JdeM Posté(e) le 23 mars 2009 Signaler Partager Posté(e) le 23 mars 2009 Merci d'ouvrir un autre post.....Rappel sur le sujet du post initial : Magazine (s) Vol À Voile (et Aviasport), TOUT A FAIT !Qu'on puisse un peu rouspéter sur les sujets du magasine Vol à Voile, qui n'ont à voir que de loin avec le planeur... Et çà fait TROP longtemps que çà dérive.... C'est bien dommage car des sujets -sans moteur- il n'en manque pas... Ne serait-ce que sur notre histoire. Au sein des clubs, il doit y en avoir des croustillantes et chaleureuses... Alors voilà, je suggère que le débat puisse se poursuivre (si nécessaire) ici. Au départ de ce débat : le magazine Vol à Voile dériverait en consacrant trop de contenu à des avenues qui s'écartent du vol à voile pur et exclusif, dont les planeurs ultra-légers à décollage autonome. Autour de la table, les partisans de ce vol à voile pur et dur, exclusif, qui serait menacé dans sa survie par de nouvelles formes de pratique de ce sport, et ceux qui croient que le déclin du vol à voile pourrait plutôt être ralenti par la reconnaissance et la pratique de nouvelles formes de vol à voile ainsi que par la diversité des moyens. Les divergences : entre autres et en désordre, il y a les bons moteurs et les mauvais moteurs. Le bon moteur, c'est le gros Lycoming dans le museau d'un gros remorqueur, avec toutes ses servitudes qui ne procurent aucun plaisir, mais sans lesquelles on ne pourrait prétendre à la gloire. Le mauvais moteur, c'est le petit Rotax ou Wankel qu'on remise dans le fuselage une fois la montée terminée et qu'on ressort au besoin quand il devient évident qu'on risque de se livrer à une série de déplaisirs, soit celui d'abimer son planeur, d'endommager la récolte du fermier et de poireauter quelques heures à se faire bouffer par les moustiques en attendant l'équipe de dépannage (y aurait-il des restes d'une vieille culture judéo-chrétienne qui nous laisse croire que le paradis doit d'abord passer par le purgatoire ?). Outre les bons et les mauvais moteurs, il y a aussi les bons et les mauvais planeurs. Les bons planeurs sont blancs et purs, conçus en Allemagne, certifiés en Europe, sans moteur, et ils sont essentiels à la survie de la conscience sociale. Les mauvais planeurs n'ont qu'une certification nationale, sont conçus dans des petits pays, ont un moteur, et entraînent leurs propriétaires dans la dérive de l'individualisme et de l'isolationisme. Mais qui va payer les pots si plus personne ne va aux vaches ? L'attachement au modèle du passé est parfaitement légitime. Après tout, ce modèle a très bien fonctionné pendant des années. Il est possible que ses ratés actuelles ne soient que temporaires et qu'on assiste à un retour du balancier qui le mette en bonne position pour survivre. J'ai des doutes mais, rien n'est impossible. La croyance en la créativité qui nous amène à envisager de nouveaux moyens pour pratiquer le vol à voile est également légitime. Mais il n'est pas moins vrai que la créativité devient parfois un but en soi et de ça, il faut se méfier. Bref, l'exclusivité ou la diversité ? Le planeur ou le vol à voile ? À questions courtes des réponses courtes : la diversité et le vol à voile (mais vous n'êtes pas obligés d'être d'accord). Bons vols ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jeannot1 Posté(e) le 23 mars 2009 Signaler Partager Posté(e) le 23 mars 2009 YYEEEEESSSS....Alors LA c'est trop bon...! FE-LI-CI-TA-TION... Je suis certain que quand nous seront tous cloués au sol, que nos pièges seront soit démontés dans d'obscures remises, soit couvert de poussières et de toiles d'araignée au fond d'un hangar, rongés par les souris, et autres parasites, que nos souvenirs des merveilleux vols que nous avons fait "aux temps jadis" ne seront qu'à peine mémorisables, hé bien TU VOLERA ENCORE dans ta TRAPANELLE...en nous faisant des pieds de nez, et nous disant :-"hé bien na ! je vous l'avais bien dit...! vous ne m'avez pas cru, hé bien pan-pan-cul,cul..." Vois-tu JdM, tu défends ton plaisir comme un chevalier défend son chateau. Et c'est très bien...Mais cela ne me fera jamais changer d'avis. les ULM ont été, sont, et resteront des aéronefs dangeureux, car pas assez solide dans leurs conceptions (d'où leurs noms). Exception faite, des dernières conceptions (pour millionnaires avertis). Et encore que...J'ai vu de près, de très près. j'ai touché, j'ai réfléchi. Et j'ai choisi. En pendulaire comme en 3 axes.Même si je dois arrêter de voler...(pourtant, Dieu sait que j'aime çà). Les planeurs sont parfois de conception limite, mais acceptables. Pas les ULM. Même s'ils apportent un authetique plaisir du pilotage et du vol en général. Je ne parle même pas de l'entretien qui, très souvent, laisse à désirer. Certes, par la faute du proprio, mais néanmoins réel...Maintenant, comme tu l'as souligné, il faut de la diversité face à l'adversité. Notre loisir tombe en perte de vitesse, moins d'adhérents, moins de vols, moins d'heures. Alors que les Ulmistes augmentent de manière constante depuis de nombreuses années...Pour finir, je ne me prononcerai pas sur les UL, car je n'ai pas eu l'occasion d'en voir de près et encore moins d'en essayer un...Mais j'ai lu (dans Vol à Voile Magasine d'ailleurs... ) que c'était de bonnes machines, très agréable à piloter. Peut-être qu'un jour ?...Ici dans la vallée du Rhône (comme partout en France), le printemps est en train de s'intaller, avec l'aérologie qui va bien...A bientôt et bons vols quand même. Citer Bons vols, Bonnes pompes,A bientôt sur les ondes,Puissance et truculence,jeannot de Valence... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stéphane Posté(e) le 23 mars 2009 Signaler Partager Posté(e) le 23 mars 2009 (modifié) Pour moi, le GROS problème des ULM, surtout les biplaces, c'est leur charge utile beaucoup trop faible pour embarquer légalement deux personnes pas trop fluettes. 165 kg pour 2 personnes habillées et de l'essence, c'est courant dans ce monde-là. Pour moi (1m87 et 95 kg à poil) et beaucoup de mes copains (pas beaucoup moins lourds), ça ne passe pas. Et ne venez pas me dire qu'ils sont calculés pour porter beaucoup plus (c'est souvent vrai), ils volent alors en contravention et par conséquent avec le risque que l'assurance les lâche en cas de pépin. PS: si je me souviens bien, il n'y a que le MCR-ULM à offrir une garantie de poids à vide respectant une charge utile décente. Mais ce n'est pas un planeur... Modifié le 23 mars 2009 par Stéphane Citer Stéphane Vander Veken Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
JdeM Posté(e) le 24 mars 2009 Auteur Signaler Partager Posté(e) le 24 mars 2009 Pour moi, le GROS problème des ULM, surtout les biplaces, c'est leur charge utile beaucoup trop faible pour embarquer légalement deux personnes pas trop fluettes. 165 kg pour 2 personnes habillées et de l'essence, c'est courant dans ce monde-là. Pour moi (1m87 et 95 kg à poil) et beaucoup de mes copains (pas beaucoup moins lourds), ça ne passe pas. Et ne venez pas me dire qu'ils sont calculés pour porter beaucoup plus (c'est souvent vrai), ils volent alors en contravention et par conséquent avec le risque que l'assurance les lâche en cas de pépin. PS: si je me souviens bien, il n'y a que le MCR-ULM à offrir une garantie de poids à vide respectant une charge utile décente. Mais ce n'est pas un planeur... Le problème est local (ou du moins continental). Au Canada, la masse maximale d'un ULM est de 544 kg (et un supplément pour le parachute pyrotechnique). Ça permet d'avoir une meilleure charge utile, ou sinon, de construire un peu plus robuste. Pour les planeurs ultra-légers, ils sont classés planeur et là, c'est le constructeur qui soumet la masse maximale, sans se buter aux 450 kg réglementaires de l'Europe. Je l'ai déjà mentionné ailleurs : le Sinus est à 560 kg, le Lambada à 520 et pour le Taurus, je ne sais pas encore (il y en a deux en route mais ils ne sont pas encore arrivés chez leurs nouveaux propriétaires). Le problème des gens de forte stature n'est pas unique aux ULM. Les planeurs biplaces conçus avant les années 80 (et parfois après dans certains cas) présentent souvent des problèmes de centrage avec les grands gabarits. Deux personnes de 95 kg amènent un Blaník L23 ou un ASK-13 bien près de la limite avant, sinon au-delà (je n'ai pas la fiche de calcul sous la main). Voler hors centrage, c'est comme voler au-dessus de la masse limite : c'est techniquement illégal. Enfin, quand tous les constructeurs d'avions légers conventionnels auront cessé leur production (en reste-t-il en France?), l'Europe pourrait revoir à la hausse les limites imposées à l'ULM. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry Posté(e) le 24 mars 2009 Signaler Partager Posté(e) le 24 mars 2009 Deux personnes de 95 kg amènent un Blaník L23 ou un ASK-13 bien près de la limite avant, Un K13 à une masse max à 480kg et fait souvent au minimum 300kg, reste 180kgs à diviser par 2..... Citer Ils ne savaient pas que c'était impossible, ils l'ont fait..... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo38 Posté(e) le 24 mars 2009 Signaler Partager Posté(e) le 24 mars 2009 Pour moi, le GROS problème des ULM, surtout les biplaces, c'est leur charge utile beaucoup trop faible pour embarquer légalement deux personnes pas trop fluettes. 165 kg pour 2 personnes habillées et de l'essence, c'est courant dans ce monde-là. Pour moi (1m87 et 95 kg à poil) et beaucoup de mes copains (pas beaucoup moins lourds), ça ne passe pas. Et ne venez pas me dire qu'ils sont calculés pour porter beaucoup plus (c'est souvent vrai), ils volent alors en contravention et par conséquent avec le risque que l'assurance les lâche en cas de pépin. Ce n'est pas un risque, c'est une certitude, notamment en cas de dommages corporels à un passager ou un tiers. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
cboulenguez Posté(e) le 24 mars 2009 Signaler Partager Posté(e) le 24 mars 2009 les ULM ont été, sont, et resteront des aéronefs dangeureux, car pas assez solide dans leurs conceptions (d'où leurs noms). Exception faite, des dernières conceptions (pour millionnaires avertis). Et encore que...J'ai vu de près, de très près. j'ai touché, j'ai réfléchi. Et j'ai choisi. En pendulaire comme en 3 axes.Même si je dois arrêter de voler...(pourtant, Dieu sait que j'aime çà). Les planeurs sont parfois de conception limite, mais acceptables. Pas les ULM. Même s'ils apportent un authetique plaisir du pilotage et du vol en général. Je ne parle même pas de l'entretien qui, très souvent, laisse à désirer. Certes, par la faute du proprio, mais néanmoins réel... Alors que les Ulmistes augmentent de manière constante depuis de nombreuses années...Pourquoi tant de haine ???Les ulmistes augmentent de manière constante depuis de nombreuses années, mais pas les accidents, alors que leur matériel est dangereux, fragile et mal entretenu : Mais comment font-ils pour entretenir un tel paradoxe ? Serait-ce la cause de la jalousie, du mépris, de l'opprobre qu'ils suscitent ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fred Posté(e) le 24 mars 2009 Signaler Partager Posté(e) le 24 mars 2009 les ULM ont été, sont, et resteront des aéronefs dangeureux, car pas assez solide dans leurs conceptions (d'où leurs noms). Exception faite, des dernières conceptions (pour millionnaires avertis). Et encore que...J'ai vu de près, de très près. j'ai touché, j'ai réfléchi. Et j'ai choisi. En pendulaire comme en 3 axes.Même si je dois arrêter de voler...(pourtant, Dieu sait que j'aime çà). Les planeurs sont parfois de conception limite, mais acceptables. Pas les ULM. Même s'ils apportent un authetique plaisir du pilotage et du vol en général. Je ne parle même pas de l'entretien qui, très souvent, laisse à désirer. Certes, par la faute du proprio, mais néanmoins réel... Alors que les Ulmistes augmentent de manière constante depuis de nombreuses années...Pourquoi tant de haine ???Les ulmistes augmentent de manière constante depuis de nombreuses années, mais pas les accidents, alors que leur matériel est dangereux, fragile et mal entretenu : Mais comment font-ils pour entretenir un tel paradoxe ? Serait-ce la cause de la jalousie, du mépris, de l'opprobre qu'ils suscitent ? Année Décès Blessésgraves Blesséslégers Accidentsmatériels2003 31 16 35 272004 25 28 27 342005 17 23 29 612006 15 18 26 412007 21 15 23 492008 21 24 33 43 116 événements en 2008 (110 en 2007) Source : http://www.ffplum.com/Images/Upload/Accide...t-FFPLUM-08.pdf Citer Faites que le rêve dévore votre vie afin que la vie ne dévore pas votre rêve Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
bebert Posté(e) le 24 mars 2009 Signaler Partager Posté(e) le 24 mars 2009 Pour moi, le GROS problème des ULM, surtout les biplaces, c'est leur charge utile beaucoup trop faible pour embarquer légalement deux personnes pas trop fluettes. 165 kg pour 2 personnes habillées et de l'essence, c'est courant dans ce monde-là. Pour moi (1m87 et 95 kg à poil) et beaucoup de mes copains (pas beaucoup moins lourds), ça ne passe pas. Et ne venez pas me dire qu'ils sont calculés pour porter beaucoup plus (c'est souvent vrai), ils volent alors en contravention et par conséquent avec le risque que l'assurance les lâche en cas de pépin. PS: si je me souviens bien, il n'y a que le MCR-ULM à offrir une garantie de poids à vide respectant une charge utile décente. Mais ce n'est pas un planeur... j'ai possédé il y a longtemps un LS1 D qui pesait a vide 197 kgs,un Fauconnet pese 155 kgs,et tout cela vole trés bien,avec des charges alaires faibles de 25 a 32 kgs/m2 ,avec des VNE de 200 km/h maxi .Et bien quand tu auras fait tout ce que l'on peut faire (et qui a été fait)avec ces machines ,tu pourras juger.Quand je vois ce que de la Casiniere fait avec son Apis,je trouve qu'il y a la une voie a suivre pour l'avenir du vol a volie.Et puis la technique n'a pas dit son dernier motalors je crois que tu devrais bien refléchir avant de condamner.(tout le monde ne peut avoir un ASG 29)bons vols bebert Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stéphane Posté(e) le 24 mars 2009 Signaler Partager Posté(e) le 24 mars 2009 Pour moi, le GROS problème des ULM, surtout les biplaces, c'est leur charge utile beaucoup trop faible pour embarquer légalement deux personnes pas trop fluettes. 165 kg pour 2 personnes habillées et de l'essence, c'est courant dans ce monde-là. Pour moi (1m87 et 95 kg à poil) et beaucoup de mes copains (pas beaucoup moins lourds), ça ne passe pas. Et ne venez pas me dire qu'ils sont calculés pour porter beaucoup plus (c'est souvent vrai), ils volent alors en contravention et par conséquent avec le risque que l'assurance les lâche en cas de pépin. PS: si je me souviens bien, il n'y a que le MCR-ULM à offrir une garantie de poids à vide respectant une charge utile décente. Mais ce n'est pas un planeur... j'ai possédé il y a longtemps un LS1 D qui pesait a vide 197 kgs,un Fauconnet pese 155 kgs,et tout cela vole trés bien,avec des charges alaires faibles de 25 a 32 kgs/m2 ,avec des VNE de 200 km/h maxi .Et bien quand tu auras fait tout ce que l'on peut faire (et qui a été fait)avec ces machines ,tu pourras juger.Quand je vois ce que de la Casiniere fait avec son Apis,je trouve qu'il y a la une voie a suivre pour l'avenir du vol a volie.Et puis la technique n'a pas dit son dernier motalors je crois que tu devrais bien refléchir avant de condamner.(tout le monde ne peut avoir un ASG 29)bons vols bebert Je ne vois pas le rapport avec la charge utile? Le poids total autorisé du LS1D est de 341 kg, ça laisse une fameuse marge! Je n'ai pas la fiche du Fauconnet, mais j'ai volé sur Spatz en restant parfaitement légal. Je ne condamne pas les ULM, je dis seulement que pour moi, les biplaces ne conviennent qu'exceptionnellement - ou alors, en solo! D'autre part, c'est vrai qu'un ASK-13 à deux, c'est souvent le même problème. A cette différence près qu'il a été conçu il y a plus de 40 ans, à une époque où les gens étaient en moyenne bien plus petits et ou le surpoids était moins généralisé. Les machines modernes n'ont plus une telle excuse. C'est pourquoi les planeurs biplaces actuels sont généralement prévus pour 2 x 110 kg + quelques bagages... L'exemple du MCR prouve qu'en ULM aussi, il est possible de respecter la norme et d'offrir une charge utile intéressante. Alors, je regrette simplement que les autres constructeurs d'ULM préfèrent privilégier le luxe (pesant) à la charge utile. Certains poussent d'ailleurs sciemment les acheteurs potentiels à la faute, en argumentant que leurs machines sont calculées à un poids maximal supérieur... Avant d'acheter, exigez donc qu'on fasse une pesée devant vous! Citer Stéphane Vander Veken Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jeannot1 Posté(e) le 25 mars 2009 Signaler Partager Posté(e) le 25 mars 2009 un Fauconnet pese 155 kgs,et tout cela vole trés bien,avec des charges alaires faibles de 25 a 32 kgs/m2 ,avec des VNE de 200 km/h maxi . La VNE du Fauconnet était de 175 km/h (et est toujours d'ailleurs pour ceux qui volent encore...). A la VNE on avait l'impression d'avoir les pieds sur le tableau de bord (ce qui totalement impossible vu la taille de la cabine), et la finesse devait être inavouable (<10). je me souviens de vol où je sentais la queue se soulever en premier (ouais, s'il vous plait... ) quand on tangeantait une pompe...Il aurait pu être classé sans difficulté dans la catégorie des UL, car la charge alaire était vraiment faible (22.6kg/m²). Il ya a eu d'ailleurs beaucoup de Fauconnet vendu en kit (dans une grosse boite...), pour les clubs ayant des budgets réduits...Je le surnommais affecteusement le "bouchon"...allez savoir pourquoi.... Citer Bons vols, Bonnes pompes,A bientôt sur les ondes,Puissance et truculence,jeannot de Valence... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jp PETIT Posté(e) le 25 mars 2009 Signaler Partager Posté(e) le 25 mars 2009 "Je ne vois pas le rapport avec la charge utile? Le poids total autorisé du LS1D est de 341 kg, ça laisse une fameuse marge! " masse maxi avec water ballast et mon masse maxi sans water ballast; 320 de mémoire donc pour un planeur de 230 kg, il reste 90 kg pour le pilote l'eau dans les ailes est portée par les ailes sans effort par rapport au pilote dans le fuselage qui crée un effort au niveau de l'emplanture et qui donne, sur les planeurs modernes,une nouvelle limite : la masse maxi des éléments non portants vélivolement Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Godzilla Posté(e) le 25 mars 2009 Signaler Partager Posté(e) le 25 mars 2009 Il est bien ce thread sur les ULM. Il y a de (rares) exemples de planeurs certifié qui ont pété en l'air, sur turbulence ou suite à la perte de contrôle liée à une grosse turbulence. Que penser dans ce cas du remorquage par ULM ? A réserver aux journées pépères de peur de tout casser en l'air à cause d'une structure un peu light ? Le MCR "fédé" serait aussi concerné par ces limitations ? Les APIS et autres Taurus sont treuillables ? Citer Ce n'est pas parce qu'ils sont nombreux à se tromper qu'ils ont raison. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
cboulenguez Posté(e) le 25 mars 2009 Signaler Partager Posté(e) le 25 mars 2009 Les APIS et autres Taurus sont treuillables ?Pour l'Apis, je ne sais pas. Un crochet pour le treuil est disponible en option pour le Taurus (j'ai même vu un tarif quelque part). Le mieux serait de demander à Finesse Max. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Yurek Posté(e) le 25 mars 2009 Signaler Partager Posté(e) le 25 mars 2009 (modifié) Les Silent en tous cas sont treuillables !C'était même leur mode de lancement préféré, avant que l'EASA n'impose une certification obligatoire de tout planeur, dont la masse à vide est supérieure à 80 kg ! Ce qui a poussé Alisport à les motoriser, pour les classer ULM... Mais soyons honnêtes : le problème n'est pas une aversion des fabricants, tels qu'Alisport à certifier leurs constructions. Le problème est le coût de celle-ci !Si on n'était pas obligé de dépenser 2 Mio € - ou plus - pour la certification (une somme impossible à amortir dans une série de 50 appareils), alors la question : certifier ou pas certifier, ne se poserait même pas.La masse à vide faible donne une charge alaire faible, c'est sûr. Mais elle ne signifie pas automatiquement une insuffisance de la structure.La masse à vide du PW-5 est de 185 kg (certaines séries ont 190 kg) et sa masse max est de... 300 kg. Ca ne vous rappelle pas quelques chose ? La masse à vide du Diana-2 est de 182 kg, pourtant il n'est pas réputé faiblard de structure... sa masse max est de 500 kg ! On peut donc faire léger et solide. Yes, we can ! Le mouvement ULM n'est qu'une réponse à l'alourdissement constant de la règlementation, l'alourdissement qui n'a donné aucune amélioration de la sécurité, bien au contraire. Aux Amériques, où la règlementation est franchement moins lourde, les pilotes volent plus et - logiquement - ils ont moins d'accidents. C'est aussi simple que ça.Et les planeurs là-bas sont immatriculés Experimental, sans besoins aucun d'un certificat quelconque. Seraient-ils pour autant davantage dangereux ? Il ne faut pas se tromper d'ennemi : ULM n'est pas la mort du vol à voile !Ca peut même être la sortie de secours... à moins que l'EASA ne revoit sa copie... on a droit de rêver, n'est-ce pas ? Modifié le 25 mars 2009 par Yurek Citer Yurekhttp://www.yankee-romeo.comIf God meant man to fly, He'd have given him more money.Honni soit qui mal y pense ! http://informatiquefrance.free.fr/sms/sms_04.gif Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tatave Posté(e) le 25 mars 2009 Signaler Partager Posté(e) le 25 mars 2009 (modifié) L'exemple du MCR prouve qu'en ULM aussi, il est possible de respecter la norme et d'offrir une charge utile intéressante. Alors, je regrette simplement que les autres constructeurs d'ULM préfèrent privilégier le luxe (pesant) à la charge utile. Certains poussent d'ailleurs sciemment les acheteurs potentiels à la faute, en argumentant que leurs machines sont calculées à un poids maximal supérieur... C'est bel et bien le poids plume du MCR 01 ULM qui est un luxe, hélas. Un ami, heureux propriétaire d'une de ces machines, ne voulait pas croire que mon Tétras valait, tout équipé, 2 fois moins que son MCR. En annonçant les prix, il a du convenir que la différence était encore plus grande. Le Tétras est peut être le seul ULM à être passé, avec succès, au CEV aux fins d'exportation vers des Armées de l'Air africaines. Il a été testé sans problème à 50 kg de surcharge. Depuis un bout de temps déjà, aucun ULM ne peut obtenir de fiche d'identification sans un dossier de calcul. Les constructeurs ne mentent pas forcément quand ils disent que ces calculs sont faits à une masse maxi supérieure aux 450/472,5 kg autorisés (sans/avec parachute pyrotechnique). Autre exemple : le constructeur italien Tecnam fabrique des appareils autorisés en France à 450/472,5 kg en catégorie ULM. Strictement le même appareil est autorisé à une masse nettement supérieure (600 kg je crois) s'il est immatriculé ! Les bienfaits de la coûteuse certification restent à démontrer. Sur mon Ventus 2 cxM (prix équivalent à un MCR 01), j'ai eu à déplorer en moins de 2 ans pas moins d'une vingtaine d'anomalies. Certaines dues à un manque de soin en fabrication, d'autres imputables à des défauts de conception. Sur mon Tétras en près de 4 ans : néant. Pourquoi jeter l'anathème contre les Silent, Apis et autres Test 10 Atlas ? Le MCR "fédé" serait aussi concerné par ces limitations ? Le MCR remorqueur est un avion, dérivé assez lointain du MCR 4 S. Rien à voir avec le MCR 01 ULM. Il est donc hors du débat. Pour conclure, je dois malheureusement approuver ceux qui déplorent que les biplaces ULM soient bien souvent en réalité des monoplaces dans l'état actuel de la règlementation. Pour ne pas voler sans couverture en responsabilité civile, je n'exploite mon Tétras que seul à bord en attendant qu'un jour, j'espère, les choses règlementaires évoluent. PS : je ne suis sponsorisé ni par Humbert Aviation, ni par Yankee Roméo, ni par Delta Oméga, ni par Finesse Max. Ni par qui que ce soit d'autre, d'ailleurs. Modifié le 25 mars 2009 par Tatave Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Régis Posté(e) le 25 mars 2009 Signaler Partager Posté(e) le 25 mars 2009 Le Tétras est peut être le seul ULM à être passé, avec succès, au CEV aux fins d'exportation vers des Armées de l'Air africaines. Il a été testé sans problème à 50 kg de surcharge.Tu vois bien Tatave que tu peux m'enmener en Tetras, le CEV t'y autorise Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stéphane Posté(e) le 25 mars 2009 Signaler Partager Posté(e) le 25 mars 2009 (modifié) avant que l'EASA n'impose une certification obligatoire de tout planeur, dont la masse à vide est supérieure à 80 kg !Décidément, je passe mon temps à défendre cette pauvre EASA qu'on accuse de tous les maux. Ce n'est pas elle qui exige cette certification. Voir ce que dit la CS-22:SUBPART A – GENERALAMC 22.1 (a)ApplicabilityCS–22 is not applicable to aeroplanes classified as hang-gliders and ultralights or microlights. Thedefinitions of these aeroplanes differ from country to country. However, hang-gliders can be broadlydefined as sailplanes that can take-off and land by using the pilot’s muscular energy and potentialenergy.Ultralights or microlights can be described as very low-energy aeroplanes, as some of their maincharacteristics are strictly limited. The following criteria are often used (alone or in combination):stalling speed, weight to surface area ratio, maximum take-off weight, maximum empty weight, fuelquantity, number of seats.In addition, both hang-gliders and ultralights/microlights are usually not type-certificated, and CS–22prescribes minimum standards for the issue of type certificates.Autrement dit, ce sont les règles nationales qui décident ce qui est considéré comme un planeur ultra-léger! La CS-22 s'applique à tout planeur qu'une nation ne considère pas comme ultra-léger. Si la France décide demain qu'un planeur biplace de moins de 450 kg répond à cette définition, elle le peut, et la CS-22 ne s'y appliquera pas. Mais cet engin ne pourra sans doute voler nulle part ailleurs... Je rappelle par ailleurs qu'un ULM ne peut franchir une frontière qu'à condition d'y être autorisé par les autorités aéronautiques du pays visité... Par exemple, pas question de voler en Suisse avec un Taurus, puisque les ULM y sont encore interdits (il y a une catégorie spécifiquement helvétique, mais il n'y a pas encore beaucoup de modèles homologués). Je ne dis pas que toutes ces tracasseries me semblent nécessaires, mais il me semble que la fédération française des ULM se bat contre un assouplissement de la norme "poids maximal", parce qu'elle sait bien que ce serait ouvrir la boîte à Pandore: les autorités en profiteraient sûrement pour augmenter les formalités, au détriment de la liberté dont jouissent les pratiquants sous le régime actuel. Il ne faut pas vouloir le beurre et l'argent du beurre. Si on veut voler en ULM, il faut en accepter les limites, car on risque de tout perdre en voulant tout gagner. C'est bel et bien le poids plume du MCR 01 ULM qui est un luxe, hélas.Mais non, mais non. On trouve des ULM biplace classiques (genre SkyRanger) du même poids qui coûtent beaucoup moins cher. Mais une fois de plus, il ne faut pas vouloir le luxe d'un "plastique", car à moins d'employer des matériaux de pointe, donc chers, c'est beaucoup trop lourd. Le Tétras possède lui aussi un certain nombre d'accessoires de série dont on pourrait se passer dans une optique ULM (sièges velours, par exemple). Modifié le 25 mars 2009 par Stéphane Citer Stéphane Vander Veken Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
AFox Posté(e) le 25 mars 2009 Signaler Partager Posté(e) le 25 mars 2009 ... Sur mon Ventus 2 cxM ... , j'ai eu à déplorer en moins de 2 ans pas moins d'une vingtaine d'anomalies. Certaines dues à un manque de soin en fabrication, d'autres imputables à des défauts de conception.Tu ne dois plus être un inconnu lorsque tu écris à SH ! Tu devrais néanmoins préciser qu'il s'agit de la version 'M'. N'avais tu pas les mêmes griefs chez DG ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
André Posté(e) le 25 mars 2009 Signaler Partager Posté(e) le 25 mars 2009 (modifié) Les Silent en tous cas sont treuillables !C'était même leur mode de lancement préféré, avant que l'EASA n'impose une certification obligatoire de tout planeur, dont la masse à vide est supérieure à 80 kg ! Ce qui a poussé Alisport à les motoriser, pour les classer ULM... Mais soyons honnêtes : le problème n'est pas une aversion des fabricants, tels qu'Alisport à certifier leurs constructions. Le problème est le coût de celle-ci !Si on n'était pas obligé de dépenser 2 Mio € - ou plus - pour la certification (une somme impossible à amortir dans une série de 50 appareils), alors la question : certifier ou pas certifier, ne se poserait même pas.La masse à vide faible donne une charge alaire faible, c'est sûr. Mais elle ne signifie pas automatiquement une insuffisance de la structure.La masse à vide du PW-5 est de 185 kg (certaines séries ont 190 kg) et sa masse max est de... 300 kg. Ca ne vous rappelle pas quelques chose ? La masse à vide du Diana-2 est de 182 kg, pourtant il n'est pas réputé faiblard de structure... sa masse max est de 500 kg ! On peut donc faire léger et solide. Yes, we can ! Le mouvement ULM n'est qu'une réponse à l'alourdissement constant de la règlementation, l'alourdissement qui n'a donné aucune amélioration de la sécurité, bien au contraire. Aux Amériques, où la règlementation est franchement moins lourde, les pilotes volent plus et - logiquement - ils ont moins d'accidents. C'est aussi simple que ça.Et les planeurs là-bas sont immatriculés Experimental, sans besoins aucun d'un certificat quelconque. Seraient-ils pour autant davantage dangereux ? Il ne faut pas se tromper d'ennemi : ULM n'est pas la mort du vol à voile !Ca peut même être la sortie de secours... à moins que l'EASA ne revoit sa copie... on a droit de rêver, n'est-ce pas ? Bien d'accord avec toi Yurek ! Sinon pour ceux que l'aspect réglementaire du vol, en france, en planeur ultraléger, intéresse, vous pouvez aller voir sur cet ancien sujet du forum où je viens de mettre à jour un lien; mes questions de l'époque subsistent (oui, je n'ai pas beaucoup cherché à ce sujet), concernant la validité du texte mentionné. Bons vols ! Modifié le 25 mars 2009 par André Citer http://www.alpha-lima.fr Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry Posté(e) le 26 mars 2009 Signaler Partager Posté(e) le 26 mars 2009 Tu vois bien Tatave que tu peux m'enmener en Tetras, le CEV t'y autorise On t'as dit qu'il fallait que tu maigrisses aussi!!!!!! :lol: :lol: :lol: :lol: Citer Ils ne savaient pas que c'était impossible, ils l'ont fait..... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
CPT Posté(e) le 26 mars 2009 Signaler Partager Posté(e) le 26 mars 2009 Tu vois bien Tatave que tu peux m'enmener en Tetras, le CEV t'y autorise :lol:On t'as dit qu'il fallait que tu maigrisses aussi!!!!!! :lol: :lol: :lol: :lol:Personne ne lui a dit que c'était impossible alors il fait un régime (vélo+bière) Citer La philanthropie de l'ouvrier Charpentier est bien connue !Tout en avance d'un jour Une même passion, 2 sites : https://bia-z-and-aerologic.jimdosite.com/ https://cpt-promet.s3.eu-west-1.amazonaws.com/promet/index.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Robert Ehrlich Posté(e) le 26 mars 2009 Signaler Partager Posté(e) le 26 mars 2009 (modifié) Sinon pour ceux que l'aspect réglementaire du vol, en france, en planeur ultraléger, intéresse, vous pouvez aller voir sur cet ancien sujet du forum où je viens de mettre à jour un lien; mes questions de l'époque subsistent (oui, je n'ai pas beaucoup cherché à ce sujet), concernant la validité du texte mentionné.Voir aussi http://www.volavoile.net/index.php?showtopic=5149Comme je le disais là, il suffirait que quelqu'un se lance. Je tenterais bien le coup si j'étais bien plus riche, malheureusement un Sparrowhawk ou équivalent est très largement au dessus de mes moyens.Par ailleurs il y a sans doute plus d'avenir du coté des biplaces où la masse maxi est nettement moins contraignante, et dont l'avenir serait d'être essentiellement utilisés en monoplace, ce qui permettrait un pilote dans le style de Stéphane Modifié le 26 mars 2009 par Robert Ehrlich Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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