-t-il plus d'accidents que chez nous pour des causes médicales ? Les pratiquants français qui n'obtiennent plus la visite et se tournent vers l'ULM causent-ils plus d'accidents pour des questions médicales ? Quelqu'un aurait-il des chiffres ? On pourrait alors mieux dire si çà sert à quelque chose ou pas ... :rolleyes:
  10. THEO

    Etymologie Du Nom Vol À Voile

    D'accord pour l'explication technique, mais reconnaissons que c'est pas de la tarte d'expliquer çà au VI moyen et par ailleurs, je ne suis pas sûr que les précurseurs aient eu exactement cette explication en tête pour baptiser notre activité Vol à Voile Notons qu'en septembre 1930, des anciens avaient organisé la quinzaine de Sens de vol sans moteur et non de vol à voilecar, dixit monsieur Cornet, Président de la section planeur de l'époque, c'était plus approprié . Il est vrai qu'à l'époque, ils ont fait quelques 300 vols planés de 30-45 secondes, mis à part un vol de 45 min ... à voile à bord d'un planeur de type Rapace.
  11. THEO

    Etymologie Du Nom Vol À Voile

    Soyons réalistes, même si par habitude, nous sommes attachés à l'appellation vol à voile :rolleyes: , je ne l'ai jamais trouvé bien parlante , et au minimum équivoque :wacko: . D'abord, y'a pas d'voiles et nos ailes n'ont qu'un rapport bien lointain avec des voiles. Celles de J M LEBRIS, peut-être, s'en rapprochaient d'avantage... Voiles (velum), c'est pas ailes ( ala), alors à quoi a pensé celui qui a utilisé pour la première fois l'expression vol à voile ? Mystère. On pourrait peut-être estimer que le chaînon manquant serait le cerf-volant . En tout cas, si ce n'est pas évident pour nous, pratiquants, il ne faut pas s'étonner que le grand public s'y perde ... C'est la raison pour laquelle quelques clubs ont changé de nom pour devenir Centre de Planeurs et n'ont jamais regretté de l'avoir fait. Je ne verrais qu'une expression qui conviendrait : Les gars, j'mets les voiles pour un p'tit 500, et souhaitez-moi de r'venir à bon port ! PS: pour être honnête, remarquons que certains voiliers ont maintenant une allure de plus en plus planeur. Les clubs de voile devront-ils bientôt changer de nom pour devenir centres de voiles planantes ?
  12. On voit bien que c'est très vert comme région, pas bon ça pour le vol à voile!!! Thierry, à la première occas', viens nous rendre visite dans l'Yonne. Y'a aussi des jours à Cumulus par milliers. A St Flo, on neutralise des jours pendant ce championnat à cause de la météo, mais il a tout de même fait bien sec lors de cette sortie d'hiver et début de printemps ...
  13. Pour ne pas arranger le débat, signalons qu'il y a eu une version intermédiaire (quelque exemplaires seulement, je crois deux ou trois pour la France) et que nous avons appelé Twin 1 et demi, conçu avec le fuselage du Twin 1 ( train rentrant) et les ailes du Twin 2 (ailerons plus efficaces). Il pouvait faire l'autorot d'une façon démonstrative avec départ vers 70 km/h alors que notre Twin 1 ne partait qu'en la déclenchant à 85 km/h, manoeuvre inappropriée en école. Nous en avons eu un ( F-CFBX Tango 23) pendant quelques années et nous en étions bien contents, mais nous l'avons remplacé par un planeur neuf et il fait maintenant le bonheur du club de Pierrelatte. Je trouve que le Twin 1 bille un chouia mieux en transition que le 2 mais qu'on peut spiraler plus lentement avec le 2, surtout si l'on doit apporter souvent des corrections dans l'ascendance, car pour obtenir de l'efficacité aux ailerons, on doit majorer la vitesse du 1 d'une dizaine de km/h ... Mises à part les CN concernant des pièces construites de fonderie et qui criquent, ces planeurs sont construits assez béton et il vieillissent pas mal, d'ailleurs, le nombre de Twin français se maintient alors que les premiers ont une trentaine d'années. Maintenant, si on compare au K21 et au K13, y'a pas photo, je crois, quant à la démonstrativité de ces derniers en école. On pourrait aussi parler de l'Alliance et du DG500, par exemple, mais surtout, quel constructeur aura l'audace de nous concevoir un vrai planeur école pour l'avenir et qui reste basique. Même chose d'ailleurs en ce qui concerne les planeurs mono de début genre Junior ... J'arrête avant de passer hors sujet .
  14. THEO

    Harnais Anjou Sur Pégase

    Notre Pégase N° 461 de 1993 avait des boucles exactement comme sur le photos au bout d'à peu près 6 ans. Nous les avons changées pour des Gadringer. L'autre, N° 629 de 1997 a gardé ses boucles ANJOU Aéro comme neuves et, effectivement, l'avantage est de ne pas voir de limite de vie.
  15. Là, tu as des données que je n'ai pas. Tu es en train de me prendre par les sentiments et du coup, je range mon carnet de chèques au fond de ma poche et je sors mon petit pot de peinture pour refaire les couleurs sur mon anémo Merci quand même
  16. J'aime assez le terme: .... 'TRADUCTION DE COURTOISIE de la DIRECTIVE de NAVIGABILITE de l’AD EASA de référence 2007-0100-E' Manquerai plus que ca, qu'ils ne traduisent pas .. La traduction de courtoisie, çà signifie : je te le traduis parce-que je suis bon prince, mais je n'en porte pas la responsabilité si ma traduction est approximative et que cela risque de devenir de la matière première pour avocat ... Conclusion : il faut être meilleur traducteur que le courtois en question Quant à "l'action terminale optionnelle", je ne serais pas contre; Cela aurait au moins le mérite d'être indéniable. Mais qui c'est, l'atelier entraîné et autorisé pour une inspection spéciale ?
  17. Cette rubrique devient un régal depuis quelques jours . on n'a jamais fini d'en découvrir ! Je crois qu'au moins un autobus avait aussi été modifié pour l'emport d'un planeur. Quelqu'un aurait-il une photo ? Je serais heureux de me rafraîchir la mémoire à ce sujet. Décidément, c'est vraiment super de trouver toujours plus fou que soi Et faut croire que çà ne manque pas dans le vol à voile ...
  18. Nous avons les ballasts de 130 L standard (parait il qu’il existe une option 190 L. : la bête ainsi chargée ne doit pas être facile à faire monter !!!!). Nous venons de changer les ballasts de notre DG300 (597€ HT par ballast !! ) Ce sont effectivement des ballasts de 95 l , ce qui permet de charger pas mal. J'aime bien voler à 140-150 litres. Avec des Vz intégrées d'au moins 2 ms, la machine monte correctement et accélère bien pour un planeur de cette génération. Le manuel de vol est d"ailleurs bien explicite quant au chargement conseillé en fonction des Vz escomptées. Dans ces conditions, on peut spiraler environ 10 km/h moins vite et je le trouve moins fatiguant qu'un Pégase ballasté à 100 litres . S'il faut charger un peu moins, on le fera, mais vu la place disponible dans les ailes lorsque les ballasts sont extraits, il ne doit pas être bien difficile d'aller explorer avec une caméra. On verra bien. En tout cas, nous ne remettons pas en cause la machine et nous ne nous en séparerons pas de sitôt.
  19. Y'a pas des quantités de DG 300 en France, mais nous en avons un ... :rolleyes: dont nous sommes d'ailleurs bien contents. Merci à Bravo Papa pour l'info. Même si je m'en serais bien passé :wacko:
  20. Je peux porter témoignage d'un petit aérodrome de l'Yonne sur lequel je suis arrivé il y a 35 ans. A l'époque, quatre hangars: un privé, une société d'épandage agricole, un aéroclub avion et un club vol à voile, ces deux derniers en guerre très dûre l'une contre l'autre, ce qui m'a causé quelques soucis, car je prétendais pratiquer les deux activités sans prendre parti . Aujourd'hui, vingt quatre hangars avec deux sociétés de travail aérien, une société hélico, deux aéroclubs, quatre groupes d'ULM, un club important CNRA, des hangars privés, et bien sur le vol à voile. Au total, 140 appareils basés et quelques 400 pilotes fréquentant tous ces groupes, sans compter l'aéromodélisme. Bien sûr, il a fallu virer quelques empêcheurs, mais maintenant, quand nous recevons les autorités du district aéro, nous sommes unis, quand nous organisons des meetings ou des expos également. Nous avons anticipé il y a une vingtaine d'années sur d'éventuels problèmes de voisinage de l'aérodrome en constituant une association dénommée Sauvegarde de l'aérodrome de Pont sur Yonne avec cotisations annuelles modiques de tout le monde, ce qui constitue aujourd'hui un beau pactole pour se défendre au cas où ... Nous avons constitué le dossier pour la reprise de l'aérodrome par la communauté de communes locale d'une façon tellement solidaire que pas mal d'élus croyaient que nous n'étions qu'un seul club. Il ne viendrait pas à l'idée de quiconque, avion ou ULM, passant à proximité de notre starter vol à voile de ne pas nous faire un signe d'amitié et je peux attester que chacun sent qu'il est dans le même bateau et sait que l'union fait la force. Ceci exposé brièvement non pour dire qu'on est les plus beaux et les plus forts, mais pour affirmer bien haut que c'est parfaitement possible de vivre, et de vivre bien, aux côtés de gens qui sont aussi fanas que nous et que nous respectons. D'ailleurs, bien d'autres l'ont prouvé ailleurs. D'accord, à Fayence, le prix du terrain n'est pas le même que chez nous et nous avons nettement moins de planeurs basés, ce qui modifie en effet pas mal les données, mais en dehors de cela, avec tout le respect que je dois à l'un de nos plus beaux clubs de vol à voile, ne sciez pas la branche, Messieurs, c'est casse-gueule, même en pratiquant du lobbying :rolleyes:
  21. http://www.hiboox.com/vignettes/1407/9d706117.jpg(/url][/img] Mercredi dernier, une douzaine d'anciens du club (moyenne d'âge 70 ans) défilent avec des pancartes protestant contre les cadences infernales. :rolleyes: Le président les menace de les déporter au goulag en Sibérie, volant à bord d'un 11A, à poil par -40°. :rolleyes: Résultat, les tamalous reprennent le travail et se vengent sur le Crémant du soir. :lol: :lol: :lol: Aujourd'hui, deux experts GSAC renouvellent une douzaine de nos appareils et, découvrant une pancarte de la semaine dernière, la reprennent à leur compte. :rolleyes: Je les menace de déportation dans des mines de sel, à poil, par +40°. Résultat, reprise immédiate des travaux et tous les appareils revalidés sans une seule remarque ... et ils se vengent sur le Crémant du soir. :lol: :lol: :lol: Chacun sa méthode ! En tout cas, les travaux d'hiver sont terminés et les appareils validés
  22. THEO

    Retrocession Domaniale

    Il serait question, une fois les travaux exécutés, de le remplir d'eau mais je n'ai pas compris ce qu'ils voulaient y mettre dedans :wacko: ?? Quelle est la finesse max. d'un poisson volant ?
  23. Idem à Pont sur Yonne, les planeurs sont sortis un peu du local . Cumulonimbus sur les forêts de Montargis, d'Othe, de Fontainebleau avec 4 m/s systématiques dessous et montée par ciel clair en bordure ouest. J'ai tiré deux fois les AF pour ne pas dépasser le Fl 95. On a fait découvrir à nos jeunes le vol par Cb de printemps. Et le soir, arrosage général pour s'être bien rincé l'oeil : gloires, arcs en ciel et lazy eight sur fond d'averse de neige. Et on n'a pas pris le moindre risque . Après six mois de travaux d'entretien et aucun vol de plus d'une heure de l'hiver, çà décrasse ... J'ai vu qu'ailleurs, on avait joué aussi avec les Cb Allez, vive l'année 2007 vol à voile J'ai tiré deux fois les AF pour ne pas dépasser le Fl 95. Oups ! c'était pas 95 mais 55 ... Ah, l'optimisme ! :rolleyes:
  24. Dans le vol à voile, quand on pense recrutement, c'est quasiment synonyme de recrutement de jeunes, mais les jeunes, quand ils sont arrivés à pratiquer le vol à voile tout en réussissant leurs études (ce qui n'est déjà pas très évident) doivent bien songer à enclancher la carrière, à convoler, à faire des enfants et à donner un toît à ce petit monde, et là, les statististiques sont identiques depuis au moins 30 ans, c'est l'hécatombe de 25 à 35 ans, et pas seulement dans le vol à voile. On en perd et on en perdra. Ce qui est moins acceptable, c'est de ne pas leur ménager un accueil correct, notamment à ceux qui veulent accéder à la carrière aéronautique et qui seront demain, de précieux alliés. Et puis c'est vrai que les mentalités ont changé, et je trouve qu'on voit les gens arriver au vol à voile avec des idées de consommateurs, idées qui ne collent pas bien à la réalité du travail en piste d'une journée, orné tout juste d'un vol en double . Les consommateurs, on les perd encore plus vite que les autres . Pour ma part, un peu à contre courant, peut-être, je ne suis pas mécontent de voir s'inscrire des quadra, car le turn over est quand même nettement plus acceptable. A noter que nous avons introduit une ligne dans notre demande d'adhésion : Comment nous avez-vous connu ? La réponse pour ce qui nous concerne est à une écrasante majorité : par cooptation . Le meilleur recruteur, c'est le membre du club qui explique avec passion ses activités et qui donne envie d'en faire autant. Le nouveau membre se sent plus vite chez lui quand il connait bien au moins une personne dans cet univers nouveau. Les autres réponses sont en majorité : suite à un article dans la presse locale. Il faut faire parler de nous (en bien), c'est de la pub gratuite et efficace. Longue vie à notre vol à voile.
  25. THEO

    Fréquence De Battements

    150, 133 120, il a bien fallu que les constructeurs de planeurs nous les pondent, ces chiffres. Quelqu'un sait-il comment ils font ? Et effectivement, on peut se demander s'il y a une tolérance; je n'en ai vu nulle part. :wacko: On peut imaginer sur le proto une machine à br... l'aile et une caméra pour effectivement pouvoir se le passer au ralenti. Mais si çà se trouve, je suis à côté de la plaque
×
×
  • Créer...