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cboulenguez

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Tout ce qui a été posté par cboulenguez

  1. Il existe maintenant de très beaux "planeurs" ULM qui vous épargnent bien des déboires médico-administratifs. On peut ainsi éviter des ouvertures de parapluie invraisemblables de style jugulaire-jugulaire, et satisfaire quand même sa passion pour le vol à voile. Bienvenue au club
  2. Je suis rudement heureux pour vous ! Je n'y croyais pas, je suis content d'avoir été un oiseau de mauvais augure inefficace. Bons vols !!!
  3. Ma réflexion portait plutôt sur les critères qui servent à déterminer l'aptitude, et leur aspect réglementaire, rigide et définitif qui "emprisonne" le médecin aéronautique dans une décision qui doit lui paraître parfois surréaliste, et ce n'est pas la CMAC qui va lui permettre de sortir de ces situations à la Kafka (comment orthographie-t-on "parapluie"?). On a évoqué il y a peu, à l'occasion d'un contresens sur autoroute par un vieux, l'aptitude au pilotage automobile pour les seniors, apparemment, on s'est dépêché d'enterrer le problème, mais les mêmes questions se posent : on risque de légiférer à tort et à travers, et de se retrouver dans la même situation...
  4. 1 - La médecine du travail, ce n'est pas pour tout le monde 2 - Le statut du Président n'est pas facile à déterminer (du point de vue de la santé au travail) 3 - Mon propos concernait plutôt le pilote non professionnel lambda, et l'intérêt de la visite médicale aéronautique et de son poids dans la sécurité aérienne : en ce sens Yurek me rejoint davantage sur ce qu'il faut en penser. Mike Lima semble aussi partager un point de vue relativement équivalent. On finira bien par se poser les bonnes questions sur cette p... de visite médicale aéronautique.
  5. Nous venons d'être informés que notre vénéré Président est apte médicalement à assurer ses fonctions. Le médecin qui l'affirme a été choisi par lui, sur des critères qui le regardent, loin de moi l'idée de les contester. Mais je constate que pour piloter le char de l'état, une aptitude prononcée par le médecin traitant suffit, tandis que pour piloter un planeur, il faut une détermination d'aptitude vérifiée par un médecin agréé sous le contrôle pointilleux de la CMAC. Serait-ce moins de responsabilités, serait-ce moins lourd de conséquences ???
  6. Même question. Le cas m'intéresse, et je jure que je serais très heureux d'avoir eu tort et d'être contredit par un dénouement favorable.
  7. Confronté aux problèmes que pose l'aptitude dans le champ santé-travail, j'admire vos certitudes et avoue en être envieux. Je me garderai bien d'être aussi péremptoire dans l'affaire qui nous concerne. Je ne peux que souhaiter à la candidate le succès d'une démarche sincère, mais je continue de croire aux bienfaits de la "malhonnêteté". Affaire à suivre, on verra bien à qui l'avenir donnera raison... Ceux qui posent véritablement d'épineux problèmes, ce sont les professionnels, avec les évidentes conséquences de l'inaptitude, mais il y a beaucoup moins de scrupules pour laisser à terre les amateurs de l'aviation de loisir, à qui on impose des examens de plus en plus lourds pour une visite médicale de toute façon non prédictive.
  8. La seule chose qui importe, ce n'est pas la position compréhensible des uns ou des autres, c'est celle de l'impétrante : soit elle est muette sur ses antécédents médicaux, et elle passe sans problème, soit elle les déclare, et alors elle relit saint Exupéry plutôt que le bouquin bleu... Je rappelle qu'un traitement anticoagulant (il est souvent indiqué dans ces cas) est tout à fait rédhibitoire du point de vue du médecin aéronautique (et a fortiori du CMAC). A bon entendeur salut !
  9. J'ai bien précisé que pour la relation santé -voll à voile, il convenait d'être nuancé. Mais je prétends, sans être irresponsable, qu'il ne faut pas confondre inaptitude médicale aéronautique réglementaire et inaptitude au vol à voile, les deux notions sont fort éloignées l'une de l'autre. Grand bien vous fasse de consulter le CMAC et de demancer une dérogation, ne venez pas pleurer si vous vous retrouvez à terre de façon définitive et plus ou moins justifiée. Comprenez également que j'aie beaucoup de réticences concernant le Dossier Médical Informatisé, et la possibilité d'accès de certains médecins (dont les médecins aéronautiques entre autres) aux informations médicales vous concernant , et que vous n'êtes pas obligé de fournir : idéalement les professionnels de santé en question n'ont même pas à savoir que vous avez des informations à cacher. Votre attitude en l'occurrence est évidemment de votre responsabilité, plus que la crainte d'une enquête qui..., d'une enquête que... Avant qu'une enquête lève un secret médical de ce type, il va encore couler beaucoup d'eau sous les ponts, du moins je l'espère pour notre société.
  10. Un avis tout personnel : Deux possibilités pour l'aspect réglementaire : - choisir de pratiquer l'ULM, car la visite initiale unique par le médecin généraliste suffit. - "Oublier" d'en parler au médecin aéronautique (ce qu'il ne sait pas ne peut pas lui faire de mal). Ne surtout pas approcher le CMAC de près, ni même de loin (cet organisme n'étant pas réputé pour son sens de la nuance, c'est quand même le meilleur moyen de se retrouver à terre de façon définitive). Quant à la relation santé et vol à voile, on peut être être plus nuancé.
  11. Dans le MLR, on peut mettre les quelques zones qui vont bien en fonction de son "terrain de jeu". Bien sûr, ça ne sonne pas comme See You, mais ça suffit pour éviter les zones...
  12. En gros, il faut que tu distingues le vert, le rouge et le jaune (comme les feux de signalisation routière). C'est le minimum minimorum. CB
  13. Les dyschromatopsies sont fréquentes et pas rédhibitoires (et le test d'Ishihara qui les dépiste n'était pas prévu à l'origine pour le faire). Par contre un test avec la lanterne de Beynes suffit : il permet de vérifier l'aptitude à distinguer les couleurs réglementaires.
  14. Ce n'est pas aussi simpliste et idyllique que décrit par Thierry. Sinon la FFPLUM ne s'arcbouterait pas sur cette dernière en refusant la "visite aéronautique", et la FFVV n'aurait pas mis sa simplification dans ses objectifs. Jeune, en bonne santé et pas trop miraud, pas de problème. Mais gare si un critère précis te fait franchir la ligne. Voir ces derniers dans les textes (ailleurs dans ce site) Bons vols et bienvenue CB
  15. A Lille Marcq, activité importante et diversifiée (probablement moindre qu'à Gap toutefois). Tout n'est évidemment pas idyllique, mais dans l'ensemble ça se passe bien, et beaucoup se préoccupent d'améliorer les choses (dans un souci de prévention). Il n'y a pas que le ciel qu'il faut partager avec tous, il y a également les infrastructures qui ne sont pas un "dû" ni une concession à perpétuité réservée à une catégorie. Peace and Love et Bons vols à tous en "time sharing". PS : On n'est pas obligé de s'aimer pour utiliser la même plateforme, mais c'est mieux si on peut arriver au moins à s'apprécier et à respecter l'autre.
  16. Il fait bon lire des choses comme cela : apparemment il ya des vélivoles et des Ulmistes qui s'entendent et travaillent ensemble à Fayence . Je leur souhaite à tous des cieux et des avenirs plus sereins.
  17. L'avenir du vol à voile passe peut-être par l'ULM remorqueur, passe peut-être par l'ULM tout court (peut-être, et c'est l'option que j'ai prise). Mais, au vu des courbes d'évolution et des chiffres qu'on peut obtenir, la question est : "Le vol à voile a-t-il un avenir?" Charles Boulenguez, pessimiste (et pas seulement en raison de la météo)
  18. Cahors est, si je ne me trompe, ouvert à la CAP, mais interdit aux ULM. Puimoisson est réservé aux basés et aux voisins, mais pas réservé au vol à voile. Je n'ai pas le courage de relire toutes les fiches VAC, mais il y a parfois de quoi rire, ou au moins ricaner: Les motifs (je n'ose dire les justifications) des restrictions ne sautent pas systématiquement aux yeux.
  19. Heureux possesseur d'un Taurus, j'ai quand même constaté qu'il existait quelques aérodromes à "usage restreint au vol à voile et avions de servitude", et sur lesquels je peux éventuellement me poser (en urgence) en configuration planeur, mais d'où je risque de ne pas pouvoir redécoller en configuration ULM. C'est très très con, mais ça existe. C'est ainsi que pour mes vacances tour de France de cet été, je dois éliminer au moins Tours-Le Louroux et Puivert, ce qui leur évitera ma présence (c'est à eux que ça fera des vacances). C'est dire que le cas de Fayence m'intéresse, moi qui suis de culture vélivole, mais qui suis par la force des choses ULM (sans le renier le moins du monde). Alors, arrêtez de vous "bouffer la gueule", planeurs et ULM, même combat! Vous risquez tous de finir à terre. Meilleures salutations vélivoles et ULM à tous. CB
  20. Bonjour, Je suis l'heureux propriétaire du Taurus SN 006, basé à Lille Marcq LFQO, et ce depuis début septembre (première option signée en octobre 2004, commande ferme en octobre 2005, pour une livraison qui devait se faire en décembre 2005). C'est dire si j'ai eu tout le temps de commander la remorque qui va bien (Avionic). Je n'ai pas suffisamment de vols dessus pour donner un avis définitif. La météo ne s'y prête pas vraiment. Je suis content de mon acquisition, pour l'instant. La construction et les finitions sont à la hauteur de la réputation de Pipistrel. J'ai mesuré une finesse à 40 à 115 km/h, je monte bien dans le petit temps. Je le trouve léger. En remorqué, ça fait tout drôle d'avoir un biplace aussi vif qu'un mono. J'attends de pouvoir emmener un passager, je pense qu'il sera un peu meilleur chargé (j'ai 1300 h en planeur, mais je n'ai pas l'emport passager avec l'ULM, il n'y a pas d'équivalence, ce que je trouve très con) Seul à bord, je monte à plus de 3 m/s, la gestion moteur ne pose pas de problème apparemment (sauf pour un mal dégourdi comme moi). Quand j'aurai un peu d'expérience, je donnerai plus de renseignements, ça sera probablement dans le courant de la saison prochaine. Si j'ai la permission, et si je suis prêt, je tenterai de participer à la sélection régionale à Soissons en mai prochain, mais ce n'est pas gagné, c'est un ULM, et il y en a pour trouver que c'est rédhibitoire. Salutations vélivoles. CB
  21. Le sujet m'intéresse au plus haut point : il se trouve que je connais un planeur ULM susceptible d'être remorqué, et je me demande s'il faudra une dérogation spéciale pour le faire remorquer par un ULM, ou alors si un remorqueur normal peut suffire (ce n'est pas de la provocation, c'est juste histoire d'animer le débat...). c. boulenguez
  22. Pour remplir les ballasts, je mesure avec un compteur à eau classique et pas cher (précision inférieure au décilitre) que je place immédiatement à l'orifice de remplissage par l'intermédiaire d'un bête tuyau d'arrosage. En amont de ce compteur, je place en T comme sécurité un tuyau vertical à l'air libre d'environ 60 cm de haut et de 50 mm de diamètre. En amont du dispositif, un robinet me permet de limiter le débit pour éviter les débordements de la "sécurité". C'est simple, rapide et sûr, avec les connexions rapides qui vont bien. Quand il n'y a pas l'eau "facile" sur place, les bidons vont bien aussi, soit par siphonnage, soit avec une pompe électrique branchée à demeure dans le véhicule de service(à laquelle je branche la "sécurité") Avec tout ça, j'arrive à ne pas me mouiller les pieds. salutations vélivoles et ballastées CB
  23. C'est normal Le truc est prévu pour 4 piles 1,5 V, et tu l'utilises avec 4 batteries de 1,25 V, d'où l'indication alimentation faible. Mais, si ça peut te calmer les angoisses, tu ne regardes plus le signal en question : ça fait des années que le mien fonctionne comme ça, il te suffit de gérer la charge de tes batteries régulièrement (avec des NiMH, pas de souci). CB
  24. Le club de Merville a malheureusement dû prendre des décisions difficiles. J'en suis attristé, car il y a une ambiance sympa, j'y ai reçu et je reçois encore le meilleur accueil. Je les rencontre toujours avec plaisir. Ils ont plus d'une fois ressorti le remorqueur (après ma vache aéro préférée) pour me regicler sur Lille-Marcq, mais ils ne le feront plus car il est vendu maintenant. J'espère de tout coeur que l'activité vol à voile perdurera à Merville. Ils me semblent qu'ils font encore tourner le SF. Mais le mieux est de leur demander directement. Les clubs vélivoles les plus proches sont à Lille-Marcq, à Arras-Roclincourt, et à Cambrai. Il y aussi Maubeuge, Amiens, Abbeville mais ils me semblent plus éloignés. Albert également (il y a à Albert des soucis de terrain). Valenciennes devrait voir se réimplanter un club belge (à suivre...).
  25. Pour précision : Le MLR est alimenté à la fois par ses batteries internes et celle du planeur. J'essaierai de l'alimenter par batterie internes seules. J'essaierai également d'utiliser des ferrites sur le cable d'alimentation batterie planeur. Je vais même essayer d'établir un écran "blindage" relié à la masse entre l'émetteur et le MLR (mais difficile d' évaluer le risque de perte de puissance du signal Flarm, et risque de nuire à la sensibilité en réception du MLR) Autre piste, améliorer le plan de sol de l'antenne Flarm ? Les manoeuvres "brutales" sur le MLR consistent (info du SAV Magellan) à mettre en marche l'appareil en appuyant 3 touches en même temps, ce qui donne accès à différentes possibilités de reset Merci à tous pour les infos fournies. cboulenguez
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