Renaud

Merci Adrien, mais si j'ai déjà essayé d'utiliser un cable qui fait juste l'alimentation (celui livré avec la batterie), c'est peut-être pas la peine d'essayer de sacrifier un autre câble? Quels GPS conseillez-vous du coup?

Merci Bart! Bon j'ai plus qu'à jouer au Loto et me payer un Oudie

Oui, le GPS fonctionne parfaitement quand il est alimenté avec le secteur. Ma batterie est une Technet iEP390: http://www.tecknet.co.uk/products.php?product=TeckNet-iEP390-11000mAh-External-Battery-pack Je précise aussi que cette batterie externe alimente sans problème mon bon vieux Airis T620. Merci

Merci Manu pour ta réponse! J'ai essayé de mettre LK8000 et là, encore pire, il ne se lance pas en disant que la carte mémoire est vérouillée... (c'est une micro SD, donc pas possible de vérouiller). Quelques updates sur le problème qui n'est toujours pas résolu: - J'ai essayé d'utiliser un cable USB qui ne fait que recharger, sans transférer de données (Sinon le GPS peut croire qu'il est connecté à un PC), sans succès, toujours le même problème. - Lorsque le GPS est branché au secteur tout fonctionne bien. - Les caractéristiques de ma batterie sont les mêmes que celles du chargeur (5V, 1A). Déséspérant...

Bonjour tout le monde, Ayant fait l'acquisition d'un Navigon 7200, je souhaite installer XCSoar dessus. A vrai dire, cela fait 6 mois que je l'ai et à cause de petits soucis divers je ne l'ai pas utilisé. Du coup, je compte bien m'en servir cette année et donc le faire marcher impeccablement! Le souci c'est que lorsque je le branche à ma batterie externe, XCSoar plante (impossible d'effectuer aucune action). J'ai pourtant rechargé la batterie du GPS à fond avant de le brancher sur la batterie, mais même souci. Dans le dossier d'installation, j'ai bien le fichier "AutoRunCE.exe", "updateme.exe" et le dossier XCSoar data. Après avoir regardé sur internet je n'ai rien trouvé qui solutionne ce problème, alors si quelqu'un a une solution pour moi je lui en serai grandement reconnaissant! Merci d'avance, Renaud

Finalement, quand on prend le problème à l'envers, on se rend compte que le vol à voile est un super exemple du "Signe European Sky" !

Je trouve ça un peu de mauvais goût!

C'est vrai qu'en termes de temps de formation (et donc de coût), c'est plus avantageux de devenir remorqueur ULM que remorqueur avion! Imaginons un pilote ab-initio, en avion il faudrait un PPL (35h en déduisant les 10h exp planeur) + 50hdv en CDB, y a pas photo! Les membres d'un club seront certainement plus fana de se faire former remorqueur ULM que treuillard...

En fait ce qui m'étonnait c'est qu'on en parle si peu. Finalement les frères Wright n'ont fait qu'appliquer les travaux des autres! Jeune padawan que je suis avait déjà entendu parler de Chanute mais pas le souvenir d'avoir entendu parler des autres.

Bonjour à tous, Je suis en train de lire un bouquin sur les pionniers de l'aviation légère. Pas plus tard qu'hier soir avant de dormir j'ai fait connaissance avec ce cher Mouillard et son précurseur, Alphonse Pénaud. Ce dernier a inventé: - Le train escamotable - L'hélice contrarotative - Le principe du manche à balai - le compensateur électrique - Pas mal d'instruments (anémomètre, inclinomètre, si mes souvenirs sont bons) Il a aussi évoqué l'idée d'utiliser de l'hydrogène, des moteurs à hydrocarbure, parlé de la stabilité longitudinale, de l'effet de couple. Un certain Octave Chanute s'est beaucoup inspiré des travaux de Pénaud et ce brave Octave a pas mal aidé les frères Wright. Chanute a aussi transmis les travaux de Mouillard sur le gauchissement aux frères Wright. Bref je ne suis pas un passionné d'histoire mais j'ai été assez surpris de ne pas connaître ces personnes alors qu'elles ont énormément dégrossi le travail!

On a quand même plus de sensations dans l'ULM que le treuil, je crois. (Ou alors c'est un sacré treuil!!!)

Non, ce sont les points de virage! En 2012 un DG1000M s'était posé à Chartres, ils revenaient du Jura et avaient viré Falaise. Très sympa de les accueillir!

Petit retour sur ce sujet for intéressant et moins polémique que ceux commentés en ce moment, J'ai passé mon brevet à Chartres le 1er août 2009, et nous avons attrappé l'onde au sud de la ville en twin. C'était vraiment sympa et comme dans le bouquin! L'image satellite de cette journée montre bien les rues de cumulus qui ne bougent pas de place et qui crééent l'onde. J'ai aussi eu connaissance de quelques récits de fins tardives de vol avec de l'ondulette en plaine, passionnant tout ça!

Finalement on a qu'à organsier un gros championnat avec des planeurs club, Std, 15m, 18m, libres, biplaces, piwis, et puis inviter des adultes, des juniors, des féminines, comme ça tout le monde concourra dans 2 ou 3 catégories différentes ce qui laisse beaucoup plus de chances de gagner quelque chose qu'un championnat normal!

Est-ce que quelqu'un peut m'expliquer l'intérêt de faire une classe juniors 15m? C'est 15m + Standards (comme à la Roche) ou juste 15m? Je ne crois pas qu'il y ait beaucoup de clubs qui mettent leurs ASW27 et leurs Ventus (pour les clubs qui en ont!!!) à la disposition des jeunes...

Surtout que le Rafale n'est pas encore champion de France!

Bonjour à tous, Ayant récemment eu des soucis de PDA j'aimerais savoir si c'est un problème courant auquel il faut que je fasse attention ou s'il y a une autre solution: Lors d'un vol en compet, mon Navigon 7310 avec XCSoar était mal branché à ma batterie externe. Suite à cela, il s'arrête. (Jusque là ca se comprend!). Ensuite je le rebranche à la batterie, il est bien alimenté, puis dès qu'il capte les satellites XCSoar plante. Résultat, plus de GPS dispo pour le vol. Pour info j'ai mis XCSoar en AutorunCE.exe, je n'utilise pas de logiciels type Miopocket. Du coup, est-ce que c'est courant pour un Navi-con? (D'ailleurs je recherche un support ventouse pour ce GPS, vu les prix pratiqués sur internet (35€), si quelqu'un en a un dont il se sert plus je suis preneur) Voilà, merci à ceux qui sauront me conseiller!

Merci pour vos réponses! Malgré ma tentative de recherche sur le forum je n'avais pas trouvé le sujet qui correspondait. C'est chouette de voir quelques photos. Je peux enfin dormir sur mes deux oreilles et partir voler l'esprit tranquille!

Bonsoir tout le monde, Une question essentielle me turlupine l'esprit et m'empêche de dormir et de voler depuis plusieurs jours. D'où vient le terme "BO" que l'on utilise pour désigner nos précieux trolleys de queue? Ma culture vous remercie!

Bien le bonsoir, Etant vélivole à St Gaudens, je me dois de prêcher au nom de ma paroisse St Gaudens est un petit club idéal pour l'apprentissage, car il n'y a pas la foule des grands clubs. Cela permet de faire de longs briefings le matin, et de voler souvent avec le même instructeur. De plus, la présence de la montagne à proximité du terrain permet de voler toute l'année (mon dernier vol en 2012 le 15 décembre en thermique sur la montagne!), et en plus c'est joli Les tarifs sont très corrects, inscription 135€, biplace école 16€ et remorqué standard 22€. 1h pile de Toulouse en voiture, et possibilité de covoiturer car pas mal des membres du club viennent de là (comme moi). Plus d'infos: http://www.planeurs-saintgaudens.fr/ N'hésite pas si tu as plus de questions!

Salut! Je ne dis pas que par un article de journal il faut "recruter" tous les chalands du coin, mais le message serait plutôt: quitte à faire un article de journal, autant ne pas donner une image négative de notre activité! C'était peut être confus ce que j'ai dit avant. C'est pourquoi il est important, quand nous recevons des journalistes, de les "briefer" et de donner les bonnes infos, d'expliquer les choses de manière simple et pédagogique (exemple: toutes les secondes nous gagnons 3m d'altitude).

Bonjour, Je reviens sur ce sujet avec un article du 20 minutes que j'ai retrouvé, qui illustre bien ce manque de communication entre vélivoles et médias. Je me permets de souligner tout ce que je trouve nuisible à notre image et/ou faux: TEST - Les occasions de se prendre pour un insecte volant (c'est négatif!), se jouant du vent, sont rares. Alors elles ne se refusent pas… Rendez-vous est donné à 11 heures sur l'aérodrome de Gap-Tallard, à quelques kilomètres de Gap. Quelques minutes pour faire connaissance avec la machine, la Lambada: 15 mètres d'envergure, 472,5 kg maximum (pilote et passager compris) et (surprise) un moteur, pour plus d'autonomie. Je suis prévenu d'emblée: ça va secouer (négatif), car le vent souffle... et fort. Assis à côté du pilote, sous une bulle transparente, ma visibilité est optimale. Dans la peau d'un insecte En 10 minutes seulement, l'altitude requise pour couper le moteur est atteinte: 2.700 mètres (j'aime pas le terme d'altitude requise, et puis on coupe pas le moteur à 2700m partout, ou alors le remorqué est pas cher!). Etonnant, nous sommes à 100 km/h et faisons du sur place en raison du vent soufflant à 90 km/h. Seul le bruit de ce dernier se fait entendre, on a le sentiment d'être un insecte volant (à condition de pouvoir se mettre dans la peau d'un insecte volant) tant l'aéronef est à la merci du vent (bon on fait pas du cerf volant non plus!). Mon pilote, Nicolas, va d'ailleurs plutôt se jouer du vent. Comme un jeu vidéo Prenant les courants ascendants, il nous permet de gagner 3,5 mètres d'altitude (c'est pas beaucoup si vous voyez ce que je veux dire!), sans bouger, avec une grande stabilité, au dessus du relief. Mon estomac (j'aime pas quand on parle du fait que le planeur peut rendre malade, c'est peu vendeur) lui dit merci. Nous sommes alors à 3.000 mètres d'altitude, avec un paysage à 360° (ca c'est chouette!). Je prends le manche le temps de quelques instants, un coup à gauche, un coup à droite, la réactivité du planeur a de quoi surprendre. On se croirait dans un jeu vidéo. Sauf que non. Atterrissage en douceur Après 50 minutes de vol, il est temps de redescendre... et de renouer avec les turbulences. 10 minutes plus tard, le planeur se pose tranquillement sur le tarmac. Je suis libéré de ma bulle, le sol se dérobe sous mes pieds, j'ai l'estomac en vrac (pas vomi !), mais suis très heureux de cette expérience unique de vivre une heure au fil du vent. Le plaisir est réel et on en prend plein la vue. J'ai aimé Les sensations inhérentes au fait de planer, d'être soumis au gré du vent, les paysages. J'ai pas aimé Les turbulences (prévoir un sac, au cas où). Ayant fait quelques baptêmes ces derniers temps je remarque aussi que l'accueil des passagers, les explications diffèrent beaucoup d'un pilote à l'autre, sans forcément expliquer grand chose aux pax, et du coup sans suciter grand chose chez eux à part leur vendre des sensations et le sentiment d'avoir fait un truc dangereux car pas de moteur. Je pense que c'est bien de leur expliquer rapidement qu'à 1000m de haut on peut planer 40km, qu'on prend des marges pour toujours revenir au terrain etc..., ca les rassure et ils comprennent mieux l'intérêt de notre sport!

La simultanéité de la Roche doit effectivement jouer... avec 76 inscrits, cela laisse peu de chances... C'est fort dommage, ayant participé au biplace 2012 j'avais trouvé cela fort sympathique et attends l'année prochaine avec impatience pour renouveler l'expérience! Bon courage pour la suite

Bien le bonjour, Je suis un jeune vélivole (campagne et compet). Pour moi, il faut différencier la vraie peur de l'appréhension. Cela m'arrive souvent d'avoir une certaine appréhension avant de voler, mais je pense qu'il s'agit d'un stress positif. L'idée d'avoir fait sa prévol, son CRIS correctement, s'être répété mentalement la procédure casse cable (treuil ou remorqué), fait retomber cette pression. Pour voler en local, c'est bien de s'entrainer au sol à calculer son local, pour le faire facilement en vol et se rassurer. Bons vols

Ok je me suis emballé Mais l'idée d'avoir un PDA (ou reader ou autre) avec écran anti reflet est une super idée