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Com Espace Aérien

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Tout ce qui a été posté par Com Espace Aérien

  1. La ZRT "Durance" (zone de Salon pour ses TB-10) a été prolongée, ceci malgré les réactions des Fédérations et l'avis défavorable de la DAC. SUP AIP Notez que ce qui nous pénalise le plus, c'est notre incapacité à produire des éléments concrets et chiffrés sur les refus de clairance dans cette ZRT, les vélivoles ne faisant pas la démarche de contacter, et/ou de débriefer auprès de la com espace (ce n'est pas un reproche, c'est un constat). Salon a produit des statistiques prouvant selon eux que tout va bien dans le meilleur des espaces aérien (90% de clairances accordées...) Donc officiellement, cette ZRT ne pénalise personne et les agitations des fédérations ne seraient que de l'affichage politique.
  2. La 15 a été classée D récemment, les services y sont rendus par Seine Info. Enfin, en théorie, car ils ont des problèmes de portée radio et pour l'instant, ils ne prennent pas les VFR. Courrier DGAC
  3. La FFVV est contre les ZRT imposant le contournement obligatoire aux VFR, qui sont des formes d'annexion de l'espace public au profit d'un usager particulier.
  4. A l'occasion des cérémonies du 14 Juillet, deux ZRT seront crées (une pour les journées d'entrainement, et une autre pour les cérémonies) Site SIA
  5. Pendant toute cette semaine de mai, de grandes zones seront activées par les militaires, du sol au plafond, pour l'exercice "AIREX". Seront principalement impactés : le Nord-Est (Jura, Champagne), le Centre et le Sud-Ouest (toute la région entre Orange, Avord, Tours, Cognac et Mont de Marsan).
  6. Quels sont les problèmes rencontrés par les clubs basés sur des terrains contrôlés ? Tour de contrôle (pas AFIS) et / ou CTR de classe D ?
  7. Dans le cadre d'une étude sur les procédures de contrôle aérien civil, la FFVV aimerait faire l'inventaire des problèmes pratiques et réglementaires rencontrés par les vélivoles dans le cadre des vols réalisés en régime contrôlé ou informé (contact radio, éventuellement clairance, éventuellement transpondeur) dans les CTR, TMA et LTA et secteurs vélivoles. Nous vous proposons dans ce forum de nous faire part de vos expériences. Bordons le débat néanmoins : - on n'aborde que les questions concernant les contrôleurs CIVILS. - les problemes d'activation et de désactivation des secteurs vélivoles entrent aussi dans le cadre de cette étude, mais nous essaierons surtout de nous interesser à la manière dont les procédure sont faitesen laissant de coté les questions "relationnelles". Le but est de proposer des améliorations CONCRETES des procédures et de la phraséologie habituellement utilisées. Il s'agit également de travailler sur la phraséologie des pilotes de planeur, dans le but d'améliorer la compréhension mutuelle et l'efficacité des échanges. Exprimez vous !
  8. Les fédérations sont consultées pour chaque création de zone par l'intermédiaire d'un comité consultatif appelé le "CCRAGALS". Il y en a un par Direction de l'Aviation civile. (7 en tout) Les représentants de la FFVV aux CCRAGALS sont les pivots de la concertation au niveau régional. Ils sont membres de la commission espace aérien nationale, ils sont désignés par les comités régionaux de vol à voile ils sont les interlocuteurs "naturels" de la DAC et des Services de la Navigation Aérienne. Leurs coordonnées sont sur le site de la FFVV, à la rubrique "licenciés" >> "espace aérien" ou www.ffvv.org/espaceaerien Les synergies entre les représentants CCRAGALS des différentes fédérations sont très bonnes (préparation des réunions, etc...). De plus, nous organisons chaque année un séminaire inter-fédéral.
  9. On a ajouté une traduction en anglais, téléchageable à la même adresse
  10. Questionnée que la question ce mardi, la DAST a répondu qu'il était envisageable qu'un pilote "gère" son autonomie de manière sélective en dehors des espaces où le transpondeur est requis (on reste dans l'esprit du texte). Une prise en compte officielle devrait suivre. Sinon, vous pourrez trouver deux points importants sur le site de la commission : - CN sur les transpondeurs à "codage Gilham" - Limitation en altitude des Mode S C'est ici : www.ffvv.org/espaceaerien
  11. Nous cherchons plutôt un spécialiste technique, pour aller aux réunions de la DGAC et suivre les projets d'obligations et conseiller le CD pour définir la ligne "politique" de la FFVV en ce domaine.
  12. La commission espace aérien cherche à étoffer son équipe avec un "spécialiste" des transpondeurs et des radios, afin de défendre au mieux les intérêts des clubs et des licenciés. Si vous êtes motivés, merci de proposer votre aide à espaceaerien@ffvv.org
  13. Bien vù ! Il faut donc lire un peu plus loin :
  14. La nouvelle version du RCA/3 précise que tout aéronef, s'il est équipé de A+C, doit mettre en marche son transpondeur quelle que soit la classe d'espace. Ce texte est passé malgré les remarques de la FFVV, nous travaillons actuellement à son adaptation à la réalité...
  15. Je suis content car cela démontre : - que l'on peut obtenir des résultats encourageants, - que le travail et le dialogue sur terrain avec les instances locales de la DGAC est de loin la méthode la plus efficace. Ceci avait été évoqué dans ce topic Bravo pour votre travail. Nico
  16. Tu as du mal lire l'AIP : pour les VFR, le transit est autorisé, mais avec la contrainte d'être en contact avec le centre de contrôle. Comme l'espace est classé D lorsque les zones ne sont pas actives, cela ne fait pas trop de differences pour eux. Ceci était une exigence de la FFVV. Nous avons demandé que le même traitement soit appliqué aux IFR "légers", mais la DGAC n'a rien voulu savoir. Celà étant, l'expérimentation a démontré que très peu de vols étaient obligés de faire le grand tour (en général, ces avions volent en dessous du FL115) La création des R130 résulte d'un compromis, entre l'activité vélivole, et la volonté des contrôleurs d'utiliser ce volume au bénéfice des IFR allant à Lyon. - nous avons perdu une partie de la LTA "Alpes" permanente - nous avons récupéré des secteurs vélivoles, sur une partie des volumes perdus, mais nous avons gagné la possibilité d'utiliser l'airway R16 et l'espace situé sous la zone de Lure lorsque Salon n'est pas actif. - au niveau sécurité, le bilan est positif également, car les contrôleurs ont appris à nous connaître et on arrété de faire passer les avions de ligne au milieu de la LTA. Il ont désormais une connaissance assez fiable de l'activité d'onde, par l'intermédiaire du CNVV. Le choix des zones réglementées est une option choisie par la DGAC, plus "culturelle" que technique (ça aurait pu être un déclassement temporaire). Il permet de dispenser les vélivoles de l'emport du transpondeur, et du contact radio avec le contrôle. Pour ce qui est des détails techniques (coordonnées, etc...), je suis en train de préparer les documents pour le briefing du 14, ils seront en téléchargement sur le site de la FFVV le 15/03. Nico
  17. Le SNA CE a expliqué que, en l'absence d'IFR, la CTR d'Annecy pourrait être accessible aux VFR sans transpondeurs. Demandez des clairances, et faites nous parts des éventuels refus constatés.
  18. Tous les clubs affiliés. Il suffit que le président signe une convention avec le CNVV dans laquelle il s'engage à ce que l'association forme ses pilotes sur les particularités de fonctionnement des zones. Bien sûr, en pratique, il n'y aura personne en l'air pour vérifier que votre club a bien signé cette convention, mais tout pilote consciencieux devrait bien s'assurer qu'il maîtrise bien les principes d'activation et de désactivation des R130 avant de les fréquenter. Ce sera le cas s'il a assisté à un briefing au CNVV ou à son club. (Ceci est valable pour l'ensemble de l'espace aérien, d'ailleurs...)
  19. Bonjour à tous, faisant suite à l'expérimentation menée depuis deux ans dans les Alpes du Sud, trois zones "R130" seront crées le 15 Mars au bénéfice du vol à voile au dessus du FL115. Elles seront activées par le CNVV ou Vinon, pour l'ensemble des clubs concernés. Nous invitons les vélivoles à assister à un briefing sur le fonctionnement de ces zones le 14 Mars à 10h, au CNVV. Rens : espaceaerien@ffvv.org
  20. Cette démarche, forte interressante au deumeurant, a fait partie des premières de mon mandat. Les autres fédérations ont aussi cherché dans cette voie. Il en ressort plusieurs choses : - que les avocats consultés n'ont pas été très engageants ni très convaincus. Il faut dire que les avocats spécialisés en droit aérien le sont plus sur le droit du transport que sur les questions d'espace aérien et de service du contrôle. - que la DGAC, dans l'immense majorité des problèmes évoqués, est maître en son domaine. L'état est en droit de définir les services qu'il souhaite rendre dans l'espace aérien, et d'imposer pour des raisons de sécurité des transpondeurs ou des restrictions d'accès. Comme il peut mettre des radars sur le bord des routes sans qu'on puisse contester juridiquement. (une des problèmatiques est là : nous ne savons pas, à tort ou à raison, bénéficier des services, qui sont pour nous considérés comme des contraintes) - qu'il faudrait alors démontrer qu'il y a un déni de service public, c'est à dire que l'état ne rend pas dans les espaces contrôlés les services prévus. Mais nous ne pouvons tout simplement pas le faire : les usagers de l'aviation légère en général, et les vélivoles en particulier ne contestent jamais (sauf au club house), et ne remplissent jamais de fiche de réclamation (trois réclamations reçues à la FFVV en sept ans de mandat...). Notre dossier est ...vide ! - nous pourrions contester les ZRT, ZIT etc... lorsque leur caractère temporaire est fictif. Mais pour celà il faudrait un contexte "terroristique" plus favorable à ce genre de démarches, et il faudrait également un soutien ferme des clubs concernés, ce qui est assez difficile vu l'ampleur de la tâche. Nous avons obtenu plus de résultats à adapter les volumes des ZIT lorsqu'on les a pris sur la g... qu'avec probablement toutes les procédures au tribunal que nous aurions pu entreprendre. Lorsque l'argument de la sécurité et du principe de précaution est brandi par l'état, il est dévastateur. N'oublions enfin que les démarches juridiques sont d'énormes consommatrices de moyens et de temps. En ce qui nous concerne, nous avons opté franchement pour développer le travail de terrain, avec des résultats appréciables (création des CCRAGALS, intégration dans les groupes de travail de l'administration, etc...), car la DGAC n'est pas la tour d'ivoire que l'on se plaît à décrire. Mais ils ne travaillent pour nous que lorsqu'ils sont obligés de le faire... Et ils ont une certaine logique et une certaine culture qui est assez loin de la nôtre. Notez que les fédérations, en étant présentes sur le terrain, on habitué la DGAC à nous considérer comme des interlocuteurs, à travailler avec les usagers. En témoignent les CCRAGALS, qui ont formalisé la consultation des usagers dans la procédure de création d'espace aérien. Ce resultat est proche de celui que tu veux obtenir avec les tribunaux : Faire comprendre à la DGAC ce qu'elle peut faire et ce qu'elle ne peut pas faire. Mais pour celà, il faut pouvoir contester pied à pied tout ce qui est contestable. (Ceci dit au passage, comme pour l'action dans les tribunaux) Donc pour être efficace, il faut maintenant être plus actifs au niveau LOCAL. Nous avons fermement confiance en celà, car nous avons pu constater que ça marche ! Avant d'aller dans les tribunaux, où notre action pourrait être jugée illégitime, agissons au niveau des instances qui nous sont offertes (les CCRAGALS et autres) ! Nico
  21. Mouais, si on veut. C'est plutôt ce genre de commentaires qui incitent les autres à se taire. La manière dont le texte a été écrit n'avait pour autre but que d'éviter : - les actions isolées qui ne sont pas partagées par les autres clubs ou la communauté vélivole, - les propositions farfelues basées sur "yaka déclasser" ou "yaka garder les avions sur les airways" - les propositions "pétard mouillé", que la fédé n'aka executer, qui une fois la demande initiée à la DGAC, ne sont soutenues que mollement, voire pas du tout, la personne étant à l'origine de la demande ne souhaitant pas s'impliquer. Toutes ces situations ayant été personnellement vécues. Nous sommes simplement partis du principe que si l'on ne demande rien, on ne fait que perdre de l'espace. Et que la capacité de travail de Pierre et moi n'est pas suffisante pour mener ces actions locales à bien. Il y a des dizaines de personnes à la DGAC chargées d'étudier des reclassements d'espace en D ou C ou ZRT. S'il y avait aussi des dizaines de vélivoles qui se préoccupaient de chercher à faire déclasser d'autres bouts d'espace, l'horizon seraît plus dégagé. (La commission compte déjà une quinzaine de membres, si l'on inclus les représentants de la FFVV au CCRAGALS, comités régionaux de consultation) Quant à la question des qualifications nécessaires pour effectuer ces démarches, sachez que : - la FFVV propose son appui technique - la plupart des représentants de la FFVV au CCRAGALS ne sont pas des experts aéronautiques, juste des vélivoles. Ils ne sont pas tous pilotes de ligne ou contrôleurs... Pour l'instant, trois ou quatre démarches ont été initiées, par des représentants CCRAGALS. Mais pourquoi se limiter à eux ? Au menu : la création d'une LTA Déclassée supplémentaire dans les Alpes, des remontées de plancher de TMA dans le volume d'un aéroport régional, l'étude de la simplification de certains espaces militaires... Plus d'infos quand on aura des résultats concrets. Nico
  22. Une fois de plus on n'a même pas été prévenu des négociations en cours!!!! Le dernier paragraphe du message du 14 janvier nous a fait sauté au plafond! La com espace aérien envoit fin 2006 un courrier plutot interessant dans lequel on est sensé présenter un projet. Si il est réalisable alors " on " viendra soutenir l'affaire. Nous avons etabli à Buno qu'il y a moyen de modifier l'approche au sud d'Orléans et ainsi réhausser les espaces vers La Source. Une équipe de deux pilotes de ligne et un controleur est constituée. Et bien dès que nous avons proposé de traiter l'affaire "on "nous a dit que ceci devait se régler au niveau régional ou départemental je ne sais plus. Résultat ce dernier paragraphe dans lequel "on" nous explique la vie. Si vous ne voulez pas que l'on vous aide ou si tout ça est top secret dites le!! :angry: Bonjour l'équipe de Buno a justement été la seule à répondre à notre démarche. Cela dit au passage, il y a parmi eux un membre de la commission espace aérien. Ce dossier est suivi par le représentant au CCRAGALS Nord, qui travaille en relation directe avec eux. Il ne faut pas chercher un complot derrière tout celà : - la commission ne peut pas être seulement "nationale", car le travail ne peut être efficace que sur le terrain, - elle est donc composée des représentants régionaux aux CCRAGALS, qui sont désignés en coordination avec les CRVV, - le travail à accomplir est immense si nous voulons conserver voire regagner de l'espace, nous avons besoin que les clubs et les licenciés prennent des initiatives, et nous pouvons les conseiller, - néanmoins, toute démarche doit être faite en coordination avec la commission espace, et surtout les comités départementaux et régionaux, dans un souci de cohérence et de respect de l'intérêt collectif. Pour plus de précisions sur ce dossier en particulier, rapprochez vous de votre représentant CCRAGALS (coordonnées sur le site).
  23. Le point en cette fin Janvier : www.ffvv.org/espaceaerien
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