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delta217

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Messages posté(e)s par delta217

  1.  

    Ne jamais oublier que les temps changent:


    Salut Stéphane !

    Oui, tu as raison, mais çà mérite des commentaires. L'état a délégué à la FFVV la formation des cadres et l'organisation des compétitions. Si certains peuvent se foutre de l'absence de compétition (vol à voile loisir), c'est difficile d'envisager un vol à voile sans instructeur. Si les clubs plongent, la FFVV et le CNVV plongent, et la question est réglée : nous accrocherons nos planeurs (privés et clubs) à nos plafonds. C'est différent en vol moteur, puisque c'est l'état qui forme les instructeurs.

    Tu décris une évolution du vol à voile "à l'américaine":
    - un petit club avec un K13, 1 super javelot, un K18. Un instructeur bénévole, age moyen 67 ans. Cas favorable : le club est riche, il a 1 vieux Twin et un Cirrus. Heure de vol à 20 €. Remorquage à 25 €
    - une structure commerciale à côté avec un ou deux Duo, quelques Pégases et autres LS4. Instructeur salarié, age moyen 40 ans (encore mieux : instructrice top model). Heure de vol : 50 €, remorquage 50 €, et tu payes l'instruction 40 € (moins cher que le garagiste)
    - 30 planeurs privés sur la plateforme : ventus, ASG29, NIVD, et tous les autres (motoplaneurs). Ils se font remorquer par la structure commerciale.

    A l'entrée du terrain tu fais en enquête de CSP
    - CSP ++ : 80% radiologues, notaires, pilotes de ligne, chefs d'entreprise (qui ont réussi), avocats, etc...
    - CSP + : 15% ingénieurs, etc...
    - les autres : 5% quelques jeunes qui vont à l'école de pilotage associative, et se disent qu'ils ne pourront jamais se payer le bijou d'à côté.

    Je ne pense pas que cette évolution soit souhaitable, et milite pour maintenir notre régime associatif qui a certainement des défauts, mais qui permet un certain brassage social.
  2.  

    Ne jamais oublier que la plupart des machines achetées par des club sont des occasions qui ont d'abord été financées par des privés.
    quel serait le volume des ventes neuves en France sans les privés, ...
    quel serait le marché de l'occasion aujourd'hui s'il n'y avait pas eu de privé il y a 15/20 ans ?
    Et combien resterait il de constructeur ?

    Ca c'est de l'accueil, qui donne envie de faire du vol à voile ...

    Et pour revenir au sujet, exiger la modernité c'est aussi en finir avec ces pratiques qui étaient justifiées à l'époque de l'aviation populaire fortement subventionnée mais n'a plus de raison d'etre. Il est impératif d'évoluer pour survivre.



    Analyse complètement erronée, et d'ailleurs le contributeur lad donne lui-même la réponse : l'immense majorité du parc français, des C800 et bijaves et encore jusqu'à maintenant, a été financé pour une bonne partie avec des subventions. Il était un temps où il suffisait quasiment de passer un coup de téléphone pour aller chercher un Morane tout neuf à Tarbes sans débourser un centime. Le vol à voile vit sur cet acquis (pour les Morane, çà commence à être difficile...). Le rachat de planeur moderne d'occasion est un phénomène relativement récent, et qui montre bien que les clubs sont incapables financièrement de faire de tels investissements.

    Oui, bien sûr, le vol à voile est associatif. Donc on signe un contrat d'association et on en accepte les termes : statuts, réglement intérieur, etc... Si tu veux un bel accueil avec tapis rouge et belle hotesse, cela s'appelle du vol à voile commercial, et il n'y en a pas (ou pas encore, ou si peu) en France. Mais il te faudra payer l'hotesse, le tapis rouge, la TVA, les impots sur les bénéfices, et l'absence de subvention. L'avantage (?) sera qu'en cas de mécontentement, tu pourras te plaindre et exiger ceci ou cela en regard du contrat de prestations ou de vente que tu auras signé (voir les conditions générales au verso etc....). En associatif, l'association, c'est toi, donc si tu n'es pas content, tu présentes ta candidature aux élections.

    Je ne doute pas que l'accueil soit une source potentielle d'amélioration dans le vol à voile, mais les personnes que tu as en face de toi sont (dans 99% des cas) bénévoles, et elles font ce qu'elles peuvent sur leur temps de loisir, avec parfois (souvent ?) un dévouement insensé.

  3. banalisation, planeurs privés.... sujet récurrent

    Ne jamais oublier que pas de club = pas de vol à voile, et que l'organisation du sport en France impose des associations fédérées
    Ne jamais oublier que le privé a besoin du club pour décoller (treuil, remorqueur, qualif, vols de controle....)
    Ne jamais oublier que le privé a été formé (dans 99% des cas ?) par les clubs.

    Mais le privé, quand il vole sur son planeur privé, représente un manque à gagner pour le club (configuration - fréquente - ou un Pégase est disponible au fond du hangar).

    C'est simple : il "suffit que" le privé renvoit l'ascenseur à son club, et on en parle plus. Le renvoi d'ascenseur peut être : des heures d'instruction, de secrétariat, de maintenance, l'achat d'un forfait heures de vol (si on n'a pas le temps pour faire autre chose), le planeur banalisé, des visites médicales pour les membres du club, du remorquage, du treuillage, la réfection du hangar, bref, la liste est longue. C'est une question de bons sens.

    Après, le contrat associatif, c'est comme le mariage. Si on est pas content, on divorce et on va voir ailleurs.

  4. Comme signalé, un pneu avec un indice de charge de 500 kg pour une remorque de 1000 kg , est insuffisant ; dixit un pro car dans les chaos de la route, un pneu va supporter plus de 500 kg ;

    On espère quand même que le système prend en considération les chaos de la route, et que le pneu donné pour 500 kg supporte les 500 kg et les chaos en plus... Ceci dit, le conseil de surdimensionnement est tout à fait pertinent, surtout quand on considère le piètre usage que nous faisons de nos pneus : immobilité, soleil, sous-gonflage (?), etc...

  5. Passionnant sujet.... surtout quand on découvre à cette occasion que l'indice de charge est inférieur aux 50% du poids maxi de la remorque !

     

    errare humanum est : je me suis gouré en prenant les informations sur une roue de secours qui n'était pas la bonne, et donc tout devrait être en ordre.

     

    Ensuite, il faut savoir si on peut monter des pneus plus larges sur la même jante. Et là, çà se corse. On trouve sur internet des tableaux qui commencent aux jantes de 5 pouces. Pour mes jantes de 4 pouces, je ne trouve rien et en suis réduit à écrire au fabriquant (qui, fort heureusement, a pignon sur rue et un service qualité).

     

    Le pneumatique est un bel exemple d'oecuménisme : la largeur de roulement est en mm, le diamètre en pouce, tout le monde est content !

  6. Et bien nous allons finir par être à peu près d'accord sur pas mal de choses, y compris les parapluies et l'imcompétence susceptibles de rôder autour de nous. L'industrie française dans son ensemble est sans doute un trop gros sujet pour ce forum...

     

    "En rigoler" n'est pas pareil que "tu me fais rigoler". Dans le premier cas, c'est la situation qui crée l'hilarité. Dans le second, c'est une dérision de mes propos qui n'est pas très courtoise. Je note l'évolution.

  7. Pour répondre à Yurek : et bien c'est parfait, nous sommes en gros d'accord ! Les remorques fabriquées en Pologne sont homologuées pour toute l'Europe sauf un village gaulois (donc l'Europe a réussi), et la France te casse les pieds pour les importer en imposant ceci ou cela, soit au final 420 € de malus.

     

    "Alors, quand tu parles de la défense du marché domestique, tu me fais franchement rigoler !"

     

    Je suis à priori d'accord avec toi si tu considères le marché des clients potentiels de remorque pour planeur.

    A contrario, je tente de t'expliquer que notre chère administration fait sans doute cela pour défendre les entrepreneurs et salariés français qui produisent des remorques (à planeur, à motos, à bateaux, à chevaux, à tout faire,...). NB : ceci ne constitue pas un jugement de valeur de ma part sur cette politique de nos gouvernants (que je me garderai bien d'emettre sur ce forum), juste une tentative d'explication, et rien d'autre. Donc, il n'y a pas de quoi franchement rigoler.

     

    On peut penser que le poids économique (et... électoral) des seconds (des centaines ou milliers de remorques par an) est plus important que celui des premiers (quelques dizaines de remorques par an). Ceci explique sans doute l'attitude de nos politiques (encore une fois explication n'est pas approbation, même si çà rime !).

     

    En tout état de cause, ce n'est pas l'Europe qui t'empêche de faire autant de business que tu veux en France, c'est bien la France.

     

  8. Il semble bien difficile de quitter le petit bout de la lorgnette...

     

    Ce n'est pas pour défendre obstinément "ceux qui on pondu ou aidé à pondre cet nouveau texte", mais on peut difficilement demander à nos législateurs de tailler sur mesure une réglementation spécifiques pour les (certains) pilotes de planeur (dont je fais partie, d'ailleurs), une autre pour ceux qui tirent des caravanes, et encore une autre pour ceux qui tirent des chevaux...

     

    D'ailleurs, en ce qui concerne le vol à voile, l'opération est tout à fait bénéfique pour ceux qui tirent leur remorque avec un fourgon, les clubs par exemple. Les fourgons qui s'y prêtent bien se font rares, et cela ouvrira le champs des véhicules possibles à l'achat.

  9. Euphorie, euphorie,... c'est un bien grand mot. Disons que je trouve que cette nouvelle règle est objectivement un progrès (3500 kg à 4250 kg) et réaliste (au prix d'une formation relativement simple : ni examen, ni renouvellement).

     

    Si je suis ton raisonnement, tu considères que l'Europe a échoué car elle ne te permet pas d'importer facilement des remorques de Pologne. Tu souhaites donc plus d'intégration européenne, de sorte que les certifications polonaises valent pour toute l'Europe et la France en particulier, à l'instar de nos planeurs et avions désormais. Ton message donne à penser que tu penses le contraire.

     

    Es-tu bien sûr que ce surcroit de paperasse vienne de l'Europe ? Ne viendrait-il pas de... la France ? Il de notoriété publique que les états protègent leur industrie nationale au travers de normes et autres réglementations. Nos législateurs - encore eux - ont peut-être jugé utile d'empêcher/freiner l'importation massive de remorques polonaises ("les moins chères du marché sans aucune compromission en termes de qualité", c'est ton site qui le dit) pour défendre la production de remorques françaises ?

     

    Je ne me prononcerai pas sur le bien fondé de l'une ou l'autre des attitudes de nos gouvernants (protection des consommateurs versus protection de l'industrie - et donc de ses salariés), mais on ne peut pas en général avoir le beurre, l'argent du beurre, et la fermière.

     

    @+

  10. mais vu par mon humble petit bout de la lorgnette, ce texte est une régression, il obère nettement mes possibilités de remorquage au prix (c'est le cas de le dire) d'une formation certes intéressante, mais onéreuse. Si ça, c'est une avancée européenne, qu'est-ce que doit être une reculade ? Bref, le législateur masqué a encore frappé... :angry::angry::angry:

    Les observateurs étrangers font volontiers remarquer que la France - à moins que ce ne soit le français - est difficile à réformer. Toute réforme vue par le petit bout de la lorgnette a de sérieuses chances de présenter quelques inconvénients individuels. Mais c'est bien le rôle du législateur que de regarder au travers des différentes lorgnettes et de privilégier une solution globalement meilleure que la précédente. En l’occurrence, nous ne sommes pas les seuls à tirer des remorques : il y a aussi les chevaux, les bateaux, etc... Je maintiens que l'extension à 4250 kg est un progrès certain, et que l'imposition d'une formation est un bien.

     

    Cela dit, du bout de ma lorgnette, je regrette la barre à 4250 kg, car j'ai un autre véhicule à 4500 kg de PTRA, qui ne rentre donc pas dans le champs de l'extension !

     

    On pourrait en outre regretter l'utilisation du PTRA de la carte grise, plutôt que le passage en bascule (comme pour les permis E). Là encore, on peut imaginer que le législateur a voulu faciliter la tâche de la maréchaussée en rendant les contrôles plus aisés.

     

    Voilà un bien mauvais procès fait à nos législateurs !

    Les exemples dans l'aviation ne manquent pas : visite médicale allégée...

    Quelle euphorie !

    Où la visite médicale a-t'elle été allégée ?

     

    Licence LAPL(S) à venir :

    - critères d'aptitude assouplis

    - médecin de famille

  11. Mais ce n'est pas fini, car nos administrations ne s'arrêteront pas en si bon chemin... :angry:

     

    Voilà un bien mauvais procès fait à nos législateurs !

     

    Cette modification va entrainer une situation bien plus confortable eu égard au tractage de nos remorques : ils ne sera plus nécessaire de chercher "le" véhicule dont la combinaison des masses sera juste celle qu'il faut (masse à vide suffisamment élevée, masse en charge suffisamment basse pour passer sous les 3.5t). Avec ma 407, tirer 1600 kg deviendra possible en toute légalité. Quant au coût, c'est un progrès tout à fait réél de pouvoir aller jusqu'à 4250 kg (dans la limite du PTRA du véhicule) sans passer par le coûteux permis E.

     

    Concernant la formation, trouvez-vous normal que n'importe qui puisse tirer un attelage de 4250 kg sans la moindre formation ??? Pour des aviateurs habitués aux "lâchés" divers et variés, cette réflexion est pour le moins surprenante. D'ailleurs, je vous invite à aller voir le programme. Lequel d'entre nous peut-il prétendre être au top sur ces questions (exemple : utilisation des voies) ?

     

    Donc, une excellente réforme que nous devons à l'Europe. L'alignement des législations européennes, contrairement à ce que certains cherchent à propager, ne signifie pas systématiquement absurdité des procédures et conditions systématiquement draconniennes. Les exemples dans l'aviation ne manquent pas : visite médicale allégée, réciprocité des certifications, allègement des conditions de renouvellement, etc...

     

    Un peu de réalisme et d'objectivité, que diable !

  12. Mécanisme de train absolument génial pour se tailler un bifteak dans le petit doigt de la main gauche en relevant le train...

    Expérience vécue il y a une dizaine de jour !

     

    Pour l'anecdote, histoire authentique : mon LS1 avait du être l'objet d'un atterrissage dur. Conséquence logique, vu la fragilité du train, celui-ci était faussé. Le propriétaire d'alors avait trouvé judicieux (!!!) de rallonger le tube de guidage du train, de sorte que le train puisse être vérouillé tout de même...

     

  13. Je me suis arraché récemment les cheveux avec la réglementation relative aux charges maximales tractables (un vendeur de camping car m'avait embobinné avec un "report de charge" entre la remorque et le véhicule tracteur ; celui-ci est certes possible, mais... dans le cadre du permis E seulement - ceci m'a été confirmé par une auto-école).

     

    Le discours généralement tenu est "somme des PTAC > 3500 kg => permis E obligatoire".

     

    Ceci est inexact. Le code de la route R221-4 (lien) dit très exactement ceci :

     

    Catégorie B

     

    Véhicules automobiles ayant un poids total autorisé en charge (PTAC) qui n'excède pas 3,5 tonnes, affectés au transport de personnes et comportant, outre le siège du conducteur, huit places assises au maximum, ou affectés au transport de marchandises, ainsi que les véhicules qui peuvent être assimilés aux véhicules précédents et dont la liste est fixée par arrêté du ministre chargé des transports.

     

    Véhicules mentionnés à l'alinéa précédent attelés d'une remorque lorsque le poids total autorisé en charge (PTAC) de la remorque est inférieur ou égal à 750 kilogrammes.

     

    Mêmes véhicules attelés d'une remorque lorsque le poids total autorisé en charge (PTAC) de la remorque est supérieur à 750 kilogrammes, à condition, d'une part, que le poids total autorisé en charge (PTAC) de la remorque soit inférieur ou égal au poids à vide du véhicule tracteur et, d'autre part, que la somme des poids totaux autorisés en charge (PTAC) du véhicule tracteur et de la remorque soit inférieure ou égale à 3,5 tonnes.

     

    Donc, on peut atteler une remorque de 750 kg sur un véhicule de 3000 kg, soit un PTRA de 3750 kg, et rouler avec un permis B.

     

    A noter que le tableau excel proposé en téléchargement sur planeur.net est de ce point de vue inexact.

  14. J'ai acheté une de ces batteries de secours. Je n'ai jamais réussi à m'en servir, le HP renaclant à la charger. Jusqu'au jour où j'ai acheté un chargeur externe, et ma batterie de secours est devenue tout à fait normale (une capacité un peu moindre ?). Comme j'ai eu des mésaventures avec la batterie d'origine dans le HP, difficulté à arrêter le biniou, batterie vide en arrivant au terrain, désormais je charge tout sur le chargeur externe, et je monte la batterie juste en arrivant seulement.
  15. Bien sûr que la RC est obligatoire. Ce que je t'explique, c'est que c'est de la prendre par l'intermédiaire de la FFVV qui ne l'est pas, obligatoire !

    Et bien , nous sommes tout à fait d'accord, une (ou des) assurance(s) RC (couvrant aéronef, pilote, et club) est (sont) strictement obligatoire(s). Qu'elle(s) soi(en)t prise(s) via la FFVV ou via un autre assureur (cas des pilotes et planeurs allemands, notamment) est secondaire, en effet.

     

    Mais on s'éloigne de la question d'origine, qui était de pouvoir enregistrer des vols en qualité d'élève pilote sans avoir pris la peine de prendre sa licence fédérale. La réponse est clairement négative, à la lecture du réglement intérieur fédéral, qui oblige à être licencié.

     

    Vu que dans la "très grande majorité" des cas, cette licence est jumelée avec l'assurance RC, omettre la licence est d'autant plus problématique pour les raisons expliquées plus haut.

  16. Je ne confonds rien du tout ! Je parle bien de l'assurance responsabilité civile.

     

    1/ Elle n'est pas "en principe" obligatoire, elle est obligatoire tout court (réglement intérieur de le FFVV, repris dans les statuts de nos associations), tout comme nous avons une obligation d'assurance RC pour les automobiles.

    2/ Elle ne vise pas à assurer en RC le planeur, elle vise à assurer l'association et les membres de l'association, et ce vis à vis des dommages matériels ou personnels aux tiers que ceux-ci pourraient occasioner (avec un planeur ou non, d'ailleurs).

     

    Donc, deux scénario d'accident à la c... qui mettent en cause la RC :

    a/ l'élève pilote non assuré se coince les doigts dans la porte du hangar. C'est la RC du club qui est en cause, et le président va avoir de sérieux soucis vis à vis de l'assureur qui lui demandera ce que faisait ce gars là - non membre du club, ayant franchi les limites de l'aérodrome, inscrit comme élève pilote sur la planche de vol, etc... - au sein de l'association.

    b/ l'élève pilote non assuré coince les doigts de l'instructeur dans la porte du hangar. C'est l'absence de RC du pilote qui pose problème. Eventuellement, l'instructeur peut se retourner contre le club et donc son président au motif qu'il a laissé rentrer une personne non assurée ! Là, il faudrait aller voir dans le réglement intérieur du club pour savoir qui - du président ou des instructeurs - est censé délivrer ces assurances... Par défaut, c'est le président, sans doute.

     

    Du reste, nous avons renouvelé nos licences assurances dès les premiers jours de janvier, histoire d'être couvert (en assurance individuelle certes, mais aussi en RC club) au cas où nous recevrions une aile de Duo sur les pieds suite à un coup de lustreuse malheureux.

     

    En conclusion, ne pas oublier que le système d'assurance fédéral est un contrat global qui couvre en RC les individus et les clubs.

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