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Financement De Nos Associations


delta217

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Intense débat chez nous. Dans le cadre d'un achat de machine, nous avons imaginé de proposer aux membres de prendre part au financement du club (et non pas du planeur). La formule présente des avantages certains : moins de charges (emprunt à taux nul, sauf l'inflation), meilleure implication des membres dans la gestion (le club ne tourne pas : le remboursement tarde). Ceci ne peut se faire sans contrepartie, sinon les souscripteurs risquent de se sentir les dindons de l'affaire (le bénévolat : oui, le mécenat : non). Donc, une contrepartie que nous avons trouvé finalement astucieuse : une part (700 à 1000 €) = un bulletin de vote supplémentaire, jusqu'au remboursement de la part par l'association. De cette manière, les souscripteurs ont un certain contrôle sur la bonne gestion de l'association, donc des billes qu'ils y ont mises.

 

Tollé, Scandale...: Intrusion du capitalisme dans l'association, prime à l'argent, inégalité dans l'isoloir, etc...

 

A ceux qui pensent que ceci serait contraire à la loi 1901, je réponds du suite qu'il n'en est rien, la loi de 1901 est beaucoup plus large qu'on ne le croit.

 

Notre mouvement va à l'évidence rencontrer des problèmes de capitalisation (terrains, achats de remorqueurs, treuils, ...). Dans le monde de l'ULM, on voit des pilotes qui doivent acheter leur part de hangar, et c'est peut-être bien ce qui nous attend. Il nous faut certainement explorer des idées nouvelles, et sortir des sentiers battus.

 

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Bonsoir,

 

Je partage ton analyse: le manque de resources financières dans le vol à voile

Je partage aussi ton opinion sur le recours à de nouvelles sources de financement.

 

Mais je ne comprends pourquoi il faut conserver le statut de l'association, quand les "contributeurs" disposent implicitement de "pouvoirs" liés à l'importance de leurs contributions. Tu es en train de réinventer la société privée, portée par des investisseurs.

 

L'apport de ressources et le contrôle sur l'utilisation de ces ressources seront toujours liés. Ta proposition de renforcer les droits de vote des généreux contributeurs pour leur garantir une bonne utilisation de leur soutien, donc leur donner du contrôle, est une idée saine. Il faut encore ajouter une bonne séparation entre la préservation des intérêts des investisseurs (le rôle du président d'une SA) et le fonctionnement de la structure financée (le rôle du DG dans une société) pour respecter les canons modernes de la gouvernance d'entreprise.

 

 

C'est la seule façon d'attirer "des sous" dans notre activité.

 

Il faut ensuite, et c'est je pense plus difficile, s'assurer de l'adéquation des objectifs des contributeurs (ou investisseurs selon qu'on se place dans le monde associatif ou dans le monde capitaliste) avec les attentes des membres (ou des clients, selon le point de vue alternatif).

C'est la fonction d'un business plan, ou d'un plan stratégique, qui définit un objectif, les ressources requises pour l'atteindre, et les compétences (donc les personnes) pour l'exécuter.

 

Faut il pour autant renier le modèle associatif? Non, je ne le crois pas. Il a parfaitement sa place encore aujourd'hui. Au lieu de grandes explications théoriques, prenons simplement comme exemple la voile.

Il existe des clubs de voile, reposant sur le bénévolat. Et il existe des structures différentes, publiques, mixtes ou privées, qui développent une activité à but lucratif autour de la voile. (je parle des ports construits par des SEM, opérés par des société privés qui louent des anneaux, puis de toutes les sociétés ordinaires qui "vendent" du bateau et du service autour des bateaux). Il est inimaginable de croire que la voile serait aussi développée aujourd'hui si elle était restée entièrement sous le contrôle de structure associative depuis 1901.

Inversement, le rôle des clubs de voile est fondamental pour la formation d'un vivier de plaisancier.

 

Alors: bonne tentative mais qui demande un effort de maturation de la part de tous les vélivoles.

Jean Féret
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Jean Philippe,

on peut comprendre la réaction négative au sujet de voix attribuées en fonction d'une part .

Personnellement je ne trouve pas non plus cette solution une bonne solution , car bien sur elle pourrait devenir dangeureuse et surtout mal comprise par des membres actifs mais ne pouvant " investir" .

 

Comme tu le sais chez nous , nous avons investit pas mal en machines depuis les cinq dernieres années et lors de l'achat du SF28, une petite partie des membres souhaitaient acheter ce motoplaneur , mais le club n'avait pas assez d'argent pour l'acheter .

 

Une dizaine de membres ont donc " avancés" entre 500 et 2000 € , ce qui a permit de financer la bete , mais sans contrepartie , c'etait simplement une avance sur compte , qui au bout de quelques mois ou 2 ans pour le plus important a ete rembourse .

 

Pour les membres ayant avancé pas mal, une reconnaissance de dette a ete faite au cas ou ....

 

L'inconvenient de ce systeme est bien sur qu'il y a eu moins de rentrée d'argent .

 

 

Pascal

Pascal JOUANNARD

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Je me permets d'intervenir encore car en relisant la 1ère contribution, il me semble important de souligner la différence entre prêt ou avance d'une part et investissement d'autre part.

 

Une association qui contracte une dette envers un de ses membres s'engage à la rembourser. Tous les emprunts doivent être remboursés, en nominal plus éventuellement des intérêts.

 

Dans une société, un investisseur qui apporte sa part dans le capital ne sera pas remboursé. S'il veut sortir, il vendra sa part. Et ce sera son problème et surtout pas celui de la société si sa vente dégage un profit ou une perte.

 

Un membre qui prête à son club exerce donc une sorte de pouvoir sur ce club en l'engageant dans un système qui contraint le club à le rembourser, tôt ou tard. Le risque, cad ne pas pouvoir rembourser, est porté par le club.

 

Un investisseur qui prend une part dans une société a fait un choix irréversible, il ne peut plus voir son argent lui être restitué. Tout ce qu'il peut espérer, c'est obtenir un revenu de cette société, les dividendes, et éventuellement bien revendre cette part. Si tout se passe mal, c'est son problème et pas celui de la société. Le risque est porté par l'investisseur.

 

 

Le créancier ne porte pas de risque, exerce une contrainte forte et attend une rémunération faible.

 

L'investisseur porte le risque, exerce une contrainte différente (la bonne marche de la société) et attend une rémunération plus forte, à hauteur du risque endossé.

 

 

Evidemment, je ne pense pas qu'il soit possible de mettre sur un marché des parts d'association loi de 1901.

Mais adosser ces associations à des structures capables de rassembler des investisseurs qui prennent des parts et peuvent s'en retirer en les vendant est, à mon avis, un moyen de capter du financement.

Jean Féret
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Merci pour vos très intéressantes contributions.

 

Je pense qu'il y a une nette distinction entre "avance sur le compte de l'année" et "emprunt/investissement" sur plusieurs années. Dans notre cas, l'idée était de se faire rembourser - si tout allait bien - sur 5 ans.

 

J'entend bien le raisonnement qui différencie très justement l'emprunt et l'investissement. Donc, s'agissant "d'emprunt" dans notre cas, une absence de contrepartie serait donc légitime. Sauf que la vie des associations peut basculer très vite (une ou deux casses, le compte ANEPVV plonge, quelques départs...). Pour un peu que le créancier soit muté à l'autre bout de l'hexagone, sa créance aura toutes les chances de passer par pertes et profits.... Donc, la prise de risque me parait tout de même très rééle.

 

La comparaison avec la voile est intéressante. En dehors de grosses structures type Glénans, je ne vois pas d'association pratiquant la croisière : toutes les structures me semblent commerciales. Seule la formation de base sur dériveur serait associative. Est-ce que je me trompe ? Si l'on transpose au vol à voile, cela donnerait : K13 et K8 pour l'associatif, le Pégase et le LS3 pour le commercial, et le CNVV-Glénans. J'ai l'impression de voir le modèle américain, avec un tout petit hangar et plein de remorques sur le terrain.

 

A noter que le débat chez nous est quasi philosophique, car l'inventaire des candidats souscripteurs rendrait grosso modo l'opération invariante sur le poids des différents courants au sein de l'AG, et nous pouvons passer sans ce mode financement, en serrant un peu les fesses...

 

Il y a aussi des associations qui pratiquent le "droit d'entrée", remboursé à la sortie. Au départ, j'étais farouchement opposé à ce système anti-marketing. Je le suis toujours, mais moins farouchement...

 

Quoiqu'il en soit, je me demande vraiment comment les petits comme nous (300 heures de vol en 2004) vont s'en tirer, dès qu'il faudra investir. Les trentes glorieuses et la pluie de subventions et aides qui allaient avec sont un souvenir.

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Une des solutions (mais il n'en existe pas de miraculeuse sinon on serait au courant) consisterait peut-être pour les structures les plus légères à se regrouper au niveau régional sur une même plateforme.

Les avantages sont nombreux :

- un seul remorqueur ou treuil plus utilisé donc moins cher pour le vélivole,

- rationalisation et homogénéisation des flottes de biplaces et monoplaces (par ex un Twin au lieu de deux Bijave),

- meilleure représentativité au niveau régional pour monter des dossiers de subvention,

- frais de hangar réduits,

- possibilité d'embaucher un saisonnier voire un permanent pour structurer et doper l'activité,

- etc.

Par contre, il ya aura des "perdants" sur les trajets voitures, largement récompensés par un vol à voile de meilleur qualité.

 

Bon par contre, il faut faire abstraction des inévitable querelles de clocher chères aux français, d'autant plus s'ils sont vélivoles. ;)

Rien qu'en région Rhône Alpes, on pourrait imaginer au moins 3 regroupements de ce type. :sick:

 

Et ne me dites pas qu'une "grosse" structure c'est forcément l'usine.

Nos associations ne deviennent que ce que nous les laissons devenir.

 

Bon j'espère ne pas avoir ouvert la boite de Pandore, quoique ... :angry:

 

Bises

JMarie

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Invité françois Hache

Tu as raison A 60. C'est la solution, enfin un bout de solution....

Reste à savoir comment encourager ça?

ça s'est déjà fait, avec 2 clubs de 15 membres distant de 20 mn d'autoroute.

Il y a des secteurs ou 4 petits clubs ne sont distant que de 30 Km!

Evidemment c'est la galère pour les 4...

Jusqu'ou défendre un vol à voile de proximité?

Un ancien dirigeant fédéral a dit en son temps: ça finira avec un club par département .( moins d'une heure de route paraitrait raisonnable.

Je pense qu'à terme il aura raison.

ça pourrait être l'objet d'un projet de Comité Régional.

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Bonjour,

Notre nouveau ASK21 qui vient de Wolsburg en allemagne était en vente car deux clubs ce regroupe la bas.

Visiblement nos voisin outre rhin on bien compris l'intêret.

A qui le tour !!!

Lionel
La vocation, c'est d'avoir pour métier sa passion,
Une erreur peut devenir exacte. Il suffit que celui qui l'a commise se soit trompé
Je ne râle pas, je m'indigne . Je ne juge pas, je dénonce. Je ne dénigre pas, je rouspète.

http://planeur.phpnet.org/images/flarm_pixel.png http://planeur.phpnet.org/images/netcoupe.net_pixel.png

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Invité Bernard ALLEMAND

Tu vois A60, dans le Nord Drôme, j'avais émis cette idée il y a près de 10 ans à 2 club proches l'un de l'autre, je peux te dire que je ne me suis pas fait d'amis.

Et aujourd'hui ?

on a 2 club qui tirent la langue pour s'en sortir.

 

Bien dommage - l'éternelle querelle de clocher...

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Invité Invité_M FEINE

Une simple remarque.

Le nombre de voix par membre pour les associations 1901 est derterminé par les statuts et peut pas à la connaissance être fixé en fonction d'une somme éventuellement prêtée à l'association.

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Tout à fait.

 

Tous les membres sont à égalité, et partagent à égalité ce que possède l'association; les nouveaux, qui n'auraient pas participé à des soutiens dans le passé, comme les anciens "qui ont mis de leur poche".

Ceux qui ont aidé, participé ou soutenu mais qui auraient quitté l'association n'ont plus rien à dire. Les nouveaux membres doivent rembourser les dettes contractées par les anciens membres.

 

Pour voter en fonction de sa mise, il faut être dans une société et avoir apporté sa part dans le capital. La société ne remboursera JAMAIS cette part (sauf si elle rachète ses propres actions, et c'est très encadré). Par contre on peut vendre sa part.

 

Pour être certain d'être remboursé, il faut préter. Et dans les sociétés comme dans les associations, cela ne donne aucun droit à la prise de parole en AG. On peut sécuriser le prêt, par une reconnaissance de dettes ou un nantissement...

Jean Féret
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Jean Philippe ,

si tu as fais 300 heures avec le parc machines que vous avez , ce n'est pas raisonnable

d'acheter un autre bi-place .

 

Pourquoi veut tui acheter un autre bi-place ? Pas parce que ton twin II est trop utilisé , mais parce que ta piste est trop courte pour les jours ou il fait chaud et pas de vent .

 

Moi, je me poserais la question suivante : pourquoi ne pas vendre le twin et acheter un

ASK13 comme tu l'envisagait?

 

Cela peut être pris comme un retour en arriere bien sur , mais cela te permettrait peut etre de reprendre sur des bases plus saines .

 

Nous avions pris la décision de vendre notre Twin en 2000, nous ne le regrettont pas car il a ete vendu correctement et je pense qu'il ne faut pas pas s'attacher aux machines , mais plutot au club . Notre Twin montait mal avec notre treuil poussif et du coup le Twin n' a fait que 50 heures la derniére année , l'ASK 13 qui l'a remplacé en fait plus de 200 par an ------> alors comme on dit " qu'importe le flacon....."

 

Mon raisonnement est peut etre simpliste , mais tu poses les conditions :

 

(le twinII est trop lourd )X (la piste est trop courte ) = Danger et mauvaise exploitation du biplace .

 

Les solutions sont :

 

Remplacement du MS893 ( cellule lourde) par un M893 ( Cellule Legére) ----> pas sur que tu grattes plus de 50 métres

 

Remplacement du MS893 par un 235 ou Pawnee ----> bof !!

 

Remplacement du MS893 par un ULM ( ce sera pas pour cette année)

 

Allongement de la piste ---> a priori : impossible

 

Donc la solution que tu as trouvé est je pense la seule ( remplacement du Twin par plus léger )

 

Pascal

Pascal JOUANNARD

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Je me doutais que le point relatif au nombre de voix serait évoqué.... Et vous avez tort !

 

Mémento Lefebvre des associations, édition 2005, alinéa 513 : "les statuts peuvent accorder des voix supplémentaires à certaines catégories d'adhérents".

 

D'ailleurs, il ne faut pas aller bien loin pour trouver une association 1901 ou les membres ont des voix différenciées : la FFVV ! La loi 1901 prévoit "un membre = une voix" par défaut. Elle est beaucoup large qu'on a coutume de le croire, car on a l'habitude de prendre des statuts type, ou de copier-coller, et le cas général a tendance a devenir une règle.

 

Bon, si vous êtes inquiets, je vous rassure, on a abandonné cette idée de pondération des voix.

 

Pour répondre à Pascal, nous cherchons effectivement à ne pas vendre notre Twin, et pour deux raisons : 1/ c'est notre outil pour nos stages en montagne, qui sont le dopant de notre activité (30% en 2004), et 2/ nous sommes convaincus que la situation actuelle est temporaire, car les jours de la plate forme sont à peu près certainement comptés : le maire place comme condition préalable à la reprise la réfection des installations par l'état. Et d'ajouter que si cela ne se produit pas, on jouera la carte "Saint Yan", 10 km au Sud. Donc, notre transfert à Saint Yan et ses 2000m de piste est annoncé (à noter que ce transfert serait loin de tout résoudre, car St Yan est comme qui dirait un aéroport en pleine brousse !). En tout état de cause, nous ne voudrions pas regretter de brader trop tôt notre Twin.

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D'après le même Lefebvre, (c'est surement un vélivole acharné dans l'administration des associations), les fédérations sportives sont une exception dans l'attribution des voix aux membres. C'est la phrase suivante.

 

Mais c'est vrai que seuls les statuts d'une association expriment la répartition du nombre de voix lors de l'AG.

 

Toutefois, l'esprit d'une association est celui d'un contrat où on partage activités et connaissances dans un autre but qu'un bénéfice. Il est assez diffcile de rédiger des statuts qui donnent des droits de vote variables.

 

En fait, les différentes catégories de membres sont les membres honoraires, les membres bienfaiteurs ou encore des collectivités dans le cas d'association telles que des communautés d'aménagement. L'ASSEDIC est aussi une association!

 

Je ne vois pas un club de vav attribuer plus de voix à un membre qui paie plus. Par contre, il est assez commun de créer des types de membres bienfaiteurs ou honoraires qui n'ont pas de droit de vote.

Jean Féret
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Invité Invité_M FEINE

Je n'ai pas écrit que le nombre de voix était égal pour chaque membre, mais seulement que le nombre était déterminé par les statuts.

Si vous voulez modifier cette répartition des voix en fonction de différentes catégories de membres vous devez réunir un AG qui, avec un quorum défini dans vos statuts (encore), peut modifier la répartition des voix.

Mais je doute de le critère prêteur soit bon

 

Amicalement

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D'après le même Lefebvre, (c'est surement un vélivole acharné dans l'administration des associations), les fédérations sportives sont une exception dans l'attribution des voix aux membres. C'est la phrase suivante.

 

Mais c'est vrai que seuls les statuts d'une association expriment la répartition du nombre de voix lors de l'AG.

 

Toutefois, l'esprit d'une association est celui d'un contrat où on partage activités et connaissances dans un autre but qu'un bénéfice. Il est assez diffcile de rédiger des statuts qui donnent des droits de vote variables.

 

En fait, les différentes catégories de membres sont les membres honoraires, les membres bienfaiteurs ou encore des collectivités dans le cas d'association telles que des communautés d'aménagement. L'ASSEDIC est aussi une association!

 

Je ne vois pas un club de vav attribuer plus de voix à un membre qui paie plus. Par contre, il est assez commun de créer des types de membres bienfaiteurs ou honoraires qui n'ont pas de droit de vote.

J'ajouterai à ce post:

 

- Membre actif: membre cotisant ayant pris sa licence FFVV dans le club (cas habituel),

- Membre associé: membre ayant pris sa cotisation dans le club, mais sa licence FFVV dans un autre club (cas des gens qui s'inscrivent pour un stage d'une semaine ou 15 jours dans un autre club),

- Membre bienfaiteur: membre ayant pris sa cotisation dans le club, mais aucune licence FFVV (dans ce cas la cotisation sert d'ayant-droit pour les infrastructures du club et permet au membre d'être assuré au sol),

- Membre honoraire: membre inscrit au club ne cotisant pas (membre d'honneur).

 

@+

 

Matthieu

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- Membre bienfaiteur: membre ayant pris sa cotisation dans le club, mais aucune licence FFVV (dans ce cas la cotisation sert d'ayant-droit pour les infrastructures du club et permet au membre d'être assuré au sol),

Ouhlà ! attention. Si la cotisation permet l'accès et l'usage des installations, elle ne constitue à mon sens en aucun cas une assurance. Pour l'assurance, il faut prendre l'assurance associative.

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Invité CeluiQuiVeutResterAnonyme

En parlant de clubs qui se rapprochent.

Je crois me rappeler que sur un même terrain de la région Est de Paris, deux clubs se font une concurrence plus ou moins féroce.

 

Si quelqu'un peut éclairer ma lanterne sur le sujet moi pauvre ignorant ... Des querelles de clocher sans doute ...

 

CQVRI

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Invité CeluiQuiVeutEncoreResterAnonyme

Je suis ici incognito :ph34r:;):PB)

 

Alors pourquoi ne pas fusionner les deux clubs ?

 

L'union fait la force ...

 

J'aime pas forcement m'occuper de ce qui ne me regarde pas mais quand même le cas de C. la curiosité me ronge ...

 

Vélivolement.

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Alors pourquoi ne pas fusionner les deux clubs ?

L'union fait la force ...

En allemagne il y a qq terrains avec plus de 5 clubs ..... (et donc svt plus de 5 treuils : vous imaginez l'organisation au sol !) : ca ne pose aucun pb ... il n'y a pas de guerre entre les clubs !

 

Sans connaitre l'histoire du terrain parisien auquel tu fais reference : Damien vient de nous dire que l'ambiance y est bonne .... voila ta curiosoté satisfaite ;)

 

A+

 

Frederic

Faites que le rêve dévore votre vie afin que la vie ne dévore pas votre rêve

 

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5 clubs tous d'origines différentes, poussés sur un dernier terrain ouvert au vol à voile parce que privé.

 

Et puis 5 fois un club autorisé à demander une subvention au loto sportif pour l'investissement dans du matériel neuf une fois tous les 5 ans.

 

Et quelle est la différence avec des "syndicats" de privés en Angleterre?

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Bonsoir,

Mon cher Anonyme, pour ma part j'ai pas souvenir de cela.

Il me semble que ces deux associations partage meme le remorqueur, les meme hangar (Damien pourras sans doute confirmer ou pas)

Il n'est pas facile lorsque deux associations marche bien de faire le pas, surtout que chacun a un passer.

Souvent l'un a une structure plus forte que l'autre mais l'avenir seras peut etre je l'espere a une mise en commun de TOUS des moyens.

Bons vols

Modifié par Lionel

Lionel
La vocation, c'est d'avoir pour métier sa passion,
Une erreur peut devenir exacte. Il suffit que celui qui l'a commise se soit trompé
Je ne râle pas, je m'indigne . Je ne juge pas, je dénonce. Je ne dénigre pas, je rouspète.

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