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Denis F

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Messages posté(e)s par Denis F

  1. Sur le site de l'IGC ainsi que sur la liste igc-discuss, on apprend que le groupe Code sportif s'est mis en tête de nous simplifier la vie en commençant "une révision radicale du Code sportif pour planeurs" et s'imagine en avoir reçu mandat lors de la dernière réunion plénière* . Il est donc en pleine action, et a lancé une consultation urbi et orbi, tout devant être bouclé au 1er octobre.

     

    Pour brouiller les pistes, cette consultation s'intitule "Simplification du Code sportif" : on s'attend donc à une simple reformulation et à un dépoussiérage, maintenant que le GPS est seul moyen de contrôle. Le problème, c'est qu'en déchiffrant une série de papiers et messages aussi décousus qu'incompréhensibles, on s'aperçoit qu'il va effectivement y avoir une refonte du contenu et plusieurs modifications majeures... Par exemple:

    • il n'y a plus de vol de distance comme prévu ni de déclaration des points de virage pour les insignes de performances (sauf le 300 comme prévu) ;
    • plus de secteur FAI (encore moins le secteur en "trou de serrure" défendu par notre délégation et qui sera effectif pour les compétitions au 1er octobre prochain, car il est jugé "inélégant") mais plutôt un beer-can de 500 m au départ et à l'arrivée et de 1000 m au point de virage (sic) ;
    • les 50 km uniquement sur la première ou dernière branche du circuit ;
    • suppression de la tolérance de 1000 m de perte d'altitude pour les vols de vitesse, avec pénalité à partir de 0 ; mais on garde la règle des 1000 m pour les vols de distance

    Les procédures pourraient être simplifiées, par exemple le déloggage qui doit, rappelons le, impérativement être supervisé personnellement par le commissaire FAI ; eh bien non, on va imposer, en plus, que ce soit un tiers qui l'effectue, pas le pilote lui-même. On n'est jamais trop prudent avec tous ces tricheurs en puissance.

     

    Il y a quand même, heureusement, la suppression de quelques fossiles (la nécessité que le commissaire, ou deux témoins dignes de foi, certifient le lieu d'atterrissage) ou aberrations (comme la règle de 10 km minimum entre deux points de virage, dont on se demande encore pourquoi elle a jamais été introduite).

     

    Bref, à première vue, un bouleversement en vue mais guère de simplification... Sauf si on considère que supprimer des types de records soit la bonne solution - à ce compte là, pourquoi ne pas tout supprimer ?

     

    Si vous en avez le courage, allez jeter un oeil sur les liens ci-dessus ; éventuellement, adressez vos commentaires/suggestions au groupe Code Sportif de l'IGC (in english) ou postez-les ici...

     

    * alors qu'il n'y en a aucune trace dans le compte rendu, et qu'au contraire la seule proposition du groupe Code sportif a été rejetée...

     

    Denis F

     

    P.S. Détail piquant : sur le site de la FAI présentant notre sport, qu'est-ce-qui est présenté en premier (page de l'IGC, la souris sur "Our Sport") ? l'OLC :peace:

  2. L'humidité des sols influe sur la hauteur du plafond, pour les étalements le problème c'est surtout l'humidité des cumulus qui est de 100% ;-). Les thermiques purs s'étalent aussi, mais ça se voit moins...

     

    Par contre, elle influe beaucoup sur les brouillards matinaux. J'ai constaté plusieurs fois des erreurs de prévision importantes sur le maxi de convection (du genre 1500 m prévus, 500 m réels) dans la région où il y avait du brouillard le matin. Heureusement, cette région est bien visible sur les photos satellites du matin. Sur les photos satellites de l'après-midi, elle est encore identifiable par un trou bleu quand il y a des cumulus tout autour (décalée en fonction du vent, bien entendu)...

     

    Pour ce qui est du modèle, il est actualisé toutes les 6 heures mais si les données d'entrée ne sont pas bonnes, ça ne change pas grand chose. Tous les hivers ils donnent quelques coups de tournevis dans un sens et dans l'autre pour minimiser les erreurs, mais pas toujours dans le bon sens (et de préférence pour que ça marche mieux là où ils ont le plus de clients, au NE du Rhin plutôt que de la Loire ;-)

     

    Le problème supplémentaire avec les étalements, c'est qu'ils ont dans le modèle une influence beaucoup plus grande sur la distance potentielle que dans la réalité. Celle-ci peut varier du simple au double (et inversement) de 6 h en 6 h à chaque run du modèle ! Alors que si on arrive à ne pas se vacher sans faire trop de détours, sous des étalements de 7,9/8, on peut faire de très bonnes vitesses.

  3. Balise de détresse !

     

    Obligatoire pour tous ?

     

    Au vu de de frais souvent engagés sans résultat:

    Equipes ADRASEC, hélicoptères, gendarmerie, pompiers, armée !

     

    Salut à tous,

    Bonne réflexions (utiles si possible)

     

    Bizarre de vouloir à tout prix provoquer une polémique (cf sujet), d'autant plus que la balise est déjà obligatoire.

     

    En tant que contribuable tu as le droit de t'interroger sur l'emploi qui est fait de tes impôts, mais il me semble que lorsqu'il s'agit de sauver une vie, même si la probabilité de réussite n'est pas de 100%, engager quelques moyens n'est pas scandaleux.

     

    En tant que lecteur du Dauphiné Libéré et auditeur d'Alpes 1 (dont les infos sont fiables venant de fins connaisseurs de notre activité, comme nous pouvons tous le constater), tu as conclu un peu vite que le planeur n'avait pas de balise de détresse (sous-entendu : raison de plus pour ne pas lancer les recherches). Le fait qu'il ait été localisé par son téléphone portable n'implique pas qu'il n'y ait eu pas de balise de détresse, simplement que ça n'a pas fonctionné.

     

    Le téléphone portable comme les différents systèmes de tracking ont l'avantage d'émettre avant l'impact. La balise celui de donner l'alerte, si si elle est encore en état et (pour les personnelles) si le pilote arrive à la déclencher, et une localisation plus précise (même pour les vieilles balises 121,5, autant que je sache les équipes au sol l'écoutent toujours).

     

    Mais aucun moyen n'est infaillible...

  4. On en a déja parlé ici : pour une surprime non dissuasive (3 a 4% sur la prime d'assurance) La Banque populaire couvre mon prèt immobilier depuis 12ans) pour tous les " risques aériens spéciaux " ce qui inclut toutes formes de compétition (planeur, voltige, etc....), le vol sur machines non certifiées (ULM, CNRA en F-W.... etc) et tout ce qui est couramment exclu par les assurances standards....

     

    Suffit de demander !!

     

    "En plus ils n'y connaissent rien !" et ils n'ont pas encore lu ce post :-(

  5. J'ai une assurance sur le crédit de ma maison.En tout petit sur le contrat il est écrit ceci:

    Pas de voltige aérienne

    Pas de vol en ULM

    Pas de parachutisme

    Pas de vol de démonstration

    Pas de vol sur prototype

    Pas de compétition

     

    Je ne sais pas si tout le monde vélivole est au courant de ces restrictions.

    Mauvaise assurance, changer assurance.

     

    Certaines excluent les aéronefs certifiés, d'autres pas (ou alors au prix d'une surprime dissuasive). D'autres excluent les compétitions sans viser explicitement les compétitions de vol à voile ; il est préférable dans ce cas de le faire préciser avant de signer.

  6. Bonsoir à tous,

     

    Je suis actuellement en première année de prépa en PCSI .

    Nous devons réaliser un TIPE sur un sujet de notre choix mais qui doit être en accord avec le thème retenu qui est pour l'année 2014 (année de passage des concours) " Transfert - Echange " .

     

     

    Il faut que j'essaye alors modéliser ce phénomène à plus petite échelle. Mes questions sont alors les suivantes :

    1) Pensez-vous que c'est reproductible déjà ou que je me fatigue pour rien ?

    2) Est-il préférable d'essayer de modéliser une onde en utilisant une soufflerie ou plutôt tenter avec un autre fluide (de l'eau) ?

    En effet, une réduction d'échelle impose la modification de paramètres... mais je ne sais pas lesquels.. <_<

     

    Pour qu'il y ait de l'onde il faut faire intervenir la gravité et la stabilité de l'air. Impossible donc en soufflerie. Avec des liquides de densité différentes ça doit être possible (cf saut hydraulique déjà amplement discuté dans ce forum)

  7. Donc pour les enquêteurs en herbe, il s'agit simplement d'une spirale engagé sous le niveau des crêtes et d'un vario qui s'effondre.

     

    signé du directeur de la compétition... ça doit être vrai.

     

    Il me semble qu'il y a encore peu de temps, on était limité à 6 jours de compétitions d'affilées?

    Pourquoi ne pas se fixer cette règle dans les compétitions à venir?

     

    C'était la règle pour les compétitions organisées par la FFVV ou l'une de ses associations, ça n'a jamais été le cas pour les championnats internationaux, pour lesquels seule une journée de repos est obligatoire (sur 14 jours de vols). La règle a été malheureusement abandonnée par la FFVV il y a 4 ans pour s'aligner sur l'IGC. L'inverse eût été préférable, ou, à défaut, le statu quo.

     

    Ceci dit, rien ne permet d'affirmer que tout étant égal par ailleurs l'accident ne se serait pas produit à la première épreuve, ou hors compétition.

     

    Il y n'a pas, à ma connaissance, d'analyse statistique qui permette de quantifier le risque en fonction du nombre de jours de vol consécutifs, du nombre d'heures de vol récentes, des vols en compétition ou non, et du niveau d'expérience montagne du pilote.

     

    Dans le cas présent, il s'agissait d'un pilote de montagne quasi-exclusif. De tous les noms cités par JMC, il s'agissait de pilotes hyper-expérimentés en montagne, et pour beaucoup, dans les cas que je connais, hors compétition.

     

    Quant à décourager la prise de risque, relisez le papier de Gantenbrink : il n'y a rien de rationnel là-dedans ! Ne pas compter les plus mauvaises épreuves pourrait même avoir l'effet inverse, à savoir tenter des raccrochages plus risqués sachant qu'ils pourront être décomptés.

  8. J'avais eu connaissance d'un problème qui était arrivé à un Marianne lors d'un convoyage, (il y a plusieurs années dans la région de Rodez je crois)

    le câble s'était largué tout seul dans des turbulences le planeur s'était vaché.....

     

    J'ai connu 2 vaches dans la même journée, en convoyant un Ka6 : la première fois en descente pour sortir d'un Cb qui avait aspiré le remorqueur, la seconde sur une turbulence en basses couches par vent fort mais sans plus.

  9. Bonjour,

     

    Dans la fenetre de visualisation de la trace d'un vol, il est affiché le circuit qui était déclaré dans le fichier igc.

    Bcp de monde prévoit un circuit, et parfois l'écourte. Je pense qu'il serait intéressant de connaitre la distance qui était prévue.

     

    Le script calcule déjà automatiquement la distance libre optimisée avec 3 TP, il devrait pouvoir calculer cette distance prévue.

     

    Denis

    Ce qui s'affiche ce sont les points de virage qui sont dans le fichier igc, pas forcément ceux qui étaient prévus, ils ont pu être changés ou rentrés en vol.

     

    Dans le cas de loggers IGC, avec une déclaration enregistrée, ce serait effectivement possible.

  10. Entièrement d'accord avec Tatave en ce qui concerne l'entraînement des pilotes remorqueurs.

     

    Mais revenons au cas exposé lors de ce Rex. On a le cas d'un terrain plutôt court. Qu'est-ce qui est le mieux pour le pilote du planeur ? La nouvelle procédure avec le risque de se poser long (et d'effacer la piste) après être passé haut au dessus du seuil de piste afin d'éviter que le cable qui pend au nez n'accroche un quelconque obstacle avant la piste? Ou l'ancienne procédure qui l'amènera en courte finale "classique", en supposant toutefois que le pilote remorqueur soit correctement entrainé...

     

    Je précise encore une fois que je me situe dans le cas d'un terrain court, pas d'une immense plateforme aux abords bien dégagés type St Auban, Vinon ou Issoudun!

    Il y a des terrains où on se pose toujours en fin de piste (au moins dans un QFU). A Saint-Auban aussi (vers les hangars Sud), et le fait que la plateforme soit immense ne change rien si on s'impose un plan normal et un point d'aboutissement à 200/300 m des hangars.

     

    C'est déroutant la première fois mais c'est un bon entraînement pour le cas de la vache, où même si la longueur du champ est suffisant, la proximité des obstacles en bout de champ peut inquiéter. Je suppose que la procédure d'atterrissage avec le câble implique un entraînement à l'atterrissage long, ça va donc dans le bon sens.

  11.  

    ce n'est pas le Nimbus 4 du regretté ingegnere (physico ) Frederico Blatter qui disait de sont Nimbus au retour des championnat du monde en Finlande. Mon Nimbus, il monte, il glisse et en plus il flotte !

     

    C'était en Suède (WGC Borlange 1993). Posé au beau milieu d'un marécage. Et son Nimbus volait aussi très bien en hélicoptère, seul moyen de le tirer de là (des tentatives en véhicule amphibie ayant échoué)...

     

    http://imageshack.us/a/img199/2235/fblatter9301.jpg

     

    http://imageshack.us/a/img9/1246/fblatter9302.jpg

    Images tirées d'un article dans la brochure "Segelflyg 94"

     

     

     

     

    Lors des mêmes championnats, il y a eu 3 autres planeurs dans des lacs, tous ont revolé le lendemain (avec un dernier coup de sèche-cheveux le matin en piste pour les instruments)

     

     

    Précision utile : le Nimbus a très bien volé sous hélicoptère, mais dans sa remorque... D'autres ailleurs ont essayé d'hélitreuiller un planeur, ça s'est très mal terminé :sick:

  12.  

     

    Brigliadori père et fils estiment quant à eux que les ascendances dérivent un peu moins vite que la masse d'air, d'un tiers au maximum (de mémoire).
    Le livre bleu n'est pas à une contre vérité scientifique prêt. les auteurs étaient (sont) d'excellent vélivoles mais n'était pas vraiment bac + 7 et comme pour de nombreuse publications et citations le fait que cela ait été publié n'en fait pas une vérité..

     

    A la décharge des auteurs du livre bleu, est que qu'ils ne font pas uniquement que reprendre l'hypothèse posée dans sa theorie par Mac Cready ?

     

    Il y a beaucoup de bac+7 qui racontent des conneries (dont certains sur ce forum, qui se reconnaîtront :mdr: )

     

    Le livre bleu ne fait que de rappeler que le planeur évolue dans la masse d'air, pas par rapport au sol (sauf en treuillée auquel cas c'est un cerf-volant), et il a raison. Les thermiques et les cumulus aussi, en première approximation.

     

    Mais si on veut être plus précis, c'est évident que les thermiques ont une masse importante donc une inertie qui fait qu'en montant ils n'adoptent pas instantanément la vitesse du vent en altitude mais tendent à conserver la vitesse du vent au sol. Ce qu'on peut constater avec un logger, le vent calculé en spirale est plus faible que celui rencontré en transition (1/3 de moins me paraît être un bon ordre de grandeur)

     

    C'est valable pour les cumulus comme pour les thermiques purs, sauf que le vent est relativement homogène dans la couche convective alors qu'il peut varier brutalement au-dessous de l'inversion ; un cumulus plus développé que les autres est donc soumis à un plus fort gradient de vent (mais ce serait le cas aussi d'un thermique pur au moment où une forte inversion est vaincue).

     

    Pour ce qui est de l'eau, d'une part il n'y en pas plus dans le cumulus que dessous, d'autre part pour 500 000 tonnes de de vapeur d'eau il y aura dans les 50 000 000 de tonnes d'air sec qui n'est pas plus facile à bouger, donc pas vraiment d'influence... mis à part que l'eau liquide est plus visible que la vapeur d'eau :super:

  13. D'accord avec vous, d'autant que la modif d'une Certification au US (limite de vie) doit couter une petite fortune, sans retour sur investissement...alors que les machines ne sont plus fabriqué donc pas d'export.

    C'est bien dommage car mon correspondant acheteur, me faisait part de leur très grande difficulté à remplacer leurs planeurs actuel biplaces école: des Blaniks L13 par des machines avec un bon rapport qualité prix abordable... Il y a peut etre un marché pour des gens sérieux et volontaires.

    MC :pinch:

    Mais aux USA il y a des planeurs en "Experimental" donc sans besoin de certification...

  14. Salut,

     

    Sujet très interessant dans le sens qu'il tente de demistifier les émagrammes.

     

    Je pense avoir compris 20% de ce qu'est un émagramme en lisant le bouquin de JP fieque et ca me permet déja de déduire pas mal de chose comme l'heure de début de convection, le plafond, les statocumulus, et le voile

     

    que les courbes soient penchées (échelle log) me dérange peut car je m'y suis habitué. Maintenant si le fait de les avoir verticale simplifie la tache de certain alors oui pourquoi pas.

     

    En fait, la fonctionnalité qui me plaierait sur un site web c'est un émagramme dynamique. Je veux dire, qu'on puisse déplacer la souris au niveau du sol pour imposer une température au sol, et de voir le trajet de l'air qui monte jusqu'à rencontrer la courbe noire, puis de suivre l'autre courbe (saturée je crois)

    En fait, ca serait de faire faire le boulot du tracé manuel au logiciel

     

    ca serait vraiment TOP

    ce serait TOP si ça avait une quelconque utilité.

     

    Mais faire varier la température en gardant le sondage du matin (c'est-à-dire en s'imaginant qu'il ne soit modifié que par le réchauffement diurne) ça ne marche que dans les livres. Dans la réalité, le sondage est soumis à la subsidence, à l'advection, etc. et seul un modèle numérique permet de calculer son évolution et de le visualiser.

     

    Et cette fonctionnalité existe déjà sur tous les bons sites météos (NOAA, Meteoblue...)

  15. H

     

     

    Bonjour,

    Pour les pilotes du sud-est:

    quels sont les plus grands circuits FAI possibles dans les alpes du sud? (je pense à la limite nord vers Bardonnéchia)

    Le 500 est-il réalisable?

    Merci

    un 500 en triangle FAI passe sans problème : Lubéron - Monaco - Briançon et retour

     

    Hum, pas la carte sous les yeux :chris: mais ce doit être chaud avec les zones de Nice :sick:

    jusqu'au niveau 65, pas de problème... avec un peu de chance c'est juste la base des cumulus

  16.  

     

    Ca fonctionne très bien. Posé plusieurs fois à St aub en stage ITP sans AF uniquement en glissade. Le plan est certe plus faible qu'avec des AF mais c'est possible.

    Je m'interroge sur la fin de cette manoeuvre. Il faut bien arrêter cette glissade quand on arrive tout près du sol pour ne pas toucher de l'aile basse et là, sans AF, ça devrait faire comme quand on rentre les AF près du sol : le planeur flotte en effet de sol et refuse de ralentir et de se poser.

    Il faut prendre un point d'aboutissement plus en amont et continuer la glissade le plus longtemps possible... Après c'est sur que dans un champ de 200 m c'est plus compliqué. Mais sur le terrain de St Aub ça passait sans un poil d'AF jusqu'à l'arrêt du planeur...

    Sans oublier, une fois la glissade terminée, de diminuer la vitesse le plus possible, pour dégrader la finesse et limiter l'effet de sol, ce qui permet de s'arrêter au plus court (surtout s'il n'y a pas de freins non plus)

     

    Le réflexe "naturel" est au contraire d'aller chercher le sol sans se soucier d'augmenter la vitesse, ce qui ne marche qu'avec des AF. Une fois en effet de sol, ça ne ralentit plus, et on ne peut même pas se poser sans rebondir sur la roulette de nez (quand il y en a une) !

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