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Denis F

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Messages posté(e)s par Denis F

  1. L'hélice de tous les avions à pas fixe que j'ai pilotés, sauf ceux avec réducteur, continue à tourner si on coupe sauf si on réduit significativement la vitesse, bien en dessous de la vitesse de finesse max. Sur les avions/motoplaneur dont on peut mettre l'hélice en drapeau, l'hélice s'arrete plus facilement en effet (quoi que je n'aie jamais essayé sur un avion à pas variable de couper le moteur, mais je me rappelle que pour ma MEP l'instructeur n'avait pas eu de difficulté à arrêter l'hélice) , mais c'est un cas particulier comme le réducteur.

    As-tu des exemples de machines à pas fixe sans réducteur dont l'hélice s'arrête naturellement quand on coupe le moteur sans devoir aller sous la vitesse de finesse max?

    Le seul avion dont j'ai coupé le moteur volontairement, je confirme que l'hélice s'est bien arrêtée. C'est à ce moment que j'ai regretté qu'il n'ait pas de démarreur :sick:

  2. Tu veux dire "TopTherm" qui n'est qu'une petite partie de PC_MET ("aeroweb" allemand) ?

     

    non, je voulais bien dire PC_MET, puisque c'est ça qu'on achète, et que ça comprend non seulement TopTask* Java (pour voir TopTherm*) mais aussi SkyView**, dont j'aimerai bien savoir ce qu'il permet de voir et si c'est utile...

     

    *à ne pas confondre évidemment avec TopMeteo :crying:

    **à ne pas confondre évidemment avec SkySight :speeeeed:

     

     

    Et ben pour être honnête, je suis assez rarement déçu par ses prévisions même si le maillage est un poil trop grand.

     

    C'est hyper lisible, les DPV sont largement paramétrable (je les place avec pilotage 115%, Vz mini 0.5, plaf mini à 600m et charge alaire à 45/47kg), et il est très très fort pour déterminer les rues (la petite diminution du vent au sommet de la couche convective que l'on retrouve bien sur météo parapente).

     

    Le profil de convection fait que tu sais tout de suite si tu t'es planté dans la prépa du vol.

     

    Ce qui est encore plus marrant, c'est qu'à long terme, sa première intuition est souvent bonne (très souvent il t'annonce grosse journée à J+4, réduit ses ambitions jusque la veille, et redevient bon la veille au soir^^).

     

    Cerise sur le gâteau, fait apparaître vite fait bien fait les ondes sur le baro (surtout en plaine). S'il y'en a, laisse tomber, c'est effectivement une journée ou les cumulus seront beau de loin mais loin d'être beau....

     

    Enfin bref, super outil pour une lecture rapide, mais personnellement je jongle toujours avec Arome, météo-parapente, puis toptherm pour tracer mon vol.

     

    En plus, les concepteurs sont assez ouvert pour écouter ce que tu as a dire sur ta vision des sols et de leur influences sur les prévi, chose que TopMétéo est incapable de faire (et puis topmeteo c'est de la m... ça change tout le temps, et ça ne marche qu'en climat continental).

     

    Dans quelle coin voles-tu ?

     

    "il est très très fort pour déterminer les rues (la petite diminution du vent au sommet de la couche convective que l'on retrouve bien sur météo parapente)."

     

    Il y a une prévision de rues de nuages ??? Sous quelle forme ?

     

    "fait apparaître vite fait bien fait les ondes sur le baro (surtout en plaine)."

     

    Qu'entends-tu par là ?

  3.  

    J'aime bien AROME sur Aeroweb/maille fine mais c'est hyper lent et la hauteur de couche limite ne distingue pas le sommet des thermiques purs du sommet des cumulus, ni les précipitations. Il est plus rapide (et avec les précipitations) via meteociel mais il manque la hauteur de convection... :sick:

     

    Je vais jeter un œil à velivole.fr :flowers:

    Avec MétéoCiel tu peux faire des sondages dans AROME, mais c'est un peu laborieux.

    Sur velivole.fr le petit émagramme en marge droite permet des sondages prévus rapides (AGL ou AMSL)

    et il y a "BaseCums" que tu peux associer à "Cums" pour aller sonder aux bons endroits....

    "Cums" est une sortie directe d'AROME alors que "BaseCum" est un calcul RASP

    genre "formule d'Espy" avec T-Td au sol.

     

     

    velivole.fr c'est un bon début mais l'ergonomie est un peu rude...

     

    et peut-être un brin optimiste sur les Vz :speeeeed: :

     

    demain 12 h à La Roche sur Yon, des Vz moyennes à 1,36 m/s (maxi 2,24), avec 520 m QNH de plafond (450 m sol en moyenne, parfois 200 m), 8/8 de cirrus, 8/8 d'Altocu et 8/8 de Sc :!!:

     

     

     

     

    tumblr_p9tg39HpD91umtbhho1_1280.jpg

  4. DWD fait tourner les modèles ICON (échelle globale) sur 7 jours (2 initializations par jour) et ICON nested (échelle Europe) sur 3 jours (4 initialisations par jour). A l’échelle de l’Allemagne le modèle COSMO-DE tourne sur 27 heures tous les trois heures.

     

     

    TOPTHERM utilise le profil vertical d’un point de la grille par région au rhytme d’une heure pour les prévisions des ascendances thermiques et dynamiques. Les trois premiers jours le profil provient de ICON nested, ensuite de ICON (global). COSMO-DE n’est pas utilisé pour TOPTHERM.

     

     

    ICON nested a remplacé COSMO-EU en 2016.

     

    Merci pour ces précisions.

     

    Il me semble assez stupide avec un modèle relativement fin que ICON-nested d'utiliser le profil sur un seul point par région. Ne serait-ce pas plutôt une moyenne ? Ça me rappelle quand meteo-parapente s'est mis à utiliser AROME, si par malchance on cliquait sur un point situé entre 2 cumulus prévus on avait une prévision de thermique pur tout pourri et les utilisateurs en concluant que ça ne valait rien, alors que c'est pourtant fidèle à la réalité. :mdr:

     

    D'autre part, en plaine, le fonctionnement par zone n'est pas très utile, par exemple pour situer un front de brise. :sick:

     

    SIC;

     

    TopMeteo exploite ses propres modèles météo.

     

    Chaîne de modèles :

    1.Le Global Forecast System (GFS) des États-Unis initialise notre modèle régional avec des données.

    2.Notre propre modèle régional transforme les données, avec une physique différente, une résolution différente, des calculs numériques différents et des priorités et des calibrations différentes pour les paramétrages.

    3.Mais comme cela ne suffit encore pas pour nos services spécialisés, nous avons encore un modèle de convection à très haute résolution pour parachever la chaîne de modèles.

     

    Le résultat est donc nettement différent du GFS.

     

    Le résultat est quand même vachement limité par la grosseur de la maille du GFS (28 km ?). Dommage qu'ils ne se mettent pas à un modèle plus fin maintenant que ceux de Météo-France sont accessibles (pour le DWD, je ne sais pas si c'est le cas).

     

    Cette année il me semble que la qualité de Topmétéo a nettement baissé, notamment les prévisions de précipitations/orages très pessimistes et souvent mal localisées. Les années précédentes, les cartes de nébulosité étaient mises à jour après coup d'après les images satellite (sans doute pour recaler leur modèle ?), ce n'est plus le cas (au moins pas en France) :blush:

     

    J'aime bien AROME sur Aeroweb/maille fine mais c'est hyper lent et la hauteur de couche limite ne distingue pas le sommet des thermiques purs du sommet des cumulus, ni les précipitations. Il est plus rapide (et avec les précipitations) via meteociel mais il manque la hauteur de convection... :sick:

     

    Je vais jeter un œil à velivole.fr :flowers:

  5. Il y a une option et des aides en français

    et un abonnement avantageux par la FFVV....

     

    Peux-tu préciser les conditions de cet abonnement FFVV ???

     

     

     

    Les descriptions étant succinctes, des utilisateurs pourraient-ils nous éclairer un peu...:

    Merci d'avance

  6. pour tourner les chose autrement, n'importe qui, ancien pilote ou non, peut voler en PAX avec un ami pilote à jour de sa qualif emport de passager.

     

    à quoi lui sert la licence Duo ? A part participer au renflouement des caisses de feu la FFVV, ce qui est bien sûr louable :flowers:

  7. Jusqu'ici j'avais cru comprendre qu'un ressaut hydraulique n'était pas dû à une transition laminaire-turbulent, mais à une transition torrentiel-fluvial.

     

    Je pense que ce dont tu parles c'est le ressaut hydraulique dans les liquides, qui est est un phénomène physique connu et reconnu scientifiquement, ce qui n'est pas forcément le cas du "prétendu ressaut hydraulique" (je cite le titre du pdf de Gabriel :peace: ) dans le cas de l'onde de ressaut, ou du saut de Bidone :sick: , même si ceux-ci ont certainement un rapport avec celui-là.

     

    D'ailleurs, dans le pdf, le schema de la figure p11 "transition laminaire turbulent -dans les montagnes ça ressemble à ça", ça s'explique par un saut hydraulique avec deux masses d'air séparées par une inversion, celle du dessous plus dense se comportant comme un liquide qui se déverserait du haut de la montagne.

  8. Je persiste à penser que le fait que le grand public connaisse mieux le mot "planeur" n'est en aucun cas un avantage, puisque ça les conforte dans l'idée qu'on ne fait que des vols planés de quelques minutes.

     

    Quitte à changer de nom, c'est planeur qu'il faudrait renommer avion à voile, comme segelflug sailplane etc. et plus en rapport avec notre sport.

  9. La navette spatiale est un planeur

    L'Airbus A320 de Sully est un planeur

    ...

    Font-il pour autant du vol à voile, comme les oiseaux et les vélivoles ???

     

    Bien sûr il faut optimiser le référencement pour que ceux qui cherchent "planeur" trouvent nos clubs et fédé. Mais une fois tombés au bon endroit, le plus important est d'expliquer qu'un vol en planeur, contrairement à ce que suggère cette expression et à la croyance trop répandue, ne consiste pas à faire un vol plané de quelques minutes mais à jouer avec les courants ascendants.

     

    Pour cela, l'exotisme de "vol à voile" n'est pas un handicap, c'est un atout !

  10. L'augmentation de la viscosité (plus faible que la diminution de la masse volumique) va dans le bon sens car elle tend à faire diminuer le Reynolds.

    Entre 15 et 25°C, la viscosité augmente de 2,8%, la masse volumique diminue de 3,4% et le Reynolds (voisin de 200 000 si on considère une corde de 20cm et une vitesse de 15m/s) diminue de 6%.

     

    Sauf que la température de l'air de l'écoulement est inchangée, tout comme sa masse volumique, sa viscosité et donc le nombre de Reynolds. C'est la température de la surface de l'extrados qui augmente de 10°, le réchauffement de l'air à son contact est négligeable et la seule différence éventuelle de traînée résulte des échanges thermiques au sein de la couche limite. Peut-être une limitation des décollements de couche limite laminaire, comme le fait un turbulateur ? En tout cas, rien n'indique que ce serait transposable à l'échelle d'un planeur.

  11. Non mais il faut arrêter avec la RC qui coût cher pour des dommages aux cultures :mdr: ou même pour la production d'une zone industrielle.

     

    Exemple de trucs qui ont du coûter à la RC ces dernières années (ou vont coûter une fois les responsabilités établies):

     

    (...)

     

    Le monsieur posait simplement la question de savoir ce qui a couté cher en RC et combien. Tu n'y réponds d'ailleurs pas vraiment. Tu cites une série d'accidents impliquant 2 personnes ou plus. J'avais l'idée préconçue qu'en cas d'accident de personnes, que ce soit en solo ou en biplace, c'est l'individuelle accident qui couvrait. Sous-entends tu qu'en cas d'accident en solo, le pilote ne peut compter que sur son individuelle accident, mais que si c'est dans un biplace, on trouvera toujours que l'un des deux occupants est "coupable", et l'autre sera indemnisé au titre de sa RC ? Tant qu'on aura pas des exemples concrets de ce que l'assurance RC a pris en charge effectivement (sans supputations inutiles), notre débat risque de tourner en rond longtemps. :blush:

  12.  

    On ne peut pas vraiment parler de RC planeur, ça a peu de sens, car il y a toujours un utilisateur (pilote ou pas) et c'est lui qui est concerné par la RC. Si tu fais tomber un pot de fleur de ta fenêtre sur ton voisin, c'est ta RC qui joue et pas la RC pot de fleur. C'est pareil.

     

    visiblement non. Sinon on ne ferait pas payer plus cher pour un pot de fleur privé que pour un pot de fleur club :speeeeed:

  13.  

    Ce qui coûte cher en RC c'est quand tu tue ou blesse gravement ton pax.

    Je l'ai déjà expliqué plus haut.

     

    Mais je ne suis pas certain que ce soit la RC aéronef qui intervienne dans ce cas !

     

    Si c'est le cas les biplaces devraient payer 10 fois plus cher de RC que les monoplaces (parce que emmener un passager dans un monoplace, c'est plus rare...)

     

    Je suis demandeur aussi d'informations concrètes sur qui paie quoi en cas d'accident, entre la RC pilote et la RC planeur. J'ai le sentiment que prendre une assurance différente pour chacune des deux revient à être couvert en double pour pas mal de choses, c'est courant pour les assurances de la vie courante et c'est tout bénèf pour eux, mais pour nous ça revient à payer deux fois plus cher.

     

    J'attends toujours qu'on m'explique pourquoi d'après la note de la fédé la RC d'un planeur club (ou de ceux du CNVV) coûterait zéro euros :!!:

  14. "Coût forfaitaire par aéronef : Machine club = 0 € - Machine privée = 50 à 250 €"

     

    J'ai du mal à comprendre comment un planeur club ne coûte RIEN en RC... Qu'il faille redresser les comptes de la fédé, admettons, mais si ce n'est pas une taxe arbitraire, pourquoi les clubs ne cotiseraient pas pour leurs planeurs ?

     

     

    Pour être plus précis : extrait de la circulaire fédérale :


    http://bobcrn.free.fr/ffvv.png

    Faut-il comprendre qu'un planeur appartenant à une association (non affiliée à la FFVV) n'est pas concerné ?

  15. C'est pour standardiser avec les régles en cours pour les badges FAI lignes de 1km (Départ et arrivée).

     

    Effectivement il y a deux ans l'IGC a décidé dans sa grande sagesse (?) de supprimer les secteurs FAI de + ou - 45° pour les points de départs et d'arrivée et de garder seulement une ligne de + ou - 500 m à passer dans le bon sens. Décision on ne peut plus stupide puisque ça ne rajoute rien à la valeur sportive de l'insigne FAI ou du record mais pose de sérieux problèmes de sécurité.

     

    Certes, dans la plupart des cas on peut s'en sortir en décalant le point de départ (cas des largages para verticale) ou d'arrivée (notamment quand l'axe d'arrivée ne correspond pas au QFU) mais, outre la complexité inutile (alors que l'IGC prétend avoir modifié la règle pour simplifier les choses), et ça ne posera pas de gros problème quand on arrive avec assez de marge d'altitude, à part le danger induit par la nécessité d'avoir le nez dans ses instruments au départ et à l'arrivée, mais ça conduira immanquablement à des situations dangereuses non anticipées en cas d'arrivée tangente : le pilote a le choix entre rater son épreuve et passer la ligne puis se poser en vrac n'importe où.

  16. Pour moi, le cumulus qui se suicide avec son ombre est un mythe, comme le trou de midi!.

    Un cumulus isolé peut-être, mais une rue de nuage non. Elles tendent à rester perpendiculaires au soleil, et autour de midi au soleil (vers 14 h chez nous) le soleil état proche du zénith son azimuth varie beaucoup trop vite pour que les rues s'adaptent, d'où une désorganisation sensible.

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