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Denis F

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Messages posté(e)s par Denis F

  1. --- message modifié, après la lecture d'autres posts,

    et la crainte d'une mauvaise utilisation des informations sur les

    zones d'accrochage ---

    Je propose une convention pour s'affranchir d'éventuels reproches pour mauvais conseils : on va parler de toutes les pompes de service, mais en disant l'inverse (par exemple : surtout ne pas y aller, ça chute toujours à -5 m/s) comme ça si quelqu'un y va et s'y ramasse on pourra prouver qu'on avait bien essayé de l'en dissuader... et s'il y trouve du +5m/s, peu de chance qu'il vienne se plaindre :ph34r:

  2. Je suis de l'avis de JNV, ne miltiplions pas les forums. Le forum n°1 dit "vol à voile" doit pouvoir servir à causer "technique de vol".

    Si on suivait votre raisonnement le forum "vol à voile" serait le seul sur planeur.net et on y parlerait de tout indifféremment :unsure:

     

    moi je suis pour un nouveau forum (un seul) pour les cheminements et autres trucs du vol en montagne ou sur la campagne, avec les [balises] qui vont bien quand il s'agit d'une zone donnée

     

    j'oubliais de préciser qu'avec Firefox, on peut ouvrir tous les forums dans différents onglets d'un seul clic :ph34r:

  3. Pour tout connaître sur la Barron Hilton Cup :

     

    http://barronhiltoncup.com/

     

    ...pour gagner un séjour vélivole d'une semaine d'une semaine chez Barron Hilton dans le Nevada, il suffit de faire le plus long vol en triangle FAI en EUrope (classe libre, 15m, standard, club ou biplace) de la péiode 2004-2005

     

    le vol à battre : 604 km ...

    voir http://minilien.com/?dP2Hn6IGmS ou

    http://www.segelflugszene.de/bhc/index.php...83689d34c804705

     

    Qu'on se le dise !

  4. Il n'exisite pas de bouquin répondant à ta question (l'équivalent du Blanchard ou du Kalkreuth pour les Alpes françaises).

     

    Par contre ta suggestion de forum est intéressante : cela permettrait de poser des questions concernant tel ou tel passage dont l'étude des cartes ou des champs vachables laisse penser que ce n'est pas évident, et de confronter les différentes expériences.

     

    Je pense qu'un tel forum ne devrait pas être limité aux Alpes : il y a beaucoup d'autres endroits délicats, genre transition entre Vosges et Jura, Massif central aux Pyrénées, Gibraltar, Mont St-Michel, etc. et je vois mal créer autant de fora que d'endroits en question :mdr:

  5. L'ANEPVV a validé des epreuves de distance (50km, 300km, 500km) réalisé avec des bearcans : c'est une grave erreur et un non respect du reglement FAI.

    Qu'ils soient pendus haut et court.

     

    Heureusement les boîtes à ours seront valides d'ici peu (l'ANEPVV pourra alors se racheter en refusant ces mêmes épreuves tout aussi illégalement)

  6. Denis, ne connaissant pas les circonstances de ta panne d'AF je n'ai pas à juger ta decision mais en te lisant on pourrait croire que en cas de pb d'AF il suffit des faire un ou des 360° en finale ...... imagine qu'un "jeune pilote" rentienne ca de ton message .....

    Bon, je précise à l'attention des lecteurs, jeunes pilotes ou moins jeunes, qu'un 360° en finale c'est la dernière des choses à faire, surtout face aux peupliers de Nogaro qui ont la fâcheuse idée de voler trop haut. Mais dans ces circonstances, si je ne l'avais pas fait je ne serais peut-être plus là non plus pour en parler.

     

    L'élève que je faisais voler aurait peut-être pu détecter la panne d'AF en vent arrière, sauf s'ils marchaient à ce moment (avant la panne, c'est pas en panne). En tout cas ils marchaient avant le décollage...

     

    D'ailleurs ma principale erreur ce jour là a été après le 360°, car j'ai essayé de me poser au plus tôt et je ne me suis arrêté qu'à une dizaine de mètres de la nationale au bout du terrain. Mais il se trouve que si je savais virer à faible hauteur, je ne savais pas comment me poser sans AF (on ne me l'avait jamais appris, et je n'avais jamais réfléchi au problème particulier que ça pose). Depuis, je sais qu'il eût fallu faire le contraire.

  7. Je n'irai pas pleurer sur un mec qui part en autorot alors qu'il tentait un raccrochage à 50 m/sol. C'est un comportement aussi intelligent que les chauffards sur la route: ils ont toujours eu raison de doubler, la preuve, ça passait ! Evidemment, le jour où ça ne passait pas, ils ne sont plus là pour en parler...

    Ne mélanges pas tout. Le cas que tu évoques était en montagne (on m'a dit plus haut dans ce fil que ça n'avait rien à voir).

     

    De plus c'était en biplace, ce qui présente indéniablement des risques spécifiques (deux pilotes chevronnés ensemble, si on n'y prend pas garde, c'est beaucoup plus dangereux que chacun seul à bord).

     

    Ensuite ceux qui doublent sur la route : il y a peut-être des chauffards, mais il y en a aussi qui prennent une marge de sécurité suffisante pour que ça passe toujours : généraliser comme tu le fais est stupide. Faut-il interdire de doubler purement et simplement parce qu'il y a des chauffards (lesquels de toute façon ne respecteraient pas l'interdiction) ?

     

    Le vol à voile est un sport dangereux. Le nier, comme on le fait habituellement pour attirer le chaland (ou pour se rassurer soi-même) est encore plus dangereux. La vraie sécurité, c'est d'apprendre à en connaître tous les risques et à s'en prémunir, entre autres en apprenant (en double) à faire un dernier virage bas correctement, car même si on ne raccroche jamais en-dessous de 200 m, on peut être amené à devoir faire un 360° à 50 m sol, . Ca m'est déjà arrivé suite à une panne d'AF en finale. Ca peut arriver pour éviter un planeur, comme dans le cas tragique cité plus haut par Fabrice (qu'aurait-il fallu qu'il fasse : continuer tout droit et percuter l'autre planeur ???)

     

    Et le jour où ça arrive involontairement (donc avec beaucoup plus de stress que lors d'un raccrochage), autant l'avoir déjà fait, pour ne pas risquer de partir en autorotation.

  8. Toujours sur le thème des vols traversant les massifs Jura-Alpes, des récits très instructifs, bien que vieux de 50 ans dans cette page de l'excellent site du CSVVA  :D  :lol:

    Comment dit-on FL 195 et Airprox, en suisse ? :D

     

    Voici l'illustration par Nicolas Pug de ces vols :

    "La route Sud", ou Hans Nietlispach emporté par son élan...

     

    ... et qui a dû perdre le nord, car vu la position du Nil et des Pyramides, il fait route au Nord...

  9. Remarquons qu'en montagne, dans des conditions de turbulence souvent plus sévères, on spirale (ou on fait des huits) au ras de la pente donc du sol, pas obligatoirement 200 m au-dessus. Allez comprendre...

    Mouais ....

    Je suppose, denis, que tu as qd même de l'eau sous la quille

    pour dégager ? non ?

    Bien sûr, mais il mesemble que le problème posé n'était pas celui-là, mais de la hauteur sol. Dans de nombreuses régions on peut être à 45 m sol et avoir encore plusieurs champs dans lesquels on peut se poser en toute sécurité. Dans d'autres cas, à 500 m il faudra déjà prendre la décision de se poser...

  10. la possibilite du controle des circuits par appareil photo ( non numerique ) est toujours possible.

    cela coute moins cher.

    Profitez-en, ça ne durera pas aussi longtemps que les impôts...

     

    L'IGC, dans sa grande sagesse, vient de décider la fin des appareils photos (à une date non précisée) en même temps qu'il réaffirmait l'impossibilité d'utiliser des GPS grand public même pour un 50 bornes : http://www.fai.org/gliding/meetings/2004/i...minutes2004.pdf

     

    A quelque chose malheur est bon, ça va développer l'usage des loggers :blink:

  11. - Se rappeler de la régle des 10kms mini d'écart entre 2 points de virage, si en fin de circuit on envisage de prolonger pour valider une épreuve !

    toutafé, sauf que cette règle ne s'applique pas à l'arrivée (ni au départ) qui ne sont pas des points de virage

     

    Donc on peut faire D - P1 - D - P2 - D (double aller-retour) si + de 10km entre P1 et P2, et on peut très bien faire son 3ème point de virage à 2 km du terrain et compter le retour terrain en plus

  12. le seul planeur cassé à Beynes depuis des années l'a justement été l'année dernière par un "moustachu", instructeur et circuiteur, qui a, selon toute apparence (car il n'y a pas de témoignage précis..) cru qu'il savait raccrocher plus bas que la cime des arbres....

    Evitons de tirer des enseignements péremptoires de simples hypothèses.

     

    L'argument sécurité est à double tranchant. Car raccrocher à 200 ou 300 m est au moins aussi dangereux qu'à 45 m : en cas d'autorotation, l'impact est certain dans les deux cas, et sera à coup sûr fatal dans le premier, pas dans le second, puisqu'on tombe de moins haut, que l'aile peut amortir le choc, etc. (non pas que ce soit une situation à recommander, quand même)

     

    Ensuite, si on prend la décision politiquement correcte de se poser (ou de se vacher), il y a tout autant de risque dans cette manoeuvre pour quelqu'un peu à l'aise près du sol ou loin des ses repères habituels, à savoir virage à plat suivi d'autorot,, ou trop vite pour s'arrêter avant la fin du champ, etc.

     

    Remarquons qu'en montagne, dans des conditions de turbulence souvent plus sévères, on spirale (ou on fait des huits) au ras de la pente donc du sol, pas obligatoirement 200 m au-dessus. Allez comprendre...

     

    Conclusion : il n'y a pas dans l'absolu de hauteur trop basse ni de hauteur sûre, tout dépend de l'environnement, du planeur, de la qualité du pilotage, de l'expérience, de l'état de forme, etc. Le vol à voile comporte des risques, il faut avant tout bien les apprécier et bien connaître ses limites pour ne pas les dépasser et garder une marge de sécurité suffisante. Tout discours plus normatif conduit inévitablement à la transgression dans des conditions bien pires.

     

    P.S.: 1 - je ne raccroche jamais si bas (Gilles, il faudra m'expliquer comment tu fais : peut-être est-ce dû à ton acuité visuelle de 17/10 ?

    2 - le coup de l'aile intérieure qui recule, faudra m'expliquer, parce que c'est toujours le cas (sauf au ras du sol), et surtout parce que à cette hauteur il me semble qu'il y a mieux à faire qu'à regarder l'aile !

  13. Qu'il me soit permis ici de pousser un coup de gueule face à certains propos tenus par Jean Marie Clément dans le dernier Vol à voile magazine (n°114 de janvier-février 2004)

    Tu as certainement réagi de même à un autre récit de vol paru dans Info-Pilote de mars où on vante -- comme s'il s'agissait d'un exploit -- l'inconscience du pilote :

     

    - vol sans avoir pratiquement dormi de la nuit

    - décollage en surcharge, sur terrain boueux, vent arrière,

    - visibilité nulle vers l'avant,

    - vol de nuit sans éclairage des instruments,

    - passage IMC avec une simple bille-aiguille

    - givrage des comandes

    - survol maritime sans équipements de secours

    etc.

     

    Il s'agit d'un certain Charles Lindbergh...

     

    ;)

  14. si c'est ED 50 pourquoi ne pas le dire plutot que de dire NON WGS 84 ???

    c'est surtout qu'avant le GPS, on se fichait pas mal de savoir quel ellipsoide était utilisé, les différences étant minimes (qq 100aines de m)

     

    Donc ça pouvait aussi bien être ED 50, que WGS 72 ou n'importe quoi d'autre

     

    Si c'était du ED 50 il suffirait de le convertir en WGS 84 (n'importe quel convertisseur fera l'affaire, par exemple http://www.aeroclub.student.kuleuven.ac.be...soar/index.htm), a priori pas besoin de refaire des mesures...

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