www.planeur.net | www.netcoupe.net | www.volavoile.net
Aller au contenu

cboulenguez

Membres
  • Compteur de contenus

    536
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par cboulenguez

  1. cboulenguez

    Taurus

    Je passe la semaine 29 en Taurus à Serres sous la houlette de KO. Je ne désespère pas de nous rencontrer sur le terrain à l'occasion
  2. cboulenguez

    Taurus

    Je ne sais pas si ça bourlingue un ULM, ce que je sais, c'est que lourd comme tu l'es, tu n'as pas besoin de ballaster.
  3. En tout cas, c'est ce que j'ai fait en aéromodélisme (dans une autre vie) pour des gros modèles, où on a intérêt à "assurer". En ajoutant des LED aux bons endroits, il y a moyen de savoir laquelle fournit l'énergie), et à porter éventuellement remède à la plus défaillante. Si vous avez mieux, tenez-moi au courant...
  4. En clair, et pour faire court, la FFVV autorise la pratique du vol à voile en compétition, sans planeur, mais pas sans licence FFVV. Elle est bien dans l'air du temps... CB
  5. Jusqu'à maintenant tu n'avais rien dit.... En tout cas, le pilote de planeur-ULM doit être assuré en RC vis à vis des tiers, c'est une obligation légale. Il a intérêt à l'être pour les personnes transportées le cas échéant. Personne ne l'oblige à passer par la FFPLUM pour remplir ses obligations, même si ça paraît être le plus simple.
  6. Rien n'empêche .... C'est à voir. Dans un club de vol à voile affilié à la FFVV, si on est licencié FFVV et propriétaire d'un ULM déguisé en planeur, il est quand même plus que raisonnable (obligatoire) de se prémunir par une assurance RC (licence FFPLUM par exemple), l'extension d'assurance FFVV ne s'appliquant pas en dehors de l'instruction avec des biplaces "agréés FFVV" et des instructeurs pilotes de planeur titulaires d'une licence de pilote ULM (l'instructeur et l'élève étant tous deux licenciés FFVV). On ne s'étendra pas sur les improbables possibilités de solo ou de lâcher machine (la note fédérale est pudique sur le sujet).
  7. Désolé pour ma première réponse un peu rapide et (trop) personnelle. Effectivement, il faut être licencié ULM 3 axes pour piloter un (moto)planeur ULM. Je ne sache pas qu'il y ait beaucoup de machines de ce type dans les clubs de vol à voile. Il existe une note fédérale frileuse, alambiquée et contradictoire sur le sujet, qui ne fait que traduire les hésitations et atermoiements de la FFVV sur le sujet, mais elle ne concerne que les biplaces et l'instruction. Le "reste" n'est pas envisagé. Il se pose également le même genre de problème à propos du remorquage des planeurs par des ULM, et des qualifications requises pour ce faire. C'est un point fort délicat qui me fait (à titre personnel) beaucoup rire... J'attends sans impatience et avec délices les prochaines propositions de conditions d'utilisation des ULM en remorquage. Les problèmes techniques et de niveau de compétence ne sont rien à côté des questions administratives...
  8. Les ULM ne sont pas immatriculés, ils sont identifiés. Ils ont éventuellement un indicatif radio en F-Jxxx en fonction de leurs moyens radio, qu'ils n'ont d'ailleurs pas le droit d'afficher sur la machine. Personnellement je suis affilié FFVV dans mon club (UALRT Lille) sans problème particulier. Je participe (modestement) à la Netcoupe et à d'autres compétitions officielles FFVV, et ce avec mon ULM, sans contrainte particulière (il est vrai que je suis un affreux et épouvantable privé). Bien sûr, je suis titulaire d'une licence de pilote ULM (je suis aussi affilié à la FFPLUM, et assuré RC pour la machine). Pas de souci de fonctionnement, quand je dis bonjour aux pilotes remorqueurs de chez nous, c'est sincère et sans arrière pensée. CB
  9. Je ne connais pas son numéro de série (que je peux vérifier à l'occasion), mais nous avons à Lille le LS1-f F-CEKV avec L72 comme numéro de concours... CB
  10. Si ça permet autant de souplesse et de facilités que les formalités du "lâcher campagne", je vous et nous souhaite à tous beaucoup de bonheur.
  11. Nous avons un expert GSAC qui applique les textes qu'il connaît et qui m'a fait changer sans état d'âme particulier des Gadringer qui avaient passé les 12 ans et qui étaient pourtant en excellent état : n'importe, ce qui compte, c'est la date de fabrication. Pour info, elles sont livrées avec les papiers qui vont bien, une durée de vie de 12 ans, il y a même une étiquette cousue dessus qui donne en plus du numéro de série la date de production qui fait référence pour les 12 ans réglementaires et non négociables. Bienvenue dans le monde de la certification. Tu n'es pas obligé des acheter à la SCAP, tu peux les commander directement chez Gadringer, tu gagnes au moins le temps de stockage chez l'intermédiaire...
  12. J'ai acheté un Taurus, j'arrive à comprendre que l'on me considère comme "friqué" et que je fasse des envieux, voire des jaloux. Mais de là à, "mécaniquement", me désengager de l'association, il y a de la marge. Il suffit d'avoir l'esprit associatif. Pour préciser les choses, mon précédent planeur (un vieil LS3a d'occase), je n'avais pas pu le faire banaliser, mon Vénéré et Inoxydable (private joke) Président s'y étant refusé, au prétexte que je lui aurais coûté plus cher à l'ANEPVV. Celui-là, je ne peux pas, ce n'est qu'un ULM, il n'y aurait pas beaucoup de pilotes maintenant que l'équivalence n'est plus possible. Je continue toutefois à participer comme avant aux activités associatives, travaux d'hiver inclus, même si je ricane chaque fois que l'on me parle de la visite "Veritas". Bons vols à tous, privés ou non.
  13. Pour avoir pu observer au sol les pales d'une éolienne de forte taille, je peux dire que les profils en ont l'air très étudiés, mais que ce ne sont pas ceux d'un planeur (les incidences sont également variables en fonction du rayon, comme pour les hélices). Bref, je pense qu'on pourrait peut-être réussir à faire tourner une éolienne avec, mais certainement avec un rendement très mauvais. Un aérodynamicien sérieux rira vraisemblablement de ma remarque simpliste.
  14. cboulenguez

    Couleurs Nationales

    Je crois savoir que pour l'Allemagne et la Suisse, il est obligatoire d'arborer les couleurs nationales sur la machine. Personne n'empêche d'en faire autant en France, mais c'est de la décoration, pas de la réglementation.
  15. cboulenguez

    Projet Taranis

    Peut être pas le vol à voile, mais certainement le planeur ULM... Bienvenue au club !
  16. Pas de racisme anti-vieux s'il te plaît ! D'autant qu'avec une presbytie même débutante, tu ne dois pas être un perdreau de l'année. Quant à la conscience professionnelle des médecins, évite d'en parler sans savoir. Quand tu sera arrivé, mais rien ne presse, à une démarche intellectuelle plus sereine, nous reparlerons de la visite médicale aéronautique et de ses inconvénients, et je serai le premier à t'en dire du mal
  17. Je suis heureux de constater que je ne suis pas le seul à avoir des doutes sur l'efficacité scientifiquement démontrée des "décorations" anticollision. Le seul intérêt avéré est de démontrer de la part des pilotes une volonté de sécurité : en ce sens, c'est parfaitement méritoire. Le coté fun and fluo ne m'a toujours pas convaincu, sans compter l'opposition de certains constructeurs à l'apposition d'autocollants sur leurs surfaces. Pour info, j'ai un Flarm toujours allumé, je compte me payer bientôt un détecteur de transpondeur, ne m'expliquez pas que je suis hostile par principe à la notion de sécurité. Simplement, aucune publication sérieusement documentée et non appuyée sur de l'argumentation sujective, aucun travail scientifique sérieux ne me permet actuellement de croire à l'efficacité de ces bandes fluo à l'esthétique parfois douteuse. En attendant, je volerai sur des terrains où le terrorisme intellectuel ne m'empêchera pas de voler sans marquage prétendument anticollision. Bons vols, au plaisir de vous rencontrer, mais gardez les yeux ouverts, je serai "en blanc"...
  18. cboulenguez

    Taurus

    Je prépare une réponse documentée le plus rapidement possible, qui soit objective et d'un enthousiasme pondéré. A bientôt
  19. Excuses pour le "Hors sujet", mais le problème est récurrent, exacerbé cette année par l'application des nouveaux tarifs. Se battre les flancs tous les ans en jurant qu'on va s'immatriculer en D, en OO, que sais-je, n'est qu'une manière de se voiler la face. La seule évolution positive et réaliste que j'entrevois est la démarche FFVV, mais je la trouve fort lente : ça explique qu'à mon âge je me sois tourné par impatience vers l'ULM (pardon de retomber dans le hors sujet : hérétique et relaps, il faut qu'on me brûle !)
  20. On peut aussi adhérer à la FFPLUM... Lors de la visite du GSAC pour les planeurs de mon club, mon Vénéré Président me trouve un sourire narquois. Je n'ai plus de problème non plus pour ce qui concerne la visite médicale aéronautique. Par contre, un de mes soucis récurrents est de vérifier que les terrains où je me propose de me poser ne soient pas réservés au vol à voile et interdits aux ULM... On ne peut pas tout avoir .... Mais j'attends avec impatience de me poser sur un terrain de ce type, où le remorquage se ferait avec un ULM.
  21. cboulenguez

    Statistiques Du Bea

    Le débat m'intéresse au plus haut point, la comparaison FFPLUM FFVV également : j'ai le bonheur et la chance de disposer d'un Taurus qui est un ULM déguisé en planeur (à moins que ce ne soit l'inverse).
  22. cboulenguez

    Statistiques Du Bea

    Il y a sur le site de la FFPLUM un rapport sur la sécurité qui me paraît digne d'intérêt (pardon, mais je ne sais pas faire de lien). Le rapport sur l'insécurité cité ci-dessus, et que je connaissais pas, m'apparaît aussi très intéressant. Bons vols à ceux qui peuvent !
  23. cboulenguez

    Statistiques Du Bea

    L'hypothétique insécurité des ULM est plus qu'hypothétique si l'on se réfère aux données de la FFPLUM, mais on a beau jeu de dire que les heures de vols sont à prendre avec circonspection, et que les accidents/incidents sont éludés. N'empêche, il semble bien que les couches de réglementation sécuritaire stratifiées soient plus nuisibles qu'autre chose, qu'elles ne font qu'ajouter une surcharge financière à une activité qui n'a déjà pas besoin de ça. Il me semble avoir lu récemment un rapport qui m'a semblé sérieux sur la question, mais j'en ai perdu les références
  24. Est-ce qu'il y a moyen de savoir où le pilote de l'Arche de Zoé a passé sa visite médicale ? J'aurais bien aimé être agréé par le même médecin aéronautique que lui.
  25. C'est tout à fait vrai, mais la réflexion à ce sujet évolue, les mentalités changent, je ne désespère pas de voir bientôt des ULM remorquer des planeurs (quelles aptitudes (dont l'aptitude médicale) exigera-t-on des pilotes remorqueurs ?). Rien n'empêche un sujet déclaré inapte médicalement de suivre, en attendant, une formation vol à voile. L'offre des planeurs ULM va s'accroître, les prix vont se stabiliser, voire baisser, le marché de l'occasion s'enrichira, bref, il y a un peu d'espoir pour les inaptes. En attendant bon vol à voile à tous, les bien portant comme les "invalides".
×
×
  • Créer...