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Robert Ehrlich

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Tout ce qui a été posté par Robert Ehrlich

  1. Sans dynamomètre, une évaluation à la louche donne une bonne idée de la chose. En début de treuillée, lorsque l'assiette de montée optimale (~45°° est déjà atteinte, mais le câble encore sensiblement horizontal, la force de tr
  2. C'est ce que j'ai cru avant de m'y lancer à l'automne dernier, ma toute petite expérience m'a cependant montré que non, il est vrai que j'ai vite arrêté pour cause de terrain impraticable puis retour de la saison vélivole que je ne voulais pas délaisser au profit de cet apprentissage.
  3. Ce sujet a déjà été évoqué il y a si longtemps dans ce forum que la recherche par mots ne le trouve pas. Ces beaux nuages ne peuvent guère être produits que comme ceux qu'on voit sur terre, par une ascendance qui amène l'air qui monte, qui donc se détend (équilibre en pression avec l'air environnant) et par conséquent se refroidit, à une température suffisamment basse pour que la vapeur d'eau contenue dans cet air se condense. L'idée que ça ne puisse pas se produire en mer est basée sur un erreur (du moins c'était le cas dans le précédent sujet sur la question) selon laquelle les ascendances seraient dues aux différences d'échauffement du sol et non juste à cet échauffement. Sur mer d'une part il n'y a pas ces différences, d'autre part l'échauffement est très faible. La raison de la première chose est que l'eau est homogène (partout la même, donc pas de cause de différence) et bonne conductrice de la chaleur (s'il y avait une différence elle disparaitrait très vite par propagation de la chaleur du chaud vers le froid). La raison de la deuxième chose est que l'eau est un des corps (peut-être même LE corps) qui demande le plus d'énergie pour s'échauffer. C'est pourquoi les cumulus sont rares sur mer dans nos régions. En général quand on en voit, soit ils se sont formés sur terre et ont été emportés par le vent, soit ils se forment dans un masse d'air froide venue d'ailleurs (advection) qui arrive sur de l'eau relativement chaude. En d'autres lieux ce phénomène peut être beaucoup plus fréquent, voire même systématique : dans les récits de tous les navigateurs fréquentant la zone des vents alizés on trouve des descriptions de cumulus s'étendant sur tout le ciel des jours durant. Pendant un de mes voyages en Equateur, l'avion qui m'y emmenait a survolé une telle zone. Pour répondre à une question que je me suis posée (altitude du sommet des nuages) j'ai attrapé un sac à vomir dans le dossier du siège devant moi, je l'ai plaqué avec un bord vertical sur le hublot et au crayon j'ai fait trois marques : une là ou horizon semblait toucher le bord de mon sac, l'autre là où l'ombre d'un cumulus sur l'eau faisait de même et la troisième de la même façon pour le sommet de ce même cumulus. Sachant que l'altitude de vol es de 10000 m environ, en mesurant les distances entre mes marques, une simple règle de trois me donnait l'altitude en question, je crois me souvenir que c'était à peu près 1000 m. Là dessous l'air monte, c'est indéniable. Suffisamment pour faire monter un planeur, là est la question. Je pense que la réponse est le plus souvent non. Il n'y a pas besoin d'une ascendance très puissante pour former un cumulus, tout ce qu'il faut c'est de l'humidité (en mer on en a tant qu'on veut) et de l'air qui monte, vite ou pas (suffisamment vite tout de même pour que durant cette montée les échanges thermiques avec l'air environnant restent négligeables). Tout ceux qui ont tenté les cumulus près du bord de mer ont vite été déçus, j'en suis et j'ai failli me vacher. Toutefois ça ne veut pas dire que c'est toujours ainsi. La convection sur mer peut atteindre des proportions gigantesques, voire catastrophiques : ce sont les cyclones tropicaux. Il est logique de penser qu'il doit exister un intermédiaire. Reste à convaincre la Marine Nationale de mettre un porte-avions à disposition d'un vélivole tenté par cette recherche comme aérodrome mobile en local duquel il pourrait toujours rester.
  4. Ce qui est important, c'est de ne pas donner une explication fausse, et plus encore de ne pas condamner une explication fausse là où elle ne l'est pas. L'explication qui invoque la différence de longueur entre les trajets extrados et intrados est fausse, les molécules d'air n'ont aucun sens de la ponctualité et ne se sentent pas du tout tenues de faire les deux trajets dans le même temps, d'ailleurs elle ne le font pas, c'est le trajet le plus long qui est effectué le plus vite. La condamnation de cette explication sous prétexte qu'elle fait appel au principe de Bernoulli est encore pire, ce principe s'applique (quasiment) parfaitement dans notre cas, ce qui est faux, c'est juste la raison invoquée pour la différence de vitesse. L'absence d'explication vaut mieux qu'une explication fausse, Comme tu le dis fort bien, tout ce qui compte, c'est de connaître "l'effet de l'incidence et de la vitesse sur la portance, décrochage, roulis induit, lacet induit, conséquences de la densité de l'air sur la portance, etc.". Pas besoin d'une théorie fumeuse pour ça, on peut se contenter de "c'est comme ça". D'ailleurs comme je l'ai fait remarquer quelque part, une explication, fausse on non, revient à remplacer ce "c'est comme ça" par d'autres, peut être plus fondamentaux et/ou plus faciles à admettre, si ce n'est pas le cas, autant y renoncer. En tout cas il n'y a aucune raison d'accepter le "plus facile à admettre" comme excuse à une explication fausse.
  5. D'après son récit, même s'il n'a pas ressenti de stress au début, l'apparition des symptômes l'a déclenché et ça s'est auto-amplifié.
  6. Comme quoi les dames sont meilleures en mécanique des fluides que les messieurs.Independamment de ces remarques, l'effet Coanda n'a rien à voir avec la portance d'une aile.Fort bien expliqué ici
  7. Et pourquoi pas simplement boucher la fuite à l'epoxy ?
  8. Vieux serpent de mer qui ressort, voir http://www.volavoile.net/index.php?showtopic=7745&do=findComment&comment=64043 Tout le mode a un peu raison et un peu tort.
  9. Je me souviens de la première de ces photos qui était parue je crois dans le Nouvel Observateur, un article disant qu'il abandonnait plus ou moins la politique et se consacrait davantage au planeur. Ce qui fait que je m'en souviens : elle est à l'envers, la fenêtre coulissante et la poignée d'ouverture du parachute sont sur sa droite.
  10. Les deux fichiers devraient avoir le même nom à l'exception du dernier caractère avant ".IGC" qui doit être un chiffre (1 et 2 si c'est le seul vol de la journée). On ouvre chacun avec WordPad, chacun dans une fenêtre différente (clic droit, ouvrir avec..). Pour le premier on va à la fin et on supprime la ligne commençant par la lettre G. Pour le deuxième on sélectionne tout ce qui va de la première ligne à la première commençant par la lettre B exclue, on supprime cette sélection puis on sélectionne tout (Ctrl-A), on copie (Ctrl-C), on va dans l'autre fenêtre à la fin du texte (on devrait y être resté) et on colle (Ctrl-V). On sauve le résultat sous une autre nom (menu fichier, enregistrer sous ..). On ferme cette fenêtre. On ferme la fenêtre de l'autre fichier sans sauver les modifications. On vérifie grâce à un visualiseur de fichiers IGC (SeeYou ou autre) que ça fait bien un vol correspondant à ce qui a été effectué. Dans la logique des noms de fichiers IGC, le fichier résultat (celui qu'on a sauvé par "enregistrer sous ...) devrait porter le même nom que le premier, mais il vaut mieux garder les noms, donc les fichiers, d'origine pour pouvoir recommencer en cas de fausse manip. Par ailleurs on reste dans cette logique en choisissant un nom qui ne diffère que par le chiffre avant ".IGC", en mettant 3 par exemple si les deux premiers étaient 1 et 2.
  11. On peut même dire "qui est président DU club d'Equateur", puisqu'il n'y en a qu'un.
  12. Lu dans ce manuel : ELINGUE : Sous ensemble du câble d’environ 9 mètres qui relie le pied du parachute et l’avançon. Qu'appelle-t-on "pied" du parachute ? Quand il est déployé et vertical, il me semblerait logique d'appeler "pied" l'endroit ou les suspentes se rejoignent pour être connectées au (reste du) câble, et "sommet" l'endroit opposé où vient se fixer cette élingue.
  13. Ce n'est pas une bonne idée d'avoir un des 3 points de référence de la polaire dans le domaine des grands angles. Avec 3 points les calculateurs utilisent en général une approximation parabolique et c'est dans le domaine des grands angles que cette approximation marche le mions bien. La polaire réelle dans ce domaine se termine du coté des basses vitesses avec une tangente verticale et aucune approximation parabolique ne peut reproduire ça. Par ailleurs cette approximation sert surtout à calculer une vitesse de transition optimale (fonction McCready) et dans ce cas on est toujours dans le domaine des vitesses supérieures à celle de finesse max, donc il vaut mieux que les 3 points y soient. Un choix assez classique consiste à prendre le point de finesse max, un point dans l'arc vert et un point dans l'arc jaune. La piètre approximation obtenue avec le courbe bleue dans le graphique publié plus haut illustre bien le défaut du choix d'un point en dessous de la vitesse de finesse max.
  14. Si tu veux éviter ça à l'avenir, insère ces choses plutôt comme "code" que comme "citation" (le bouton à coté à gauche dans le menu).
  15. Ceci semble répondre a ce défaut : Après réflexion, il me semble que ça ne change rien à la question. Peu importe que le détail de l'algorithme de calcul du GRecord soit caché, si cet algorithme est disponible via ce DLL, il peut être utilisé pour fabriquer un GRecord pour n'importe quel fichier IGC.
  16. La solution pour éviter ça existe bien en continuant a avoir un système anti collision efficace : les options de "no trak" ou de "stealth" dans la configuration du Flarm permettent de ne pas être reporté sur le port série d'un autre Flarm (en gros la même chose que le système OGN).Ce n'est pas une solution dans l'hypothèse que j'évoquais. De toute façon un Flarm émet ses données. Un récepteur "coopératif" comme un autre Flarm peut refuser de communiquer ce qu'il reçoit pour respecter les "no trak" ou "stealth", mais un récepteur fait pour détecter des infractions n' aucune raison de le faire, au contraire il peut considérer que ces indications présument une probabilité d'infraction.
  17. Robert Ehrlich

    Sens De Spirale

    Ce n'est pas une question de vitesse par rapport à l'air ou par rapport au sol. Les lois de la physique sont les mêmes dans tous les référentiels galiléens. Le sol en est un, approximativement. L'air aussi dans la mesure ou il se déplace à vitesse constante en force et direction. On peut donc raisonner dans ce cas dans le référentiel air et c'est dans ce référentiel que la composante horizontale de la résultante aérodynamique (force déviatrice) est constamment perpendiculaire à la vitesse et donc que la trajectoire est un cercle. Mais un référentiel qui tourne avec une masse d'air en rotation n'est plus un référentiel galiléen. Si la rotation est le seul mouvement de la masse d'air, le référentiel sol convient et on obtient bien un rayon plus faible si on tourne en sens opposé à la rotation de l'air puisque la vitesse est plus faible. Si en plus de son mouvement de rotation la masse d'air a un mouvement global de translation (par rapport au sol), il convient de prendre un référentiel (galiléen) animé de ce même mouvement de translation (c'est celui dans lequel la force déviatrice est encore perpendiculaire à la vitesse) et dans ce référentiel la vitesse du planeur qui tourne à l'opposé de la rotation de l'air est là encore plus faible et donc le rayon de virage aussi. On peut évidemment aussi raisonner dans le référentiel non galiléen qui tourne avec la masse d'air, mais alors les lois de la physique ne sont plus les mêmes, il faut rajouter force centrifuge et force de Coriolis, ça devient plus compliqué mais le résultat est le même : rayon de virage plus faible si on tourne à l'opposé de la rotation de l'air.
  18. Si les gardes veulent vraiment nous faire chier, ils n'ont pas besoin d'OGN ou toute organisation similaire, ils peuvent très bien installer leurs propres récepteurs Flarm et y coupler un logiciel de détection d'infraction, de la même façon que certains clubs, dont le mien, ont mis en place un système de planche automatique. La seule solution pour échapper à un tel repérage est de couper le Flarm. Ce n'est pas la mienne, qui consiste à ne pas voler dans ces parcs, même au dessus de 1000 m sol, vu que je ne sais pas garantir de pouvoir respecte cette limite.
  19. La manip n'est pas bien compliquée. Il faut ouvrir le fichier IGC avec l'éditeur de texte le plus stupide possible, tout ce qu'on lui demande est d'afficher des lignes et/ou d'en supprimer (surtout pas Word qui va rajouter des indications de polices, mise en page et autres auxquels aucun lecteur de fichier IGC ne comprend rien). Sous Windows, Wordpad ou Bloc-Notes conviennent. Sous Unix, j'ai un faible pour "ed". Le fichier commence par un en-tête du style : AXFLSO1 HFDTE210516 HFFXA500 HFPLTPilotincharge:CVVFR HFCM2Crew2: HFGTYGliderType:DUO-DISCUS HFGIDGliderID:F-CIDJ HFDTM100GPSDatum:WGS84 HFRFWFirmwareVersion:Flarm06.05 HFRHWHardwareVersion:Flarm06 HFFTYFRType:Flarm HFGPSu-blox:TIM-LP,16,8191 HFPRSPressAltSensor:Intersema MS5534B,8191 HFCCLCompetitionClass: HFCIDCompetitionID:SM I023638FXA3940SIU B1122404403778N00559446EA004240051000212 B1122484403778N00559446EA004240051000212 B1122564403779N00559446EA004250051100212 LFLA11225602rio;AfYa?I?j=kyjZk]j%khsZs]r L'en-tête finit par la ligne qui commence par "I" (qui en fait partie). Pour un fichier "comme prévu", il peut encore y avoir des lignes commençant par "C", ou autres. On est certain que l'en-tête est terminé à la première ligne commençant par "B". Les lignes qui commencent par "B" sont des points de la trajectoire, les autres sont sans importance (les "LFLA" sont + ou - spécifiques Flarm). Les 12 premiers chiffres après le "B" sont l'heure UTC du point en heure, minutes, secondes (HHMMSS), suivent la latitude (terminée par "N" à Saint Auban) et la longitude (terminée par "E"), puis la ou les altitudes (pression et/ou GPS). L'extrait de mon fichier est un vol à Saint Auban, on voit qu'avant le décollage la position reste fixe ainsi que les deux altitudes (424/425 et 510/511 m, ce qui colle + ou - bien avec les 460 m officiels du terrain). Il faut repérer les lignes correspondant à l'arrêt au sol, qui vont ressembler à celles-ci (position et altitude fixes à peu de chose près) et supprimer tout ce qu'il y a après sauf la dernière ligne commençant par "G" pour ne garder que le premier vol, supprimer tout ce qu'il y a après l'en-tête et avant l'arrêt au sol pour ne garder que le deuxième vol. Dans l'un ou l'autre cas il vaut mieux sauver le résultat sous un nom différent (enregistrer sous ...). Si on veut respecter les règles de nommage des fichiers IGC, le nom doit être quelque chose comme "65R????n.IGC", le fichier d'origine devrait porter un nom de ce style. Le début ("65R") correspond à la date du 27 Mai, les 4 "?" correspondent au type et numéro de série du logger (les 3 derniers devraient être identiques aux trois derniers caractères de la première ligne du fichier IGC (AXFL???), il faut donc conserver tout ça, on ne peut jouer que sur le dernier caractère (n) avant le ".IGC" qui est un numéro d'ordre, il faut donc y mettre un chiffre quelconque (un seul) différent de l'original.
  20. Faire un fichier IGC correct à partir d'un ou plusieurs fichiers IGC ne pose pas de problème en soi, si ce n'est pour la signature numérique du résultat, qui en principe est impossible à produire correctement, c'est bien à ça que sert cette signature. Toute la question est de savoir si cette signature est exigée par la NetCoupe. Je me souviens d'avoir eu le problème lors d'un concours où mon fichier Flarm a été coupé en deux suite à une coupure d'alimentation électrique. J'avais donc deux fichiers corrects et correctement signés mais le logiciel de scoring ne savait pas faire avec deux fichiers. Les organisateurs ont été d'accord pour accepter le fichier unique que j'ai fait en raccordant le premier sans la signature avec le second sans l'en-tête, avec sa signature donc incorrecte pour l'ensemble. Le logiciel de scoring ne vérifiait pas la signature. Ceci dit l'authenticité fournie par cette signature est quand même un peu faible dans la mesure ou des fichiers IGC créés par XCSoar sont acceptés. Comme les sources sont publiques, n'importe qui peut y recopier l'algorithme de calcul de cette signature et ainsi fabriquer une signature XCSoar correcte pour n'importe quel fichier IGC.
  21. Les grandes viles françaises non plus. Les villes, peut-être bien que oui! N'exagérons rien, le pluriel ne me semble pas de mise, jusqu'ici, sauf erreur de ma part, en France , il n'y en a qu'une. Et encore, pour ce qui est de Paris proprement dit ce n'est pas de la classe A mais une zone P. Vous me direz, pour nous c'est du pareil au même.
  22. Si ça n'existe pas en RJ12, ni en femelle RJ12, la solution que je proposais de long câble femelle-femelle monotoron avec raccord court mâle-mâle à chaque bout marche toujours, il suffit que les mâles-males soient pourvus d'une prise RJ12 d'un côté et RJ45 de l'autre. Pour ne pas s'emmerder à repérer les couleurs de fils de chaque coté, autant prendre du câble plat, même si la qualité n'est pas top, sur une très faible longueur ça n'a pas d'importance.
  23. Mais ce qu'on demande à un câble réseau n'est pas ce qu'on demande à celui qui fait la liaison entre un FLARM et un afficheur distant. Le câble réseau doit passer des fréquences élevées avec de faibles courants. Pour un FLARM, à 4800 b/s, on est loin du gigabit/s des bons câbles réseau, par contre, si l'afficheur n'a pas sa propre alimentation, il faut passer de la puissance. Aux fréquences élevées, à cause de l'effet de peau, c'est la surface extérieure du conducteur qui importe, le multibrin est favorable, par contre aux fréquences basses c'est le contraire puisque c'est la section qui compte. Pour ce qui est du câble plat, bien que théoriquement il soit inadapté pour du réseau, il se trouve que chez moi il y en a environ 10 m qui passe parfaitement le 10 Mb/s, ce qui me sufft bien. Je ne sais pas s'il est chinois, en tout cas le doublement de son prix ne me gênerait pas : il ne m'a rien coûté, toute mon installation est de la récup.
  24. Pourtant c'est ce qui est utilisé pour les câbles fixes derrière les prises murales. Il est vrai qu'ils sont sertis dans des prises femelles et non des prises mâles comme celles des câbles qui raccordent FLARM et display déporté. Si seules ces prises son adaptées aux conducteurs monobrin, une solution au problème de Bob pourrait être d'avoir deux câbles mâle/mâle très courts aussi bien côté FLARM que côté display, reliés par un câble femelle/femelle de la bonne longueur en monobrin.
  25. Ces variations impliquent des écarts entre l'altitude réelle et celle qu'indique un altimètre calibré et calé (QNH=1013,25)pour l'atmosphère standard, ce qui n'est pas pertinent pour la discussion qui porte sur la correspondance entre l'altitude indiquée par un altimètre gradué en mètres et calé au QNH du jour et celle indiquée par un altimètre gradué en pieds et calé à 1013,25, les deux étant étalonnés selon l'atmosphère standard.
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