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Syndicat De Défense Des Usagers De L'espace Aérien


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Rédacteurs : Pascal Maillach (p.mlc@free.fr) / Gilles Navas (gilles.navas@free.fr) - XII 2004

 

 

Préambule

 

Aujourd'hui, se déplacer en avion léger est un parcours du combattant, effectuer de grands vols en planeur en respectant la réglementation est une gageure, accéder à la pratique d'une activité aéronautique est un sacerdoce, organiser un championnat de vol à voile est une épreuve de force, évoluer tranquillement dans l'espace aérien peut s'apparenter à jouer à la roulette russe, respecter les règlements n'est pas une question de bonne volonté mais de compréhension des règles, renouveler un CDN s'apparente à passer un examen de gestion administrative...etc.

Dans le même temps, le trafic de transport aérien stagne ou disparaît en régions, l'activité militaire dépérit -réduction de 50% du nombre de mouvements dans les vingt dernières années- et l'industrie de l'aviation légère française finit d'agoniser.

Demain, sous prétexte d'harmonisation, la Commission européenne nous mitonne un avenir qui a très peu de chances d'être radieux pour l'aviation sportive et de loisir.

Force est malheureusement de constater que les plaisanciers et autres sportifs de l'air sont de plus en plus considérés comme des parasites de l'espace aérien plutôt que les bénéficiaires de la liberté de déplacement chère à notre constitution. Ils subissent en effet des contraintes de plus en plus fortes entravant ou empêchant l'exercice de leur activité. Les éruptions réglementaires aiguës que nous observons dans tous les domaines, qu'ils concernent les matériels volants, la formation ou l'espace aérien ont l'effet pervers d'asphyxier l'aviation légère et sportive en la privant d'air. De fait, il semble admis que les usagers privés devraient se plier aux diktats des pouvoir publiques au bénéfice des exploitants professionnels et militaires.

 

Il est de notre devoir d’alerter l’opinion publique que nos administrations vont arriver à tuer la poule aux œufs d’or. Voir l’extrait d’un texte de Bernard Chabbert :

 

« Nous ne sommes pas devenus une grande nation aéronatique par décret de droit divin. Rien n'a été écrit dans le scénario du destin qui implique définitivement que la France soit, paradoxalement si on se réfère à sa taille et son poids économique, une nation aussi puissante dans les domaines aérospatiaux.

 

Si nous sommes le second pays au monde dans ce domaine, si nos finances se portent relativement bien grâce à nos entreprises aérospatiales, ce n'est pas exclusivement grâce à nos politiques avisés, ni grâce à nos industriels entreprenants, ni grâce à Dieu.

C'est grâce à une population de grands professionnels qui ont, généralement, laissé naître chez eux la motivation du ciel alors qu'ils étaient jeunes, et se demandaient quoi faire de beau dans leur vie. Et là, la responsabilité d'aérodromes secondaires, voire encore plus modeste, est immense: nos professionnels de l'aviation et de l'espace viennent majoritairement des provinces, et ont découvert l'aviation sur des terrains »

 

 

Espace Aérien : « des erreurs qui conduisent la DGAC à sa perte de crédibilité »

 

Il est devenu habituel de découvrir les réorganisations de notre espace et ses décisions unilatérales chaque année dans la nouvelle publication des cartes du SIA : restrictions d'accès, reclassement d'espaces E en D, nouvelles zones réglementées et ZIT ("temporaires" !! ), abaissement des plafonds...etc. Les pratiquants se sont habitués aux mauvaises surprises ; pire, ils se sont résignés à les accepter.

Cette dérive autocratique de nos institutions apparaît d'autant plus paradoxale lorsqu'on voit que malgré une complexification traditionnellement présentée comme inéluctable, Bruxelles entreprend d'informer et de consulter largement les usagers sur le projet de restructuration de l'espace aérien (Eurocontrol). L'épreuve de style tourne à la démonstration démocratique quand les réactions plus ou moins concertées des usagers mènent les institutions à revoir leur copie.

Bien d'autres domaines abordés dans ce rapport mènent à des conclusions comparables qu'ils concernent la "progression vers la simplification de l'espace aérien" dont la structure complexe apparente d'après le Sénateur Bellot, le voyage aérien plus à "l'errance de Dédale qu'à l'essor d'Icare" et souligne que l'organisation "doit être réalisée en concertation étroite avec les usagers", l'importance de conclure des protocoles pour les activités particulières (peut-être pense t'il plutôt à particulièrement exigeantes...?!) tel que la voltige, le parachutisme et le vol à voile qui doivent permettre "d'assouplir la réglementation liée à la classification de l'espace utilisé" dans le but "d'améliorer l'accès des pratiquants au delà du niveau 115 comme à tout espace aérien contrôlé", sans oublier au passage la relation parfois difficile des usagers avec les organismes de contrôle en vol ; "Les pilotes ont parfois l'impression que ces autorisations (d'accès) dépendent autant de la situation du trafic que de la personnalité du contrôleur".

Malheureusement, la profession de foi de la mission Bellot, avec sa recommandation de déclassement des "TMA en classe E dès lors que le trafic est faible" est en profond déphasage avec les dispositions prises par les pouvoirs publiques programmant l'élimination des secteurs vélivoles et la disparition progressive de la classe E...

 

 

Administrations : le cancer de l’aviation réglementée

 

L'Etat n'ignore pas pour autant cette situation et la Mission sur l'aviation sportive et de loisirs du Sénateur Bellot vient de publier un rapport ponctué de multiples propositions.

Le constat établi par cette commission a le mérite d'être précis et édifiant, par exemple en ce qui concerne la sûreté et la sécurité. Il souligne en effet qu'une politique de sûreté qui contribue dans certains cas à gêner la circulation des aéronefs, "pour nécessaire qu'elle soit, sera d'autant mieux comprise qu'elle aura un effet dissuasif réel et qu'elle sera réellement proportionnée à la menace" ! Au chapitre de la sécurité, le bilan présenté est "mitigé" (terme courtois pour le qualifier de tout simplement mauvais !).

 

 

Activité ULM devenu plus sûre et infiniment plus dynamique que « l’aviation réglementée »

 

En effet "en 2003 avec 330 accidents et 85 morts, le niveau de sécurité ne s'améliore pas. Pour l'avion, ... la diminution ces dernières années du nombre d'accidents reflète seulement la baisse d'activité. La seule forme d'aviation qui a connu une amélioration sensible de la sécurité est le vol en ULM ; le nombre d'accidents diminue en dépit d'une augmentation du parc. Les statistiques des organisations internationales... semblent indiquer que le nombre d'accidents en France est supérieur, à activité comparable, à celui enregistré dans d'autres pays tels l'Angleterre et l'Allemagne... C'est donc un bilan mitigé du système de sécurité qu'il faut dresser. En 30 ans, la réglementation s'est alourdie et complexifiée, le nombre de personnels chargés de la sécurité de l'aviation légère a augmenté. Il n'en résulte globalement aucun résultat positif." Enfin, le chapitre concerné à l'évolution du contrôle technique se termine par cette phase soulignée édifiante : "Par ailleurs, il n'existe aucune corrélation entre le niveau des exigences réglementaires et le résultat en termes de sécurité." La comparaison faite dans une utilisation comparable de deux types d'activités : Celle à réglementation stricte des aéronefs soumis à certification, contrôle renouvellement des CDN, de l'aptitude médicale et du niveau d'expérience des pratiquants et celle à réglementation libérale (ULM et aéronefs en kit) pour lesquels la France est un des pays les plus libéraux démontre que le nombre d'accidents n'est pas plus élevé dans ces derniers types d'aéronefs (95 accidents en 2003 pour environ 11000 aéronefs ULM identifiés contre 235 accidents pour environ 8500 aéronefs immatricules en aviation générale).

La conclusion du Sénateur Bellot est sans appel : "Ce constat amène nécessairement à s'interroger sur l'efficacité des contraintes propres à l'aviation traditionnelle, qui sont fort coûteuses."

 

 

Fédérations : rendues paraplégiques par nos administrations

 

 

Le constat qu'il nous revient de dresser en tant que pratiquants et usagers est à l'évidence négatif et inquiétant. Il amène inévitablement à reconsidérer la structuration actuelle de nos institutions représentatives sensées remplir une tâche peut-être au dessus de leurs moyens : La défense de nos intérêts et leur progression.

La bonne volonté et la bonne foi de nos fédérations sportives n'est pas en cause et leur action est loin d'être critiquable. Au contraire, nous devons rendre hommage au travail important effectué exclusivement par des bénévoles qui prendraient certainement plus de plaisir à pratiquer leur passion aéronautique qu'à servir la cause dans des bureaux rarement confortables.

 

Face à ce constat, on est en droit de s'interroger sur la pertinence de nos structures représentatives et sur leur efficacité dans l'environnement politique actuel et futur.

En effet, ces instances en subissant le principe de la division corporatiste qui les caractérise se trouvent fréquemment dans l'incapacité de jouer un rôle de contrepoids efficace. Chacune en ayant à gagner et à perdre vis à vis de l'Etat, par exemple en terme financier, se trouve dans la position inconfortable de devoir jongler avec les intérêts de ses licenciés sans déplaire aux autorités. On ne tape pas trop fort sur la main qui donne et les fédérations sportives aéronautiques ont besoin de l'Etat pour fonctionner et se développer. Il en résulte un esprit d'apaisement général qui tend à museler tout affrontement direct, même lorsque les services de l'Etat sont responsables de dramatiques accidents ou de graves dangers. La crainte d'une interprétation tendancieuse par l'opinion publique d'événements impliquant des acteurs professionnels médiatisés et survalorisés a de quoi rendre prudentes les fédérations sportives.

 

Pour autant, doit on avoir peur de la réaction de d'une société qui est souvent désinformée ? Comment réagirait l'opinion publique si par exemple les usagers du réseau routier étaient traités comme le sont les usagers de l'air ? Que penserait-elle si la majorité du réseau routier était réservé aux poids-lourds et aux autocars ? Si l'armée de terre effectuait des manoeuvres sur les routes pendant les périodes de grands départs en vacance ? Si alors que les pouvoirs publics se focalisent sur la sécurité routière et exercent une répression féroce des excès de vitesse, ils autorisaient des Ferrari kakis à rouler à contresens à 400 km/h ?

C'est malheureusement le cadre de vie des usagers privés de l'air et la mode actuelle des dérives sécuritaires abusives et des principes de précaution infondés manipulés comme des armes de destruction massive des libertés plutôt que des outils de prévention intelligente des risques ne présage pas un avenir radieux, ne serait-ce que pour subsister. L'avenir, tel qu'il semble se dessiner, va logiquement mener à l'extinction pure et simple de certaines pratiques aéronautiques pour le confort d'une caste d'usagers professionnels utilisateurs ou gestionnaires de l'espace aérien.

 

 

 

Création du Syndicat AIR FORCE

 

 

Néanmoins, il est maintenant de plus en plus visible que le schéma est incomplet car s'il permet une concertation et une représentation (cependant corporatiste et difficilement unifiée), il n'est pas armé pour établir un rapport de force et encore moins pour mener un combat. Cette capacité est du ressors d'une union à caractère syndical regroupant à titre individuel l'ensemble des usagers non-professionnels de l'air sur la base de valeurs communes tel que, entres-autres, la liberté de se déplacer dans l'air comme sur terre, de sauvegarder et faire progresser leurs intérêts autant que de les aider à se défendre lorsqu'ils sont mis en cause par l'autorité ou lorsqu'une plate-forme est en danger.

Nous sommes tous, quelque soit notre activité aérienne, des "flyers". Lorsqu'on touche à une de nos antennes, c'est toute notre population qui souffre. La fermeture d'un aérodrome n'est pas seulement une perte locale mais un port d'accostage en moins pour tous les usagers français et pourquoi pas étrangers.

Un mouvement unifié est un outil d'information et de mobilisation essentiel capable de constituer un contrepoids significatif et d'assurer la représentation complémentaires dont les fédérations sportives ont besoin car elles manquent à l'évidence d'un levier d'armement sur leur tableau de bord ; l'épisode Eurocontrol l'a encore montré récemment.

Là se trouve la vocation et la nécessité d'une nouvelle force de l'air.

Nous souhaitons la créer pour construire l'avenir de tous les usagers privés de l'air et contribuer au développement de la vie dans la troisième dimension.

Nous lui donnons le nom d'AIR-FORCE.

Notre feuille de route est d'ors et déjà définie. Elle prévoit dans un premier temps d'ouvrir un site Internet dédié à l'information et au débat qui nous mènera à la création d'une assemblée constituante réunissant des représentants de toutes les disciplines et activités aériennes. Cette assemblée conduira la genèse du syndicat et son établissement.

Les pouvoirs publiques auront ainsi une représentation importante et clairement identifiée à associer aux projets réglementaires dans l'exercice de la démocratie. Les fédérations sportives quant à elles disposeront d'un nouvel outil de mobilisation et de rapprochement des disciplines qui leur permettra de jouer pleinement leur rôle corporatiste.

L'aviation sportive et de loisir représente en France environ 200.000 pratiquants identifiés et un parc de près de 35.000 aéronefs recensés ; c'est très loin d'être négligeable.

Leur avenir est entre leurs mains.

 

P.Maillach & G. Navas.

1L
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Nul pilote sensé n'est plus désormais censé d'ignorer ce constat :

L'aviation sportive et de loisir représente en France environ 200.000 pratiquants identifiés et un parc de près de 35.000 aéronefs recensés ; c'est très loin d'être négligeable.

Leur avenir est entre leurs mains.

J'applaudie des deux main à l'initiative de Gilles et Pascal.

J'y ajouterai encore ceci :

Parmi les causes de notre pitoyable situation, il y a une qui me paraît plus grave que les autres : c'est la division de nos activités entre nombreuses fédérations qui n'ont pas réellement de politique commune et qui avancent en ordre dispersé.

Diviser pour mieux régner. Cette vieille règle politique s'applique aussi aux rapports entre l'Etat et nos organisations, que ce soit au niveau national, régional ou local. Peu nombreux sont les aéro-clubs en France ayant réussi à garder une structure pluridisciplinaire. Les actions de nos fédérations sont rarement coordonnées et l'on a du mal à entendre la voix de 200 000 pratiquants.

In pluribus unum, dit une autre sagesse très ancienne, et je crois que la première chose à faire pour l'AIR-FORCE, sera d'unifier les efforts de nos nombreux courants. Multiples, mais agissant de concert. S'exprimant non pas d'une voix, mais dans une belle polyphonie, de façon à se faire réellement entendre. Telle est, à mon avis, la condition de son succès.

Pour réussir, il faudrait qu'elle soit, en quelque sorte, la CONFEDERATIVE AIR-FORCE.

Modifié par Yurek

Yurek
http://www.yankee-romeo.com
If God meant man to fly, He'd have given him more money.
Honni soit qui mal y pense ! http://informatiquefrance.free.fr/sms/sms_04.gif

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Robert la prochaine fois je te soumettrai les prochains textes pour correction ! :rolleyes:

Le nombre d'erreurs résiduelles est en décroissance asymptotique et proportionnel au nombre de "lecteurs-rédacteurs".

 

Ceci dit, la forme,..., secondaire dans l'immédiat, puisque il s'agit seulement d'une "sensibilisation aiguë" d'un problème baillonné par l'administration depuis plus de vingt ans.

 

Gilles

1L
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Invité Invité_VRANCKEN Christian

Bonjour,

 

communiquer, informer, fédérer entre tous les "flyers" contre les "nonflyers" (j'en connais au sein meme du mouvement vélivole ) :

 

OK Gilles et Pascal, je signe de suite. :rolleyes: :rolleyes:

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Bonjour,

 

On parle de toi Gilles : ICI (Bernard Chabbert explique pourquoi il quitte Infopilote ..... )

 

Ma décision évidemment arrive peu après que certains mouvements se soient faits jour plus ou moins publiquement:

Gérard David, Jack Krine, Richard Delahaye, Germain Chambost ont mis en place Changement de Cap, association dédiée à l'opposition au bureau actuel de la FFA. Gilles Navas, un de nos plus grands champions vélivoles, se lance avec des amis dans un mouvement de défense des utilisateurs "plaisanciers" de l'espace aérien français. D'autres, parmi lesquels des fonctionnaires de poids inquiets de constater la déliquescence de l'activité aéronautique de plaisance française, réfléchissent aux actions possibles, s'en ouvrant à des personnalités des plus exemplaires de notre aviation. Au sein de l'Aéro-Club de France, de nombreux pilotes doublés de grands professionnels de l'aviation lourde s'inquiètent eux aussi.

Faites que le rêve dévore votre vie afin que la vie ne dévore pas votre rêve

 

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Gilles, voilà un mot qui sonne fort, AIR FORCE!!!!!!!!

 

une chose qui me choque:

 

je reçois aujourd'hui le mail de 'Changement de Cap', révolutionnaire aussi et je pense:

 

pourquoi diviser nos forces? Travaillons main dans la main avec eux!!!!!!!!

 

souvent les avionneux ont d'autres idées, d'autres connexions que nous les vélivoles! c' vraiment complémentaire!

 

Il te faut aussi pour être efficace, receuillir le plus grand nombre de personnes, de nos fédérations!!!

 

Pourquoi pas unir les Air Forces pour un Changement de Cap????

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Changement de cap ! oui - C'est un courant "d'agitation positive" qui se doit d'être soutenu. Mais force est de constater qu'il ne pourra, lui aussi, tôt ou tard, sortir d'une certaine logique de compromission...

L'amalgame à ne pas faire est parfaitement exposé par Maillac/Navas dans le chapitre

"Fedérations : rendues paraplégiques par nos administrations".

Très bien planté - Pas de langue de bois. C'est objectif et à relire attentivement...

-

Il faut absolument qu'une force de résistance "indépendante" se constitue.

-

Que des fédé. aillent de concert ! c'est très bien (quand elles le font) mais...

elles montrent depuis un certains temps, "qu'elles manquent à l'évidence d'un levier d'armement sur leur tableau de bord"...

-

Certaines unions ne font pas très longtemps "la force"

donc, dans un premier temps,

unissons-nous avec "Air Force" ou "Fairoce"...

Non non! point trop n'en faut :wacko:

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Changement de cap ! oui - C'est un courant "d'agitation positive" qui se doit d'être soutenu. Mais force est de constater qu'il ne pourra, lui aussi, tôt ou tard, sortir d'une certaine logique de compromission...

L'amalgame à ne pas faire est parfaitement exposé par Maillac/Navas dans le chapitre

"Fedérations : rendues paraplégiques par nos administrations".

Très bien planté - Pas de langue de bois. C'est objectif et à relire attentivement...

-

Il faut absolument qu'une force de résistance "indépendante" se constitue.

-

Que des fédé. aillent de concert ! c'est très bien (quand elles le font) mais...

elles montrent depuis un certains temps, "qu'elles manquent à l'évidence d'un levier d'armement sur leur tableau de bord"...

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Certaines unions ne font pas très longtemps "la force"

donc, dans un premier temps,

unissons-nous avec "Air Force" ou "Fairoce"...

Non non! point trop n'en faut :wacko:

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