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Initiation Ballastage


Invité 48 kg/m²

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Invité 48 kg/m²

quelles sont les règles ( non empirique :angry: ) pour calculer son ballastage ?

 

comment quantifier des paramètres influents comme le cheminement, le vent, et ceux auquels je n'ai pas pensé... :ph34r:

 

l'expérience, les types de vols et les pilotes sont tous différents et j'ai du mal à définir une régle fiable. :P

 

merci

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Il y a peu de règles, beaucoup de subjectivité et d'idées fausses en la matière.

 

Une règle : full ballast si Vz moyenne > 2 m/s, tout vider si < 1m/s - il s'agit bien sûr de la moyenne réelle, que tout bon calculateur donne, ne pas oublier que pour avoir + de 2 m moyens il faut avoir couramment des varios intégrés de 3 voir 4 m/s.

 

Subjectivité : la charge influe sur le pilotage, un peu d'eau "stabilise" le planeur face aux turbulence, beaucoup d'eau donne l'impression que le planeur chute moins parce que l'assiette est plus cabrée (c'est en grande partie faux évidemment)

 

Idée fausse : celle qui fait le plus de dégâts est qu'on avance mieux face au vent avec de l'eau...

 

Personnellement je pense que la charge maxi qui permet de monter est la meilleure... c'est simple mais difficile à mettre en pratique. Par exemple quand les pompes sont fortes mais étroites on ne peux pas les prendre avec de l'eau, par contre une fois déballasté on regrette l'eau car on a de fortes Vz !

Modifié par Denis F
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Denis, un article publié par l'OSTIV, avant 1980, faisait éatat d'une modélisation prenant en compte les paramètres suivant - et ce n'est pas dans le bouquin bleu - :wacko:

 

le gradient du thermique,

la Vz max, (il ne s'agit pas du .net) :blink:

la possibilité de cheminer.

 

Des courbes d'iso vitesse de croisière entre une charge à 30 kg/m² et 38 kg m² pour un DG100 furent publiées.

 

Il en ressortait ceci :

 

gradient élevé (conduisant à une inclinaison de 45° ou plus), 30 kg/m² était plus performant.

 

Avec un gradient faible (inclinaison optimale de l'ordre de 30°) 38 kg/m² est meilleur que 30.

 

Plus on le pourcentage de cheminement est élevé plus la charge alaire optimale est élevée.

 

A faible gradient et possibilité de cheminement faible, 38 kg/m² est plus performant que 30 kg/m² dés lors que Vz max > 0.8 m/s

 

Ensuite avesc son expérience on est capable d'interpoler et d'intuiter, dès lors que l'on est capable d'élaborer sa courbe de débalastage.

Beaucoup plus compiqué que l'on veut bien le croire !!! :D

1L
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J'ai deja entendu que le Pégase devient encore plus agréable avec un peu d'eau dans les ailes (40 litres) et que c'est pas mal pour commencé a balaster. :wacko:

 

Ce planeur possède des ballasts sous forme de poches plastiques donc ma question est est ce qu'il est possible de se posé avec de l'eau dans les ailes sans risques suite par exemple à un incident de treuillé où evidement vider les ballasts doit être le dernier des soucis?? Quel sont les dégats prévisibles ??:D :D

 

Et pareil est ce que aprés un racrochage en sorti de treuillé manqué est ce qu'il est dangereux de se posé avec de l'eau dans les ailes?? toujours avec des quantités d'eau trés faibles. :blink::pinch:

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Pas de gros problème pour se poser avec de la flotte, de toute façon c'est ce qu'on fait en cas de rupture de cable...

 

Cependant, dès qu'une aile se baisse vers la fin du roulage, il devient impossible de la maintenir en air et on risque fort bien un cheval de bois. Et puis si on a une centaine de litre dans les ailes, il convient de s'appliquer un peu à l'arrondi, histoire de ne pas trop faire souffrir le train :-)

Bert

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Bonsoir

 

Parce ce que en cas d'attérrissage un peu dur les risques que la poche explose doit être important ??

En faite le risque est de détérioré l'aile car les moments "en cisaillement" sont important au niveaux de l'emplanture....

Tous les manuels donnent la max max autorisé à l'attéro, il faut ben entendu le respecter si possible... :unsure::blush: le cas d'une rupture de cable au départ au treuil par exemple tu a autre choses de bien plus important à faire. ;):blink:

Dans ce cas le manuel d'entretien "surtout si il y a eu attero dur" definie la procédure a suivre c'est le cas du pégase.

Lionel
La vocation, c'est d'avoir pour métier sa passion,
Une erreur peut devenir exacte. Il suffit que celui qui l'a commise se soit trompé
Je ne râle pas, je m'indigne . Je ne juge pas, je dénonce. Je ne dénigre pas, je rouspète.

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J'ai deja entendu que le Pégase devient encore plus agréable avec un peu d'eau dans les ailes (40 litres) et que c'est pas mal pour commencé a balaster. :unsure:

 

Ce planeur possède des ballasts sous forme de poches plastiques donc ma question est est ce qu'il est possible de se posé avec de l'eau dans les ailes sans risques suite par exemple à un incident de treuillé où evidement vider les ballasts doit être le dernier des soucis?? Quel sont les dégats prévisibles ??;):blink:

 

Et pareil est ce que aprés un racrochage en sorti de treuillé manqué est ce qu'il est dangereux de se posé avec de l'eau dans les ailes?? toujours avec des quantités d'eau trés faibles.  :blush:  :pinch:

Il est beaucoup plus sûr de décoller en Pégase ballast pleins (120 litres) qu'avec 40 ou 60 litres, car la flotte ne se balade pas d'un bout de l'aile à l'autre. On ne risque pas de cheval de bois si une aile s'abaisse.

 

De même ça évite le problème à l'atterrissage signalé par Bert. Cependant, si on est amené à se poser ballasts non vides, comme le dit Lionel on risque de dépasser les limites structurales des ailes en cas d'impact limite. Mais on peut penser que si l'arrondi est correct les charges sont moins fortes que lors d'un décollage sur une piste un peu bosselée...

 

Ce n'est pas un problème de masse max à l'atterrissage (ça c'est valable pour le train) mais de moment de flexion dû à la masse dans les ailes.

Modifié par Denis F
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Il est beaucoup plus sûr de décoller en Pégase ballast pleins (120 litres)

 

bien d'accord avec toi Denis mais attention dans ce cas là a ne pas depasser ( ou pas trop...) la masse max au decollage.

 

dans mon cas et avec le peg de mon club je ne peux pas emporter plus de 90 l de flotte ( pilote: 85 kg tout equipé).

 

ceci dit avec le peg c'est pas trop un probleme au decollage vu qu'il y a 2 reservoirs et qu'il est donc rapide a équilibrer.

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slt,

 

le manuel de vol du Pégase prévoit l'atterrissage avec ballast non vides : il annonce qu'il faut majorer la vitesse de 10km/h (surtout quand ballast full je pense) à l'atterro. Si un kiss est fait, pas de souci pour la structure. Evidemment si tu décroches à 1m sol ça peut être mal se passer pour les pions d'ailes...

Modifié par vne270
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Faut essayer pour savoir.

je charge toujours le pegase : 1 bidon de chaque côté, 2 si c'est bon, 100 l quand c'est bon en plaine.

Les bidons font entre 25 et 30 l, suivant les jours ...

 

Moins, j'ai l'impression de pas avancer.

Plus, j'ai l'impression de pas monter.

 

Quand ça se joue en plaine, c'est pas compliqué, je charge à bloc.

 

En montagne, c'est plus fin.

Il faut un planeur qui accélère, donc chargé, pour s'échapper des dégueulantes parfois fortes. Et le planeur est plus stable. Il faut piloter "propre" mais c'est plus reposant.

Par contre, pour aller raccrocher entre les fougères, il vaut mieu être pas trop lourd. Le rayon de virage dépend de la charge, et ça, on le voit encore mieu au fond des caves.

 

Donc, bien chargé, j'essaie de moins descendre, donc je prend plus de pompes, donc fallait il charger ?

 

Ensuite, j'ai pour principe de ramener ma flotte à la maison. Aprés tout, autant arroser chez soi que chez le voisin.

Sauf quand ça merde (presque à chaque fois. Pas vous ?). Là j'ouvre les vannes, une foi le champ choisi, mais pas trop bas quand même. Et des fois ça repart. Le planeur deviens tout léger, et on a l'impression de pouvoir raccrocher n'importe quoi. J'aprécie beacoup, ça me stimule pour continuer à bagarrer. Et des fois ça rentre ...

 

Au décollage, il faut faire attentionà bien laisser les ailes horizontales qques secondes avant que l'avion mette les gaz. Comme ça l'eau a le temps de se répartir dans les sacs.

Attention aussi, une aile basse est plus difficile à remonter. D'ailleurs, pas de départ aile basse avec ballasts pleins.

Il parait qu'au treuil c'est plus sympa.

Attention aussi, en cas de pb remorqueur, on a 100 kg de plus à arrêter avant la fin de la piste, le point de décision d'interruption doit être avancé. C'est dommage ...

 

Sinon, pour cause de robinet mal réglé, je me suis posé souvent avec une aile pas vidée. Comme je pilote trés bien, il n'y a pas eu de dégats. Mais je ne voudrais pas partir en autorot dans ces conditions. On sait une fois posé (l'aile lourde touche un peu fort quand même, mais sans dégats) qu'on avait une galère de robinets. Donc quand on a chargé un planeur, il faut soigner son approche encore plus que d'habitude, faut prévoir.

Ce n'est pas parce qu'ils sont nombreux à se tromper qu'ils ont raison.

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je charge toujours le pegase : 1 bidon de chaque côté, 2 si c'est bon, 100 l quand c'est bon en plaine.

Les bidons font entre 25 et 30 l, suivant les jours ...

La seule bonne façon de procéder afin d'éviter des surprises, est de remplir complétement ses ballasts, ceci évite :

-1- Faire un cheval de bois,

-2- Constater que la MTO est meilleure que prévu, c'est impossible de rajouter de l'eau. Par contre on peut toujours en enlever.

 

bien d'accord avec toi Denis mais attention dans ce cas là a ne pas depasser ( ou pas trop...) la masse max au decollage.

Mieux vaut être en surcharge et réduire son risque de cheval de bois. On pourra toujours adapter sa masse par la suite.

Par ailleurs un surplus de masse une fois en vol, n'est pas un souci vis à vis des efforts tranchants qui seront alors réduits à l'emplenture, vu que l'excédent de masse sera réparti en bout d'aile. (Sauf dans le cas d'un libre ou vous en avez 4 ailes ballastables !)

Pour mémoire le Pégase CC (1983) avait 3 sacs par aile autorisant 220 litres et une masse max à 610 kg. Dans la pratique je n'arrivais pas à dépasser 585 kg. En 1985 les 15 mètres (y compris les standards, dégénérescence de l'ancienne définition 15-standard de 1976) furent limités à 525 kg.

1L
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C'est vrai que les ballasts bien remplis permettent d'éviter que toute l'eau aille se masser en bout de poche, et donc d'éviter un cheval de bois.

 

Au fait , ça peut arriver l'air ? En cas de fil de laine balladeur ?

 

Quand on charger à bloc, il y a quand même des soucis : on s'en met en général plein les godasses, et ça suffit pour s'enrhumer, même si il fait beau.

 

Ensuite, je n'ai jamais eu confiance en mes calculs de vidange, et je ne suis jamais sûr de la quantité d'eau qui reste quand j'ai refermé les vannes. D'ailleurs, je ne suis pas toujours sûr qu'elles se referment correctement. Je sais bien que la marge est grande, et qu'on n'est pas à quelques litres prés, mais je n'aime pas cette imprécision. Donc, si j'ai trop chargé, soit je vais au bout et j'assume soit je vide tout, mais c'est rare.

 

Et puis il y a des jours où on sait que le premier accrochage va être sportif, et dans ce cas, le moral pour passer 1 heure à ballaster n'y est pas.

 

Enfin, je n'ai jamais rencontré des conditions meilleures que celles auxquelles je m'attendais (toujours trés optimiste). Par contre, l'inverse ...

 

Ceci étant dit, en école sur la campagne, il est sans doute judicieux de ballaster le biplace de formation, ça permet de démystifier l'aspect "canadair à gros bras" et de s'habituer aux changements de comportement du planeur.

 

Ballaster prend du temps et exclue l'arrivée tardive sur le terrain. Rien que pour ça, ça devrait être obligatoire pour partir en circuit.

 

Comment vous faites pour remplir efficacement les ballasts ?

Ce n'est pas parce qu'ils sont nombreux à se tromper qu'ils ont raison.

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Assez facile - j'ai un ASW20 et je me suis fait des bidons et tuyaux avec connexions rapides style Gardena. Faut faire gaffe que les tuyaux ne fuyent pas - et puis je mets les bidons sur le toit de ma bagnole. Ca coule tranquillement pendant que je prépare le planeur, et de temps en temps je change le bidon (style 7-10 minutes pour 20 litres). Avec un peu d'attention porté à la tuyauterie, il n'y a pas grande chose par terre, et rien de tout dans mes godasses :-)

 

Je n'aime pas trop l'idée d'un pompe électrique car avec lu tuyau de décompression obligatoire, ça fait un finalement trop de bordel à ranger dans la remorque. Et sans ce tuyau, c'est très (mais vraimment très) facile de totaliser le planeur.

Bert

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  • 4 semaines après...
et puis je mets les bidons sur le toit de ma bagnole :rolleyes: Gaffe si ta voiture est un peu haute tu risque vite la surpression dans les ballasts et ton aile te fera un joli sourire :mdr: C'est vrai que les ballasts bien remplis permettent d'éviter que toute l'eau aille se masser en bout de poche, et donc d'éviter un cheval de bois. ;) Ton planeur peut partir en cheval de bois même full ballast!!!!Sinon, pour cause de robinet mal réglé, je me suis posé souvent avec une aile pas vidée. :mdr: Il serait peut-être judicieux de régler ça dans l'hiver!!Comme je pilote trés bien, il n'y a pas eu de dégats :) C'est de l'humour???? :mdr: Je pense aussi qu'il est plus judicieux de décollé plein (le planeur , pas le pilote.... ;) )Si la météo est bonne tu arriveras toujours à monter ton eau et si c'est vraiment moins bon tu peut toujours la vidée comme dit Gilles.
Ils ne savaient pas que c'était impossible, ils l'ont fait.....
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et puis je mets les bidons sur le toit de ma bagnole :rolleyes: Gaffe si ta voiture est un peu haute tu risque vite la surpression dans les ballasts et ton aile te fera un joli sourire :mdr:  C'est vrai que les ballasts bien remplis permettent d'éviter que toute l'eau aille se masser en bout de poche, et donc d'éviter un cheval de bois. :P Ton planeur peut  partir en cheval de bois même full ballast!!!!Sinon, pour cause de robinet mal réglé, je me suis posé souvent avec une aile pas vidée. :mdr: Il serait peut-être judicieux de régler ça dans l'hiver!!Comme je pilote trés bien, il n'y a pas eu de dégats :rolleyes: C'est de l'humour???? :) Je pense aussi qu'il est plus judicieux de décollé plein (le planeur , pas le pilote.... :( )Si la météo est bonne tu arriveras toujours à monter ton eau et si c'est vraiment moins bon tu peut toujours la vidée comme dit Gilles.

M'sieur Fred : pour le brevet D de planeur.net, il faudra prévoir que le quotage porcin soit éliminatoire ;)

quel est le comportement d'un peg ballasté à de faibles vitesse et au décrochage :huh.gif: ? Je pense surtout lors de remplissage des ballastes à moitié?
Le comportement est sensiblement le même, si ce n'est que les faibles vitesses sont un peu plus hautes...
j'aimerais effictivement savoir ce qu'il se passe lorsqu'on pilote disymetrique avec des ballastes a moitie plein
Rien de spécial, si ce n'est que la flotte se balade d'un côté à l'autre et peut accentuer la dissymétrie, mais c'est à peine sensible à part le bruit des bulles ou des poches qui de déplacent... Modifié par Denis F
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Y'a aussi toujours un vieux mythe (peut-être réel?) qui dit que si on raccroche bas, c'est que la pompe doit pas être bien gaillarde (sauf coup de pot), donc en balançant de l'eau finement pulvérisée dans ce beau thermique un peu asthmatique, ça risque sûrement pas de l'améliorer...

Personnellement (je pèse 72kg équipé, poids plume), je mets dans le pégase 60 litres quand c'est pourri (40 pour un pilote plus standard...), 80 quand c'est normal et ce qui peut rentrer dans la bête quand c'est fumant (prévoyer 20 litres de moins si vous êtes moins monté léger...); sur un pégase de 270kg (gaffe y'en a de bien plus lourds "EO" 300kg équipé!).

Après c'est uen histoire de goût, et de centrage... Encore une autre prise de tête!

Perso, je suis passé de centré très arrière à quasi-milieu maintenant (marre de pousser sur le manche comme un âne!), genre quand t'as 130 ou 140 au compteur (à vide) avec le manche au neutre, je trouve ça bien (mais ça reste uen affaire de gôût...).

Bons vols

 

Benj

si vous arrivez à lire, dommage, rien d'intéressant

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