jutta

Je vous remercie pour vos remarques…..

bonsoir, ayant repris l'instruction depuis peu, j'apprends qu'il y a une nouvelle règlementation qui exige que le poids mini des pilotes place avant dans les biplaces devrait être obligatoirement de 70 kg. Alors d'après le pesage et les calculs, un de nos bi-places aurait besoin que d'un poids mini du pilote de 63 kg. Pourquoi on serait obligé d'exiger un poids qui semble déraisonnable? Quelqu'un peut éclairer ma lanterne? C'est quoi cette règlementation?

bonjour, juste pour rappel, les inscriptions pour la Hahnweide c maintenant! Bonne chance www.wettbewerb.wolf-hirth.de

bonjour, j'ai envie de rajouter à ce poste un témoignage: J'ai acceuilli hier, dans mon bureau, un très vieux ancien élève pilote de mon club, (vers 80ans) Il a été lâché à l'âge de 70 ans en Twin Astir. Il me rapporte (bien 15 ans après les faits) qu'à l'occasion du lâché Astir, il aurait très bien volé durant le remorquage, mais au largage, il aurait été très, très surpris de la legerté de l'appareil, qui l'aurait tellement surprise qu'il aurait été totalement confus. Il me dit d'avoir oublié où il devait attérir et comment. Il a néansmoins réussi à revenir au terrain, même à se poser, mais un peu durement, ce qui a provoqué un arrêt total des vols. Heureusement me diriez-vous. Que faire pour prevenir ce genre de peurs, de surprises? Je ne pense pas qu'il y a moyen de prevenir, mais à être conscient que cela puisse se produire chez nos élèves. Les encourager d'en parler, les accompagner dans ces moments là. Dire au lâché que les machines volent un peu différemment mais que les commandes sont toujours les mêmes, et qu'il faut s'imposer, diriger nos planeurs. La connaissance de la respiration lente permet ensuite donner des outils pratique et pragmatique à s'accrocher aux moments de panique bon vols à tous Jutta

Laurent, à toute ta famille, ton père, nos pensées alsaciennes! Il me plaît à penser qu'elle plane maintenant également...

Bonjour à tous, oui, peur en planeur, je crois que tout le monde en a à un moment donné. Je me souviens d'un post il y a environ 10 ans en arrière ou un très bon pilote niveau internationaux en parlait. Se rassurer avec la voltige, pourquoi pas, se rassurer avec la théorie, c'est certes intéressant. Connaître cependant les mécanismes physiques...ça aide. Lorsque nous avons peur, notre cerveau limbique va nous faire respirer très superficiellement en haut de la poitrine. Le but étant de pomper un max d'oxygène dans nos muscles et dans le cerveau afin de ... fuir... Le problème: nous ne pouvons pas prendre nos jambes à notre cou, et du coup nous avons trop d'oxygène dans nos muscles. Les muscles peuvent se crisper et nous pouvons ressentir de picotements et fourmis dans nos membres. Trop d'oxy dans le cerveau peut emmener de diverses symptômes, comme se sentir s'évanouir, de transpirer et d'avoir des vertiges. Une crise de panique peut en résulter. Rassurez-vous, quelqu'un d'angoissé fera toujours le nécessaire pour terminer son action du moment en sécurité. Mais bon pas trop confortable tout ça. La solution: la respiration lente, rythmé lentement, très lentement. La respiration ventrale est la meilleure solution pour trouver le contrôle de la situation. Vous connaissez tous la respiration des bébés, à l'inspire le ventre se soulève, à l'expire le ventre se dégonfle. Si tout ça n'aide pas, respirer quelques minutes dans un sachet en plastique devrait résoudre le problème. Voilà donc, pour contrer l'angoisse: premièrement: voler, voler et encore voler. Si tu as toujours peur, ne pas hésiter, revenir en double pour voler accompagné. deuxièmement, la compréhension théorique, lire les limites de planeurs peut aider troisièmement, la respiration ample à tous temps va être un allié efficace. Pourquoi pas aller voir un psychologue, mais je ne crois pas vraiment qu'on en a besoin... tentez la respiration, c'est LA BASE de tout ! La RESPIRATION lente et ample va aider à la fois des débutant, comme des expérimentés... tentez l'expérience bons vols à tous Jutta

Bonjour Thierry, j'ai une très grosse envie de revenir faire le champ de France avec L'ASH, mais les congés n'étant pas extensibles, on les étire déjà pour le championnat du monde... donc vraiment désolée pour ça, je sais que vous en avez besoin de ce championnat qui ne peut que servir à vos causes!!! Dire qu'on ne vient pas à cause de la moisissure des housses est tout de même une excuse bidon, surtout que Thierry a commandé une météo d'enfer, vous le verrez bien! je pense qu'il faut garder la possibilité des inscriptions ouverte, Thierry, et mobiliser les troupes... Allez les longues ailes... Venez à Monluçon, CE CLUB mérite du soutien, et vous verrez les circuits vont être mémorables...

Go go go les frenchies, nous sommes avec vous, faire des 150 km/h sur 600 km c'est génial, je m'imagine les sensations de vitesse...et votre plaisir!!! gros bisous à tous Jutta :D :D

Bonjour Une année 2011 exceptionnelle à tous! Sur la page de la "Hahnweide" et son championnat 2011 j'ai trouvé ça: "At January 9 th about 10 Clock the Online Registration for the 2011 Hahnweide Gliding Competition will be activated. wettbewerb@wolf-hirth.de " bonne chance et bonne année à vous tous Jutta

Colmar-Houssen / Vers une prolongation d’activité Le ciel se dégage pour l’aéroport Les nuages se dissipent au-dessus de l’aéroport de Colmar-Houssen. Alors que le traité de gestion entre l’Etat et la Ville arrive à échéance en juin 2011 après 20 ans, « l’objectif est de ne pas provoquer une rupture d’exploitation de l’aéroport », ®assure le maire. L’avenir s’éclaircit pour l’aéroport de Colmar-Houssen qui devrait voir son exploitation prolongée en 2011. 150 ha intéressante pour attirer des entreprises. Le maintien de la piste d’aviation de la BA 132 est un plus pour le trafic d’affaires, un atout pour créer un pôle économique. Le cas échéant, si les collègues du secteur d’Ensisheim décident de faire celui-ci, la Ville de Colmar pourrait être partenaire ». Le foncier n’est plus une préoccupation En 2005, le maire de Colmar bataillait, face aux entreprises utilisatrices de la piste, pour récupérer les 110 ha de l’aéroport à des fins économiques. Oubliées les turbulences ! Depuis, une trentaine d’hectares ont été destinés à l’urbanisation, Liebherr a investi dans une nouvelle usine sur le site, et la crise de 2008 a tari les implantations. « Aujourd’hui, la question ne se pose plus en ces termes », dit Gilbert Meyer. « Il reste 15 ha disponibles dans la zone d’activités de l’aérodrome, 10 ha en ZI à Sainte-Croix-en- Plaine, une dizaine de lots pour les artisans aux Erlen. La CAC a aménagé 20 ha à Horbourg-Wihr ». Dans l’immédiat, le foncier n’est plus une préoccupation pour le maire de Colmar. Tant mieux pour l’aéroport et ses usagers ! I. N. ■ En clair, la concession pourrait être prolongée et le site poursuivre son activité aérienne. Ce sont en tous cas les intentions du premier magistrat. « Tout cela devrait être réglé avant la fin du 3e trimestre 2010. En fonction de modalités définies avec l’Etat, une nouvelle délégation de service public (DSP) pourrait être accordée pour trois ans pour l’exploitation du terrain d’aviation », indique Gilbert Meyer. Aujourd’hui, la Société de l’aéroport de Colmar (voir ci-dessous) est titulaire d’une DSP qui court jusqu’au 16 juin 2011. En cinq ans, le ton et les choses ont bien changé sur le dossier de Colmar-Houssen. Envolées les incertitudes sur l’avenir de l’aéroport ! On ne parle plus aujourd’hui de fermeture et d’un déménagement à Meyenheim sur la piste de la BA 132. Une piste lointaine et floue Pourtant, le député-maire de Cernay Michel Sordi admet qu’une réflexion sur le transfert de l’aviation d’affaires sur la piste de la BA 132 reste dans l’air. Mais il tempère : « La reconversion de la piste dans l’aviation d’affaires nécessiterait de la rééquiper. L’Armée a enlevé les poteaux de balisage... Il faudrait aussi construire des locaux d’accueil ». Tout cela coûte très pas sur ce terrain. « Nous avons un outil à Colmar. Le site de Meyenheim représente une disponibilité foncière de cher et ne se fera pas en un an. Gilbert Meyer qui a rencontré Michel Sordi, ne s’avance Le terrain a retrouvé ses ailes ■ En 2009, le terrain de Colmar- Houssen a enregistré une augmentation de 14,5% de son activité. La Société de l’aéroport de Colmar (SDAC), son exploitant, privilégie un développement qualitatif, et a investi pour améliorer la sécurité de la plateforme. gardant sur la qualité des activités. « On ne veut pas d’un développement tous azimuts. On se bat pour ne plus avoir de la voltige. Le respect de l’environnement et des riverains fait partie de nos préoccupations », précise d’emblée Francis Rebert, son directeur général délégué. L’exercice 2009 a connu paradoxalement un essor, et ce grâce à l’activité des clubs basés dopée par une météo favorable: 29 448 mouvements, contre 25 705 en Délégataire de service public, la SDAC, société d’exploitation qui associe Liebherr et Knauf, est aux commandes de l’aéroport, jusqu’à mi-juin 2011. Un gestionnaire très retionnaire se préoccupe de « toutes les composantes » de la plateforme. Depuis 2006, la société d’exploitation a investi 700 000 (une partie prise en charge par l’Etat) sur le site. L’aéroport a acquis un véhicule incendie (VIM 24) pour assurer une sécurité de niveau 4, requise pour l’aviation d’affaires. Un hangar a été construit pour abriter ce camion. Le gestionnaire a également aménagé l’aérogare afin de la rendre plus attractive : un salon pour les pilotes a été créé au 1er étage, ainsi qu’une salle pour les agents avec vue sur le tarmac. L’étanchéité du bâtiment a été refaite. Au programme de 2010, est prévue la rénovation du rez-de-chaussée de l’aérogare, ainsi que d’un hangar (H4) destiné à accueillir des avions d’affaires. I. N. L’aéroport s’est équipé d’un véhicule incendie, pour lequel a été construit un local. 2008. Le site accueille de nouveaux acteurs : la société Heli-Travaux, organisatrice de circuits touristiques en hélicoptère, une formation (Aul) de pilotes ULM. Aujourd’hui, l’aéroport a retrouvé l’ensemble de ses fonctionnalités et son ges- Un hangar flambant neuf pour accueilliir les avions d’affaires. No 98 - Dimanche 25 avril 2010 LOF HR 01 Haut-Rhin 1

Coucou Adrien, et oui, j'ai remarqué, et c'était bien mon attente, qu'il y ait une synthèse de tout ce qui se fait ailleurs, mais là ce fut largement dépassé par une nouvelle "vision", une nouvelle argumentation, une nouvelle manière de présenter l'affaire. J'ai toujours parlé des métiers de l'air, lors des rencontres avec les proviseurs, mais je n'avais rien en main qui puisse leur montrer qu'eux avaient intérêt à travailler avec nous. là c'est fait... et oui, ça marche, si nous avons des personnes motivées... La FIDELISATION 1) l'acceuil, et oui, l'acceuil est si important, mais un club l'apprend ça, assez facilement... question de transmission 2) Tu as tout dit, merci à toi Yateri, je pense que pourque la fidélisation marche il faut une certaine ambiance et là je pense qu'il faudrait attendre que certains font instructeur, des instructeurs motivés, jeune dans leur tête, avec une envie que ça marche... et si tu faisais instructeur??? Non, ne pas me taper... :rolleyes:

Ouais Benl, merci pour l'info pour cette formation du CROS qui doit être enrichissante, mais alors là si le résultat de la formation est que tu quitte à la fois ta fonction et ton club....!!! ??? Que penser de la visée de ce stage, du pourquoi on se rend à de tels journées de formation? Un "nouveau dirigent" ne saurait-il pas revenir dans son club avec de projets innovants? "Nouveau projet" veut bien dire, qu'ils ne sont pas forcement illico appliqués, mais tu as appris des techniques qui te permettent de convaincre??? Non? Suis un peu étonné par ton raisonnement... et ta conclusion: que ça TE sert tous les jours.... et le club alors ? N'est-ce pas étonnant, cette journée de Nancy a eu un effet tout à fait contraire sur nous: au lieu de nous recroqueviller sur nous et nos centres d'interêts, nous sommes motivés à nouveau pour nous engager encore et encore...pour le club D'accord il va falloir s'y mettre, appliquer, vaincre l'inertie... d'acc...

bonjour, Anthony, ayant été simplement présent hier lors de la journée, j'avais juste envie de vous donner une impression. Est-ce que ça me donne la légitimité d'en dire plus? Comment rendre compte d'une journée ou les info's furent nombreux et surtout l'argumentation tout à fait nouvelle? Je vais essayer de rendre un peu mieux compte de ce qui s'est dit hier, mais ceux qui ont assisté devrions me corriger, ou en ajouter des thématiques ou réflexions dont je ne parle pas. Bien évidemment il est illusoire de rendre compte d'une journée, l'idée pour moi c'est de vous rendre curieux.... : La commission développement de la fédé a invité les dirigents des clubs et des membres motivés à une rencontre fédérale (voir info ici) pour faire connaissance du plan national "Vu du Ciel". Plusieurs leviers et actions furent proposés, comme dit avec une argumentation intéressante.. les mots cléfs, comme Ecole Française de Planeur, classes aéronautiques peuvent vous mettre des puces à l'oreille. Un des volets fut la présentation des outils d'expositions, (banderoles et enrouleurs, dépliants, simulateur), ou si tu veux le kit "vue du ciel" A l'aide des vélivoles engagés dans le marketing, de nouveaux stands d'informations sont accessibles pour tous les clubs. (moyennement finances bien sur ). Comme d'hab, il y a des explications sur le vol à voile, ou plutôt des information sur la pratique du planeur, mais aussi une présentation et messages cléfs autour des partenaires institutionnels (acteurs économiques, éduc nationale, respo politiques... ) expl: "le planeur au delà de la passion du vol, une clef pour l'avenir, savoir faire, savoir être" " l'école française de planeur" ..." les filières ENAC-Planeur, les principes et les modalités" "Vue du Ciel, un partenariat national, principes de la mise en oeuvre de la démarche"..... Ce kit peut s'utiliser évidemment indépendant des cibles, dans les écoles bien sur mais aussi dans les expositions extérieurs. Puis l'équipe a présenté de différents actions et leurs articulations... par exemple le partenariat avec AIR EMPLOI ET GIFAS l'idée est de proposer des conférences dans les écoles sur les métiers de l'aviation avec des partenaires bien instaurés au niveau de l'éducation national. Air Emploi propose des outils à utiliser lors de ces conférences, la FFVV fourni la méthodologie, comment procéder avec les lycées... Le tout vise d'obtenir un certain poids auprès les institutionnels et des actions bien ancrés et ancrable dans ces lycées, à l'aide d'un programme qui intéresse tous les proviseurs: l'information autour des métiers aériennes... Nous en tant que vélivoles pouvons montrer que notre formation, et notre activité produit des "jeunes" responsables. L'équipe fédéral nous a surpris avec une perspective et projet qui s'appelle" l'ENAC planeur", pour moi une carotte....un projet qui peut aider à sauvegarder notre activité!!! seulement, le projet doit encore se finaliser, allez nous serrons les pouces pour que ce projet se finalisera... Ce qui m'a bien plu également fut cette idée de trouver des emplois aux jeunes afin qu'ils puissent poursuivre leurs projets aéronautiques.... C'est une idée innovant et je pense que si vous voulez en savoir plus prochainement, il faut soit assister à une prochaine réunion à venir encore (Anger, Sud) ou aller se renseigner sur le site fédérale très bientôt (mi decembre) ou tous ces info's seront publiés. D'ailleurs sur ce volet, il va falloir attaquer très bientôt, je pense dès décembre. allez, qu'en pensez vous?

Excellent notre rencontre avec la commission du développement de la fédé... Dimanche, à 6h le reveil sonne, hop, vite, nous sautons dans la voiture et roulons direction Nancy, le début des activités est prévu à 9h! Tous les clubs du NE sont présents, (j'ai compté 9 jeunes!), certes avec les yeux endormis, mais la fédé offre un café et c'est parti et nous pouvons dire que jusqu'au soir, nous n'avons plus chomé! Vite: tout le monde dans l'amphithéatre: présentation du projet et des outils du développement, reprise ultérieurement dans des ateliers spécifiques! C'est clair, si au départ nous y sommes allés un peu réticents , démotivés , fatigué par tant d'années d'efforts pour notre club, le soir nous sommes rentrés avec les yeux brillants, remotivés, gonflés par l'argumentation, le projet et les outils proposés par la commission du développement... Si jusqu'alors nous étions déjà allés dans les écoles, nous n'avions pas eu vent de certains convenances à respecter, si nous voulions prerenniser notre intervention. Ces information sur ces articulations nous permettront de mettre le lévier au bon endroit. Puis ce qui m'a beaucoup plu, c'est que l'équipe fédéral nous dit: " certes, vous devez vous demener seul sur le terrain, mais nous vous emmenons les connaissances et des outils efficaces." ET toute la journée ces connaissances et info's pleuvaient en continue Il m'a semblé que l'argumentation tient debout, et tout ce qui est proposé devrait pouvoir être appliqué..... Bravo à la commission! Nous avons ainsi appris que Benjamin Néglais est désormais à notre disposition, pour nous aider à diriger nos demandes de subventions correctement remplis à de bonnes adresses!! (ne vous rejouissez pas trop vite dans le sud , il est pour nous dans le NORD ! :lol: ) Aie Benjamin bientôt tu seras inondé sous un travail monstre.... La commission nous a insufflé des idées, comment aider les jeunes à obtenir les aérojobs.... génial Super aussi l'idée de mettre le max de dossiers télechargeable sur le site de la fédé.... Nous rentrons à la maison la tête pleines d'idées, le plus gros reste à faire encore... mais la motivation n'est-elle pas la plus importante?

bonjour, je pense que ce sont ces scénarios qui peuvent être éloquant et aider pour l'entraînement en Simu... même s'il n'y a pas de "G", voir partir le planeur, le corps doit pouvoir 'imaginer' les effets au corps. Je pense qu'on gagnerait bp, si Gilles pouvait se mettre à décrire avec minutie ces scenarios enfin de pouvoir y mettre des images dessus.... Il faudra trouver des genies du film et des informaticiens qui transforment ça en programme vidéo... Philippe Conil peut-être?

Les statistiques n'ont jamais rien à voir avec ce que vivent les personnes singulières. Tu parles de déni, je ne pense pas qu'il s'agit de deni de la part des pilotes, mais il y a un problème de représentation de la mort. La mort n'a pas de représentation dans notre psyché si ce n'est pour savoir qu'on va mourir, un jour, mais surtout ce sont les ' autres' . Il y a protection de "l'appareil psychique" contre trop d'angoisses. C'est d'ailleurs les angoisses qui ferment le discernement lors des situations dangéreuses, nous ne pouvons plus traiter alors que très peu de tâches. encore une ("contre"?) performance de notre appareil psychique qui nous permet de détecter qu'autant de danger qu'il peut supporter. Les situations qui conduisent aux accidents sont probablement des situations de surprise, devant ce flot d'informations les pilotes ne peuvent plus traiter tout ce qui arrive. Nous savons bien que quand nous sommes pris au dépourvu l'appareil psychique peut bloquer son fonctionnement. et alors? Ce qu'on peut tenter de viser, c'est travailler à ce que nos "appareils psychiques" deviennent plus souple, qu'ils connaissent plus de situations difficiles à gérer et qu'ils peuvent finalement traiter plusieurs choses en même temps. Il est intéressant effectivement de savoir qu'il y a tel ou telle situation qui peut arriver, ainsi l'appareil psychique n'est plus pris au dépourvu, mais peut se protéger. Il me semble qu'un retour d'expérience des pilotes ayant vécu quelque chose de dangéreux n'est pas si mal, la formation des pilotes, même privés serait à poursuivre tout au long de notre carrière de pilote. (la reglementation ne nous aide pas en ce moment d'ailleurs). La visualisation, un travail mental pourrait aider également, si on sait qu'un cerveau qui s'entraîne à voler en visualisation encode les informations de la même manière comme si on était en vol...en réel. (formation des autoroutes d'informations dans le cerveau) Donc il me semble qu'un programme de simu pourrait être utile... nous pourrions mettre les personnes en situation délicates et voir comment ils s'en sortent. Peut être les gens expérimentés comme Gilles Navas pourraient, avec leur expériences, inventer des programmes efficaces. Et si nos travaux hivernal se compléteraient par des séances 'obligatoire' de simu dans chaque club? A une époque les instructeurs de St Auban ont visité les clubs pour parler de sécurité, je trouvais cela bien, je me sers aujourd'hui encore d'un des briefings de Jacques Aboulins sur les vaches... voilà, ce serait bien si vous proposiez maintenant quelque chose de plus constructif, plutôt de faire des blagues autour des statistiques qui me semblent un peu leger. Je sais par expérience que les personnes, atteint d'une maladie grave feraient n'importe quoi pour rester en vie, si seulement il y avait une chance sur 100 . Je pense que ces histoires de stat sont tout à fait stérile et n'apportent rien au débat.

Ben j'ai trouvé ça: WANTED Recherche, plutôt vif que mort, un dessinateur de BD réaliste n'étant pas réfractaire à l'aviation. !!! BIG REWARD à la clef !!! Les Éditions Zéphyr cherche pour de nouveaux projets de bandes dessinées de jeunes dessinateurs talentueux, ou sur le point de le devenir, passionnés d'aviation. Pour contacter les Éditions Zéphyr, rendez-vous sur leurs site internet, il ya toutes les coordonnées en bas ! http://www.zephyreditions.net Publié par Matthieu Durand

Yes Couscous!!!

Quel beau championnat, avec des arrivées de km 100 et plus, quel spectacle sur "see you"! Bravo Did tu as donné à ton planeur des épinards? et allez Christophe et Louis, nous sommes avec vous!!!

:sick: :mdr: