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Pilleurs D'épave


jctallineau

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Nous sommes entrain de récupérer, par héliportage, une épave de Pégase qui s'était crashé fin 2006 sur le le Blayeul (Alpes du sud).

En montant préparer l'héliportage, quel ne fut pas notre surprise de constater que l'épave avait été pillée : les ailerons, la profondeur, la gouverne de direction et le train d'atterrissage avaient disparus ...

Il ne fait aucun doute que ces "sales pilleurs" sont des vélivoles vu les pièces qui ont disparues.

Il ne fait aucun doute que ces "vélivoles de la pire espèce" ne sont pas venus au hasard :

- on retrouve des traces de scie électrique sur les ailes pour récupérer les attaches d'ailerons !

- vu l'accessibilité, ils étaient forcément plusieurs et ils ne sont pas venus qu'une seule fois !

- l'épave avait été bâchée, ils ne pouvaient donc pas considérer qu'elle était abandonnée !

 

Je trouve scandaleux que des vélivoles se permettent de voler honteusement des biens appartenant à un club !!!

Une casse met toujours un club en difficulté financière et il se trouve des individus malhonnêtes pour en profiter lâchement !!!

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Il ne fait aucun doute que ces "sales pilleurs" sont des vélivoles vu les pièces qui ont disparues.
J'aurais plutot ecrit : Il ne fait aucun doute que ces sales pilleurs sont des "vélivoles" vu les pièces qui ont disparues .....

 

Courage !

 

Frederic

Faites que le rêve dévore votre vie afin que la vie ne dévore pas votre rêve

 

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Bon qui répare un Pégase en ce moment ??

Un petit courrier au GSAC pour lui signaler l'affaire et il se fera un plaisir de constater l'existence ou non de Form One ou de réparation au vu de l'état initial.

Pas de mots pour qualifier un tel comportement

 

JM

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Je suis d'accord: mais quels genre de "vélivoles" auraient pu faire cette malhonnêteté; alors que, comme vous le dites, une casse engendre toujours un problème financier !!!? Ces personnes auraient telles un cerveau ou bien même un semblant ??????? Pour comprendre l'acte qu'ils viennent de faire!!!?! Et dans quelle difficulté ils viennent de mettre un club qui au départ n'avait rien demandé, aimeraient t'ils qu'ils leurs arrivent la même chose????

 

C'est a croire qu'un tatouage antivol serait, maintenant° nécessaire sur toutes les pièces d'un planeur pour éviter ce genre de problème!!!!

 

°( car je pense que nos "précédents" vélivoles n'avaient Heureusement pas a faire a ce genre de vol aujourd'hui devenus de plus en plus fréquent, pour preuve: ils nous parviennent!!!!).

 

 

 

Bon courage et j'espère que ce problème sera vite et bien résolut.

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Je propose que chacun d'entre nous qui est au courant de cette infamie, se renseigne d'éventuel travaux effectués sur des pégases et le signale sur ce blog

c'est dégeullasse :angry::angry:

 

En 1939, ça a commencé aussi comme ça ! :angry:

 

On va avoir le signalement de tout et n'importe quoi, surtout de ce qui sera fait dans les règles, par des gens honnêtes. Je n'imagine pas celui (ceux) qui a "récupéré" ce matériel, notant sur le carnet : "Echange d'un aileron, provenance inconnue, APRS, etc..."

 

Gardons notre sang-froid !

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Dur dur... on ne vole pas un aileron pour un souvenir...

 

L'idée de Max.C pourrait être bonne si l'enjeu s'avère payant. Faire ressortir les statistiques (s'il y en a) afin d'évaluer si le geste est courant ou rarissisme.

 

Je m'explique : mes motos sonst systématiquement tatouées. Ce ne sont pas des modèles qui intéressent les voleurs (ils recherchent les engins sportifs... forcément, on les casse plus vite et les pièces coûtent une fortune...mais c'est moins cher que les pièces aéronautiques).

Cependant le tatouage contribue a une remise sur le coût de l'assurance et fait réfléchir les voleurs (la revente est plus délicate).

 

Reste à savoir le coût du tatouage d'un planeur et à quel endroit le faire. Sur une moto, chaque pièce importante est tatouée (cadre, réservoir, roue, etc)

 

Courage

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Si vous allez jusqu'au bout de votre raisonnement.

Les pieces via de sales pilleurs sont dans un "atelier agréé" pour ce genre de réparations.

Ou alors les regles en vigleur (GESAC) ne sont que des usines à gaz qui ne controlent rien mais donnent salaires et irrésponsabilté à nos agents controlleurs.

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Les ateliers agrées ont-ils un moyen de vérifier la provenance des pièces qui leurs parviennent???? Nous n'avons en aucun cas dit que les agents contrôleurs étaient des irresponsables!!
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soit la piéce existe = bon d'achat = form one

soit la piece est d'occasion/récupération = traçabilité (quelle provenance)= form one ??

soit la piece est fabriquée sur place = avoir les plans/compétences/moules/agéements = bon de commande/fabrication

 

Je ne sais pas si tout cela est prévu ???

 

Pour l'usine à gaz ça n'engage que moi!!

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Le cheminement qui me semble le plus adapté est de déposer une plainte.

Le procureur de Digne pourra saisir la Gendarmerie des Transports Aèriens qui fera une enquète.

Le GSAC et les ateliers de réparation pourront alors être consultés officiellement.

Bonne chance et que cela serve de leçon.

Il y a quelques années un tableau de bord avait été pillé près de Bardonechia suite à une collision en vol et après éjection du pilote.

 

L'ANEPVV est elle concernée par la prise en compte de la réparation ?

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Toutes les réparations par remplacement d'une pièce complète ne se font pas nécessairement dans un atelier agréé à la française. Il y a des tas de petites annonces sur internet demandant telle ou telle pièce d'occasion. La majorité de ces pièces sont de la récupération à la suite d'un crash. Dans certains pays (même européens), le propriétaire peut effectuer un tel "échange standard" lui-même. La direction, par exemple, c'est le plus souvent deux goupilles à enlever/remettre pour les câbles, et un écrou autobloquant à enlever et remplacer pour l'articulation. On fait cette manip de temps en temps pour graisser les charnières.

 

A propos, si quelqu'un a besoin d'une aile de Jantar standard 3 endommagée mais réparable...

Stéphane Vander Veken
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je pense que vous devriez regarder vos planeurs d'un peut plus près , sur certain modèle de planeurs toutes les pièces sont numérotées (numéro de série du planeur).les numeros sont parfois sous un scotch pour eviter d'étre peint.(à un epoque cela etait obligatoire pour l'identifier des debris en cas de collision en vol).

 

BONNE RECHERCHE

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En effet sur la grande majorité des machines, de très nombreuses pièces portent le numéro de série , soit généralement ailes, fuselage, stab, ailerons et autres gouvernes, parfois les axes, le train, le tableau de bord, porte de visite etc.

 

MAIS souvent ces "preuves" de traçabilité sont une plaquette en alu avec 2 rivets que l'on enlève en 8 secondes maxi (LS), ou un autocollant qui ne tient qui ne tient pas le moindre solvant (AS), etc. Il est donc plus qu'aisé de les trafiquer. Quand on est capable de monter au Blaieul ou à Chambeyron...

 

La solution existe pourtant et elle était déjà employée par LS, du moins pour les ailes (au milieu de la partie supérieure des têtes de longerons sous la peinture), et est d'utilisation très courantes dans les productions composites industielles. Une feuille itou imprimée avec Logo, numéro de série, date ou autre et intégrée lors du laminage, et la sauf si on enlève le morceau c'est traçable.

 

A noter également que beaucoup de pièce porte un numéro quelque part qui est un numéro de lot ou de production ne correspondant pas au numéro de série, mais peut-être Centrair peut fournir des informations utiles dans le cas présent.

 

Bons vols à tous

 

Daniel YOP Rossier

Daniel Rossier, RD, GVV Yverdon (Suisse)

 

... et le véritable Gruyère n'a pas de trous

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D'accord avec Gerard HBD, il faut d'abord porter plainte. ce sera le point de départ de toute procédure d'enquête et ce sera surtout LA référence pour punir le coupable s'il est démasqué un jour. Et comme dans notre petit monde tout finit un jour ou l'autre par se savoir.......
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Et comme dans notre petit monde tout finit un jour ou l'autre par se savoir.......

 

Justement, j'éspère que des noms ne vont pas sortir du chapeau... sur le forum en particulier, où on a déjà connu des dérives.

 

J'éspère que personne ne fera l'amalgamme entre ceux qui vont nettoyer les débris dans la montagne et cette équipe-ci.

 

Bien entendu, je suis d'accord avec les autres membres pour dire que ce qui s'est passé dans ce cas est dégueulasse.

 

Nico

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Pourquoi ne pas l'avoir récupéré plus tôt?

je pense que la est une partie du probleme. Je deplore bien sur comme vous tous ce pillage, mais d' un autre cote on attaque peut-etre un peu vite les " velivoles"

 

La chasse aux souvenirs ou " recuperation " existe bien. Je connais un apiculteur dans les Pyrenees qui a sa bergerie pleine de bouts de Pa28, instruments compris, les ailerons et la derive " tronant" dans son salon.

je ne suis pas sur que le BEA ni le proprietaire soient au courrant ( le Pa28 s' est crashe en 1975, donc il y a prescription je crois )

Laisser une epave 6 mois ou + dans la nature, meme innaccessible, et je pense qu' il ne faut pas trop s'etonner de ce genre d' aventure.

 

Le randoneur ou le gars du coin qui passe pres de la regulierement et qui voit que rien ne bouge, peut peut tre penser apres quelques mois que c' est abandonne.

 

Je ne justifie pas le geste, je tente une explication, qui ne passe peut-etre pas obligatoirement par le " vol" par des collegues..

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Le randoneur ou le gars du coin qui passe pres de la regulierement et qui voit que rien ne bouge, peut peut tre penser apres quelques mois que c' est abandonne.

 

Si un épave est baché qque part dans la nature, il faudrait quand même bien tordre le bon sens pour se dire qu'il est abandonné... :rolleyes:

Bert

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Sans vouloir polémiquer, pourquoi ne chercher que du côté des vélivoles ?...je reste abasourdi par le geste. moi qui croyais que les vélivoles étaient "au-dessus" de tous soupçons (et au-dessus du plancher des vaches, mais çà on le savait déjà !!) :rolleyes:

Il me semble que dans le milieu des ULM on fait ce que l'on veut avec n'importe quoi ... <_<

un train d'atterrissage, ou des ailerons doivent faire plaisir à un constructeur amateur...et comme de toutes façons, le GSAC ne verra rien...

O tempora, O mores...

en tout cas, le premier qui vien piquer une pièce de mon piège, je le pends avec un élastique... :blush:

Bons vols, Bonnes pompes,

A bientôt sur les ondes,

Puissance et truculence,

jeannot de Valence...

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Sans vouloir polémiquer, pourquoi ne chercher que du côté des vélivoles ?...je reste abasourdi par le geste. moi qui croyais que les vélivoles étaient "au-dessus" de tous soupçons (et au-dessus du plancher des vaches, mais çà on le savait déjà !!) :rolleyes:

Il me semble que dans le milieu des ULM on fait ce que l'on veut avec n'importe quoi ... :blush:

un train d'atterrissage, ou des ailerons doivent faire plaisir à un constructeur amateur...et comme de toutes façons, le GSAC ne verra rien...

O tempora, O mores...

en tout cas, le premier qui vien piquer une pièce de mon piège, je le pends avec un élastique... B)

 

Salaud d'ULM y respectent rien......... je ne sais pas Jeannot, si tu n’est pas en train de t’égarer…. <_<

Amicalement

Jean Marcel

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Salut Jean-Marcel !

ce n'est pas une accusation générale...et désolé de t'avoir vexé ! c'est simplement une idée comme une autre...

Qui peut cannibaliser un piège ?

1/ un collectionneur de pièce "rare" pour sa cheminée (bonjour la recherche, car il y a du monde sur la planche...)

2/ un propriètaire d'une machine identique (avec/sans accord...) coincé financièrement (la recherche est + rapide...)

3/ un lambda (toujours coincé financièrement) pour se monter un appareil amateur...(là je reconnais c'est gratuit, mais pourquoi pas) :wacko:

ouais je sais, t'aurais jamais fait çà, TOI. mais j'en connais qui n'hésiteraient pas une seconde s'ils savaient où trouver des pièces "à l'oeil"...et sans demander avant ! :lol:

mais je ne pense pas que ce soit le premier pillage, ni le dernier...

 

au fait, c'est quand que tu nous montres le LAK 20 ?.... <_<

 

A+ sur les ondes ! (laisses pas trainer ton lak, des fois qu'il nous manque une pièce !...!! <_< )

Bons vols, Bonnes pompes,

A bientôt sur les ondes,

Puissance et truculence,

jeannot de Valence...

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ça me fait penser au gars qui change sa roue au bord de la route avec la voiture sur cric...

S'arrete un automobiliste qui se met à demonter l'autre roue suspendue... en vous faisant un clin d'oeil "moi aussi j'en ai besoin d'une"..

Voilà cette triste banalité

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S'arrete un automobiliste qui se met à demonter l'autre roue suspendue... en vous faisant un clin d'oeil "moi aussi j'en ai besoin d'une"..

Pour détendre, dans quel film des années 70/80 cette réplique hyper culte ???

 

bise

jm

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