CPT

source : http://glidingteamfrance.free.fr/ Quelques infos... avant d'aller au dodo ! 10-07-2008 Toujours quelques problèmes de WiFi sur le terrain, Paulo ne peut donc vous tenir au courant... Juste pour vous dire que la journée n'a pas été mauvaise globalement même si en club, on a un peu pioché... En terme de classement général, les indicateurs sont dans le vert, on fait tout pour que ça s'améliore encore. Didier a eu un petit pépin mécanique sur l'ED, sa commande de train d'atterrissage lui restant pour ainsi dire dans les mains ! René et Pierre ont mis moins de 2h pour réparer durablement, donc pas d'inquiétude pour le décollage de demain. Je vous laisse entre les mains de Paulo dès demain pour plus d'infos sur cette journée "tricky" comme savent si bien le dire nos amis anglais. Bonne soirée. Benj

Tu as forcé pour être au tableau d'honneur, ou pour une sombre histoire de clé dans la poche ?

Je pense que c'est le réchauffement de la Méditerranée en altitude http://meteocentre.com/upper/07761_00.gif http://images.meteociel.fr/im/8843/080709ajcdax3.gif ça va être pire aujourd'hui allez les Piwis J'ai même vu une webcam ce matin : http://www.wgcrieti.it/wgc2008/webcam.asp

Les classements : http://www.soaringspot.com/wgcrieti/results/ PIWI FI 3 dans les 4 (Pin inclus) :rolleyes:

Le wifi je ne sais pas, mais Gillou ça à l'air d'aller : "Also for the pilots. Gilles Navas managed to win 3 practise days in a row!!!!Will he just continue????? We will see! Back later." Merci Benj d'avoir ouvert ce post pour supporters :rolleyes: Sur le site de Rieti : 1er jour World class; polygon with 2 points---216.1 km. Club class; polygon with 2 points---286.2 m. Standard class; polygon with 2points---353.9 km. "07/07/2008 Finishes!!!! 17.30; The first glider to be back home during this 30thiest WGC in Rieti, was EZ, with French pilot Laurent Couture, in world class. Followed by W1 , Luca Urbani and 3 A , flown by Luciano Avanzini, both Italian pilots .The French Pilot is nearly 30minutes faster then both Italian pilots . ..."

à Vinon également, merci Daniel. Voici mes impressions de vol : MCR remorqueur F-PFVV Vinon juin 2008 En démonstration avec Daniel Serres, son pilote d’essais. J’ai découvert cet avion prototype 180 CV, pour l’utiliser comme remorqueur durant l’après-midi du 27 juin 2008. Prise en mains : 25 minutes et 3 tours de piste. Après 3 remorquages planeurs en double et 7 en solo, voici mes impressions sur cet aéronef spécialement adapté pour cet usage : De l’extérieur, on retrouve l’élégance du MCR 4S avec une robustesse accrue visible. De l’intérieur, c’est large et fonctionnel. La verrière panoramique articulée à l’avant permet un accès facilité par une poignée creusée dans la casquette du tableau de bord. Sur le parking et les taxiways il est facile à déplacer à la main. Visite pré-vol simple et classique, volets renforcés par rapport à ceux du MCR 4S. Installation à bord : Les sièges doivent être positionnés avec des ergots latéraux avant de s’asseoir, puis les palonniers sont réglables avec un plancher coulissant pour barrer le passage aux objets baladeurs. Les grands trouveront leur place, pour ma part, je suis plutôt dans les réglages hauts pour voir devant en montée et courts pour actionner les freins par basculement des pointes des pieds. La console centrale est très fonctionnelle et la main droite du pilote trouve sur la partie horizontale les commandes moteur et sur la partie verticale les volets, les volets de capots, la pompe électrique et l’enrouleur du câble. Le roulage pratiquement tout réduit, avec une roulette avant conjuguée au palonnier, est facile. Le train « basse pression » amortit bien les ondulations de la terre caillouteuse de Vinon. La garde au sol de l’hélice (pas fixe) est bonne et le manche doit rester au neutre (pas secteur arrière), la jambe avant est robuste pour une arrivée au sol sous parachute de secours mais n’est pas très chargée au roulage. Sans planeur derrière, au décollage, mais à deux pilotes, c’est une accélération étonnante, une rotation à 80 km/h suivie d’une montée « comme au treuil » à 120 km/h puis 150 après avoir rentré le cran de volets limités à 150 km/h. La VNE à 263 km/h, beau domaine de vol ! Les décrochages dans différentes configurations ne préviennent pas et présentent des échappées en roulis rapides, un avertisseur de décrochage serait un équipement qui complèterait les becs de bord d’attaque qui ont été ajoutés pour améliorer le contrôle aux grands angles. Avec un planeur, le pilote seul à bord retrouve les sensations d’un remorqueur 180 CV pendant l’accélération mais après la rotation seul le rétroviseur rappelle qu’il y a un planeur derrière. L’assiette très cabrée à 140 km/h, si elle donne un taux de montée excellent, réduit la visibilité à l’avant droit, comme sur un Rallye remorquant un planeur ancien…. Après largage, réduction, volets de capot fermés et enrouleur en action : Ces commandes sont groupées et d’un usage facile et naturel dans ce début de descente à 200 km/h qui se stabilise sans souci à l’aide du trim électrique de profondeur, celui de direction également sur le manche semble rarement sollicité, la position du moteur donnant des couples faibles et les deux réservoirs de carburant étant communicants (2x65 litres ). Le pilotage est homogène autour des trois axes, avec une sensibilité en lacet et un roulis induit qui ne dérouteront pas les pilotes de planeurs. Approche sans problème après avoir vérifié que l’enrouleur a fait son travail : Voyant vert et bouton témoin revenu à sa position de repos. Volets efficaces sans couple piqueur (dommage ! ). Atterrissage et roulage bénéficiant de l’excellente visibilité. La ventilation orientable sur toute la largeur au-dessus du tableau de bord est efficace et compense l’ouverture et la fermeture de verrière qui n’est pas faite pour une manœuvre à chaque atterrissage. Outil très efficace (32l/h 100LL !?!) et bien étudié pour la fonction remorqueur en club.

Si les modèles partent des mêmes données, elles sont plus ou moins nombreuses et c'est toujours bon de confronter le résultat des sorties des modèles avec les dernières mesures réelles disponibles : Ce début de semaine dans les Alpes du sud, TopTherm était, comme souvent trop sec mais aussi très optimiste sur les Vz et plafonds, par rapport à une simple analyse du sondage de Nîmes de 00 UTC.

L'idée initiale est "météorologique". En l'absence de METAR AUTO bien que l'aérodrome héberge une station automatique de Météo France :rolleyes: Dans les Alpes, pour le vol à vue en plus des images sat http://www.para2000.org/weather/webcams.htm Voir les Saisies, Villard, le Mézenc, St Hilaire....

voir le nombre de planeurs en piste SVE :lol: C'est surtout la manche à air qu'il faudrait voir :lol:

Je vois bien le DA, mais il semble un peu figé sur les mini-bandes

Je dirais, avant le 29 mai...le lendemain de la publication :rolleyes: Reste le problème des vols d'initiation pour lequel l'arrêté de 98 demande un certificat médical de moins d'un an, mais c'est peut-être spécifique au "vol moteur"

Moi qui habite "le mont St Michel des garrigues" il me faudra faire un stage à Vauville

Je ne la trouve pas

Rue de Cu spéciale Chéu http://images.meteociel.fr/im/9174/MSG080521094rnx5.jpg

Go Denise Go !!!!

Notez bien cette date dans vos agendas : le 21 Juin 2008, nous inaugurerons officiellement notre club house.

Point du tout, l'important c'est d'avoir un bon webmaster Mais "Chéu mide" :rolleyes:

Le premier jour : http://www.planeur-stflo.net/pages/chp2008cclub/clubj1.php :wacko:

Y a des gars qui viendront parler siphons :wacko:

Je vais me reconvertir "ordonnateur de pompes prénuptiales" :lol:

Merci, comme ça je sais maintenant que le deuxième week-end ne commençait pas hier :lol:

Et les cumulus sont aussi blancs, heureusement les hommes volants intelligents volent sur des machines colorées : parapentes, delta et mongolfières.... Je pense que leurs nuits blanches sont peuplées de planeurs en plastique

Ben oui :lol: Les nues sont toujours dans le plus simple appareil.... :wacko:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Nombre_de_Froude puis "ressaut hydraulique" http://www.gce.ucl.ac.be/~hydraulique/ense...3/resume13.html L'écoulement de la masse d'air inférieure est entre le "torrentiel" et le "fluvial" à partir de l'impulsion initiale vers le bas. Le flux au-dessus de la surface de discontinuité est laminaire et il suit l'ondulation de cette surface si les profils de vent et de température sont favorables....

Le bouquin de l'OSTIV existe même en français, mais dans la question la stabilité intrinsèque (ou humide :lol: ) des masses d'air en présence et l'existence d'une inversion (ou isothermie) entre ces masses d'air superposées, qui rend le système "stable", sont deux choses différentes : L'air "froid" inférieur, sous-ondulatoire, peut être instable et il l'est souvent et même particulièrement agité sous le vent du pic de Bure.... Le laminaire au-dessus de l'inversion peut être instable conditionnellement et un seul ressaut peut faire un nuage lenticulaire au bord d'attaque qui bourgeonne à son bord de fuite ! Le problème de la longueur d'onde est souvent son évolution avec l'altitude (inflexion) :wacko: Vus du sous-ondulatoire baratté, les planeurs qui sont haut en laminaire sont parfois au vent, parfois sous le vent et cela dépend du profil de vent.