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delta217

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Messages posté(e)s par delta217

  1. Aujourd'hui, je crois avoir cerné une explication... Quand je dis explication, le terme est sans doute exagéré. Disons qu'il y a concomitance. A trois reprises cette année, je suis allé au Bure et mon GPS s'est planté. Et aujourd'hui, j'ai pu observer en prime que les antennes étaient bien pointées sur moi, au sud de l'observatoire, quasi à l'horizontale alors que j'étais quasi à l'altitude du pic. Alors je me dis qu'il y a une relation de cause à effet dans ce trou noir de mon GPS, et ces foutues antennes ?

     

    ​Des spécialistes en astronomie pour apporter une explication ?

  2. Problème résolu aujourd'hui (enfin pas tout à fait...).

     

    Effectivement, la porteuse passait. Un pote m'a filé un micro. J'ai donc monté ledit micro, mais, pour que cela marche, il m'a fallu inverser les fils (celui qui était sur le blindage est passé sur le conducteur central et inversement). Donc, ce nouveau micro a une polarité. Donc, ce micro serait un micro à électret (qui a une polarité, alors que le dynamique n'en a pas - vrai/faux ?). Mais alors, si c'est un micro à électret, il n'a pas besoin de pré-ampli. Or le pré-ampli est toujours monté...

     

    Mon raisonnement est-il juste ? Et me faut-il démonter ce pré-ampli ?

     

    Donc, cela semble fonctionner, mais je m'y perd un peu (et ce n'est pas ma spécialité, loin s'en faut).

  3. Bonjour,

     

    Une opinion sur les technologies electret versus dynamique ?

    En dehors du fait que la seconde nécessite un pré-ampli avant la radio.

     

    Question subsidiaire : le fameux pré-ampli peut-il tomber en carafe ?

     

    Vous avez compris que je suis en panne d'émission...

  4. Outre la planche de vol évoquée ci-dessus, et remplie (en principe !) préalablement au vol, il y a ensuite le carnet de route à remplir postérieurement au vol. Dans le cas d'un vol "en mutuel" avec "deux commandants de bord", on voit mal comment remplir ce dernier : il faudrait écrire deux lignes, et le remplissage des colonnes lieux de départ et d'arrivée ne serait pas triste (coordonnées GPS !!!).

  5. Alors les questions demeurent :

    - de quel chapeau sortent les 5300 ft AMSL (au lieu des 7500 ft AGL) de la zone de parachutage de Tallard ?

    - zone dangereuse "virtuelle" (pas de publication AIP) ?

     

    ​Et on s'étonne ensuite qu'il y ait des incursions fâcheuses !

     

    Incidemment, les 5300 ft donnent à penser que la finesse d'un parachute est 5300-2000 (altitude LFNA) = 3300 ft, soit 2NM/1000m = finesse 3.7

    Est-ce effectivement le cas d'un parachute ?

  6. OK pour le cercle de la "non-R196", qui fait d'ailleurs 5 NM de rayon.

    Quand je parlais de cercle et demi-cercle, c'est par rapport au descriftif dit "AIP-Europe".

    L'examen du descriptif donné dans airspace.txt en ligne donne la clef :

     

    http://www.heberger-image.fr/data/images/80166_tallard5.jpg

    Un cercle de 2NM du FL155 au 195 activable par NOTAM

    Un cercle de 2NM de 5300 ft AMSL au FL155

    Le dernier serait le demi cercle à l'ouest de SFC à 5300 ft ?

     

    Classe d'espace Q ?

     

    Il reste que tout ceci n'est pas publié dans l'AIP ?

  7. Salut,

     

    Sur les cartes françaises (F-AERO en l'occurrence), on trouve ceci pour Tallard :

     

    http://www.heberger-image.fr/data/images/99645_tallard.jpg

     

    Donc, on va se renseigner sur "436", et on (ne) trouve (que) ceci :

     

    http://www.heberger-image.fr/data/images/44574_tallard2.jpg

     

    Mais si on coche "AIP Europe" sur F-AERO, on tombe sur - si je capte bien - un demi cercle et un cercle de 2 NM de rayon :

     

    http://www.heberger-image.fr/data/images/64999_tallard3.jpg

     

     

    Deux questions (au moins):

     

    - on la trouve où, la définition des cercle et demi-cercle ci-dessus ?

    - il y aurait deux espaces, mais quatre définitions (GND/5300 MSL - deux fois, FL155/FL195, FL155L/FL195) ?

     

    J'y perd un peu mon latin...

     

    NB : on peut aussi rajouter la carte VAC sur F-AERO, où l'on retrouve la 436 :

     

    http://www.heberger-image.fr/data/images/52444_tallard4.jpg

  8. Salut,

     

    Hier, mon GPS (HP 314)m'a indiqué "position GPS non valide" entre le petit Céüse et le pic de Bure, soit pendant 25 minutes. Un reset de l'appareil n'a rien apporté. Mon téléphone semblait avoir autant de difficultés à se positionner. Donc, je m'interroge : défaillance de l'appareil ? ou défaillance des signaux ?

     

    Des expériences similaires ?

  9. Effectivement, en poursuivant ma réflexion, je suis tombé sur le choix suivant :

    - tablette ? pas cher, mais 7 pouces au minimum (6 exceptionnellement), donc encombrant, voire dangereux dans le cockit

    - smartphone ? plus cher, mais taille raisonnable.

     

    Il se trouve que mon Galaxy sous androïd donne lui aussi des signes de faiblesse !

     

    Il me faut donc sans doute patienter (que mes points chez mon fournisseur d'accès me donnent de nouveaux droits de remplacement) pour renouveler mon téléphone et quitter sans doute LK8000 pour XCsoar.

     

    Dommage qu'il n'existe pas de tablette en 5 pouces...

  10. Salut,

     

    Je remet le sujet sur le tapis, depuis que j'ai constaté que la portée de mon antenne était limitée à droite (elle est scotchée sur le côté gauche du baquet), grâce au test possible sur le site flarm.

     

    Je suis emmerdé par la longueur du câble qui est insuffisante (1,40m). Cela pose-t-il problème de mettre une rallonge telle que celle-ci ?

     

    Merci !

  11. Bon, un dernier téléphone avec Air Courtage pour débrouiller tout çà. Prenons les écrits du contrat un par un.

     

    http://www.heberger-image.fr/data/images/27905_act_assur_es.jpg

     

    A noter le "se rattachent à l'objet principal des statuts fédéraux". Donc, attention au club qui ferait sous couvert de la FFVV 85% de formation en ULM et 15% en vol à voile ?

     

    http://www.heberger-image.fr/data/images/60056_aeronefs_assures.jpg

     

    A noter la notion de "planeur ULM" et les "ULM possédant un crochet de remorquage". A noter aussi le "agréés par la FFVV".

     

    Enfin, concernant les vols (déjà mentionné):

     

    http://www.heberger-image.fr/data/images/25469_act_usage.jpg

     

    A noter que les restrictions sont moindres avec un ULM remorqueur qu'avec un avion remorqueur, avec lequel on ne peut procéder à des vols de loisirs et encore moins à des baptêmes de l'air (sauf à payer la surprime d'assurance).

     

    En résumé :

    - avec des ULM muni d'un crochet de remorquage ou des planeurs ULM biplaces agréés FFVV, on fait ce qu'on veut pourvu qu'ils soient dans le parc déclaré. Donc, formation ULM, vol de loisir ULM (mais ni banderole, ni sulfatage des pommes de terre...).

    - à contrario, on ne peut pas faire avec une licence FFVV de la formation ULM sur un Savanah non agréé FFVV et non inscrit dans le parc => FFPLUM (ou autre, voir ci-dessous).

     

    Pour terminer, on peut aussi assurer son ULM ailleurs qu'avec l'assureur fédéral. C'est éventuellement plus simple et même moins cher (notamment l'individuelle accident : un assureur au moins propose une seule IA pour tous les pilotes, plus économique que (assurance IA FFPLUM) x (nombre de pilote).

     

     

     

     

  12. C'est en effet contradictoire avec ce qu'ils m'avaient dit au téléphone sur la formation ab initio et le vol de loisir, et que j'avais consciencieusement rapporté dans un post précédent... Sauf si la formation ab initio dont il est question est une formation planeur, ce que laisse entendre la NP 6.1.3

     

    Bref, c'est pas très clair, tout çà.

     

  13. On pourrait faire un parallèle avec la planche à voile des années 70-80. La planche à voile a failli devenir un "sport de masse". Cela a échoué car le mouvement a été aspiré vers une dérive technologique qui devenait trop coûteuse. Elle est maintenant devenue à peu près marginale.

     

    Pour ce qui est de notre vol à voile, outre cette aspiration vers le "toujours plus" (technologique, donc cher), qui finit par en décourager un certain nombre (un nombre certain ?), se greffe un problème qui me semble spécifique à notre milieu : les vélivoles n'ont pas conscience de la réalité des coûts, et donc considèrent tout à fait "normal" de faire du Ventus 2 à 25 €/h, alors que la réalité économique est tout autre. La raison tient sans doute au gavage de subventions dont nous avons bénéficié depuis des lustres. Celles-ci se tarissant inéluctablement, il va bien falloir trouver un autre modèle économique,... ou disparaître.

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