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delta217

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Posts posted by delta217

  1. Je suis presque au bout...

     

    le fichier cartes et topo se télécharge en .zip, mais il ne faut surtout pas le dézipper (le pire, c'est que c'est possible !), et le renommer tout simplement en .xcm.

     

    Ja bagarre maintenant avec le .txt des aérodromes. Je n'ai pas bien pigé à quoi il sert, ni comment on accède aux informations. Celui qu'on télécharge depuis le site xcsoar est un .dat après dézipage. Le sauvegarder en .txt n'a rien donné non plus... De toute manière, il n'y a rien de plus comme info que celui des waypoints (qui est bien un .dat, lui).

     

    Donc, la doc de XC soar est à manipuler avec précaution :

    - mauvais chemin pour francais.XCL

    - attention aux extensions .dat et .txt

    - le fichier airspace doit être mis sous le dossier AIRSPACE de XCsoar data

     

    NB: on peut éditer francais.xcl et améliorer certaines traductions.

  2. Jusque là, pas si mal...

     

    Problème : le site XCsoar.fr dit ceci : "XCSoar en français ! Téléchargez le fichier francais.xcl (clic-droit puis "enregistrer la cible du lien sous...") et copiez le dans le répertoire \My documents\XCSoarData\ de votre PDA".

     

    Comment fait-on pour créer un répertoire dans My document quand on n'a pas de clavier mais seulement un stylet ?

     

    :rolleyes: trouvé ! c'est une erreur dans la procédure : il fallait copier sur la SD card.

     

    Le même site dit cela : fr_france.xcm (5 049Ko) à récuperer et copier sous le répertoire de données. Mais quand dézippe, au lieu de me retrouver avec un .xcm à aller copier avec ses copains, je me retrouve avec une quinzaine de .shx, .shp, ;prj, .dbf,... Qu'en faire ?

     

    Mes problèmes vous paraissent peut-être ridicules, mais merci de m'éclaircir si vous le pouvez.

  3. Oui, tout à fait. J'avais obtenu le financement quasi intégral de ma formation instructeur via un CIF. Un changement professionnel intervenu (tout à fait opportunément d'ailleurs) en cours de route m'a empêché d'aller jusqu'à l'ITV, et donc je me suis arrêté à l'ITP (NB: de toute manière, j'aurais eu un sacré problème pour remplir les conditions d'admission à l'ITV en quelques mois).

     

    Il faut savoir que le domaine d'intervention du DIF va largement au delà de la sphère professionnelle, y compris si je me rappelle bien le développement culturel de l'intéressé. Ce n'est pas l'employeur qu'il faut convaincre, mais le comité ad-hoc qui décide de l'attribution des fonds, via une lettre de motivation bien sentie. Le fonctionnement associatif rentre parfaitement dans les critères d'attribution des CIF.

     

    Quant à l'employeur, il me semble qu'il ne peut guère refuser qu'une seule fois, car il s'agit d'un "droit" comme son nom l'indique. Si l'employeur est censé, il peut aussi comprendre que le développement personnel de son collaborateur sera bénéfique pour l'entreprise également.

  4. Bon, je me lance dans l'affaire, j'attends d'un jour à l'autre l'HP ipaq 314 que j'ai commandé après avoir lu l'article de VàV et surtout le lien sur le site de Philippe de Péchy. Il s'agit de remiser mon vieux Magellan 315 après de bons mais limités services.

     

    Aïe, c'est un peu la jungle cette histoire...

     

    Dans la rubrique logiciel, je cherche du gratuit. Je crois comprendre que les 3 cités plus haut le sont (Winpilot version vol à voile ?). Lequel choisir ? Facteur déterminant : sans être nul, ma compétence est très relative dans ce domaine. A cet égard, Winlog semble relativement abordable au béotien que je suis.

     

    Si un moustachu voulait bien brosser en quelques traits les avantages et inconvénients, sur le plan de l'installation et de l'utilisation, des uns et des autres, cela serait fort utile.

     

    Qu'il en soit remercié d'avance !

  5. Autres erreurs flagrantes de Anderson et Eberhardt :
    • dire que la portance consomme de l'énergie — par définition la portance est perpendiculaire à la vitesse donc en travaille pas — c'est la traînée induite qui en consomme. Bien sûr cette traînée est "induite par la portance", d'où la confusion.


     

    Non, Anderson et Eberhardt ne disent pas cela : ils disent que le déplacement vers le bas d'une certaine quantité d'air nécessite de mettre en œuvre une énergie équivalente.

     

    Ces articles sont tout à fait remarquables, et la réponse de Robert Ehrlich la meilleure lecture que j'ai pu faire sur le sujet. Bravo aussi aux documents du BIA.

     

    Dans l'article de Anderson et Eberhardt, on trouve la réponse au problème du 747 cargo chargé avec des pigeons voyageurs : si tous les pigeons se mettent à voler au décollage, de combien est raccourcie la distance de décollage ?

     

    Réponse : ... Si l'avion venait à survoler une balance géante, la balance enregistrerait le poids de l'avion.

  6. Super ta modif pour avoir les pieds au chaud!!

     

    Et aussi, j'aime bien les prévols ou on voit quelquechose, et l'amélioration est remarquable de ce point de vue aussi.

    Merci pour le tuyau sur les images, d'ailleurs je vais essayer de suite :

     

    http://images3.hiboox.com/images/1308/r4vdl2oa.jpg

     

    Trop fort !

  7. Des nouvelles de HD : longue carrière à Saint Auban, puis racheté par Lyon et enfin par moi-même en 2000. Il a volé à Paray le Monial, Autun (un peu), et surtout Aspres et Aubenasson. Son port d'attache est aujourd'hui incertain : Romorantin ou Aubenasson. En ce qui concerne sa dérive, histoire de son ponçage quand nous l'avons repeint : sous le bleu, du rouge, sous le rouge, de l'orange, et sous l'orange encore une autre...

     

    Pour ce qui est de son immat. dite concours, il fallait trouver quelquechose, alors ce fût 217, son numéro de série :

     

    http://images3.hiboox.com/vignettes/1308/r4vdl2oa.jpg

     

    HD/217, le seul LS1 en France du monde ou on prend le soleil sur les jambes !

     

    http://images3.hiboox.com/vignettes/1308/up18v1ic.jpg

     

    Ca veut dire quoi, "les pages dynamiques dans les tags ne sont pas autorisées", en bon français ?

    Et comment fait-on pour insérer des photos en taille non réduite ?

  8. Il en est malheureusement des forums comme des mouvements de foule : ils ont parfois tendance à déraper, voire à partir en autorot. Merci aux derniers contributeurs de l'avoir remis en ligne de vol !

     

    Sur un autre post, "A60" évoque cette question de privés dans les clubs en disant que chacun doit participer à "l'effort de guerre". J'aime bien cette expression qui résume bien la situation, que ce soit pour le mot guerre qui évoque les menaces sur notre mouvement, et le mot effort qui indique le moyen de s'en protéger. Sur le plan financier, les Lyonnais - qui connaissent bien mon LS1 qui fût le leur - indiquent le chemin de la sagesse (dicton Lyonnais : "au boulot on fait ce qu'on peut, au club on se force..."). Avec 3 pilotes et un stationnement sous hangar, HD amenait d'office 40 heures de vol (ou équivalent) au minimum dans la besace du club. Cette relation financièro-commercialo-associative était - me semble-t-il - parfaitement équilibrée.

  9. Vous connaissez beaucoup de sujets qui remplissent 3 pages en 3 jours sur le forum ?

     

    Ca, c'est sûr que c'est LE sujet qui décoiffe.... La raison en est sans doute qu'il concentre toutes les contradictions et forces centrifuges qui traversent notre mouvement :

    - les fortunés et les moins fortunés

    - les "privés" et les autres (NB: on peut être fauché et néanmoins "privé")

    - les associatifs et les consommateurs

    - les pour et les contre la banalisation

    - les compétiteurs et les pilotes du dimanche

    - les vols locals et les vols au large

    - les qui ont du temps et ceux qui n'en n'ont pas

    - les bonnes volontés et les autres

    - les associés et les dirigeants

    A ce stade, on en est à 512 combinaisons différentes !

     

    En dehors de l'équitation, je ne vois pas d'autres activités ou se juxtaposent des interêts associatifs et des interêts privés, en tout cas avec des investissements financiers significatifs (ce qui justifie et explique leur utilisation associative).

     

    Pour répondre à Robert, je pense en effet que la solution du forfait minimum (ou participation, peu importe son nom) est certainement la meilleure (pourvu que les privés l'acquittent). Mon expérience personelle est qu'elle est difficile à faire passer dans un petit club de province où la pensée enracinée depuis des lustres est "je paie pour ce que j'ai consommé".

     

    Quant à la banalisation qui semble en fait être la question originale du post, c'est d'une complexité infinie....

  10. les paroles du président : "soit tu rentres dans le moule soit tu pars"

     

    ...et aussi que financièrement le club a intérêt a faire vole sa flotte de planeur plutôt que d'utiliser des planeurs banalise qui ne lui rapporte rien

     

    Heu... Youpi Delta, c'est exactement le contraire ! Un club a tout interêt à avoir recours aux planeurs banalisés, car cela lui permet d'avoir des revenus sans avoir à investir, puisque le privé le fait à sa place. Après, il y a plein de problème d'organisation, d'assurance etc... surtout si le planeur est cassé.

     

    Quant aux mots de ton ex-président, ils sont peût-être crus, mais c'est néanmoins la stricte vérité. Un associé se doit de respecter les statuts et le règlement intérieur de l'association (et donc les tarifs). C'est la règle de toute communauté (entreprise, mariage,...). Après, l'associé a un bulletin de vote à l'assemblée générale, et il a tout le loisir d'exprimer son désaccord le cas échéant, et surtout de proposer une alternative.

  11. Malgré ce qu'en dit JP Bayart, à Beynes on facture les frais fixes en tant que frais fixes. Peut-être pas pile poil du strict point de vue comptable, mais c'est l'idée.

     

    Ca, je ne peux pas le croire. Tout simplement pour la raison suivante : si les cotisations (et autres frais de participation) couvraient tous les frais fixes, alors un club qui ferait zéro heures de vol dans l'année aurait son compte d'exploitation équilibré. En général, il me semble au contraire que le sourire du trésorier s'élargit proportionellement au gonflement des cumulus...

     

    Petit calcul simple d'un club qui remplirait cette condition (frais fixes = cotisations)

    Le club achète 30000 € un planeur qu'il amortit sur 6000 heures de vol. Coût de l'heure de vol : 30000/6000 = 5€

    Facturation du remorqué sur le prix de l'essence = 12 €

     

    A part çà, je suis bien d'accord avec plein de chose évoquées ci dessus, et notamment :

    - les privés font généralement beaucoup pour les clubs : oui

    - un planeur privé coûte (éventuellement cher) : oui

    - c'est pratique d'avoir un planeur privé pour aller où on veut quand on veut : oui

    - c'est bien que les privés amènent de l'activité : oui

    etc....

     

    Je ne doute pas qu'il y ait des clubs où cela se passe bien sans règle particulière, comme cela est évoqué plus haut, pourvu que le nombre soit limité et que par chance, le "privé" soit justement celui qui se défonce pour le club. Ca se complique quand le phénomène prend de l'ampleur et que l'on frise la parité. Je peux vous citer un club où les instructeurs remettent régulièrement la subvention qui leur est attribuée pour passer l'ITP ou l'ITV dans le pot du club, tandis que dans le même temps certains privés ne payent pas leur place dans le hangar...

     

    Jéjé, pourquoi tu t'énerves ?

  12. Il n'est pas dit qu'il y a obligation d'utilisation de matériel "collectif". Ce n'est pas le cas d'autres sports, du bateau à voile et pêche: la canne à pêche appartient au pêcheur

    Fatale erreur ! à lire sur : http://fiches.cyberjeune.org/ficheprat/fic...che.php3?Id=116

    L'apport de connaissances ou l'apport d'activités.

    La volonté de " ... mettre en commun des connaissances ou une activité...", constitue l'un des éléments principaux du contrat d'association. L'absence d'un tel engagement serait de nature à remettre en cause la qualification d'un tel regroupement d'individus.

    Une mise en commun" permanente"Cette précision met l'accent sur le caractère permanent qui lie les parties du contrat.

     

    Donc, il y a précisément une quasi obligation légale de mise en commun de l'activité, et de manière permanente. Car on pourrait s'interroger sur "l'engagement" (au sens du législateur) d'un membre qui n'utiliserait que les services du remorqueur. L'exemple du bateau me semble particulièrement mal choisi : soit on loue un 470 dans une école de voile type 1901, soit on loue un bateau à une structure commerciale, soit on achète un droit à anneau dans un port. Je ne crois pas qu'il existe de structure mixte dans ce domaine. L'équitation pourrait être un exemple, avec des chevaux clubs et des chevaux privés. Mais il me semble que bien souvent on trouve alors juxtaposé une association 1901 et une structure commerciale.

     

    Cela coûte cher de disposer d'un planeur personnel

    Peut-être, mais cela est une décision individuelle qui ne doit pas interférer avec le fonctionnement du club. L'argument "mon planeur m'a couté cher" n'est pas recevable.

  13. A saint-gaudens l'ensemble des pilotes paient la même cotisation.

    (...)

    Les cotis. couvrent les frais généraux, les locaux, l'éléc, l'utilisation commune de biens de l'association, etc ...

    (...)

    Voilà c'est simple pas d'embrouille, c'est un système que je trouve équilibré.

     

    Justement non, je ne suis pas du tout d'accord. Comme je l'ai dit plus haut, sauf l'essence et les pneus, l'immense majorité des charges sont "quasiment" fixes (impôts, maintenance avion et planeur, assurances, entretien locaux,.... et même d'une certaine manière les amortissements). Les cotisations sont très loin de couvrir tout cela. Donc, il faut 1/voler, et 2/voler dans les planeurs du club pour le faire vivre. Ca n'empêche pas de voler sur son planeur non plus...

     

    Je pense qu'il devrait y avoir une obligation pour tous les membres d'un club de passer par la case "conseil d'administration", voire par la case "trésorier".

  14. Ainsi donc, la facturation des heures planeur sert à financer les frais fixes du club

    Le financement des frais fixes peut aussi être fait sur les remorquages ou les treuillées. A partir de là, tes "privés" participent aussi au fonctionnement (donc aux recettes) du club en décollant tout simplement.

    CQFD

     

    CQFD... pas tout à fait. Dans les frais fixes, le remorqueur à lui tout seul est la pièce maîtresse. Les frais fixes des planeurs se limitent au renouvellement du CDN et quelques bricoles. En d'autres termes, la surfacturation des heures de vol planeur sert à payer également les minutes sous-facturées du remorqueur. Les privés - dont je suis - le savent bien : le coût de renouvellement leur CDN et de la maintenance de leur planeur, divisé par les heures de vol annuelles est bien inférieur au prix pratiqué par leur club préféré.

     

    C'est ainsi que j'avais proposé à mon prédecesseur président de club de multiplier les coûts de remorquage par deux, et de réduire à quasiment rien les heures de vol planeur. Dans ces conditions en effet, la participation des privés devient acceptable (de ce point de vue, la facturation évoquée plus haut à Challes me parait relever du même esprit). Mais les jours incertains, plus personne ne décollerait avec des tarifs de remorqué dissuasifs....

     

    Donc, il est à mon sens strictement faux d'affirmer que le paiement du remorqué "suffit". Si la situation des privés dans les clubs était aussi désavantageuse que cela, nous verrions immanquablement sortir des clubs de remorquage (+ hangarage, accueil, sanitaires, impôts, etc) se constituer.

     

    Coût du forfait 10 heures obligatoire = 180 € il y a 2 ou 3 ans.

  15. Un sujet qui revient régulièrement sur le tapis....

     

    Je suis propriétaire d'un LS1, et ancien président de club.

     

    Problème de comptabilité élémentaire : les recettes du club doivent de préférence égaler, voire dépasser, les charges. La quasi totalité des charges sont fixes. Les charges variables sont l'essence, l'electricité, les pneus,.... et c'est à peu près tout. Un système de facturation qui reflèterait cette réalité économique serait constitué d'une cotisation énorme (les frais fixes divisés par le nombre de membres), des minutes de remorquage facturées uniquement sur le coût de l'essence, et des heures de vol planeur facturées sur l'usure du, voire des, pneus. Autant dire qu'on aurait du mal à faire les inscriptions en début d'année. Donc, pour rendre la chose acceptable, on se débrouille pour faire absorber les frais fixes par des surfacturations sur les minutes de remorquage et les heures de vol. Cela a un inconvénient majeur : selon la météo, les rentrées d'argent sont éxécrables ou au contraire mirobolantes...

     

    Ainsi donc, la facturation des heures planeur sert à financer les frais fixes du club. Arrive notre pilote privé : s'il ne vole pas sur les machines du club, il ne paie pas sa part de frais fixes, c'est à dire qu'en fait c'est les copains qui payent pour lui.

     

    D'ou le système que nous avions mis en place à Paray le monial : tout le monde doit acheter un minimum de 10 heures de vol. Le privé les utilise ou non, c'est son problème (un zeste de double, quelques vols avec la copine ou les copains, et c'est réglé).

     

    Heu, j'ai lu plus haut qu'à Romo il n'y avait pas de problème pour les planeurs privés ? Ce n'est pas ce que j'ai cru comprendre quand j'ai évoqué la possibilité d'y baser mon LS1 !!!

  16. [wouah! 6mois!! Comparés à 1 semaine de PITP + 17 jours de formation pour l'ITP + 3 semaines d'ITV (+ éventuellement 1 semaine de PITV) => ça fait une groooooosse marche!! Plus facile de faire passer une formation instructeur planeur...

    Et oui, nous ne mesurons pas notre chance dans le vol à voile.... Les parapentistes passent sous les fourches caudines de la Jeunesse et Sport, donc se tapent la totale, pour déboucher sur un BEES (brevet d'état d'éducateur sportif) du 1er degré. Notre ITV dépend de l'aviation civile, et nous permet d'avoir un BEES 2ième degré par équivalence, ce qui est infiniment supérieur. Mais chut.... Merci à l'aviation civile, et à la fédé qui se bat pour maintenir cette situation.

  17. Bien sûr, il faut explorer cette piste de financement à fond. J'ai obtenu l'accord du FONGECIF Bourgogne pour un financement intégral (aux réserves près formulées dans le message ci dessus) ITP et ITV. Je n'ai pu aller jusqu'à l'ITV par suite d'un changement professionnel intervenu en cours de route. La motivation "associative" est parfaitement recevable. Les caisses qui allouent les fonds ont des quotas selon le type de formation, donc la question est de savoir si ta caisse a des fonds disponibles pour ce genre de formation. En Bourgogne, 2 de mes ex-collègues avaient décroché leur financement pour une formation instructeur parapente qui - soit dit en passant - est infiniment plus lourde, et donc plus chère : quasiment 6 mois à temps plein. Il faut à mon sens bien soigner sa lettre de motivation. Bonne chance et écris moi si tu souhaites plus d'infos.
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