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delta217

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Posts posted by delta217

  1. La plate-forme d'Aspres est tout à fait exceptionelle. Le site en porte-avion est magnifique, et la nuit, on se croit un peu sur la Lune, les lumières alentour étant sous l'horizon. La plate forme a ceci d'exceptionnel qu'elle est très agréable pour ceux qui ne volent pas : vaste camping ombragé jouxtant le terrain, beauté du site, piscine (quasi déserte ces temps derniers). J'y suis allé très régulièrement depuis 8 ans.

     

    Vélivolement parlant, elle est fumante par temps de brise, et tout à fait éxécrable par vent Nord.... La seule activité permise alors est la tournée des champs vachables, où l'on constate que les collègues des autres plate-formes volent, eux !!!

     

    Je pense que çà va être très dur de lutter contre un projet qui semble économiquement majeur et, semble-t-il, soutenu par les élus locaux. En outre, l'AAA ne me semble pas dans un état de santé mirobolant (alors que dans le même temps, la plate-forme commerciale de Serres marche à plein). Je sais aussi, pour avoir eu il y a quelques années des contacts à très haut niveau avec le conseil général, que ce dernier est sensible à la carte touristique et au rôle du vol à voile dans cette dernière.

     

    Cette affaire difficile au premier abord pourrait peut-être se retourner à notre profit : demandez à reloger tout le monde sur une plate-forme pratiquable par tout temps, avec une longueur compatible avec le treuil.

  2. Un mode de financement à ne pas hésiter à essayer : le FONGECIF, qui peut financer la formation et le salaire à concurrence de 80%. Ceci est valable pour les salariés. Il faut présenter un dossier bien ficelé au niveau motivation, et sans doute aussi tomber sur un FONGECIF qui a des fonds disponibles pour ce type de formation. J'avais décroché le financement intégral ITP + ITV, mais j'ai du laisser tomber l'ITV du fait d'un changement professionnel intervenu en cours de route. Il est tout à fait légitime que le FONGECIF finance une formation à objectif associatif, cela fait parti de ses attributions.
  3. Le sujet difficile que voilà....

     

    A mon sens, tout dépend du montant de la location (donc de la manière dont cela a été négocié et mis par écrit avec l'ANEG....) du planeur. On peut imaginer que celui-ci inclut la cotisation annuelle ANEG. Dans ce cas, pilote club ou pilote ANEG, c'est à l'ANEG de supporter le préjudice sur son compte ANEPVV.

     

    La solution du "pilote payeur" est possible. Auquel cas, le pilote ANEG vole gratuitement sur le planeur (casse supportée par le compte ANEG du planeur), et le pilote club paye au club pour financer le compte ANEPVV du club en cas de casse. Un logiciel comme VULCAIN sait très bien gérer cela.

     

    C'est vrai que le planeur privé banalisé est une aubaine pour le club, lui faisant l'économie de l'investissement, sauf si, comme dit plus haut, on ruine le club en le cassant.... Et à condition sans doute que le phénomène reste marginal. On assiste me semble-t-il à une privatisation - rampante ou galopante ? - du matériel, avec le risque d'une évolution à l'américaine : un club réduit à quelques bois et toile, et plein de bécanes finesse 45 autour. Fin du vol à voile associatif que nous avons connu, apprécié, et apprécions encore....

  4. D'abord, y'a pas d'voiles et nos ailes n'ont qu'un rapport bien lointain avec des voiles. Celles de J M LEBRIS, peut-être, s'en rapprochaient d'avantage... Voiles (velum), c'est pas ailes ( ala), alors à quoi a pensé celui qui a utilisé pour la première fois l'expression vol à voile ? Mystère.

     

    Là, Théo, il a pas lu mon message précédent.... Justement, une aile de planeur fonctionne très exactement comme une voile de bateau qui remonte au vent ou qui avance perpendiculairement au vent (et un peu moins aux allures portantes, où la voile de bateau fonctionne comme un parachute de l'ancienne époque). Donc, une surpression à l'intrados, et une dépression à l'extrados....

  5. La réponse est - me semble-t-il - plus technique. Il n'y a strictement aucune différence entre le fonctionnement aérodynamique d'une voile de bateau aux allures non portantes (du "prés serré" jusqu'au "petit largue"), et celui d'une aile : surpression à l'intrados, dépression à l'extrados. Mais les marins sont un peu plus malins, ils arrivent à remonter au vent, alors que les vélivoles arrivent difficilement à aller au delà de la finesse 50 et ne sont pas foutus de monter dans la masse d'air... A noter que les parachutistes parlent aussi de voile. Dans le cas des parachutes de ma jeunesse, c'était l'inverse par rapport à nous : leur voiles fonctionnaient comme un bateau aux allures portantes cette fois (type spinnaker). Leur voiles sont maintenant tout à fait profilées, et la diminution de taille est d'ailleurs tout à fait remarquable.
  6. Je me casse la tête avec ma radio Becker AR2008. Elle reçoit toujours, mais l'émission, c'est quand elle veut. Ce peut-être un désastre (pas d'émission vers le remorqueur en dépit d'une batterie fraichement chargée), ou au contraire excellent (hier, 5/5 avec un planeur du Léman depuis la Drôme). La batterie semble être hors de cause, j'ai changé l'alternat à tout hasard, et je me perds en conjecture.... Un expert peut-il m'aider ? Merci.
  7. Pour répondre au clin d'oeil de Tatave un peu plus haut, il y a eu selon le livre "Fox-Charlie"

    38 LS1 Cet D de construits en France (n°200 à 237) avec la mention "production à Bernay

    et au Plessis-Belleville" et sous la marque "SCAP" (la CAARP n'est pas mentionnée). Quid ? :unsure:

    ??? Mon LS1d est le n°217, et le carnet de route mentionne en première page "construction par Rolladen Schneider à Egelsbach"....

  8. CVVSL Paray le monial : sujet qui a déclenché un tollé de la part des propriétaires sauf un (moi, et pour cause, j'en étais le promoteur). Tous les membres du club (y compris donc les propriétaires) sont tenus d'acheter 10 h de vol (180 €), que les heures soient faites ou non. Cela se gère très bien dans VULCAIN (encaissement de 180 € en début d'activité et réduction de 100% sur les 10 premières heures). Stationnement : 200 € les monos, 300 € les biplaces (à l'année : sur ce point je pense que c'est une erreur, et que nous reviendrons peut-être au mois). ANEPVV : mon LS1 est inscrit (d'ailleurs çà tombe bien, parce que justement un membre du club a oublié de la vérouiller...), et je cotise de ma poche (nous changerions cela s'il faisait beaucoup d'heures club).
  9. Sur le D, avec le crochet avant, si par hasard une aile tombe en début de roulage, certes çà avance à peu près dans l'axe grâce au crochet avant, mais on ne récupère l'aile que juste avant le décollage. En général, à ce moment là, on a déjà suffisamment transpiré pour avoir la main sur la poignée jaune. Et on se trouve tout content d'être en l'air....
  10. Le contrôle en roulis du LS1d en début de roulage est infiniment amélioré par la sortie partielle des aérofreins. D'ailleurs, cette technique est recommandée dans le manuel de vol, page 12 ("effectiveness considerably increased"). L'essayer, c'est l'adopter.
  11. 1er décollage à AUTUN :

     

    http://www.mezimages.com/image/bjp71/100_1726_640.JPG

     

    La météo n'était pas très convaincante, même si Thomas racontera que "çà ne demandait qu'à y aller".

     

    Il y eu un deuxième vol, mais d'une certaine manière moins réussi, car nous y avons laissé la verrière du LS1.... (CRIS, çà vous dit quelquechose ?). Et merde !

  12. Depuis hier soir, Tango 64 est à Autun. Aujourd'hui ou demain, le remorqueur de Bourgogne et le LS1 le rejoindront. N'oubliez pas de vous vacher à Autun, cela créera de l'activité. Le comité départemental de Saône & Loire sera bienveillant avec les premiers, quelle que soit la distance....

     

    http://www.mezimages.com/image/bjp71/100_1666_640.JPG

  13. :blush:

     

    L'idée intéressante que voilà....

     

    Le comité départemental de Saône et Loire lance le concours suivant :

    Article 1 : deux caisses de Bourgogne côte Chalonnaise 1er cru sont mises en jeu pour récompenser les valeureux circuiteurs de l'année 2006 qui rallieront Autun.

    Article 2 : une bouteille récompensera le premier venu d'une distance de 100 km

    Article 2 : deux bouteilles récompenseront le premier venu d'une distance de 200 km

    Article 3 : trois bouteilles récompenseront le premier venu d'une distance de 300 km

    Article 4 : la première féminine verra les lots ci-dessus primé avec une bouteille de crémant de Bourgogne

    Article 5 : les lots ne sont ni livrés à domicile, ni envoyés par la poste. Ils sont à prendre sur place le jour J

    Article 6 : il est strictement interdit de consommer les lots avant ou pendant le retour à la maison...

    Article 7 : une caisse de Bourgogne récompensera le 10 ième compétiteur qui se pose à Autun

    Article 8 : les résultats seront publiés sur planeur.net

    Article 9 : le gîte et le couvert seront assurés aux candidats malheureux au retour

     

    Il est conseillé de vérifier préalablement la disponibilité du remorqueur au 06 07 11 81 34 ou 06 08 64 50 47

  14. Mais, autour d'Autun, dans un rayon de 50/60 km, on trouve : Roanne / Paray / Nevers / Moulins / Dijon.

    Dans un contexte de ressources financières et humaines rares, ne serait-il pas plus rationnel de regrouper entre elles les structures les plus "faibles"

    Sans doute cette création est-elle justifiée par d'autres critères tout aussi rationnels

    qu'il serait intéressant de connaître à l'occasion.

    Un grand merci pour vos encouragements, car c'est la concrétisation (pour l'instant mince) d'une volonté qui date de 1999.

     

    La tentative d'implantation sur Autun relève d'une volonté stratégique de pérennisation du vol à voile en Saône et Loire. L'examen de la carte est tout à fait lumineux, avec les conclusions contraires à celles suggérées par A60 :

     

    http://www.mezimages.com/image/bjp71/carte%20autun.jpg

     

    Les cercles ont un rayon de 50 km environ, soit la zone d'influence raisonnable (en province...). C'est donc Paray qui est dans la zone d'influence de Roanne, et même celle de Moulins (1/2h de voie rapide), alors que Autun est au moins à 100 km des 3 clubs voisins. En outre, il y a 90.000 habitants dans un rayon de 30 km, un lycée militaire qui comprend des classes préparatoires (à l'école de l'air, par exemple), un IUT au Creusot qui a construit un MCR, de l'essence (qu'il n'y a plus à Paray), et une belle piste :

     

    http://www.mezimages.com/image/bjp71/LFQF.jpg

     

    Toute l'histoire du projet AUTUN

     

    Nous pensons donc qu'il y a un formidable potentiel à Autun, et notre objectif est de dépasser 30 pilotes en 3 ans (considérant 2006 comme année 0). En 2006, et pourquoi pas au delà, il s'agit d'une activité du CVVSL (Paray le monial), qui pratiquera donc sur deux plate-formes.

     

    Nous allons ouvrir le WE, et exceptionellement en semaine. Les vols reposent en effet sur un intructeur-remorqueur, un remorqueur (votre serviteur), et un remorqueur PP à former.

  15. Le 13 mai à venir, nous ouvrons une activité vol à voile sur l'aérodrome d'Autun, dans le sud du Morvan. Le matériel en place sera constitué du remorqueur régional de Bourgogne, du Twin du CVVSL (Paray le monial), d'un Astir mis à disposition par le CVVN (Nevers), et d'un LS1d privé. Il s'agira d'une année test, puisque les conditions seront assez difficiles (pas de hangar pour les planeurs).

     

    Le blog du vol à voile à Autun

     

    http://dl-1.free.fr/52616e646f6d4956659e876628397b7d399ef0883e679c3b61b4bac407f7e5bb/100_0153b.JPG

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