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Yurek

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Tout ce qui a été posté par Yurek

  1. Yurek

    Accident

    Sauf, qu'il n'y a pas de quoi rire ! Hélas, tant la situation qui nous amène à débattre ici, que certains comportements donnent peu de raisons et aucun envie d'en rire ! Alors, pour ceux qui ne signent toujours pas leurs posts et ne comprennent toujours pas (ou ont besoin de plus d'un mois pour comprendre...) de quoi il s'agit, et au risque de me répéter, je le re-explique: je me suis exprimé contre la tendance assez fréquente de nier le danger en vol à voile. J'estimais, et un mois plus tard j'estime toujours, qu'il faut admettre l'existence du danger pour pouvoir l'éviter, que c'est en fait le premier pas vers plus de sécurité, même si la sécurité totale n'existe pas. Le cas du Titanic reste l'exemple le plus célèbre d'une attitude de négation du danger... Il ne faudrait donc pas dire aux nouveaux arrivants que le vol à voile est un sport sans risque. IL FAUT prévenir, AVANT de guérir. L'article de Bruno Gantenbrink ne dit pas autre chose (merci, Jutta!) avec un avantage par rapport à ma modeste contribution : il est, lui, un vélivole hors pair, avec une expérience que personne ne peut contester. Allez, soyons optimistes (même au risque de paraître naïfs) : j'invite "Guest" et "JF" à relire les posts de ce sujet, et à réfléchir à la question posé par l'enchaînement d'accidents que nous vivons cet été. :rolleyes: Est-ce de trop demander ? De toute façon, les vociférations ne me touchent pas, l'avenir du vol à voile m'importe par contre beaucoup. Je suis un pilote de faible expérience en vol à voile, j'ai par contre une expérience d'autres sports, dits "à risque". Les attitudes de négation de danger et - à l'autre bout de l'échelle - de macho ou "des rouleurs des mécaniques", on les y retrouve fréquemment, avec toujours les mêmes résultats à la clef... Je ne peux, hélas, que répéter derrière Jutta : ma liste des copains disparus ressemble beaucoup à la sienne - elle me semble trop longue. Bien sûr, on pourrait dire (attention au conditionnel, Guest) : je fais ce que je veux avec ma vie, ce moi qui prends le risque, donc c'est mon problème. Navigare (...volare) necesse est, vivere non est necesse... disaient les anciens. De toute façon nous allons mourir tous. Mais je croyais, moi, qu'il valait mieux vivre sa passion, qu'en mourir... J'assume le risque quand je vole. Sans me voiler la face, pour que ce ne soit pas la peur qui paralyse, mais que ce soit la conscience de danger qui mobilise. Encore, il faut en être averti. Encore, il faut proscrire les attitudes de surenchère et réfléchir, comment aider les pilotes moins expérimentés (pas seulement les débutants). Encore, face aux éléments que nous ne pourrons de toute façon pas dominer (l'air, l'eau), il faudrait garder assez d'humilité pour ne pas mourir con... P.S. Thanks, Jack, many happy landings for you too !
  2. Yurek

    Accident

    Si tu n'arrives pas à suivre ce sujet depuis le début, JF, je te rappelle que depuis le 10 juillet il y a eu en France et en Suisse 7 accidents de vol à voile, faisant 8 morts et 1 blessé. Huitième accident a eu lieu à Llagonne, cette fois-ci, c'est le pilote du remorqueur qui est mort. Crois-tu vraiment qu'il n'y a pas de quoi parler ? - ce n'est pas une manie de la persécution, par hasard ?La discussion sur ce forum, au cas, où tu ne l'aurais pas encore remarqué, ne concerne pas un club en particulier, même aussi respectable que celui de Colmar (dont je garde par ailleurs d'excellents souvenirs), MAIS BIEN TOUS LES CLUBS Cela m'attriste franchement de te voir balayer le problème de la sorte : parce que ça n'apporte vraiment rien au débat. Désolé...
  3. Une belle idée, en effet. Et bien candide. Car, si les conditions physiques et psychologiques de la voile et du vol à voile sont proches (les mêmes lois de physique, l'utilisation du vent et la fascination par l'espace), les conditions juridiques et économiques n'ont rien à voir ! Les plaisanciers sont 4 millions dans notre pays. Nous avons en France 789 000 bateaux de plaisance, dont 236 700 sont des bateaux à voile... Accessoirement on peut rajouter que la France est le premier constructeur mondial des bateaux à voile. Est-il vraiment nécessaire de rappeler que nous sommes, nous les vélivoles, moins d'1 pour mille ? Et que dire de la production des planeurs ? La "circulation" maritime ne souffre aucun contrôle (sauf sur le Rail d'Ouessant) et pour partir en mer avec un bateau à voile, on a besoin d'aucun permis... Mais l'idée est belle, j'en conviens.
  4. Yurek

    Accident

    On peut légitimement supposer - en tout cas moi je le suppose - que si Jutta fait une citation aussi importante, elle est d'accord avec son contenu... Et un peu plus sérieusement : ne pourrais-tu pas évacuer un peu de cette agressivité mal à propos et participer réellement au débat ? Peut-être toi aussi, tu as quelque chose d'intéressant à nous dire...
  5. Tout à fait d'accord avec Denis Personnellement, je m'en fous, quelle est la qualification juridique de mon planeur, du moment où il vole bien, comme je ne pense pas qu'il soit essentiel pour ma passion, quel est le sigle figurant sur ma licence... J'observe à cet égard que les deux fédérations les plus concernées (FFVV et FFPLUM) ont heureusement une attitude raisonnable et - ce qui est encore mieux - collaborent plutôt bien. A mon avis, le développement fulgurant des ULM 3-axes, qu'il soient de type avion ou planeur, n'est qu'une réaction saine par rapport à l'évolution défavorable (tant juridique qu'économique) de l'environnement de l'aviation générale. Nous souffrons en fait d'une mainmise de l'Etat par le passé, l'Etat qui assurait la protection de l'aviation générale et son développement et qui s'en desintéresse maintenant (son centre d'intérêt s'étant déplacé vers l'aviation commerciale). La suite logique Airbus -> Air France -> ADP, et le colbertisme naturel de notre administration l'empêchent de voir les chances de développement économique et social dont l'AG est encore porteuse. En plus, nous sommes terriblement minoritaires : nous sommes un peu plus de 11 000 de vélivoles, la FFPLUM compte à peu près 13 000 pratiquants et la FNA, pardon, la FFA revendique, elle, 47 000 pilotes. Etant donné qu'une partie de licences concerne les mêmes personnes (pilotes planeur & ULM ou pilotes planeur & avion), on peut supposer que nous sommes environ 50 000 pilotes en France, même pas 1 pour mille... C'est trop peu pour susciter l'intérêt des décideurs, dépourvus par ailleurs d'imagination. Si les pilotes en France étaient aussi nombreux que les chasseurs, on aurait aucun problème - la logique électorale aurait imposé à nos politiciens de nous respecter... Conclusion ? Non seulement qu'il n'y a pas de véritable conflit entre la FFVV et la FFPLUM, mais au contraire, il faut souhaiter la plus étroite collaboration entre elles. La faiblesse de notre aviation générale et sportive provient pour partie d'un manque de coordination entre différentes organisations. A l'époque où l'Etat distribuait des aides et des subventions, les organisations se divisaient pour en profiter (d'accord : je simplifie, mais juste un peu !). Aujourd'hui ce qui pourrait nous donner une chance de survie à nous tous, c'est davantage de coordination et d'union. En sommes nous capables ? Ca, c'est une vraie question... :wacko:
  6. Non Romain, il n'est pas question de remplacer l'ensemble du parc des planeurs certifiés par des ULM, du moins pas tout de suite ! Néanmoins la question posée par Jean-Pierre reste entière. Et on ne pourra pas la réduire au problème des assurances. J'étais un peu méchant avec les assurreurs dans un de mes postes, mais ce n'était qu'une boutade. Soaring Tiger (qu'il soit loué ici !) vient de nous prouver qu'en réalité, l'assurance ne sera pas à terme un vrai obstacle. Non, le vrai problème c'est le changement des conditions légales et économiques dans lesquelles nous volons, et elles sont de plus en plus dures. Certains en ont assez de ces règlements qui durcissent sans cesse, et d'autres, comme ces petits clubs n'arrivent pas à faire face aux charges économiques. Si même le président de notre fédération en faisait part devant l'Assemblée Générale (à charger ici), cela prouve que le phénomène a pris de l'ampleur, hélas ! Dans cette situation, les ULM (qu'ils soient planeurs ou remorqueurs) sont des moyens que nous devrons utiliser pour nous défendre. Mais ce ne sera pas non plus la panacée. Et la FFVV ne s'est pas trompée, qui a trouvé un arrangement avec la FFPLUM pour la participation des ULM dans les compétitions de vol à voile. La FFVV a aussi accepté l'utilisation des ULM dans les clubs, en formulant un agrément pour une liste des mono- et biplaces (l'onglet n° 6-3-2 de la FFVV). Il n'est donc pas nécessaire de faire un choix cornélien entre un planeur sans CDN et la FFVV. Ce qui me semble par contre définitivement perdu, c'est la possibilité d'utiliser des planeurs ultralégers non motorisés, "grâce" à la toute jeune, mais déjà menaçante EASA...
  7. Afin de léver tout ambiguité (pour ceux qui ne l'auraient pas remarqué avant) : je suis un des vendeurs du PULM nommé Silent. Je trouve tout de même dommage que le débat puisse souffrire de cette façon. Je n'imagine quand même pas que l'on puisse par exemple emettre des doutes quant à la qualité d'un planeur certifié, pour le motif que le fabricant y gagne de l'argent ! Mais cela ne m'empêche pas de raisonner avant tout en vélivole que je suis ! (après tout j'espère bien voler dessus l'année prochaine ) Alors, ULM ou CDN ? Je vais prendre encore l'exemple du Silent, car je ne me prononce pas pour les machines que je ne connais pas. Eh bien, il est parfaitement certifiable, lui. Pourquoi alors, me demanderiez-vous, ne l'est-il pas ? La première raison en est le prix offert aux acheteurs. Si le Silent coûte la moitié de ce qu'il faut payer pour un planeur à décollage autonome certifié, c'est pour une bonne part parce qu'il n'a pas de CDN ! Ce n'est pas la seule raison, mais c'est une raison principale de son prix particulièrement intéressant. Nous avons pensé que le planeur de si petite taille, aussi légér (<150 kg !) et pas cher, ferait le bonheur des clubs. Mais l'administration (européenne cette fois-ci) a encore frappé: selon une décision de l'EASA, tout planeur au dessus du 80 kg de masse à vide DOIT être certifié Il DOIT donc être plus cher. En attendant ce sont les vélivoles américains qui volent sur des Silent non motorisés. Cherchez l'erreur !!! Peut-être l'Elytre y arrivera, à repecter cette nouvelle limite, mais ça reste encore à prouver (je souhaite vivement du succès à ses créateurs). Pour le Silent une solution a été choisi: il est devenu un PULM, il peut donc continuer à être vendu relativement bon marché. Cela engendre quelques conséquences tout de même. Il faut être breveté pilote ULM pour voler dessus. Mais c'est à peu près tout, comme contrainte... Je ne me sens pas vraiment une sirène d'ULM pour autant... Après tout, je vends aussi des planeurs certifés. La question est : est-ce que les vélivoles ont besoin d'une solution qu'un bon PULM peut leur apporter ? Apparemment si, parce qu'ils en achètent !!! Et le rapport moral du président Eyrier à l'Assemblée Générale de la Fédé était très explicite : il y a des plus en plus d'associations qui sont en difficulté, car elles n'arrivent pas à faire face à la spirale infernale des coûts d'achat et d'entretien du materiel... Et ce n'est qu'un début : le changement européen des licences des mécanos va nous faire très, très mal Quant aux assurreurs, si vous en connaissez qui payent vraiment lorsqu'il y a un pepin, faites le moi savoir, j'en connais seulement qui encaissent les cotisations. Est-ce la fin du vol à voile ? Je ne le pense pas, je suis même sûr du contraire ! Nous allons continuer à voler. Mais dans ces conditions qui changent, en rendant notre sport favori toujours plus cher et plus difficilement accessible, nous n'avons pas d'autre choix que d'inventer les parades et de nous défendre ! Si les ULM peuvent être d'un secours dans cette bataille, il faudra les utiliser...
  8. Vision si pessimiste ? En tout cas, j'ai le sentiment qu'on y va tout droit, qu'on le veuille ou non : à Aspres cet été, nous avons constaté le recul confirmé de l'aviation avec CDN, tandis que les ULM foisonnent. Avant de déchirer nos robes: "l'ULM va tuer le vol à voile !!!" regardons d'abord, ce que cela signifie réellement... L'angouement actuel pour l'ULM est provoqué par le durcissement progressif et tout à fait inutile des régulations concernant l'Aviation Générale. Les administrations européennes (il faut le préciser, car il en est tout autrement aux USA ou en Australie) sont tellement bureaucrates et bureaucratisées qu'elles ne font que peu des différences entre un quadriréacteur et un quadriplace... Résultat des courses : de plus en plus des pilotes se tournent vers l'ULM, et ce mouvement est encore plus rapide en vol moteur qu'en vol à voile. Bien sûr, on se prend à rêver parfois d'une administration "normale" qui ne tendrait pas vers la mort lente de toute l'AG, d'une administration qui aurait compris que l'AG peut aussi générer des emplois et qu'elle constitue en soi une activité économique... mais soyons réalistes ! Nous sommes (tous les pilotes, pas seulement vélivoles) terriblement minoritaires. Et rien n'indique aujourd'hui que nos bureaucrates, qu'ils soient français ou bruxellois (mais ça ne veut pas dire que je vise nos amis Belges, ô que non !), se mettent à réflechir pour développer l'aviation ! L'ULM constitue alors une sorte de mouvement d'autodéfense pour l'aviation. Mais au juste, quelle est la vraie différence entre un Silent-2 et un autre planeur (non, pas de noms cette fois-ci) à décollage autonome avec un CDN ? Eh bien, la difference principale, c'est le prix ! Pourquoi ? Car vu les coûts actuels de la certification (ces coûts n'ont rien à voir avec ce qu'ils représentaient, il y a 20 ans ), un planeur nouvellement certifié est obligatoirement de 40 000 € plus cher que le même, sans le CDN... La deuxième différence c'est la simplification de l'entretien: vous allez par exemple pouvoir installer un autre badin que celui d'origine, sans faire une procédure de trois mois et sans vous énérver contre le GSAC... Mais tous ceux qui ont vu un Silent de près le savent : c'est un planeur, point. Et sa construction est aussi sérieuse que de n'importe quel planeur certifié. Il est vrai que pour voler avec, il faut avoir un brevet de pilote ULM. Mais le vol à voile c'est quoi, au juste ? Serions-nous moins vélivoles, si nos brevets ne seraient pas de couleur rose ? Alors, une crise de vol à voile ? Certeinement pas ! C'est peut-être de là que vient le secours... Par contre, il est vrai qu'un sujet reste d'importance, qu'il s'agisse de PULM ou de planeur certifié: c'est l'attitude mentale liée au fait d'avoir un moteur dans le dos... Mais ça, c'est un autre débat ...
  9. Non, c'est le "span" qui est pour les frimeurs (à voir absolument)
  10. Mais si, Hervé, mais si J'espère que tu recommenceras !
  11. http://www.airmonie.com/images/28_386.jpg Et la convivialité du côte-à-côte en plus...
  12. Mon cher Hervé, Je me vois (encore !) dans l'obligation de te contredire (et du même coup, mon amie Jutta aussi. Bisous à Jutta !) Je ne pense pas qu'il nous faille plus de la 'police' au vol à voile (volez bas et lentement, sinon vous serez flachés... ), mais il y a en effet un défaut de responsabilisation. La Fédé ne peut pas et ne doit pas faire le boulot à la place des clubs (je suis tout à fait d'accord avec Rémy et Denis), mais elle peut et elle doit créer une ambiance de responsabilité. Si, comme l'a bien noté Denis effectivement, il y a un problème...En plus, la comparaison avec la FFVL est sans appel ! Puisque nous avons déjà entammé (c'est bien!) la réflexion, il serait peut être possible de la structurer un peu. Car, on voit bien que les accidents que nous avions à déplorer ces dernières semaines, n'ont pas grand chose de commun entre eux: * il ya des fautes de pilotage dûs au stress (le fameux dernier virage en prise du terrain en campagne), * il y a des fautes d'attention (quand on ne regarde plus déhors - une des causes des collisions), * il y a des prises de risque inconsidérés (c'était-il le cas des planeurs motorisés ???), * et il y de cas manifestes de malchance (les cables Catex). Chacune de ces causes demande une action différente, mais surtout une prise de conscience. C'est préférable aux gendarmes et aux radars... Il y a aussi déjà, sur ce forum, les premières réponses et/ou débuts des réponses. Mais la chose, à mon avis, la plus importante à faire c'est le changement d'attitude. Ce phénomène de mépris du risque et du danger existe dans plusieurs sports : le parchutisme, la plongée, l'escalade et d'autres encore... Ils ont tous ça de commun : le danger existe réellement et la prise du risque EST INEVITABLE ! Ce pourquoi, il est inutile d'en rajouter en jouant les héros et en roulant les mécaniques... Mais comment le faire comprendre à ceux qui ne le comprennent pas ? Et, au risque de t'ennuyer mon cher Hervé, je vais répéter ce que j'ai déjà écris dans un sujet voisin de ce forum (Accident) : que la solution qui rendrait le vol à voile sans aucun danger, sans aucun risque, n'existe pas...
  13. Yurek

    Discus 2c - 18m

    On rigole, on rigole, Hervé, :lol: mais cette course aux rallonges n'est pas sans conséquences... Regarde, où ça mène : http://www.alisport.com/eu/eng/images/img_news/eta_silent2_1.jpg Maintenant, un concours-minute : lequel rentrera dans ta remorque ?
  14. Alors, on sera deux, Pierre. Mois aussi je vote Stemme, je veux dire S-10 (non, non, pas DG-10, Ixlie!). Comme ça, je pourrais embarquer ma femme... :lol: Et puis... un vrai rêve se doit être inaccessible, n'est pas ?
  15. C'est bien dommage, Stéphane, car une expérience, même triste, peut bien servir d'avertissement et même procurer un enseignement. C'est sûr qu'il vaille mieux d'apprendre à l'école, mais en defaut, on peut toujours apprendre sur les erreurs... à condition de les connaître ! :lol:
  16. Mais si,... mais si ! :lol: Et puis, on ne dit pas "Lxlie", mais "DGxlie" !
  17. Yurek

    Discus 2c - 18m

    Ah bon, crois-tu vraiment ? Je sais bien, Dark Vador, que rien ne vaut un ASW-20, surtout quand il est vieux (car c'est comme ça qu'il vole plus haut)... :lol: m'enfin... !
  18. Yurek

    Discus 2c - 18m

    A tous ceux qui s'intéressent aux "rallonges" de tout genre, je signale que des projets de "rallonger" un Silent-2 jusqu'à 15 m et jusuqu'à 18 m (et 50 de finesse)... N'EXISTENT PAS !!!
  19. Arrête, Fred, de remuer le couteau dans la plaiec...
  20. Yurek

    Discus 2c - 18m

    T'as raison, Fred: on ne peut pas nier qu'il est beau. M'enfin, je connais quelqu'un qui préférera tout de même un DG 808 S...
  21. Allez ! Soyons un tantinet sectaires , Nils: je trouve le SZD-55 beau, moi aussi ! Et pour te faire plaisir, voici son aile elliptique : http://www.szd.com.pl/images/szd-55-1.gif
  22. J'ai le même souvenir que Tango India, j'ai transpiré moi aussi. Mais je n'ai pas à me soucier de la prescription, car je le fait durant ma formation au brevet. En Pologne, où j'ai fait mes débuts, le VSV fait partie - au même titre que la voltige de base - de la formation de tout pilote de planeur (pour le pilote d'avion c'est d'ailleurs la même chose). La plupart des planeurs là-bas ont un indicateur de virage monté d'office au tableau de bord à côté de la bille, il suffit d'y insérer une pile... Dans le deux cas (VSV et la voltige) le but avoué étant de montrer aux éléves la réalité de ces situations extrèmes et d'éloigner une réaction de panique. Je ne sais pas à combien des pilotes cet apprentissage a sauvé la vie, mais il est probable qu'il a découragé nombreux de faire le pitre et de monter dans les nuages. L'aptitude à piloter dans ces conditions dépend largement de l'entrainement et des instruments, mais ce n'est que la moitié du problème. Ce qui peut nous arriver une fois dédans, même si on arrive à piloter correctement : collisions avec les autres planeurs, avec le relief ou avec le trafic commercial - c'est tout à fait autre chose...
  23. Yurek

    Magazine Planeur

    Le bimensuel "Vol à Voile" (édité par Aviasport) est effectivement difficilement trouvable en kiosque. Alors, si tu veux être sûr de l'avoir, la seule solution est de s'abonner. On peut le faire en envoyant un chèque bancaire ou CCP de € 39,00 à l'ordre de Vol à Voile à l'adresse: Vol à Voile - DIP-Service Abonnement - Libre Réponse 92-75E - 75919 Paris Cedex 19. Tu peu voir aussi le site (très modeste) du Vol à Voile. Bonne continuation !
  24. Allez ! Ne vous battez pas ! De toute façon, Yankee Romeo vous attend tous pour le regelcoatage... LS, Cirrus - même combat !
  25. Tu trouveras peut-être aussi ton bonheur sous : Polaires. Bon courage !
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