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Pour De L'argent Ils Sont Fous à La Formation


Invité Invité_Christophe

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Invité Invité_Christophe

B) A défaut de pilotes, notre mouvement n'aura bientot plus que des instructeurs ITP dont la valeur reconnu par d'autres pilotes et presidents d'associations ne cesse d'être dévalorisée. Je vous invites à lire le dernier compte rendu de la commission formation sécurité http://www.ffvv.org/Commissions/Comm-Forma...209%209%205.pdf

Et maintenant des ITP par UV super non; déjà que notre formation est "légère" // à bien d'autres sports, maintenant il la trouve trop lourde et indegeste allez donc comprendre. Nous vivons une époque formidable.... pourvu que ça dure!

Bons vols à tous.

 

Christophe Delort d'Exéa ITV et vélivole par passion.

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Les instructeurs livrés aux clubs ont, par ailleurs, peu de connaissances relatives à l'organisation du mouvement vol à voile ( MJS,DGAC, Fédération et de leur déconcentration )

Ils auraient pu ajouter que certains ITP-V ne savent même pas regelcoaté un planeur, réparer un moteur d'avion, réaliser une UEA, gérer la compta du club .....

 

 

Mais au SEFA, pardon au CNVV, les instructeurs connaissent-ils le fonctionnement et les contraintes des clubs ?????? la motivation, les disponibilités des élèves qui s'y présentent ?

 

Pour ce qui est de la crise des vocations , il faut quand même être motivé pour se financer une formation complète à près de 4000 euros pour l'ITP (hors hébergement ...) , se faire traiter comme un chien et risquer de se faire bouler.

 

 

Peut-être que je n'étais pas d'un grand niveau en arrivant à St Auban et que j'avais "un niveau qui n'était pas satisfaisant" à la sortie, que je ne suis pas encore Champion de qq chose, mais depuis 94 j'essaie de faire au mieux, et je ne suis pas sûr que mes élèves soient plus dangereux que si leur formation initiale avait été faite par un Champion du vol en montagne, expert en DGAC, en MJS etc.

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Pour ce qui est de la crise des vocations , il faut quand même être motivé pour se financer une formation complète à près de 4000 euros pour l'ITP (hors hébergement ...) , se faire traiter comme un chien et risquer de se faire bouler.

Comme j'en sors tout juste (ITP en septembre 2003, ITV en juillet 2005), je peux dire qu'effectivement il faut une certaine vocation pour ce qui est du financement, ce qui n'est pas une mauvaise chose en soi, il n'est pas mauvais que les instructeurs soient motivés, mais la sélection par l'argent n'est sans doute pas la meilleure façon de tester cette vocation. J'ai eu un peu d'aides, pas autant que ceux qui gèrent ça au mieux et remplissent des conditions que je ne remplis pas, mais je ne me plains pas et je l'aurais fait de toute façon sans les aides. Risquer de se faire bouler, c'est le risque de toute formation. Par contre je ne me suis pas fait traiter comme un chien et je tiens à le dire pour ne pas décourager d'autres vocations. Ce qui n'exclut pas de se sentir parfois un peu nul face au niveau demandé et à des gens dont l'expérience et la pratique sont 100 fois la mienne.

Ceci dit la crise est réelle, nous étions 2 au stage ITV de juillet, parfois je me demande si je n'ai pas été reçu pour éviter d'avoir 50% d'echec B)

Modifié par Robert Ehrlich
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La lecture du volet ITV - ITP de ce compte rendu est surprenant! Il ressemble un peu à certains rapports rédigés dans l'Education Nationale dans lesquels tout est de la faute des élèves... alors que 50% des problèmes sont peut être à chercher du coté du corps enseignant! Compte tenu de la profonde restructuration, du service de la formation aéronautique, opérée sur le site de St Auban ces dernières années, n'y aurait-il pas eu aussi une certaine démotivation qui pourrait expliquer cette baisse de niveau?
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Invité françois Hache

Pourquoi traduire formation cadre = St auban?

Le profil de formation proposé est trés adapté aux régions et le CNVV, par obligation organisationnelle , gardera ses stages bloqués et ses couches de vernis . Voilà les conservateurs rassurés.

Je trouve, par ailleurs normal, qu'un instructeur sache comment sont réparties les aides fédérales à la formation des èlèves et des cadres, ce qu'est un CRVV, ou un cros, ces organismes participant normalement au financement de sa formation.( si ce n'est pas le cas,le mal est profond....).

Le projet ne vise qu'à s'assurer que les contenus de formation prévus sont assimilés donc assimilables (ni plus ni moins) en les rendant plus digestes.

Il s'agit aussi que le candidat ITP se sente un peu mieux pris en main dans sa préparation et qu'il sache suffisammant tôt ce qu'on va lui demander.

Puique vous êtes dans le compte rendu de la commission, jetez donc aussi un oeil sur le bilan des accidents, ceci explique peut être, en partie, celà.

bons vols

FH

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Combien de temps pour former :

- un moniteur de voile,

- un moniteur d'équitation ?

2 formations Brevet d'Etat.

Quel est le niveau d'entrée requis en PREALABLE ??

 

Alors arrêtons de pleurnicher.

 

Pas de bise pour le coup

 

JM

B) :rolleyes: :rolleyes:

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Invité Christophe Brunelière

Bonjour,

 

Pourquoi une formation d’instructeur est elle si longue et pourquoi coûte t’elle si cher ?

 

Un élément de réflexion :

 

Notre environnement aéronautique évolue chaque jour, ainsi que les risques qui y sont associés. Ne pas ajuster nos comportements et nos défenses c’est ,à coup sûr, accepter une augmentation du risque d’accident.

 

Quels sont les obstacles au changement d’habitude ?

 

Le premier est incontestablement le temps qui passe, en un mot l’âge. La modification d’une habitude qui a permis de voler en sécurité pendant des années se révèle extrêmement déstabilisant. Cela nécessite un grand effort sur soi-même et suppose de renoncer à une routine confortable. Si la résistance passive au changement est naturelle, il faut cependant être convaincu qu’être passéiste en matière de comportement n’est ni plus ni moins qu’un signe de vieillissement. Toutes les bonnes raisons que l’on met en général en avant pour ne pas changer sa façon de faire en sont de fait une manifestation tangible.

 

Le second obstacle est l’adhésion au changement. Pour accepter de modifier son comportement, il faut être convaincu de la nécessité du changement. Ceux auxquels nous sommes confrontés sont de deux sortes : réglementaires et méthodologiques. Nous avons peu de poids pour intervenir sur les modifications réglementaires liées très souvent à des considérations économiques ou politiques qui nous sont franchement étrangères dans nos clubs. D’accord ou pas, les changements dans ce domaine doivent être pris en compte.

 

Les changements de méthodes sont induits par les retours d’expérience permanents de notre activité. Ils proviennent du souci d’avoir toujours la défense la plus actualisée possible en fonction des derniers événements connus.

 

Refuser ce type de changement, c’est accepter d’avoir un coup de retard en matière de prévention d’accidents. Nous avons notre mot à dire dans ce domaine en rapportant nos expériences, mais nous devons savoir que notre expérience personnelle ne représente qu’une infime partie de l’expérience collective qui « in fine » décide de nos méthodes d’apprentissage ou de pilotage. Une fois entérinés, les changements doivent être pris en compte dans notre façon de nous comporter sur un aérodrome ou dans un planeur. C’est au sein de notre club une condition nécessaire pour qu ‘une synergie puisse se développer. Tout écart par rapport à la « doctrine » en vigueur s’apparente à de l’égoïsme ou à de la rébellion (on reste dans un mode de fonctionnement familier et confortable) qui risque à terme de mettre en jeu la sécurité des vols. C’est vrai que ce n’est pas très agréable d’avoir à demander une « clearance », et d’apprendre à se servir d’un transpondeur pour voler dans un secteur ou bon nombre d’entre nous volent sans complications depuis plusieurs années. Mais c’est préférable à une traversée « pirate » d’une zone de classe « D » en essayant de se convaincre que : « pas vu pas pris ! ».

 

La transition vers un changement passe par différents stades. Après le refus initial vient une phase de résistance. Une période exploratoire suit, qui finit par déboucher sur l’acceptation. Notre devoir est d’aller le plus rapidement possible vers le dernier stade.

 

Il est impératif que notre adaptation à notre environnement soit permanente. La prospérité de notre activité en dépend.

 

Pourquoi la formation coûte t’elle si cher ?

 

Je ne pense pas me tromper en affirmant que les 2/3 des instructeurs formés depuis 20 ans font peu ou plus du tout d’instruction.

En terme économique puisque t’elle est la question, la formation d’un instructeur qui fait de l’instruction coûte 3 fois ce qu’elle devrait coûter. Ben oui puisqu’il faut en former 3 pour qu’il en reste 1 !.

 

Alors peut être que nous, vélivoles, devrions changer de mentalité et arrêter de scier la branche sur laquelle nous sommes assis.

 

Bonne semaine, Christophe. B)

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Si par dessus le marché la politique club en rajoute une couche en supprimant petit à petit les avantages que pouvaient procurer l'Instruction (heures de vols , licence assurance gratuite ...)

Dans mon club le président m'a refusé ce genre d'avantages pretextant que c'est interdit... Qu'en est-il réellement?

 

MATT (ITP_tout frais)

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C’est vrai que ce n’est pas très agréable d’avoir à demander une « clearance », et d’apprendre à se servir d’un transpondeur pour voler dans un secteur ou bon nombre d’entre nous volent sans complications depuis plusieurs années.

Ce n'est pas tant cela que le prix du transpondeur où le bât blesse, ainsi que l'inadaptation de la chose au vol à voile. Que répondre au contrôleur qui demande de rappeler en cas de changement d'altitude ? Et quand le plafond de la classe D est à 4500 ft, par une bonne journée de vol à voile, on est tout le temps en train d'en sortir et d'y rentrer par le haut, et il faudrait donc constamment redemander une clairance.

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Chez nous, il n'y a rien de gratuit "à priori". on veut absolument éviter les instructeurs qui profiteraient des avantages sans rien donner en retour en terme de formation ou de présence pour l"encadrement.

 

Il y a donc un système de bourses sur objectifs (journées d'astreinte et de présence, participation aux stages), beaucoup plus juste. L'instructeur qui participe recoit la bourse pour l'année suivante, celui qui ne participa pas n'obtient rien. la bourse instructeur couvre le montant de la cotisation et de la licence assurance.

 

Le club participe aussi à la prise en charge du cout des stages ITP et ITV (contrat d'objectif). Le candidat fait l'avance et le club lui recrédite une bonne partie du cout sur plusieurs années (fidélisation, motivation).

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Invité Christophe Bruneliere
Ce n'est pas tant cela que le prix du transpondeur où le bât blesse, ainsi que l'inadaptation de la chose au vol à voile. Que répondre au contrôleur qui demande de rappeler en cas de changement d'altitude ? Et quand le plafond de la classe D est à 4500 ft, par une bonne journée de vol à voile, on est tout le temps en train d'en sortir et d'y rentrer par le haut, et il faudrait donc constamment redemander une clairance.

Bonjour,

 

Tu as parfaitement raison, ce n'est pas toujours facile. L'exemple du transpondeur est emblématique, l'usage de cet instrument n'est pas encore rentré dans les moeurs coté contrôle et coté vélivole. Il faudra encore du temps avant que ça le devienne. Il y a pourtant des régions ou celà se passe très bien entre vélivoles et contrôleurs. Aix, Marseille, Orange, Montpellier, etc. Pour l'avoir expérimenté à plusieurs reprises, j'ai toujours eu d'excellents contacts avec ces organismes par ex en vol d'onde, mais de là à en faire une généralité comme tu le penses à juste raison c'est autre chose c'est vrai. Le travail de la Commission Espace aérien a été exemplaire dans ces cas, peut être faut il lui laisser du temps pour arriver à une "contagion" nationale.

 

Bonne semaine, Christophe.

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Invité_Christophe, je ne suis pas du tout tes propos.

Je pense au contraire que ces propositions peuvent réellement améliorer les choses même si leur mise en place ne sera peut-être pas facile.

 

 

J’ai passé l’ITP en mars 2005 et j’avoue avoir été assez déçu par la formation.

Et je constate avec plaisir que la commission formation sécurité en est également consciente, ce qui est plutôt rassurant. Se remettre en cause n’est-il pas une valeur vitale chez les fous volants ?

 

La formule actuelle ITP sur 3 semaines bloquées n’est pas la meilleure car on sature en milieu de 2ème semaine (3 à 4 heures de cours le matin, vols l’après midi, prépa leçon et exposé le soir pour le lendemain). La fin de stage se fait en sortant les rames, on est plus trop productif, on commence en avoir marre et donc on n’apprend plus grand-chose.

Le fait de scinder le stage en 2 parties me semble être une bonne chose avec en plus (comme indiqué dans le compte rendu) la possibilité d’avoir plus de recul sur le boulot du futur instructeur.

 

Avoir un suivi plus long du futur ITP est également une bonne chose.

J’ai vraiment été surpris qu’il n’y ait pas lors du stage ITP de mise en situation « responsable de piste » ( c’est aussi mis en avant dans le compte rendu) car c’est pour moi une chose extrêmement importante. Ca permet de faire des journées pas trop bordéliques et en essayant de ne pas abîmer le matos au sol, ça va dans le sens de la sécurité et de l’ambiance de piste.

 

Je suis aussi convaincu que l’instructeur ne doit pas se retrouver bloqué dans son rôle.

Faire du solo, des circuits (et des concours s’il a envi) sont nécessaires pour maintenir un bon niveau de pilotage (on pilote pas beaucoup en instruction…) et se faire plaisir. Sinon il va vite se dégoûter et arrêter (durée de vie actuelle 6ans…).

 

S’il y a une autre chose à améliorer (et là je suis d’accord avec les netcoupeurs) c’est l’ambiance de ces stages même si ça dépend des instructeurs, le mien n’était pas pour le renforcement positif…

Bien sûr par rapport aux instructeurs de ST Aub nous n’avons pas le même niveau mais c’est normal. Mais quand on sait ce que coûte un stage et le temps que ça prend, avec comme seul objectif d’aider son club (et parfois pour certains clubs leur permettre de continuer tout simplement à fonctionner), j’ai du mal à comprendre certaines attitudes.

 

Pour terminer avec les avantages des instructeurs dans leur club, chez moi il n’y en a absolument aucun. Nous payons comme tous les membres et ça ne pose pas de pb.

Comme nous arrivons à tourner entre nous et que chacun peut continuer à faire du solo, pour le moment ça marche

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Merci Florent pour ce retour d'expérience très concret et très constructif.

 

Pour Mathieu S : La note 8.8 n'est pas encore téléchargeable sur le Site de la FFVV

 

En résumé, elle dit :

FFVV NP N°: 074.94.YP.GL du 04 Nov 1994 (sauf + récent)

 

Article 1 - Définition du pilote instructeur bénévole

.../... le pilote instructeur bénévole est celui qui, dans les limites de ses qualifications, exerce ses fonctions d'instructeur au sol et en vol, à titre gracieux, c'est à dire sans contrepartie d'une rémunération de quelque nature ou de quelque forme que ce soit.

Il est précisé que les remboursements de frais, limitativement ci-dessous désignés, ne constituent pas une rémunération.

- Frais de transport engagés pour se rendre et revenir de son domicile au lieu ou est dispensée l'instruction.

- Frais de perfectionnement et de recyclage, aussi bien dans le domaine du vol moteur que du vol à voile

- frais de visites médicales, de déplacement engagés pour les visites obligatoires

frais d'assurances souscrites (RC et individuelle) compte tenu des indications des présentes prescriptions.

.../...

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Invité françois Hache

Je pensais qu'elle était sur le site de la fédé, mais elle n'a l'air disponible.

Il te faut donc consulter les notes fédérales dans ton club.

Je pense qu'en tant qu'instructeur, tu y a accés

bonne lecture

FH

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Invité Oscar Mike

Pour ce qui me concerne, je suis ITP depuis le 31 août 2005. J'ai eu la chance d'être formé en région, au Mans, par un formateur exceptionnel Armand Goupil. J'ai pu faire une dizaine d'heures d'enseignement sous sa houlette pendant ma formation,, et ce fut très très bénéfique: rien de tel que d'avoir les mains dans le cambouis pour saisir la difficulté qu'il peut y avoir à restituer correctement telle ou telle leçon: s'apercevoir tout d'un coup qu'on n'est pas aussi clair qu'on le voudrait, qu'il n'est pas si facile qu'il y parait d'expliquer et de montrer en même temps etc.. et pouvoir en reparler après le vol avec son formateur et progresser ainsi. Et au milieu de cette formation, précisément le 28 juillet, nous apprenons que pour cette année, les ITP en formation ne doivent plus faire d'enseignement, pour calquer la formation en région sur celle de St Auban, et que la mesure prend effet immédiatement. Par contre, dans le même temps, nous avions "gagné" 5 heures non prévues de double avec un autre ITP (intérêt???) et si je me souviens bien 3 ou 4 h de double supplémentaires avec mon formateur. Dès lors, les jours qui ont précédé le stage final n'ont plus eu ni le même intérêt, ni la même saveur et franchement, je plains ceux qui se tapent toute la formation d'ITP sur ce mode là!

Cette formation d'ITP, elle nécessite un gros investissement pour le candidat, en temps et accessoirement en argent. Pour les candidats comme moi ayant 3 semaines de vacances l'été, une famille et des obligations professionnelles assez lourdes, la formation en région est de loin la mieux adaptée. Pour ce qui me concerne, il est clair que je ne serais jamais devenu ITP sans cette possibilité.

Il faut donc la défendre et la promouvoir cette formation en région, parce qu'elle seule permet à des ITP en cours de formation de confronter la théorie et la pratique par le biais de l'enseignement à de "vrais" élèves, parce que comme le faisait remarquer un intervenant elle permet de digérer le programme qui n'est pas concentré sur 3 semaines, parce qu'elle reste malgré tout compatible avec une vie familiale et professionnelle et parce qu'elle permet enfin de rencontrer des gens exceptionnels qui savent depuis toujours qu'un élève quelqu'il soit apprend d'autant mieux qu'il est valorisé et respecté...

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Invité Invité_Christophe

Personne n'a répondu à A60, combien de temps pour un brevet d'etat en équitation?

Pour l'avoir vu et vécu dans notre association, un ITP régional, meme pas les 50km et pas 150 hdv formation itp incluse.... résultat un instructeur perdu et des élèves déconcertés....

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C'est clair que la formation en région est efficace et pratique.

J'ai fait ainsi mon ITP en 96 puis étant dans les Alpes pendant 1 an à 40km de St Auban, je me suis dispensé de préITV. Je n'ai donc fait que 2 semaines au SEFA et je ne reviendrais pas en détails sur ce stage : en gros, c'est la première fois que j'espérais qu'il pleuve :unsure:

On en a déjà parlé dans un autre post.

Alors oui, au lieu d'obliger les gens à débourser 4000€ pour des semaines à se faire pourrir (faut voir si c'est encore comme ça qd même mais nous, c'était le cas!) et sans voir un seul élève!! alors qu'en club, comme le dis OM, on est vraiment confronté à la réalité ; l'incompréhension d'un élève, le plaisir qd il comprend, le remorqué au mini car on paye (enfin l'élève mais c'est pas une raison), et ce que c'est que la vie en club en instruction : on fait pas de l'instruction de base sur un circuit de 300km au milieu des Alpes (C'est vrai qu'on est en plaine aussi :P ) mais souvent dans un rayon de 20 km alors qu'il y a 1800 de plaf etc...

 

Allez, bon vent

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Je ne comprends pas trés bien et toute notion d'argent mise à part, le problème est-il plutôt posé par la qualité ou les conditions de la formation dispensée ou au contraire par le manque de motivation ou l'insuffisante qualification des candidats ITP-ITV ?
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Personne n'a répondu à A60, combien de temps pour un brevet d'etat en équitation?

Pour l'avoir vu et vécu dans notre association, un ITP régional, meme pas les 50km et pas 150 hdv formation itp incluse.... résultat un instructeur perdu et des élèves déconcertés....

Voila qui s'appelle effectivement dire n'importe quoi.

Les pré-requis sont les mêmes quelle que soit la fillière choisie.

 

Quand on veut noyer son chien, on dit qu'il a la rage

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