www.planeur.net | www.netcoupe.net | www.volavoile.net
Aller au contenu

Yurek

Membres
  • Compteur de contenus

    1 355
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Yurek

  1. Salut Laurent C'est sûr, la couture est moins risquée ! Mais que celui qui n'a jamais eu les mains moites te jette la première pierre ! Moi, en tout cas, je ne serai pas de ceux-là ! J'avoue sans problème que ça m'est déjà arrivé plus d'une fois. Il faudrait demander à des GRANDS PILOTES (à vos plumes, Messieurs !), peut-être te diraient-ils aussi quelque chose dans le genre... Mais la peur peut aussi être salutaire. Toute la diffculté est de la maîtriser, transformer en prise de conscience qui nous fait anticiper des risques et des obstacles. Sans la peur, la prise de risque peut rapidement devenir très dangeureuse. Mais comme toi, tu en as déjà pris la conscience : ... tu prends forcement moins de risques... Et puis, tant que le plaisir du vol à voile est plus grand que la peur, on a pas besoin de passer à la couture... Il reste encore la précision d'atterrissage. Entraîne-toi et bon courage Bons vols,
  2. Yurek

    Silent 2

    Juste une petite mise au point. Le vol de Leo Benetti-Longhini du 9 juillet est en cours d'homologation en deux catégories FAI dans la sous-classe des planeurs ultralégers : 1) Distance en ligne droite pour un but défini. La performance déclarée est de 548 km et le record du monde précédent appartient à l'américain William Osoba, avec 508,10 km. 2) Distance libre, où la performance déclarée est de 620 km et le record précédent appartient toujours à Bill Osoba, avec 508,10 km. L'info est accessible sous : FAI - GWR On vous tiendra au courant, bien sûr !
  3. Yurek

    "l'avenir Du Vol à Voile"

    C'est bien là que le bât blesse ! Mais il y a-t-il vraiment un remède ? Je ne le pense pas. Car la vraie question n'est pas : Faut-il employer un salarié ? Mais bien : Est-ce que les membres d'une association veulent la faire vivre ? Il y aura des associations qui vivront très bien, à Pic St Loup et ailleurs. Et il y en aura aussi qui, malheureusement, ne pourront pas survivre au désintéressement de leurs membres. Aucune action fédérale n'arrivera à sauver des associations, dont les membres manquent d'envie de faire quelque chose ENSEMBLE. Les associations naissent et meurent, et cela ne concerne pas que le vol à voile... Le vol à voile est un sport exigeant, et il est bien plus facile de s'y adonner dans un cadre associatif. Mais ce n'est nullement une obligation, ni une condition. Car, ce qui est essentiel dans une association, ce n'est pas son objet (vol à voile, chant polyphonique ou les timbres postaux) mais la volonté et envie des membres de faire cela ensemble. Bons vols, même solitaires !
  4. Yurek

    "l'avenir Du Vol à Voile"

    Une nuance, tout de même ! Ce n'est pas seulement notre activité qui se caractérise par la consommation des loisirs... c'est toute la société moderne qui est devenue consommatrice à outrance Et c'est notre environnement désormais... Le problème, c'est que le vol à voile se prête mal à la consommation rapide. On discute à côté (Facteurs humains et vol à voile) du temps nécessaire pour lâcher un jeune pilote en campagne, mais quelle que soit l'opinion des participants de ce forum-là, on imagine tout de même mal un circuiteur "fabriqué" en quelques jours, voir en quelques semaines ! Je ne pense donc pas que l'on puisse satisfaire à ce genre d'exigeances (vite, vite, faites-moi voler tout de suite !) si elles apparaissent, à moins de vouloir rapidement renouveler notre flotte des planeurs. Et le bénévolat dans tout ça ? Il se peut que l'évolution nous amène vers le système anglo-saxon: les écoles professionnelles - où l'on passe son brevet, et les clubs - où l'on s'associe pour se rencontrer, se mesurer aux autres, acheter en commun des planeurs ... Ou peut-être pas - la vie en décidera. Personnellement, je trouve le système français plus sympathique. Et je ne m'inquiète pas, par exemple, pour le Pic St Loup : ils vont faire vivre leur bénévolat très, très longtemps. Car, ILS EN ONT ENVIE ! Mais la tendance est effectivement forte, pour "optimiser" le temps consacré à l'activité (que celui qui n'a jamais passé une journée sur le terrain, sans même monter dans un planeur, me jette la pierre ! ). Et le bénévolat - et c'est là, sa principale faiblesse - on ne peut pas le décréter !
  5. Etant coutumier des pays de l'Est, je vous signale que là-bas, en Tchéquie ou en Pologne, il est toujours d'habitude de mettre sur un terrain de vol à voile des signaux d'atterrrissage. Ils sont en toile blanche, avec une flèche centrale, symbolisant l'endroit où l'on doit toucher le sol et deux "bandes limitatrices" éloignées de la flèche de 50 m de part et d'autre. Que l'on en fasse l'usage ou pas, ces signaux sont toujours là, pour permettre justement aux pilotes de s'entraîner à l'atterro de précision à chaque vol. Aux bons entendeurs, salut !
  6. Yurek

    Accident

    Parce qu'il est difficile de montrer la beauté du vol à voile et expliquer l'intérêt que l'on peut y trouver, que nous y trouvons ... Alors qu'il est très facile de montrer une épave avec les pompiers, ô combien photogéniques...
  7. Yurek

    Défense De Colmar-houssen

    En effet ! Ce n'est qu'une première bataille gagnée ... Mais ça fait plaisir quand même Avanti vélivolo ...
  8. Yurek

    Accident

    Qu'est-ce que tu veux dire ? Pourquoi des cables ? Explique, Fred, STP...
  9. Yurek

    Exotisme !

    Non, ce n'est pas de l'arabe. C'est la langue farsi, autrement dit le persan. Seule l'écriture est arabe... Malheureusement, je parle pas le persan. Bon courage !
  10. Voilà, qui est bien dit... Au-delà d'une querelle entre les grands pilotes du vol à voile ( j'espère que ce n'est pas le cas ), il y a bien un problème dont on ne parle pas beaucoup et que Philippe met à nu : la qualité de l'accompagnement sur la campagne. Avec ma petite expérience, je vois bien tout de même que nombreux sont des clubs (et là, je ne met en cause personne, que chacun regarde dans sa glace...) où cet accompagnement est bien mince. La discussion voisine (sujet: Accident) avec son lot des non-dit, y apporte une demonstration flagrante. C'est bien d'avoir testé toutes les phases de la prise du terrain et de l'atterrissage sur son terrain. Seulement, l'enseignement fait prendre aux élèves des repères (et à ce stade c'est très bien ainsi !) qui inévitablement vont leur manquer pour un atterro de campagne. Je crois que Fred (Accident ) a raison : il faudrait faire faire aux élèves avant leur laché en campagne des atterrissages sur des terrains qui leur sont inconnus (pourquoi pas des terrains ULM), mais qui permettraient avec un peu d'organisation un encadrement approprié. Sinon, il vaut mieux, effectivement, tourner en local pendant un an ou deux, avant de s'aventurer plus loin...
  11. Yurek

    Accident

    Merci, YOP, d'avoir exprimé d'une manière aussi jolie et posée, l'idée que je m'étais efforcé de transmettre (la jeuneusse, comme on le voit, n'exclue pas la sagesse). Mon propos n'était pas de faire peur, ni de faire faire peur, mais de rappeler la nécessité de regarder la réalité en face. En le faisant, on fait déjà un pas vers plus de sécurité. La sécurité qui se joue tous les jours et pas seulement le landemain d'un accident. Cela fait peut-être moins d'effet, mais c'est certainement plus efficace... La joie que notre passion nous procure, ne doit pas nous faire oublier, ni sous-estimer le risque qui y est inhérent. La collision d'hier le rappelle encore d'une façon, on ne peut plus tragique... Une pensée pour les copains disparus...
  12. Yurek

    Accident

    Mais non, Jean-Marie, pas un poil. TRÈS IMPLULSIF, tu veux dire. Si tu avais lu mon message jusqu'au bout, avant d'attraper ton stylo, pardon, ton clavier, t'aurais trouvé que je prétends justement le contraire. Je ne vais tout de même pas me citer moi-même, mais j'ai bien écrit que même les décrochages pas ou peu violents n'empêchent pas des accidents... Que la solution qui rendrait le vol à voile sans aucun danger n'existe pas... Qu'il y a des solutions pour améliorer la sécurité, mais elles sont concrètes, peu flatteuses politiquement, demandent beaucoup d'effort et peuvent seulement diminuer le nombre d'accidents graves, sans les exclure totalement. Je prétends même que c'est peut-être à force de dire aux nouvelles recrues (qu'ils soient jeunes, ou moins jeunes) que le vol à voile est fun, cool et sans risque, que l'on fait des pilotes qui rencontrent leur peur et découvrent leur limites deux fois: la première et la dernière, dans le même vol... Donc, pour résumer, je pense qu'il vaut mieux dire clairement au gens (comme dans le cas de tous les sports que j'ai évoqué) que les dangers existent, qu'ils sont réels et qu'il faut s'y préparer. Quant à la question, si on peut sortir plus vite d'un décrochage parachutal ou d'une vrille, je te laisse faire ton choix, le mien est déjà fait... Tu vois, donc, Jean-Marie que nous sommes bien du même côté, et tu peux accepter mes amitiés sans un "quand même". Quant au Guest, je ne vais quand même pas répondre à un type qui ne degne pas de signer ses posts, qui insulte les gens sans avoir compris ce qu'il a lu, ou aurait du lire (vérification faite, je n'avais pas écrit en russe, ni en japonais... mais vérifiez par vous-mêmes) et qui s'il continue comme ça, va nous assener implacablement un "Mais que fait donc le gouvernement !" A tous ceux qui pensent qu'il faut plus de modestie, plus d'humilité face à la nature, à l'air, à notre activité préférée et à nos propres capacités, mes amitiés. Soyez prudents et bons vols,
  13. Yurek

    Plus Fort Que Le Midour !!!!

    Mea culpa : tu as raison, Bre901, c'était le vieux PZL-106 AR, avec un moteur en étoile, mais avec une double cabine j'ai subodoré une transformation poussée. Oui, il n'y a pas photo : en double cabine il a encore battu son propre record de laideur... Mais si j'ai répondu aussi sérieusement à ce post, ce que le problème des remorqueurs ne fait que de s'aggraver. Et le secours ne viendra pas de la Socata...
  14. Yurek

    Accident

    Cela s'appelle une prière pour un miracle... Un décrochage en dernier virage pour un attero en campagne est effectivement la cause la plus fréquente d'accidents graves en vol à voile. Faudrait-il, donc que les planeurs ne décrochent pas ? Bien sûr, des planeurs, dont le décrochage n'est que parachutal, existent (par exemple: SZD-51 Junior, et ça marche ) Seulement, même un planeur qui ne décroche pas violemment, n'est pas non plus une solution miracle, c'est à dire n'offre pas une garantie absolue. On peut toujours, par exemple, rentrer dans un arbre dans la forêt, dans une maison ou dans une pente - sans parler d'une ligne de haute tension - et se tuer quand même. Et que dire des collisions en vol ?! Que les moniteurs enseignent donc la campagne, que l'on fasse systèmatiquement des entraînements à l'atterro en campagne avec des motoplaneurs appropriés, que les clubs achètent des Junior, je veux bien... Mais LA SOLUTION absolue n'existe pas ! Il y a - heureusement pour le vol à voile - beaucoup moins des gens qui se tuent en planeur qu'en bagnole, mais comme en parachutisme, en escalade ou en plongée, les risques existent et existeront toujours... Rester prudent, c'est peut-être finalement la meilleure solution. Donc psssst, ne ditez pas aux terriens blaireaux : le vol à voile est un sport à risques... Bons vols à tous !
  15. Yurek

    Plus Fort Que Le Midour !!!!

    Moche, peut-être, mais qu'est que c'est cher ! En fait, le PZL-106, modèle BT-601 Turbo "Kruk" est un avion agricole à turbine (Walter M601D). Pour en faire un remorqueur avec un GMP classique, come sur la photo, il faut en avoir un de récup ! J'imagine mal que l'on en achète pour démonter la turbine, ça fait un peu reche au bout ... Pour ceux qui seraient tout de même tentés, voici la vitrine du fabricant: PZL-Okecie
  16. Yurek

    Défense De Colmar-houssen

    Ca, c'est une bonne nouvelle ! Mais tu as raison, Fred : Il faut donc rester vigilant - les betonneurs des aérodromes désarment rarement !!!
  17. Yurek

    Silent 2

    A peine ai-je eu l'idée d'une récompense pour le 500 km en Silent (le 04/07) que la chose est déjà faite ! En effet, un pilote italien (encore!), Leonardo Benetti-Longhini a parcouru aux commandes d'un Silent-2 la distance de 368 miles (anglaises) - c'est à dire 651 km !!! Parti vendredi dernier de Zapata au Texas, il a atterri - après 8 h 33' de vol - à Sweetwater, également au Texas, ce qui lui donne une vitesse moyenne de 76,14 km/h. Un record du monde est en l'air... Le fichier IGC se trouve sur le server : fichier IGC Un récit de Davis Straub sur Oz Report: Oz Report Une info de cet événement sur "rec.aviation.soaring": gliderpilot et groups.google Cela ne doit pas déranger tous les pilotes qui veulent enrouler tranquillement leur thermique du dimanche, en tout cas, je l'espère. Mais pour tous ceux qui résistaient encore à l'évidence - le temps est désormais venu d'admettre que le Silent-2 est un planeur avec du potentiel ! Bons vols à tous!
  18. Yurek

    Silent 2

    Et patatras ! Quel honte ! Yankee Romeo vous aurait-il menti ? Ô que neni ! :wacko: L'info provient des organisateurs eux-mêmes... qui m'ont annoncé samedi : La vérité avant tout ! J'en retiens, à part une bonne ambiance, que la machine n'est pas mauvaise, tout de même... C'est d'ailleurs tout ce que l'on vous souhaite pour vos concours (en classe club, par exemple)
  19. Yurek

    Silent 2

    En avant, les Silent-istes ! :wacko: En pilote silent-ieux mais émérite, Olivier Dancer a pris la trosième place en classe Club du concours régional PACA. Si c'est la qualité certaine du pilote qui lui a permis de se hisser sur le podium , on peut supposer que celles de la machine ne l'ont pas géné dans cette tâche... L'étape suivante : faire un 500 km... , Luigi Bertoncini n'était déjà pas loin ! Alors, qui l'osera ?
  20. Yurek

    Dessins Avions-planeurs

    ô oui, Fred ! Elle est émouvante, mais pour nous seulement, de SXB... :wacko:
  21. Yurek

    Dessins Avions-planeurs

    Et comment... :!!: Il le cachait très bien même ! Il faut dire que le Kilo Hotel est plus que convaincant. On s'y imagine, on se voit réellement en cette finale ! Mais en fait, ses dessins ne sont jamais (sauf KH) réalistes, les proportions changent et l'on devrait plutôt parler des caricatures, en bon sens du mot. Ces planeurs ont de la gueule, ils ont vraiment du caractère, oui. Il fait des progrès, ses planeurs et autres jets s'améliorent. Et en plus, ils sont marrants ! Bravo Thomas !
  22. Dès son apparition, le Swift s'est attiré beaucoup de sympathie, aussi bien de la part de deltistes que des vélivoles. :lol: Sans être une révolution, ce plutôt un chaînon manquant entre les deltas "topless" en toile et les planeurs. La technologie utilisée est par contre (ou plutôt elle l'était, au moment de sa naissance) effectivement révolutionnaire. Aujourd'hui le danger se trouve du côté de la EASA qui - petit rappel - a décidé en mars 2003 que les planeurs doivent être certifiés à partir de 80 kg de masse à vide. Si l'on rajoute au 46 kg de cette aile, le poids de la cabine et du moteur... Heureusement, avec le moteur le Swift devient... un ULM (ou plus précisement : il peut le devenir). Bienvenu dans le monde merveilleux des ULM !!!
  23. Yurek

    Silent 2

    Encore une info concernant le cadre légal d'utilisation du Silent : :lol: La DGAC (ou plus précisement le SFACT/NAG) a délivré le 5 mai 2004 la Fiche d'Indentification d'ULM n° B-103-SF-1430-L pour le Silent-2. Pour la voir :DGAC-SFACT/NAG -> Fiche d'Identification d'ULM du Silent-2
  24. Yurek

    Silent 2

    Une info pour les amateurs du Silent: Olivier Dancer participera au concours régional PACA à Vinon du 27 juin au 3 juillet prochains, aux commandes d'un Silent-2. Olivier est très modeste, il n'en parlera donc peut-être pas. Aussi je vous le signale, afin que tous les fanas du Silent puissent l'encourager. Avanti Oli !
  25. Yurek

    Réglementation

    La liste peut être trouvée effectivement sur le site de la FFVV, et en plus dans le dernier numéro de "Vol à Voile". Mais pour abréger, disons tout de suite qu'elle contient de monoplaces suivants : "Silent-In (maintenant appelé Silent-Club), Silent-2, Apis-M, Apis-2 et Albastar A-1" et les biplaces : "Sinus, Lambada et TeST-8-Alpin-DM". La liste n'est pas close, ni figée et elle évoluera certainement au fur et à mesure d'apparition de nouvelles constructions. Sans vouloir parler au nom de la Fédé, je note quand même que les monoplaces retenus sont ceux, dont les paramètres de vol leur permettent d'envisager la participation aux concours en classe club. J'en déduis que c'est un des objets de cet agrément. Car, réglementairement, leur utilisation se déroule de toute façon dans le cadre d'une activité ULM et exige, par conséquent, la possesion d'un brevet de pilote d'ULM et l'affiliation à la FFPLUM (y compris une assurance spécifique). Par contre les biplaces, eux, peuvent être utilisés pour la formation des pilotes de planeur et pour cette utilisation la FFVV offre la possibilité aux clubs d'assurer ces planeurs, pardon, ces ULM avec les machines certifiées. En somme, on y voit un zeste de bon sens et je crois qu'il faut s'en réjouir. Le fait que les deux fédérations ont trouvé un terrain d'entente est très positif également, moi en tout cas j'en suis ravi... Bons vols à tous, quelque soit la monture !
×
×
  • Créer...