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combustion INTERNE


Jean-Paul BERRY

Messages recommandés

un inspecteur GSAC m'a signalé l'information suivante :

la DGAC, suite a l'appel d'offre, a retenu l' APAVE

 

pas plus de nouvelle

 

salutations

 

APAVE...Association des Propriétaires d'Appareils à Vapeur et Electrique

 

Est-ce prémonitoire de la fin du "Kéro"? On ne sait si après le pétrole la machine à vapeur intéressera l'avion, par contre le moto-planeur électrique semble avoir de l'avenir...

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Encore heureux qu'ils n'aient pas eu le mauvais goût de rebaptiser la branche aviation "Etablissement des Propriétaires d'Appareils à Vapeur et Electrique"... :lol: :P

- vinch -
Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse
s'élancer vers les champs lumineux et sereins;
Celui dont les pensers, comme des alouettes,
Vers les cieux le matin prennent un libre essor,
-Qui plane sur la vie, et comprend sans effort
Le langage des fleurs et des choses muettes!

(Charles Baudelaire, Elévation)

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Blague à part, si l'on doit se passer de la combustion INTERNE des produits pétroliers, pour cause de pénurie et/ou de réchauffement climatique, on doit s'orienter vers des machines de Carnot "à vapeur" qui ne sont pas du tout archaiques.

On peut citer les centrales nucléaires, en particulier les bateaux ou sous-marins nucléaires qui sont des machines à vapeur d'eau!

Mais on peut aussi penser pour les avions à des moteurs à combustion EXTERNE...dans le terme vapeur n'est pas précisé la nature du calo-porteur, autrefois de l'eau mais ce pourrait-être de l'hélium...

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Blague à part, si l'on doit se passer de la combustion INTERNE des produits pétroliers, pour cause de pénurie et/ou de réchauffement climatique, on doit s'orienter vers des machines de Carnot "à vapeur" qui ne sont pas du tout archaiques.

On peut citer les centrales nucléaires, en particulier les bateaux ou sous-marins nucléaires qui sont des machines à vapeur d'eau!

Mais on peut aussi penser pour les avions à des moteurs à combustion EXTERNE...dans le terme vapeur n'est pas précisé la nature du calo-porteur, autrefois de l'eau mais ce pourrait-être de l'hélium...

Mais la question n'est pas là. Externe ou interne, la combustion d'hydrocarbures est pour l'instant la seule source d'énergie suffisamment concentrée pour pouvoir être emmenée en vol avec une autonomie raisonnable.

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Mais la question n'est pas là. Externe ou interne, la combustion d'hydrocarbures est pour l'instant la seule source d'énergie suffisamment concentrée pour pouvoir être emmenée en vol avec une autonomie raisonnable.

Pour l'instant comme tu dis ça craint déjà, par exemple en ce qui concerne les risques et les conséquences des forages en mer.

Pour l'instant comme tu dis ça chauffe.

Dans un avenir proche la ressource si précieuse pour le transport, en particulier aérien devrait s'épuiser.

Contrairement à ce que tu affirmes la question du mode de combustion se pose.

Si l'on s'en tient aux hydrocarbures, la combustion externe permet un accroissement des rendements.

Mais on doit rechercher à utiliser des carburants sans carbone sinon à piéger le carbone, la combustion externe est une voie.

 

Il y a d'autres solutions comme les piles, à combustible en particulier. Certains drones en sont déjà équipés. D'autres drones utilisent des moteurs STIRLING.

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Blague à part, si l'on doit se passer de la combustion INTERNE des produits pétroliers, pour cause de pénurie et/ou de réchauffement climatique, on doit s'orienter vers des machines de Carnot "à vapeur" qui ne sont pas du tout archaiques.

On peut citer les centrales nucléaires, en particulier les bateaux ou sous-marins nucléaires qui sont des machines à vapeur d'eau!

Mais on peut aussi penser pour les avions à des moteurs à combustion EXTERNE...dans le terme vapeur n'est pas précisé la nature du calo-porteur, autrefois de l'eau mais ce pourrait-être de l'hélium...

Bonjour,

Dans les années 60 les américains ont travaillés sur un projet d'avions à propulsion nucléaire (B36 en l'occurence) afin d'avoir une autonomie (presque) infinie....Il était équipé dans la base de la dérive du coeur du réacteur et les turbines (4 rétractables) se trouvaient sous le fuselage.

si l'avion a bel et bien volé, les problèmes techniques ont ramenés le projet à la cave...

Bons vols, Bonnes pompes,

A bientôt sur les ondes,

Puissance et truculence,

jeannot de Valence...

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Bonjour,

Dans les années 60 les américains ont travaillés sur un projet d'avions à propulsion nucléaire (B36 en l'occurence) afin d'avoir une autonomie (presque) infinie....Il était équipé dans la base de la dérive du coeur du réacteur et les turbines (4 rétractables) se trouvaient sous le fuselage.

si l'avion a bel et bien volé, les problèmes techniques ont ramenés le projet à la cave...

Entre temps depuis les années 60, pendant 50 ans on n'aurait rien (b...) fait, rien découvert, maîtrisé aucune techno pour se passer du pétrole? Ou bien en aurait-on été empêchés par les maitres du monde?

 

Mais bien plus facile que le nucléaire pour la combustion interne et/ou externe propre il y aurait la filière des hydrures. Etudiée par Mercédes-Benz pour l'automobile également de longue date, cette solution serait applicable à l'avion. A l'époque il fallait beaucoup de temps pour stocker/déstocker H2 dans du Magnésium. Aujourd'hui on sait faire en quelques minutes avec la technologie de nanostructuration.

Modifié par Jean-Paul BERRY
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Dans les années 60 les américains ont travaillés sur un projet d'avions à propulsion nucléaire (B36 en l'occurence) afin d'avoir une autonomie (presque) infinie....Il était équipé dans la base de la dérive du coeur du réacteur et les turbines (4 rétractables) se trouvaient sous le fuselage.

si l'avion a bel et bien volé, les problèmes techniques ont ramenés le projet à la cave...

 

Un B-36 transformé, le NB-36H, a en effet volé avec un réacteur nucléaire à bord (47 vols en tout, dont la majorité avec le réacteur en fonctionnement), mais il s'agissait seulement d'essais de mesures de radiation et de radioprotection des équipages. La propulsion n'a jamais été assurée par l'énergie fournie par ce réacteur. Le NB-36H volait grâce à ses 6 moteurs Pratt & Whitney quadruple étoile et à ses 4 turboréacteurs General Electric.

 

Pour plus d'infos, voir ici.

Stéphane Vander Veken
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Un B-36 transformé, le NB-36H, a en effet volé avec un réacteur nucléaire à bord (47 vols en tout, dont la majorité avec le réacteur en fonctionnement), mais il s'agissait seulement d'essais de mesures de radiation et de radioprotection des équipages.

Il y avait déjà à cette époque une intention d'évaluer l'usage d'une autre source d'énergie que le "kéro".

Dans tous les cas que ce soit l'automobile, le moto-planeur ou l'avion il semble que l'alternative au pétrole conduise à des systèmes hybrides, le propulseur in fine étant électrique, donc on reviendrait à l'hélice pour l'avion.

Hybride car dans le cas précité des hydrures, les constantes de temps ne permettent pas une injection suffisamment rapide de puissance. On doit envisager un tampon du type batterie Li...

Il n'est pas envisageable de concevoir des gros porteurs. Petits avions, petits aérodromes. Désolé pour Airbus.

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Mais la question n'est pas là. Externe ou interne, la combustion d'hydrocarbures est pour l'instant la seule source d'énergie suffisamment concentrée pour pouvoir être emmenée en vol avec une autonomie raisonnable.

Pour l'instant comme tu dis ça craint déjà, par exemple en ce qui concerne les risques et les conséquences des forages en mer.

Pour l'instant comme tu dis ça chauffe.

Dans un avenir proche la ressource si précieuse pour le transport, en particulier aérien devrait s'épuiser.

Contrairement à ce que tu affirmes la question du mode de combustion se pose.

Si l'on s'en tient aux hydrocarbures, la combustion externe permet un accroissement des rendements.

Mais on doit rechercher à utiliser des carburants sans carbone sinon à piéger le carbone, la combustion externe est une voie.

 

Il y a d'autres solutions comme les piles, à combustible en particulier. Certains drones en sont déjà équipés. D'autres drones utilisent des moteurs STIRLING.

l'avantage du moteur à combustion externe c'est qu'il peut bruler n'importe quoi et que l'on peut obtenir une conversion directe ou quasi directe du mouvement en électricité car pour un accouplement mécanique direct sur une hélice, le temps de réponse risque d'etre rédibitoire sans compter le risque de perturbation du cycle en raison de l'entrainement par l'hélice.

Le problème c'est d'associer haut rendement de chaudiere, faible encombrement et masse et densité energetique du moteur.

Par compte ce serait un système idéal pour recharger un planeur électrique en vol.

Associé à une combustion catalytique genre lampe berger pour éviter les flammes nues;

Il existe des systèmes sur étagère (voir : whispergen).

Horizon pas net reste à la buvette (marin Breton)
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ah ce bon vieux moteur stirling... combustion externe et gaz captif.

Et ce bon vieux réfrigérateur, et cette petite ou grande pompe à chaleur, et ce drone, et ce sattellite, et ce générateur solaire à concentration (disch), et cet avion, et ce sous-marin...

 

Tiens à propos de sous-marin et d'hydrures, il semblerait que les allemands produisent un petit bijou de 1700t,autonomie 3000km en plongée, très peu sonore et à faible empreinte thermique (80°C), capable de neutraliser les monstres de 17000t à propulsion nucléaire qui par ailleurs seraient interdits de nouvelle construction par un certain traité de non prolifération. Enfin c'est pour dire que des alternatives énergétiques au pétrole et au nucléaire existent même au plan stratégique!

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ah ce bon vieux moteur stirling... combustion externe et gaz captif.

Et ce bon vieux réfrigérateur, et cette petite ou grande pompe à chaleur, et ce drone, et ce sattellite, et ce générateur solaire à concentration (disch), et cet avion, et ce sous-marin...

 

Tiens à propos de sous-marin et d'hydrures, il semblerait que les allemands produisent un petit bijou de 1700t,autonomie 3000km en plongée, très peu sonore et à faible empreinte thermique (80°C), capable de neutraliser les monstres de 17000t à propulsion nucléaire qui par ailleurs seraient interdits de nouvelle construction par un certain traité de non prolifération. Enfin c'est pour dire que des alternatives énergétiques au pétrole et au nucléaire existent même au plan stratégique!

pour les allemand et les hollandais c'est ou un CDD cycle diesel semi fermé avec recyclage des échappements

ou classique + fuel cell oxygene hydrogene U212/214 classe dolphin

les suedois ont un cycle stirling et oxygene liquide

les français un cycle rankine oxygene liquide ethanol (agusta)

pas de carburant miracle donc

la limitation par rapport à un sous marin nucléaire d'attaque à part l'autonomie c'est la vitesse submergée (5 a 7 knt)

Horizon pas net reste à la buvette (marin Breton)
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Lien

 

http://www.afh2.org/uploads/memento/Fiche%...008%20Th.A..pdf

 

 

 

La limitation du sous-marin nucléaire serait la signature thermique, l'anomalie magnétique (17000t) et surtout qu'il ne devrait plus être construit en application d'un traité de non prolifération.

 

Le nucléaire militaire a induit le nucléaire civil comme source d'énergie. Il devrait en être de même pour les piles, les moteurs, les formes de stockage de l'hydrogène, en particulier les hydrure qui bien qu'ayant une énergie massique modeste permettent une certaine sécurité. Les moto-planeurs restent concernés par ces évolutions technologiques.

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