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André

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Tout ce qui a été posté par André

  1. André

    Treuil Automobile

    Tu peux aussi regarder la fin du film "La Grande Vadrouille". Mais si tu tiens à ta 205, tu n'es pas obligé de t'y prendre comme le conducteur dans le film ... :wacko:
  2. André

    Onde Et Lentille

    Bonjour, Le fait qu'il y a des empilements de lenticulaires ne pourrait-il pas aussi être dû à des phénomènes élastiques au sein de la couche d'air qui s'élève ? Cette couche d'air ne s'élèverait pas à tous les niveaux de la même hauteur (imaginez un accordéon vertical qui s'élève, en même temps que certaines parties se rapprochent ou s'éloignent les unes des autres ...) ; là où l'élévation est importante (grande longueur d'onde et/ou forte Vz), la condensation serait favorisée. Cela permettrait de justifier la présence d'empilements de lentilles, même au sein d'une masse d'air de caractéristiques assez homogènes. Alors je sollicite l'avis des praticiens spécialistes du vol d'onde pour confirmer ou contredire cette hypothèse : la présence d'un lenticulaire en un lieu et à une altitude donnés est-elle parfois associée à une plage ascendante plus large et/ou à des Vz plus importantes qu'où il n'y a pas de lenticulaire ? La photo de mon avatar illustre peut-être ce qu tu dis; elle est prise dans une région de "petites" montagnes où l'onde a rarement été exploitée; ce jour-là les lentilles étaient éparpillées, donc pas empilées; et il m'a été possible de monter plusieurs centaines de mètres au dessus, avec cependant beaucoup de patience... Bons vols, avec ou sans lentilles.
  3. Bonjour, En France, il me semble que le problème, c'est l'interprétation de la règlementation pour le moins ambigüe. Le texte auquel je me réfère (certains mieux informés que moi pourront préciser s'il est toujours d'actualité, et si c'est le seul en vigueur à ce sujet) est un arrêté du 7 octobre 1985 relatif à l'utilisation des planeurs ultralégers: texte complet de l'arrêté disponible ici L'interprétation de l'article 1er peut donner lieu à des choses surprenantes: Prenez par exemple un avion gros porteur démuni de toute motorisation; placez le au sommet d'une rampe inclinée; le pilote desserre les freins, descend pour donner une poussée à l'engin (énergie musculaire), remonte vite avant que ça roule trop vite; l'engin prend de la vitesse en dévalant la pente (il utilise l'énergie potentielle), et peut décoller... C'est donc un planeur ultraléger . :!!: Plus sérieusement, et surtout de manière plus utile au vélivole, le décollage d'une pente du Silent n'est pas loin de correspondre à la définition de l'arrêté. Alors, vos réactions ? Mise à jour en 2009 : le lien ci-dessus ne marche plus; vous pouvez trouver le texte de l'arrêté sur cette page du Journal Officiel.
  4. Voilà, le constat est vite fait, la France fait cavalier seul en ne diffusant pas toutes les infos sur internet au sujet des dégagement utilisables en montagne. voir la discussion précédente sur ce fil. On pourrait peut-être s'inspirer de ce qui se fait ailleurs ?
  5. Bonjour, Je suis preneur aussi d'un forum axé "vol sur la campagne" avec discussions sur la technique ... Justement, une discussion bien menée sur, par exemple, le passage d'une vallée à l'autre évoquera forcément ces dégagements. N'est-ce pas un plus pour la sécurité?
  6. André

    Silent 2

    Bonjour, Dernier de cette tournée, j'ai eu à mon tour l'occasion d'essayer le Silent2 par une météo juste volable, 8/8 de stratus et des grains. Mes impressions : Le montage de la machine est très rapide et facile avec ses ailes poids plume ; l'ensemble laisse une bonne impression, autant en ce qui concerne la qualité des finitions que la rigidité des éléments. Vu la hauteur relativement importante de l'herbe pas encore tondue sur notre piste , Luigi prèfère éviter un taxiage laborieux; le Silent2 est donc (très aisément) poussé en piste à la main. Le brieffing machine est rapidement effectué; il faut dire que la mise en oeuvre du moteur est simple; pour le reste c'est un planeur très classique. L'installation à bord se fait sans problème pour mon gabarit de 1,70m; le siège est confortable, l'ajustement se fait à l'aide d'un coussin. L'accès à toutes les commandes se fait naturellement. Pour fermer la verrière, ceintures bouclées, j'ai le même problème qu'en Pégase: cadre de verrière inaccessible à la main... il reste à me détacher, demander de l'aide, ou baisser la verrière ... avec les pieds! Je maîtrise à peu près cette dernière solution, (peu élégante :wacko: ) sur Peg, mais là je préfère ne pas risquer de salir la belle verrière ... A la mise de gaz, le planeur a tendance à basculer sur le nez malgré l'action à cabrer à la profondeur. La roue principale a du se faire son trou dans le terrain encore un peu mou à la sortie de l'hiver. mise de gaz progressive, une fois qu'il commence à rouler, le Silent2 répond immédiatement, c'est très facile de le tenir dans l'axe, l'inertie très faible en lacet et la gouverne soufflée donnent une réponse quasi-instantanée. Le roulage est assez bref, un petit pallier d'accélération, je suis déjà à 90 km/h indiqués. La vitesse recommandée lors de la montée est de 80 km/h, avec un taux de montée qui n'a rien à envier à celui d'un attelage remorqueur-planeur. De plus, ce taux de montée étant obtenu à vitesse plus faible, la pente de montée permet une meilleure marge de sécurité en cas de panne moteur; je franchis l'extrémité de nos 960 mètres de piste à plus de 100m/sol, avec un vent de face d'environ 25 km/h. Casque sur les oreilles, le bruit du moteur est tout à fait supportable, sachant qu'il n'est que provisoire. La visibilité vers l'avant est bonne malgré l'assiette de montée. Je monte au dessus des quelques fracto-cumulus, vers 500m/sol , puis je coupe le moteur. La procédure d'arrêt-rétraction du moteur s'effectue comme prévu. Ensuite, je m'empresse de retirer le casque des oreilles pour gouter le silence :wacko: . Essais de maniabilité, les virages s'enchaînent avec une facilité déconcertante. les efforts aux gouvernes sont très faibles, la réponse immédiate. Le ciel couvert ne laisse pas de possibilité de tester le Silent2 en vol à voile. Je parviens à peine à gratter quelques dizaines de mètres dans une mini pompe. Le grain suivant arrive, il faut déjà penser à aller atterrir. Le dosage des aéro-freins en approche ne pose aucun problème, l'atterrissage se fait en douceur. Voilà un essai trop court à mon goût (météo de m...), qui donne envie de voler de nouveau sur ce planeur. Je pense que le Silent2 est un beau petit jouet qui doit permettre de bien s'amuser en vol à voile. Je n'ai pas pu tester ses performances, j'attends donc d'en savoir plus après la confrontation avec ses concurrents en compétition. Il ne fait aucun doute qu'il y a un marché pour ce genre de machine, pour les pilotes du vol libre ou du vol à voile, qui trouveront là un bon compromis en ce qui concerne la facilité de mise en oeuvre, l'autonomie, les performances, le coût.
  7. Salut Lionel, Tu trouveras l'AIP ici. Bons vols
  8. André

    Port De Lunette

    Et ces lentilles-là, tu les supportes au moins ? :lol: http://topfly.free.fr/images/patagonie2003/Fabrice%20Papazian/images/Laguna%20Diamante_JPG.jpg
  9. http://www.mcp.com.au/sinus/newsletters/newsletter-15/taurus-pic.jpg C'est pas beau ça ? plus de détails ici
  10. André

    Info Sur Dg

    A ce prix là, vous m'en mettrez deux, c'est pour consommer tout de suite :rolleyes:
  11. André

    Port De Lunette

    Bonjour, Puisque le sujet évolue des lunettes de soleil correctrices aux lunettes de soleil ordinaires, j'y vais de mon petit témoignage: J'ai acheté l'an dernier chez Déca***** (pas payé pour faire la pub, désolé...) de simples lunettes filtrant les U.V., avec des caches sur les côtés empêchant la lumière de venir se refléter à l'intérieur. La couleur des verres ? Pas de couleur ! C'est-à-dire que toutes les couleurs sont vues sans altération. Ces lunettes, dans le domaine du visible, apportent simplement une diminution de la lumière atteignant l'oeil. Le champ de vision est complet, pas d'angle mort, elles sont légères, solides (pas encore cassées, sans précaution particulière). Pas trop chères (j'ai payé 20 €uros), elles ont tout de même un inconvénient majeur : y-a pas marqué Vuar'nez, ni Rayb'âne. Tant pis, puisque c'est pour porter en vol et que personne ne regarde mes lunettes à ce moment là :lol: ! Bons vols, n'oubliez pas vos lunettes.
  12. D'accord Lionel, à bientôt, et j'espère plutôt du côté de Challes que de Besançon (c'est juste un souhait égoïste). Pour ceux qui ont eu la curiosité d'aller voir là, et pour en revenir au sujet des zones de Genève, on peut constater qu'il y a 50 ans, ça n'était pas un problème du tout ! Par contre, on ne peut que rester admiratif devant la ténacité nécessaire pour ces vols aux multiples raccrochages "à la cave" avec les machines de l'époque, et dans des conditions météo limites.
  13. Toujours sur le thème des vols traversant les massifs Jura-Alpes, des récits très instructifs, bien que vieux de 50 ans dans cette page de l'excellent site du CSVVA
  14. Merci Alex pour ton info. J'étudierai la chose pour être prêt si une opportunité se présente...
  15. Et j'oubliais de dire que j'étais également intéressé pas les fichiers de vols sur cet axe. Merci Fred si tu peux aussi me les envoyer!
  16. Bonjour, Ces vols trans-régions m'intéressent également, au départ de Besançon on n'est pas loin de l'arc jurassien. En 2003 (année exceptionnelle, on en redemande ) j'ai eu 2 fois l'occasion de faire la traversée Jura -> Alpes et retour: Le 23 avril, lors d'un aller-retour Besançon - Grande Moucherolle (Vercors) , avec contournement par l'ouest de la TMA de Genève (reliefs du Bugey, conditions pas mauvaises, mais inférieures à celles du Jura ou de la Chartreuse). Le 15 mai, même trajet à l'aller jusqu'aux sommets du Bugey près de Belley, point de virage à Belley, traversée dans le bleu vers l'Est, et raccrochage sur le Revard, puis Bauges, Aravis, Sixt, Bex, point de virage entre Bex et Saanen, plafond entre Gruyères et le lac Léman, 45 km de traversée vers le pied du Mont Suchet (arrivé à 900m), en local d'Yverdon, remontée lente au début, puis retour sans problème à Besançon. Le passage par l'Ouest ne pose pas de problème avec l'homogénéïté rencontrée de la masse d'air. La traversée du plateau Suisse à l'Est du lac Léman est longue et pleine de suspense en l'absence de pompe entre les deux massifs. Je n'ai pas (encore) essayé de passer plus à l'est, ça me parait possible à l'est de la TMA de Bern; quelqu'un a-t-il déjà tenté l'expérience ? Vivement les beaux plafonds de printemps !
  17. J'ai bien pensé à 6700 pieds, mais on peut lire :lol: "km" en partie inférieure de l'instrument, qui serait donc plutôt un altimètre qu'un altipied. :lol:
  18. Bonjour, Le réalisme est saisissant, mais ... 6700 m sous cumulus !!! Et pourtant pas très loin du sol apparemment. Est-ce-que cette simulation ne se passerait pas quelque part en Argentine, ou au Pérou ? Peut-on en savoir plus ? Bons vols, virtuels ou réels!
  19. Bonjour, On dit parfois que l'onde se déclanche sous le vent des lignes de crête. Sous le vent de reliefs isolés, elle peut prendre une forme particulière, visible dans cette page
  20. Merci Fred pour ces infos. Je cherche également les coordonnées, fréquences, disponibilités remorqueur et/ou treuil des terrains dans la même zone. Mais je pense trouver ça sur une carte, et sur segelflug.de. D'accord, quand tout sera clair entre les différentes parties; tu ne peux pas "sauvagement" court-circuiter le CRAP qui a mené un travail de longue date: prendre contact avec les propriétaires, établir des conventions, répertorier, classer et mettre à jour les infos, rédiger, éditer ... tout cela a un coût important. Il me semble qu'un partenariat est à trouver pour financer l'établissement de conventions, la mise en ligne des infos sur les champs ne pouvant venir qu'après ... pourquoi pas accompagnée de pub des financeurs s'il faut en passer par là. Sur un sujet voisin, (landout laws) une discussion fait couler beaucoup d'octets sur rec.aviation.soaring
  21. La réponse que je propose est exprimée plus haut par : sous entendu : financiairement. Tout cela pourrait être l'objet de négociations entre le Comité régional Alpes Provence, la fédé, les assureurs, le CNVV ... On peut rêver que tous se mettent d'accord pour le bien et la sécurité des vélivoles. Je suis persuadé qu'une solution où tout le monde est gagnant est possible. Bien sûr, ton idée d'inclure Vosges et Jura est très bonne. A-t-on des données disponibles quelque part concernant, en Allemagne, les zones vachables en Forêt Noire et dans le Jura Souabe ? Si la météo de 2004 est aussi bonne que celle de 2003, j'aimerais bien agrandir mon terrain de jeu aussi de ce côté .
  22. D'ailleurs sur ce sujet, je ne comprend pas que les infos sur les champs vachables des Alpes françaises ne soient pas disponibles librement sur un site internet. Le très bon "guide des aires de sécurité dans les alpes" constitue une base remarquable qui mériterait d'être aussi diffusé sous forme numérique. C'est un sujet qui concerne de façon cruciale la sécurité; si c'est un problème financier, il me semble que les assureurs qui interviennent dans le vol à voile et/ou la fédé devraient s'engager de manière à mettre à disposition ces infos à jour sur internet. Qu'en pensez vous ?
  23. Bonsoir, Il y a aussi, pour la zone "Ouest des Alpes du Nord" Cette page du site de Schänis
  24. Pour compléter le message de Tango India, il a eu aussi dans la série des "20" à Besançon un LS3 immatriculé F-CESV , avec le N° de concours S20. En ce qui concerne le Pégase, il porte comme N° de concours "Lima" http://membres.lycos.fr/cvvacd/volez/parc/pegase.jpg
  25. Bonjour, Effectivement, c'est bien notre CY à Besançon. Il a été équipé depuis déjà quelques années. Le résultat en terme de baisse du niveau sonore est concluant ! Je ne suis pas remorqueur, donc mal placé pour apprécier les différences de pilotage. Concernant les perfo, la différence de taux de montée, de distance de roulage au décollage est négligeable pour notre parc (c'est mon avis, et au moins celui d'un de nos pilotes remorqueurs à qui j'en ai parlé hier). Si mes souvenirs sont exacts, le changement de pot d'hélice de bipale vers quadripale s'est fait à l'occasion du renouvellement obligatoire de l'hélice en fin de potentiel. Le club a été aidé dans le financement en faisant un dossier de demandes d'aides aux collectivités, au motif (justifié) de la baisse des nuisances sonores aux riverains. Bien sûr ça n'empèche pas de continuer à aménager le circuit de remorquage pour éviter le survol des zones d'habitation. Le bilan me paraît très positif pour tout le monde.
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