Yurek

Le F-CHHD a été importé par Savimex (l'importateur de l'époque) pour l'ANEG. Le F-CAJC a été importé un an plus tard pour l'ACPH Issoire (le propriétaire actuel), mais c'est vrai qu'il y a 2 ans entre la date de fabrication et la livraison en France. Mystère et boule de gomme... Il est vrai que dans les années '90 l'usine SZD pouvait très bien fabriquer en stock... ils apprenaient seulement une gestion "capitaliste" (et ils n'ont pas réussi : le dépôt de bilan et la liquidation en 2000 en témoignent). Je vais poser la question à l'Allstar, normalement ils ont repris tout, y compris les archives, mais ça peut prendre du temps.

Merci, Pascal ! C'est noté, et c'est fait. Ils sont (nous sommes) désormais 30 plieurs avec cette qualification.

La technologie des batteries est probablement le domaine technologique au développment le plus rapide actuellement. Ainsi, dans deux ou trois ans, on peut raisonnablement espérer un doublement des leurs capacités. Ce qui vent dire que l'autonomie du Silent Electro, et avec lui d'autres FES, augmentera avec le temps. Cela signifiera des couts supplémentaires, hélas, mais l'efficacité ira en augmentant.

LZ-Design, le concepteur du FES, n'envisage pas de procéder au STC pour un rétrofit, le propriétaire doit donc soit le faire lui-même, soit le demander au fabricant de son planeur. Cela ne peut pas coûter moins cher qu'une installation dans du neuf...

Aucun problème pour le parachute. Il doit simplement être séché et replié. En revanche, si l'amerrissage a lieu dans la mer, alors il faut d'abord rinçer le parachute à l'eau douce.

Une opération immobilière en vue ?

Tu serais surpris Eric, mais ça arrive. Il y a quelques années, nous avons perdu un copain, et nous étions surpris de voir que ses proches ont regardé le forum... Ils étaient reconnaissants de lire ce que nous y avons publié. R.I.P.

Le préposé tolosan a - visiblement - fermé les yeux un bref instant, ce qui lui a permi de ne pas voir l'absence du Teil-2. Tant mieux pour Matthieu et son club. Mais je trouve, disons, imprudent d'utiliser cela comme argument auprès d'une autre préfecture : le seul résultat possible est, que le type se fera remonter les bretelles, et la prochaine fois gardera les yeux bien ouverts. Car il ne faut pas oublier, que l'immatriculation d'un véhicule d'occasion allemand met en marche une collaboration transfrontalière franco-allemande: la préfecture a l'obligation de communiquer aux Allemands la demande, et leur confirmer l'immatriculation.

Très juste. J'ai eu l'occasion de participer à Challes à des tests de remorquage par deux ULM : le Phoenix (un motoplaneur) et le Peregrine, les deux en composite et aile basse. Les résultats à Challes, sur une piste en dur, étaient très satisfaisants : les deux ULM cédaient un pouillème en temps de remorquage au Midour. Sur la route du retour (le fabricant du Peregrine se trouve à coté de Berlin), le Peregrine s'est arreté à Neuhof, et nous avons fait les tests sur une piste, où l'herbe avait 20 cm de hauteur, et en plus elle était mouillée... Eh bien, ce n'était pas du tout la meme chose... La machine, pourtant excellente à Challes, ramait visiblement. Morale de l'histoire, il vaut mieux avoir une bande d'accélération en dur. Une fois en l'air, la trainée bien faible de ces ULM en composite, les fait grimper aux arbres avec un 100 ch.

Oups... Désolé Jacques, je me suis trop précipité… Vérification faite, seul le F-CUTA est un Foka-4 (SZD-24-4A), les 2 autres planeurs cités sont en réalité des SZD-24C, c'est-à-dire des "Foka C". Le Foka-3 (SZD-24-3), tout comme le Foka-2 (SZD-24-2), n'ont été construits que dans un exemplaire chacun. C'étaient des prototypes destinés à tester diverses modifications du Foka C. Alors que le 24-2 vola en campagne d'essais avec l'immat SP-2362, le 24-3, lui n'a jamais volé. Quant au F-CCHX de St Auban (un Foka C, donc), il a été transféré après sa reforme au Musée de l'Air et de l'Espace du Bourget, où il se trouve actuellement : http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/34/03/img_0724.jpg

Selon mes informations, il y en a deux Foka-4 en France : le F-AZKA au GPPA d'Angers-Marcé, et le F-CUTA, propriété de Robert Le Borgne. Il y avait un autre, le F-CCHX, à St Auban (SFA), mais c'était avant : il a été radié (reformé) en 1977.

Merci Robert pour ces bonnes nouvelles ! Elles nous font chaud au cœur !

Pas d'Everest, du moins, cette fois-ci. En revanche, il a survolé Annapurna : https://www.facebook.com/photo.php?fbid=255001364663470&set=a.218656251631315.1073741827.218475524982721&type=1&theater

J'avais déjà fait à l'époque mes 50 km, et plus de 50 heures solo, et pourtant, dans cette deuxième année de ma formation vélivole, je ressentais toujours en vol une sorte d'angoisse... J'avais l'impression d'être assis sur un pivot, et de pouvoir en tout instant basculer et tomber "dans le vide". Étrangement, plus je volais haut, et plus cette impression se renforçait. Je serrais et re-serrais vigoureusement mon harnais avant le décollage, mais ça n'y faisait rien. Heureusement, je faisais ma formation pendant mes vacances en Pologne, qui à l'époque n'était pas encore membre de l'Union Européenne, et par conséquent de l'EASA. Les programmes de formation pour les brevets de pilote, planeur et avion, étaient donc différents qu'ici. Aussi, j'ai dû faire ma formation voltige de base (tout comme au vol sans visibilité), sans quoi je ne pouvais pas être breveté. Et là, comme par miracle, en faisant des vrilles, des boucles, et des renversements, ce sentiment étrange que j'avais, et qui me gâchait mon plaisir de voler, a disparu complètement ! Je n'étais plus assis sur un pivot ! J'avais trouvé les vrais sensations d'espace tri-dimensionnelle. Je ne peux pas dire, qu'aujourd'hui je ne ressente pas l'inquiétude lorsque je me trouve bas, ou à la limite d'un local, et dire cela, serait de vous mentir. Mais ça, c'est autre chose... et surtout cette sorte d'inquiétude n'enlève rien au plaisir de voler... Mon conseil ? Faites de la voltige !

S'il s'agit d'Orange, rien ne peut m'étonner...

Je ne connaissais pas Fabien personnellement, mais j'ai eu quelques échanges des courriels avec lui, et cette nouvelle me remplit de tristesse... Bon vol, LsFab.

Pas assez cher, mon fils ! Puisque personne n'en veut...

Et voici côté atelier : un fuselage du planeur ultra-léger Axel-2 Poids de la pièce : 8,3 kg. Le poids total à vide étant de 55 kg, il reste encore de la place pour quelques bricoles...

Salut Vincent, Comme tous les plieurs, je te comprends bien... Les parachutes sont pliés, et la plupart des pilotes pensent que c'est une formalité. Peu savent le travail que cela représente. D'autant plus que les travaux sur les planeurs sont obligatoires, et même les plus indifférents sont bien obligés de poncer ou lustrer un peu... alors que le pliage se fait dans la solitude de la salle de pliage. Mais, comme l'a si bien dit Charles, c'est comme ça, et si on se décide de faire un travail bénévole, il ne faut rien attendre en retour, sinon on finit forcement frustré. En revanche, si je comprends bien, tu es le seul plieur dans ton club... Comment est-ce possible ? Il en faudrait trois ou quatre. Déjà à deux, ça serait moins solitaire et plus marrant, crois-moi. Bon courage.

Le prix de 2004/2005 que tu mentionnes, est un prix "net" chez un distributeur polonais, c'est-à-dire, sans la TVA (22% là bas à l'époque), ni transport. Il faudrait donc parler d'un prix de vente plutôt de 240 à 250 euro. Ça fait toujours une sacrée augmentation, mais tu oublies un élément important : en 2005 la Pologne est devenue un membre de l'UE ! Et depuis, la valse d'étiquettes a bien commencé là-bas... Je peux aussi donner d'autres exemples, plus près d'ici : en 1982 un sandwich jambon-beurre coûtait à Paris (pour ceux de moins de 30 ans, qui ne peuvent pas le connaître)... eh bien, il coûtait 5,00 FRF, c'est-à-dire, très exactement 0,76 € ! :lol: Mais tu as doublement raison, Vinch : 1) tu aurais dû acheter le SP-3 en 2005 ! 2) tu devrais te lancer dans la production et la vente de ce dispositif à 100 €/pièce ! En tant que vélivole, et soucieux de ma sécurité et celle des autres pilotes, je t'applaudirais de deux mains... Bonne année 2013 !

Oyez, oyez ! Voici la bonne nouvelle pour tous les amateurs du SP-3 : L'ANEPVV vient de passer une commande de 10 apareils ! Ils sont destinés aux clubs qui souhaitent les acquerir, tout en profitant du tarif de groupe proposé l'été dernier par l'Alstar PZL-Glider. Noël approche !

Il s'agit apparemment d'un virus, nommé "JS:Redirector-ACH[Trj]" :

Ici, toujours le même Perkoz en 20 m, sur le fond des montagnes de Tatras : http://4.bp.blogspot.com/-6o-vjai0koc/UKO0cAWtTtI/AAAAAAAAAhY/MACTU2T-PH0/s640/SZD-54-2_PERKOZ_fot-Sebastian_Kawa.jpg Photo Sebastian Kawa Et ça monte, et ça monte... http://3.bp.blogspot.com/-YzBVXjRgbpE/UKO3KIyu1AI/AAAAAAAAAjY/PLRl4WlUaSQ/s640/Widok+na+Pilsko+i+Kotlin%C4%99+Orawsko-Nowotarsk%C4%85.+Na+dalszym+planie+Tatry..JPG Rien d'étonnant à cela : la saison d'onde dans le Sud-Ouest de Pologne a bien commencé. Les vélivoles de l'Aéro-club de l'usine Allstar se régalent : la finesse du Perkoz en 20 m dépasse visiblement les estimations calculées. Il en résulte une décision de procéder cet hiver aux véritables mesures, pour savoir plus précisément combien...

Le SaFly est bien sûr un traceur et un enregistreur de vol, mais il est surtout un outil de suivi en temps réel. Cela a des conséquence directes : - pour la sécurité : même dans le cas d'absence d'alerte manuel du pilote, on voit l'arrêt de déplacement et on a aussi la dernière position ; avec un module accéléromètre une alerte peut être donnée de manière automatique ; - pour la surveillance : une visualisation en 2D permet d'avoir l'oeil sur la flotte en évolution, et savoir ce que font tous les élèves (l'école d'hélicoptères de l'armée de terre italienne l'utilise pour cela) ; - pour le plaisir : une visualisation en 2D permet d'organiser le suivi d'une compétition, et d'offrir une impression d'assister en direct au concours, une visualisation en 3D permet de "s'associer" à un pilote, ou de suivre le déroulement de l'ensemble de mouvements des compétiteurs (l'organisateur dispose d'un outil de temporisation, pour exclure l'usage illicite de cette information) ; - pour le "business" : une gestion de publicité intégrée, combinée avec la visualisation 3D permet aux organisateurs d'une compétition de vendre un support publicitaire, et d'offrir une contrepartie aux sponsors.

Je n’y vois aucun inconvénient, pour dire franchement les choses ! Il faut bien que quelqu’un ose poser cette question : Comment ? Bondues ne serait donc pas digne de recevoir au prochain printemps, une visite d’un joli Perkoz ? Ma foi, même en bien te connaissant, J’aurais crû un court instant à une provocation maligne… A cette idée, personnellement Cher Charles, je m’y oppose !