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Comportement En Ascendances Sur Les Alpes Cette Semaine


Nico

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Bonjour à tous,

 

Cette semaine j'ai volé sur les alpes et par deux fois (sur 30 heures de vol) j'ai du pratiquer des manoeuvres d'évitement alors que j'étais installé en spirale depuis déjà plusieurs tours.

 

Le premier m'a serré par l'extérieur pour finir par une sorte de break passant à moins de 20m sous le nez de mon planeur. J'ai perdu la visibilité du planeur entrant dans l'ascendance pendant quelques secondes.

 

Le deuxiemme est venu nous rejoindre correctement, puis, après une ouverture, est revenu dans ma pompe en face à face, nous avons du éviter par la droite et donc quitter la pompe que nous spiralions à gauche.

 

Dans les deux cas les varios étaient supérieur à 3m/s et les planeurs en questions n'étaient pas piloté par des débutants (vu les types de machines)

 

Est-ce que c'est la fin de saison qui tape sur le système?

Ces pilotes ont mis betement ma vie en danger, celle de mon passager également. Sans aucune efficacité vélivole de plus....

 

Prenons un peu de marge, pensons à nos potes et à nos élèves qui sont dans le planeur en face!

Qui voudrait avoir 2 morts sur la conscience pour gagner 5km/h sur un circuit?

 

Nicolas Rabouille

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C'est curieux cette observation, c'est exactement ce que je constatais cette fin de saison, Je n'ai jamais autant subi "d'abordages" qu'en ce moment, plusieurs fois par vol, un planeur se rue de façon anarchique dans l'ascendance que j'exploitais depuis un moment, et même certaines fois à contre sens juste à mon niveau. Obligé plusieurs fois de m'enfuir de là pour exploiter autre chose. C'est devenu monnaie courante dans les Alpes du Sud.

D’où vient ce problème ? La présence du Flarm à bord rassure à outrance certains pilotes qui osent de ce fait absolument tout ? Ou alors, je vieillis et j'ai plus de mal à supporter l’ultra promiscuité en vol ?

 

JMG

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Merci Nico, hier soir j'ai appelé Micro car j'ai eu aussi affaire à une manœuvre douteuse : après plusieurs aller-retours, j'avais la pente sur ma gauche. Un planeur arrive, fais un 1er tour de spirale à droite. Je m'écarte de la pente pour lui laisser la priorité mais ça se synchronise mal, il aurait du dégauchir pour se réinsérer en vol de pente avec la dizaine d'autre planeurs, et nous nous serions croisé large avec la pente à ma gauche et lui à droite. Au lieu de ça, il a resserré la spirale, j'ai tiré sur le manche en me déportant à gauche et il est passé dessous dans mon angle mort avec un étagement que j'ai estimé insuffisant. Je suis allé virer très large ensuite, et le voyant continuer à spiraler tout seul au milieu des planeurs qui faisaient des 8, j'ai quitté la pente.

Mon passager a apprécié le sens des responsabilité, du respect des règles de bases et de la sécurité du planeur en question.

Vu la densité de planeurs, le Flarm sonnait déjà bien, mais il a sonné + fort lors de l'évitement.

A l'époque ou je volais beaucoup en planeur, les planeurs qui spiralaient devant la pente n'étaient pas prioritaires, mais je me suis posé la question pendant mes 2 jours à St-Crépin si ça avait changé...

 

Sam

Tu pars à fond et t'accélères.

www.901-07.com

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Constaté la même chose l'année dernière et décidé après plusieurs near miss de ne plus voler dans les Alpes en Aout .C'est malheureux mais vu la dégradation des comportements et l'attitude criminelle de certains, il va peut être falloir assermenter des "air marshal" fédéraux et que les clubs fassent le ménage. La priorité sur la pente est ignorée ainsi que les règles anciennes de courtoisie (battement d'aile pour signifier le visuel par exemple)

Notons que ce genre de comportement est rarement le fait des locaux et des habitués. Enfin compte tenu de l'aérologie de la région et du périmètre limité pour les non experts, l’intérêt de telle manœuvres est nul dangereux et contre productif car engendrant une fatigue inutile.

Horizon pas net reste à la buvette (marin Breton)
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Saint Auban a édité et transmis au plus grand nombre un petit bouquin "sécurité du vol a voile en montagne " ou ils traitent de tout et ce fort bien .La sécurité et les règles de pente et de courtoisie élémentaire y sont abondamment traités

Or j'ai pu m'apercevoir et ce a plusieurs reprises cette année et l'an passé que les simples règles de pente qui devraient être gravées dans la tête de tout vélivole ne sont plus appliquées .

Quel est le pb ?

Formation insuffisante ? Briefings expédiés , trop succints ou carrément inexistants ? plus de stages de formation éffectués en stage dans des centre nationaux ?

Il y a déja quelques lustres il n'y a pas un jeune pilote chez nous a Romans qui n'avait pas fait un stage perfect a la montagne ou a Saint Aub

Aujourd'hui ils sont une très petite minorité a aller au cnvv ,pourquoi ?

On peut également observer que le flarm aggrave aussi cet état d'esprit ce qui est tout de même sacrément contre productif

Ou est ce l'époque (tout , tout de suite et trop vite !! ) qui veut cela ?

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Il y a quelques temps, étant en stage régional à St-Aub, j'ai subi au Col de Cabre une manoeuvre irresponsable (voir même .....) d'un stagiaire étranger, en stage également à St-Aub.
Les consignes aux briefs et la doc de St-Aub ne valent que pour ceux qui veulent bien les prendre en compte.

DSD
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A St Crépin la semaine dernière au concours K13, j'ai été aussi témoin (avec le collègue en place AR) "d'attaque" virulente de "grande plume" et/ou plastique en général, qui n'avaient que fichtre des règles de base de sécurité près du relief.

J'ai du dégager par 2 fois en abandonnant la pompe, avec un flarm illuminé comme un sapin de noël, et en espérant qu'il n'y ait pas un choc...

Malgré les remarques particulièrement virulentes dont j'ai été sujet voilà quelques années quand j'ai annonçé haut et fort que tout les planeurs qui m'ont "fait peur" étaient immatriculés en "D-xxxx", je réitère le même témoignage, au "Guillaume", au "Morgon", et au "Péron"...

Je n'ai malheureusement pas eu le temps de relever les chiffres de l'immat de ces "agresseurs".

Et je ne voudrais pas contredire Daniel, mais la distribution des fasicules "sécurité du vol a voile en montagne " n'est pas du tout suffisant. Et d'ailleurs est-ce que ces fasicules sont éditer en langue Anglaise et Allemande ??

Bons vols, Bonnes pompes,

A bientôt sur les ondes,

Puissance et truculence,

jeannot de Valence...

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Ces brochures sécurité sont éditées en anglais et en allemand.

 

Je trouve aussi cette année que certains planeurs sont assez nerveux...

pas plus tard que samedi, en début d'après midi, j'ai même pu assister à un départ en auto rotation d'un LS8 ou 6 dans le local de Seyne.. j'étais en dessous , dans une ascendance avec 3 autres planeurs... rien de grave, le pilote a récupéré avant de nous atteindre mais c'était assez moche à voir . ça s'est passé en mode "plaine" à plus de 2000 m QNH loin du cailloux heureusement..

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On se demande si le relachement constaté n'est pas induit par la présence du Flarm.

On a beau répéter qu'il faut toujours regarder dehors (même avec un Flarm) la nature humaine reprend le dessus et le "sentiment" de "sécurité" apporté par le flarm conduit à une baisse de la vigilance.
....

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Et je ne voudrais pas contredire Daniel, mais la distribution des fasicules "sécurité du vol a voile en montagne " n'est pas du tout suffisant. Et d'ailleurs est-ce que ces fasicules sont éditer en langue Anglaise et Allemande ??

 

Oui, mais il y a parfois des nuances. Par exemple, p. 15 en langue allemande (première édition), il y a un ajout concernant le fait que "en Suisse, il est interdit de dépasser en vol de pente". Il faudrait peut-être ajouter ça dans les versions française et anglaise.

 

Sans doute parce que la règle franco-française "dépassement au vent" ne correspond pas au règlement OACI... A ma connaissance, elle ne figure pas non plus dans le code de l'air ni l'AIP. C'est purement une convention locale. Idem pour la plupart des règles de bon sens et de courtoisie reprises dans ces recueils.

Modifié par Stéphane
Stéphane Vander Veken
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Et je ne voudrais pas contredire Daniel, mais la distribution des fasicules "sécurité du vol a voile en montagne " n'est pas du tout suffisant. Et d'ailleurs est-ce que ces fasicules sont éditer en langue Anglaise et Allemande ??

Oui, mais il y a parfois des nuances. Par exemple, p. 15 en langue allemande (première édition), il y a un ajout concernant le fait que "en Suisse, il est interdit de dépasser en vol de pente". Il faudrait peut-être ajouter ça dans les versions française et anglaise.

 

Sans doute parce que la règle franco-française "dépassement au vent" ne correspond pas au règlement OACI... A ma connaissance, elle ne figure pas non plus dans le code de l'air ni l'AIP. C'est purement une convention locale. Idem pour la plupart des règles de bon sens et de courtoisie reprises dans ces recueils.

Absolument pas

La réglementation française a intègre cette nuance de façon officielle

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On se demande si le relachement constaté n'est pas induit par la présence du Flarm.

On a beau répéter qu'il faut toujours regarder dehors (même avec un Flarm) la nature humaine reprend le dessus et le "sentiment" de "sécurité" apporté par le flarm conduit à une baisse de la vigilance.

....

Je ne pense pas qu'il y ait une brusque détérioration du comportement des gens. Il y a eu plutôt une dégradation progressive et constante. Ceci a commencé bien avant la généralisation du FLARM. Mais c'est vrai que ça atteint des niveaux alarmants. Ces temps-ci, dans les Alpes du Sud, lorsqu'on est installé en spirale dans un sens et qu'on voit arriver un autre planeur, on peut parier avec 2 chances sur 3 de gagner qu'il va se mettre délibérément en spirale en sens inverse, même avec un étagement en altitude de l'ordre de 20 mètres, c'est à dire nul en pratique. Dernière expérience personnelle il y a quelques heures à peine.

De même, la manière d'entrer dans les spirales, même quand ça se passe dans le bon sens, est proprement ébouriffante.

Pas sûr du tout que les pilotes d'outre-Rhin soient plus à blâmer que les autres, d'autant plus que les immatriculation en "D" ne veulent rien dire : des tas de pilotes français, dont je suis, où d'autres pays européens volent avec de telles immats.

On parle des Alpes du Sud parce que c'est là que la concentration de planeurs est la plus forte. Mais je suppose que ce n'est sans doute pas mieux ailleurs.

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En effet, on constate aussi un manque de discipline croissant en plaine. Mais je crois qu'il faut voir que ce genre d'attitude prévaut aussi dans d'autres domaines, les priorités sur la route, par exemple. Ce matin encore, j'ai failli prendre de face une Audi qui refusait de ralentir alors qu'un obstacle de son côté lui bouchait le passage. Le "moi d'abord" semble devenu une règle générale...

 

D'autre part, je trouve qu'on lâche assez facilement les gens en montagne sur leur propre planeur après un contrôle de compétences en local. Il faudrait peut-être systématiquement les emmener d'abord en circuit en double et les y confronter avec une pente bien fréquentée (genre Parcours), pour observer leurs réactions. Même si ça risque de les détourner d'une plate-forme... Mais les moyens sont-ils suffisants pour le faire ? Et puis, il y a ceux qui sont parfaits en double, et diaboliques en solo...

Stéphane Vander Veken
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Il y a peut-être aussi un manque coté formation. Si quelques pages sont consacrées à la chose dans le livre bleu, il n'y a rien dans le manuel de l'ITP et bien peu de chose dans celui de l'ITV. Or il n'est pas évident de visualiser une évolution 3D à partir de sa projection en 2D, ce qui est toute l'information que nous avons sur nos rétines, la perception de la profondeur due à la vision binoculaire se limite aux distances inférieures à une envergure (de grande plume si vous y tenez). J'ai constaté cette non évidence plus d'une fois avec mes élèves. Je trouve que la perception des trajectoires, des rapprochements, des conflits possibles, la façon de s'intégrer dans une ascendance devrait être l'objet d'une leçon entière au même titre que l'approche ou l'atterissage. Je sais bien que tous les instructeurs le font mais ce n'est pas systématisé et du coup j'ai peur que bien des élèves aient tendance à adopter l'attitude "livre bleu" : on bachote pour le théorique et on oublie après. Modifié par Robert Ehrlich
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Face aux indélicats caractérisés, une seule solution: l'Auto-défense.

 

Tel le calamar, le jet de fumigène me semblerait pas mal pour intimider et décourager les malotrus.

L'option fumigène au Cs serait un réel plus, avec des vertus éducatives reconnues.

 

La créativité des plus talentueux d'entre nous devrait permettre de trouver des solutions efficaces pour rétablir l'ordre dans les Alpes!

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  • 2 semaines après...

En effet, on constate aussi un manque de discipline croissant en plaine. Mais je crois qu'il faut voir que ce genre d'attitude prévaut aussi dans d'autres domaines, les priorités sur la route, par exemple. Ce matin encore, j'ai failli prendre de face une Audi qui refusait de ralentir alors qu'un obstacle de son côté lui bouchait le passage. Le "moi d'abord" semble devenu une règle générale...

 

D'autre part, je trouve qu'on lâche assez facilement les gens en montagne sur leur propre planeur après un contrôle de compétences en local. Il faudrait peut-être systématiquement les emmener d'abord en circuit en double et les y confronter avec une pente bien fréquentée (genre Parcours), pour observer leurs réactions. Même si ça risque de les détourner d'une plate-forme... Mais les moyens sont-ils suffisants pour le faire ? Et puis, il y a ceux qui sont parfaits en double, et diaboliques en solo...

Tout à fait d'accord, il y a quelques années un riche vélivole allemand (c'est un pléonasme?) moins de 200 heures de vol , 0 en montagne débarque avec un 22 BE dans un club des Alpes. Au vu du squetch montage du planeur, je lui propose mon aide et découvre l'étendue du désastre, 0 heures montagne, 0 heure sur la machine, 0 heure sur planeur à prothèse.

Je lui propose une place avant sur notre 25 et lui ait probablement sauvé la vie. Il m'a collé en virage engagé vers Briançon et tirait sur le manche pour en sortir !.

N'ayant pas de copilote je lui ai proposé de terminer le stage avec moi et probablement évité d'alourdir les stats.

Il n'avait pas les compétences basiques pour piloter un libre et vu son niveau j'aurai hésiter à le lacher sur javelot .

Le screening est simple Danger si:

a commencé le VAV tard

experience vol limité

vole sur une machine incompatible avec son experience

peu d'experience sur la machine

pas d'experience montagne

Je ne pense pas que ce soit un cas isolé et pour les clubs et organisations accepter ce genre de situation trop courantes n'est guère plus que du suicide assisté, ceci dit n'importe qui avec un planeur motorisé peu décoller sans contrôle d'un aérodrome ouvert à la CAP.

Modifié par Monsieur bobote
Horizon pas net reste à la buvette (marin Breton)
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peu d'experience sur la machine

pas d'experience montagne

M'est avis que ces deux critères sont suffisants.

 

Pour ajouter un exemple :

- Vu première semaine de septembre du côté du Peyron : insertion d'un 25 en coupant l'ascendance par son "diamètre" alors que 3 planeurs étaient déjà installés et à +/- 50m d'étagement.

 

Sinon question : lorsque les conditions sont clairement à l'avantage du thermique, et que les pentes ne sont pas ou peu alimentées, quel comportement adopter vis à vis des planeurs s'obstinant à faire des aller-retours en pente ?

 

http://img15.hostingpics.net/pics/607578SignatureVav.png

Novembre Golf

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Une règle me semble une évidence : si c'est trop encombré sur la tête du Peyron, je vais ailleurs quitte à y revenir 10 minutes plus tard.

Début septembre, de beaux planeurs plastiques se sont peut-être étonnés de voir un K13 quitter Prachaval à 22 pour Fouran quand la meute s'y entrecroisait entre 23 et 24.

Arrivé à Fouran à 18, on est remonté tranquillement à 23 en aillant tout le caillou rien que pour nous. Et si Fouran n'avait rien donné, on serait revenu à Prachaval, on serait à nouveau monté aisément jusqu'à 23 en ayant probablement toujours la même meute au-dessus.

Le même K13 en a fait de même à la tête de Peyron à 22 la même semaine : cela ne monte pas ou mal, on est empêtré avec d'autres planeurs, on n'a pas un besoin absolu de monter là, on se casse ....

Modifié par Georges Zeyen
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Je pense qu'il y a aussi un manque de respect general pour les regles .

Lorsque des gens refuse de faire leurs 50 kms en k8 ou qu'il veulent se faire lacher sur un 3d pour faire leurs 300 et leurs 500 car le vol que le vol de papi ces fini.

Il faut aussi faire attention lorsque l'on parle de planeur en d- je pense que environ 30% des planeurs français sont en d-.

Dans notre club il y en avait 8 sur environ 20 planeurs dans le hangar (d- ne veut plus dire allemand)

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Une règle me semble une évidence : si c'est trop encombré sur la tête du Peyron, je vais ailleurs quitte à y revenir 10 minutes plus tard.

Début septembre, de beaux planeurs plastiques se sont peut-être étonnés de voir un K13 quitter Prachaval à 22 pour Fouran quand la meute s'y entrecroisait entre 23 et 24.

Arrivé à Fouran à 18, on est remonté tranquillement à 23 en aillant tout le caillou rien que pour nous. Et si Fouran n'avait rien donné, on serait revenu à Prachaval, on serait à nouveau monté aisément jusqu'à 23 en ayant probablement toujours la même meute au-dessus.

Le même K13 en a fait de même à la tête de Peyron à 22 la même semaine : cela ne monte pas ou mal, on est empêtré avec d'autres planeurs, on n'a pas un besoin absolu de monter là, on se casse ....

Trop fort Georges

Reviens faire de la double à Vinon :)

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