JMP

Est-ce que quelqu'un aurait une vidéo montrant le montage complet d'un planeur en utilisant un montage homme seul ? Sur YouTube, je n'ai trouvé que cette vidéo que je ne trouve pas extraordinaire : Merci d'avance :lol:

http://www.koreus.com/video/australie-tempete-poussiere.html

Question peut-être bête : savez-vous si le GSAC accepte / tolère l'installation du PDA sur le tableau de bord (naturellement sans cacher les instruments) ? Merci d'avance :rolleyes:

De passage dans une médiathèque, j'ai trouvé la réponse dans un vieux dictionnaire, qui donne comme définition du vol à voile, "un type de vol particulier aux voiliers pourvus d'ailes longues, qui tirent profit des courants aériens" (oiseau voilier = "celui dont le vol est très étendu").

Ca doit etre trop simple :lol: ...... allez Robert fait un effort et arrête de bouder ! Je ne suis pas certain que Robert soit le seul dans ce cas. L'appareil photo a été supprimé, mais avant que cela ne se fasse, il y avait clairement une réduction notable de l'utilisation de ce moyen, et si je me souviens bien, les gens avaient été prévenus longtemps à l'avance que celui-ci allait disparaître. J'ai mon logger perso, mais j'imagine facilement la tête de ceux qui utilisent, voire viennent d'acheter, un GPS d'occasion type Garmin, pour faire leurs "petits" circuits... Comme le propose Mik-Mik, pourquoi vous ne laissez pas les gens continuer à déposer leurs vols provenant de ce type de GPS, sans pouvoir utiliser la super-fonctionnalité :lol: que vous venez de mettre en place ?

Pour ma part, j'ai un ASW24E depuis quelques années. Avec le moteur et le pilote, il pèse environ 400kg, soit une charge alaire de 40kg/m² (de mémoire pour le même poids, le Discus sera un peu moins chargé, car il doit avoir une surface alaire de 10,5m² contre 10m² pour l'ASW24). Malgré cette charge alaire plus élevée qu'un planeur standard classique à vide, j'estime minime l'effet du surpoids en spirale, et je pense que c'est surtout une question d'habitude de voler chargé (d'ailleurs lors d'une journée bien pourrie sur mon terrain, les jeunes qui volaient en K8 et K6 montaient à peine mieux que moi dans quelques pompinettes qui trainaient). D'un autre côté, le planeur accélère plus vite, et le surpoids est concentré dans le fuselage et non pas dans les ailes : l'inertie en roulis est moins importante qu'avec le même planeur balasté avec de l'eau. PS: je vole dans la Marne, une région à l'aérologie pas toujours très généreuse...

Dans le même genre, en 1976, un 500 km en triangle en Ka8 par un Belge dans le nord de la France. De mémoire, il avait quand même mis 10 heures pour le faire...

Moi, cela a failli m'arriver en championnat de France avec un certain ... [censuré] ... pilote de haut niveau qui a intégré ma spirale : il a fait une ressource dans la pompe où j'étais en spirale, pour se retrouver à une dizaine de mètres juste devant moi. Je pense que le Flarm, c'est très bien, mais il y a aussi du travail à faire du côté de certains pilotes. Histoire de relancer un sujet qui me tient à coeur, mais pas à tout le monde apparemment : http://www.volavoile.net/index.php?showtop...amp;#entry42580

Impressionnant, mais complètement taré... Il me semble l'avoir déjà vu il y a une dizaine d'année, mais il était beaucoup plus "sage", et il s'amusait uniquement dans les rues piétonnières. Le pire c'est qu'il a l'air de vendre son matos. Son site : http://www.buggy-rollin.com/ Quelques autres vidéos : http://www.youtube.com/user/buggyrollin

Il me semble que la plupart des avions de ligne sont équipés de ce système de secours, peu connu et que l'on voit très rarement d'ailleurs... http://en.wikipedia.org/wiki/Ram_air_turbine (un des liens cités à la fin raconte d'ailleurs une histoire assez halucinante : http://fr.wikipedia.org/wiki/Planeur_de_Gimli) Lors d'une conférence pendant les journées Vol à Voile à l'ESIEE, un conférencier a fait un exposé sur l'aspiration de la couche limite pour améliorer la finesse. Les moyens envisagés pour actionner la pompe étaient soit d'utiliser l'énergie solaire, soit d'utiliser une petite "éolienne" (dans ce cas, de mémoire, le gain sur la finesse était nul, à cause de la trainée induite par l'éolienne).

Un site sur le sujet avec quelques photos et vidéos impressionnantes : http://pic1.piczo.com/valuca/?g=26731427&cr=1

J'ai un ASW24E depuis 5 ans maintenant, et j'en suis très content. Voici un certain nombre d'informations en vrac, que j'avais envoyé par email au principal intéressé. Quand je l'ai acheté, j'avais environ 1000h de vol et fait du pégase, du discus, différents planeurs à volets... J'ai été un peu surpris, car d'habitude quand je prenais un nouveau planeur, je le prenais en main assez rapidement, et celui-ci m'a demandé un peu plus de temps (bien que des copains qui volaient un peu dessus, le trouvaient très agréable), d'autant plus qu'il n'avait pas de winglets (qui améliorent nettement l'efficacité des ailerons). J'ai eu confirmation par d'autres pilotes d'ASW24 que ce planeur demandait quelques dizaines d'heures avant de bien sentir la machine. Les ailerons sont très petits, et nécessitent de la vitesse pour qu'ils prennent de l'efficacité au décollage. Cela se passe relativement bien en sortant légèrement les aérofreins au décollage (si j'ai bien compris, cela évite la formation d'une bulle laminaire à basse vitesse, qui décroche spontanément et qui déséquilibre alors le planeur). Le remorquage s'effectue sur le crochet de treuil (sauf en présence d'un crochet de remorquage), et la roulette de queue me semble indispensable (je ne sais pas s'il existe d'ailleurs une version avec patin) car elle permet d'éviter au planeur de partir en cheval de bois. En pompe, c'est vrai qu'il n'est pas très avantagé du fait : d'une surface alaire de 10m², contre 10,5m² en général pour les autres planeurs standards, du moteur, qui augmente encore sa charge alaire (pour un pilote de 75kg, environ 39kg/m²). mais, je fais des compétitions, et même si je finis dans les derniers en championnat de France, je ne vois aucune différence avec les autres planeurs standards aussi bien en pompe, qu'en transition (les différences sont vraiment très minimes, et c'est plus le pilote qui est mauvais, que la machine). Par contre, en fin de journée ou par très petit temps, quand il faut gratter du 0,2 m/s, c'est vrai que j'aimerai avoir un moteur jetable... Certains pilotes trouvent que l'ASW24 est une machine qui se pilote beaucoup, mais je pense que ce sont surtout des gens qui volent peu sur cette machine, ou qui sont peut-être un peu trop centré arrière (c'est juste mon avis). Le problème du motoplaneur, c'est la prise de décision de sortir le moteur. Quand je commence à descendre bas, je travaille toujours en local d'un champs, et je me donne une altitude minimale sous laquelle je m'interdis de descendre (300m sol, et c'est bas !). En effet, même si la procédure de démarrage est relativement simple, un pépin est vite arrivé et le sol arrive vite quand le moteur est sorti et qu'il ne démarre pas (finesse mesurée = 10). Les rares pépins que j'ai rencontrés sont du genre : robinet coupe-feu fermé, moteur pas complètement sorti (j'étais un peu pressé de démarrer le moteur), problème avec le capteur de position "moteur sorti". A part ces 3 incidents, il démarre très bien en l'air ("je touche du bois"). Pour ma part, j'utilise surtout le moteur pour éviter de me vacher. Je décolle plutôt au treuil ou en remorqué quand je le ballaste (on peut néanmoins décoller en autonome quand il est chargé à 46kg/m², mais je n'aime pas trop). J'utilise donc relativement peu le moteur. La rentrée de l'hélice est un peu délicate au début de la prise en main : il faut voler à basse vitesse (100km/h sinon l'hélice se met à tourner malgré le frein d'hélice), près de la vitesse de décrochage, avec un centrage qui bouge légèrement. Les différents problèmes que j'ai rencontré en terme d'entretien : le pot d'échappement est suspendu, mais pas amorti... résultat, il tape sur le démarreur et crique assez rapidement. J'ai collé depuis un bout d'amiante assez épais sur le démarreur, et les criques n'apparaissent plus sur mon nouveau pot. le vérin électrique de sortie du groupe motopropulseur est calculé juste en terme de course. Sur le mien, les 2 câbles de retenue étaient un peu longs, et le vérin arrivait systématiquement en butée interne... résultat, le réducteur interne roue vis sans fin a commencé à s'usiner, et j'ai dû le remplacer. à la prise en main, j'ai abîmé l'hélice en la rentrant (petits pets d'environ 0,5cm²), et j'ai dû réparer avec le mécanicien du club, Rotax vient de sortir un nouveau BS très contraignant en terme de maintenance, car en gros avec le croisement des différentes échéances annuelles, il faudrait déposer le moteur tous les ans !!! D'ailleurs, si j'ai bien compris, Rotax ne fait plus de pièces détachées pour ce moteur... on ne vit plus que sur le stock actuel ! Le train d'atterrissage est un peu trop arrière, et si on met les gaz trop vite au décollage, il se met sur le nez (ce n'est pas trop génant sur une piste en herbe, mais sur une piste en dur...). De même, pour vérifier le régime max avant de décoller, il faut que quelqu'un maintienne la queue du planeur au sol. Au niveau finition du cockpit, c'est l'un des plus beaux planeurs que jamais vu. Un détail important : il ne faut pas être trop grand. Cela dépend beaucoup de la morphologie, mais je mesure 1,82m et j'ai un à deux centimètres au-dessus de la tête...

Je commence à me demander si en fait l'expression "oiseau voilier" ne viendrait pas d'une analyse scientifique erronée du vol de ces oiseaux, c'est à dire que l'oiseau qui aime voler dans le vent (= oiseau ventolier, si j'ai bien compris), utilisait ce vent pour se maintenir en l'air, à l'instar des bateaux de l'époque qui utilisaient le vent à l'aide de voiles pour se déplacer sur les mers... en plus clair, qu'il utilisait ses ailes comme des voiles pour se maintenir en l'air D'ailleurs, je viens de retrouver dans un vieux dictionnaire en ligne de 1863 ( http://francois.gannaz.free.fr/Littre/xmli...bmit=Rechercher ), une définition de l'adjectif vélivole :

D'après l'article de Wikipédia concernant le vol à voile, "l'origine du nom « vol à voile » vient de l'analogie avec la navigation maritime". Cette explication me laisse perplexe, car j'avais vaguement compris que l'origine était plutôt à rechercher du côté des oiseaux voiliers, qui d'ailleurs ornent les insignes FAI. Si quelqu'un pouvait éclairer ma lanterne, cela serait sympa. Merci d'avance.

Sur le LX5000, après avoir saisi le mot de passe (96990), il doit y avoir un menu du genre NMEA. Pour Winpilot, il faut envoyer les phrases GPRMC, GPGGA, voire GPWPL avec Winpilot Pro. Pour SeeYou, il faut regarder la doc, mais cela doit être certainement la même chose.

Est-ce que ton LX5000 envoie bien les phrases NMEA attendues par l'IPAQ ? Sur le site de Winpilot, il doit toujours y exister un petit programme qui s'appele WinPilotTTyiPAQ.exe pour voir ce qu'envoie le LX. As-tu paramétré correctement l'envoi des phrases NMEA ? (j'ai un LX6000, version simplifiée du LX5000, et il existe une page où il faut spécifier les phrases que le LX doit envoyer) Bon courage.

Des nouvelles ? Ou ai-je loupé la parution de ces textes ? :lol:

Si cela intéresse certains, j'ai réécrit le tableau d'entretien en français, grâce notamment à l'aide de Klaus (merci encore Klaus ). Cette version est plutôt orientée pour le Rotax 275, ce qui explique la présence de quelques "sans objet". Si vous trouvez des imprécisions, ou des erreurs de traduction (je ne suis pas très doué à ce niveau), je vous remercierai bien de me les indiquer pour que je corrige cette traduction. Attention : c'est toujours la version originale qui fait foi. 1 Faire un point fixe 2 Resserrer les écrous de culasse (2) 3 Effectuer un contrôle du jeu des roulements de la bielle, sur le moteur froid et enregistrer la mesure dans le carnet moteur. Contrôler que la mesure est dans les limites, et qu'il n'y a pas d'augmentation brusque dans l'historique des mesures. 4 Resserrer les boulons de fixation de l’échappement (2) 5 Vérifier visuellement l'état du moteur (3) 6 Vérifier le câble du lanceur à main 7 Vérifier le démarreur électrique 8 Inspecter la bougie d'allumage (suivant le manuel d'utilisation) 9 Remplacer la bougie d'allumage (suivant le manuel d'entretien) 10 Vérifier le système d'allumage 11 Vérifier et nettoyer l'intérieur et la fixation du capuchon de bougie 12 Lubrifier le joint sphérique d'échappement 13 Changer les ressorts du pot d'échappement (11) 14 Lubrifier les câbles de commande (5) 15 Vérifier l'équilibrage et l' alignement de l'hélice (4,5) 16 Inspecter les boulons de fixation de l'hélice (5) 17 Sans Objet 18 Vérifier le filtre à essence 19 Remplacer le filtre à essence 20 Vérifier le carburateur et le re-régler (vitesse de ralenti, tension du câble, position du papillon…) 21 Nettoyer le carburateur et vérifier l'état d'usure 22 Vérifier la pompe à essence (mesurer la pression d'alimentation) 23 Remplacer la pompe à essence 24 Vérifier le niveau d'huile du réducteur 25 Remplacer l'huile du réducteur 26 Vérifier et régler le réducteur et la charge des rondelles Belleville (réducteur type B ) 27 Sans Objet 28 Sans Objet 29 Vérifier le rupteur et le condensateur 30 Vérifier la résistance de la bobine de rechargement et remplacer si nécessaire (280-330 ohms) 31 Vérifier le point d'allumage 32 Remplacer le rupteur et le condensateur 34 Inspecter la culasse et la couronne du piston 35 Inspecter le mouvement libre des segments du piston 36 Vérifier le diamètre du piston (6) 37 Vérifier le jeu à la coupe des segments (6) 38 Vérifier le jeu axial des segments 39 Vérifier le diamètre du cylindre (6) 40 Vérifier la cylindricité du cylindre (6) 41 Remplacer la culasse, le joint de culasse et le joint d'échappement 43 Vérifier la compression 44 Vérifier l'axe du piston et le roulement à aiguilles 45 Remplacer l'axe du piston et le roulement à aiguilles (9) 46 Remplacer les joints d'étanchéité extérieurs et les roulements principaux si nécessaire 47 Remplacer les tuyaux d'essence 48 Remplacer la membrane du carburateur 49 Vérifier la conformité du moteur avec les BS 50 Vérifier le piston et les segments (10) 51 Vérifier l’absence de faux rond du vilebrequin (au niveau des portées de roulement) (1) dans chaque programme d'entretien, une visite prévol et une inspection journalière devraient être effectuées (2) et après chaque remplacement du joint de culasse (3) vérifier l'absence de rouille sur la surface externe, vérifier visuellement le cylindre, les ailettes de refroidissement et l'état du piston, en enlevant le tuyau d'échappement (4) aussi après chaque avarie (5) suivant les instructions du fabricant (6) limite d'usure : voir le manuel de réparation (9) si roulement à aiguilles installé (10) et utiliser un piston plus grand si nécessaire (11) et chaque fois que nécessaire

Est-ce que quelqu'un aurait traduit et réécrit complètement le tableau du programme de maintenance ? Merci d'avance, JMP

J'envisage de cacher les différentes antennes du FLARM et du logger, sous la casquette du tableau de bord d'un ASW24. Savez-vous si la casquette est en fibre de carbone ou en fibre de verre ? Merci d'avance :lol:

Je crois que j'ai fait une connerie en lançant cette idée de double concours de décoration de remorque : lancé il y a un an, il n'a malheureusement pas motivé beaucoup de monde. A croire que décorer des remorques pour faire de la promotion pour le vol à voile est une idée bien nulle... Est-ce qu'il y a des personnes ou des clubs qui ont l'intention de décorer une remorque dans l'année, pour participer au 2nd concours ?

Salut Yves, Moi, c'est plutôt le "Ptérosaure Quetzalcoatlus northropi" qui m'aurait fait flippé en vol, bien qu'à priori il ne s'agissait que d'un "gros pélican" piscivore : http://fr.wikipedia.org/wiki/Quetzalcoatlus http://www.utexas.edu/tmm/vpl/casts.html

Personnellement, je crois que : la règle de l'évitement dans le plan vertical (en sortant tous les AF) est à effectuer surtout en cas de détection beaucoup trop tardive (1 à 2 secondes avant la collision). Dans ce cas, je suis persuadé que c'est le seul moyen d'éviter alors la collision (ça ne serait vraiment pas de chance, si l'autre pilote qui ne m'avait pas détecté non plus, réagisse de la même façon, au même moment...). la règle d'évitement par la droite est certainement meilleure si on a suffisamment de temps pour réagir. Enfin, c'est juste l'avis d'un vélivole lambda.

Y'en a qui sont doués... moi il m'en a fallut bien plus, pour faire 29.138 C'est marrant ce jeu "simple"... mais à force d'y jouer, je sens que je vais faire des rêves bizarres cette nuit.

Vu le manque de participants (3 remorques décorées) et l'importance du prix offert par Swing Air Import (un vario électronique Tasman TAS-V100 d'une valeur de 538 euros), le 2nd concours est prolongé en attendant d'avoir un minimum de 15 remorques décorées dans le but de faire de la promotion et de la publicité pour notre sport favori. Même en n'étant pas artiste dans l'âme, on peut avec peu de moyens financiers, un peu de temps et un peu de méthode, réaliser une décoration de remorque satisfaisante. Pour ma part, avec 15€ de film plastique autocollant noir et une vingtaine d'heures de travail seul (à plusieurs, elle peut être faite en une après-midi), j'ai réalisé une décoration sur une des faces latérales de ma remorque. En voici une partie: http://img89.imageshack.us/img89/3412/extraitee1.jpg Si vous voulez des conseils, vous pouvez me demander.