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cboulenguez

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Messages posté(e)s par cboulenguez

  1. Moi, le Taurus me convient fort bien. Il est vrai que je fais (et veux faire) du vol à voile. Il est conçu pour en faire, le moteur apportant seulement l'indépendance au sol, et évitant la vache (c'est du vol à voile de fainéant, ce qui me correspond tout à fait. Il ne me semble pas prévu pour la randonnée "au moteur", dans ce cas il vaut mieux le Sinus (qui a les mêmes ailes, mais pas la même finesse).

    Pour la randonnée en planeur, je n'en ai pas l'expérience, mais la charge utile du Taurus (sans passager) permet d'emmener son matériel de camping sans souci.

    Plus d'info sur demande.

  2. Non, j'ai tout laissé se périmer et je ne regrette nullement!

     

    J'adorais transmettre mes connaissances! Dans mon boulot actuel, je fais aussi de la formation et je gagne tellement mieux ma vie pour la même dépense de temps!!!!

     

    La seule chose qui me manque, c'est de ne pas pouvoir continuer à faire des photos là-haut!!!!!

    Tu le faisais de façon magistrale, je peux te le dire sans flagornerie, j'ai pu l'apprécier (aussi bien la transmission des connaissances que les images). Je t'en garde une sincère gratitude.

  3. Il existe pratiquement les mêmes contraintes médicales pour la conduite automobile. Si elles étaient appliquées aussi bien que dans le monde de l'aviation, il y aurait beaucoup moins de bouchons sur les routes. Comment se fait-il que cela ne soit pas le cas ? La faute à qui ? à l'Europe ? à la négligence de nos fonctionnaires ? Comment notre monde aéronautique s'est-il laisé enfermer dans une réglementation (trop ?) contraignante sans bénéfice avéré, sans regimber le moins du monde devant les "parapluies" ouverts les uns au dessus des autres? Je suis sûr qu'il y a des complices, de bonne ou de mauvaise foi, à cet état de fait.

  4. L'électrocardiogramme souffre de la même critique, je l'ai déjà indiqué. Le concept même d'aptitude, et de ce que l'on en fait (ou veut en faire) serait à débattre sereinement entre gens raisonnables et surtout pas par des incompétents influents assis sur leurs certitudes tels qu'évoqués dans des contributions précédentes.

  5. Dans ma jeunesse, hélas lointaine, il y avait pour les histoires de chasse (comme on disait à l'époque) telles que celles-là, les "Entretiens de Bichat", d'ailleurs très biens cotés. Je ne sais si ça existe encore, mais merci à vous de réveiller mes nostalgies... :flowers:

  6. Je suis heureux de lire ce que je lis sur ce sujet qui me passionne. J'étais déjà sûr qu'il n'y avait pas de lobby de médecins aéronautiques, et ceux que je connais ne le font certainement pas pour l'argent... La notion évoquée d'individus (médecins ou non) dont la compétence médicale est moins développée que leur influence administrative ressemble plus à l'idée que je me fais du fonctionnement du système. L'analyse qu'en fait jma.planeur recueille mon entière approbation.

    PS : si vous voulez connaître et/ou vérifier le parcours médical académique de quelqu'un, connectez vous sur "Pubmed" et tapez ses noms et prénoms, vous serez rapidement édifiés. :flowers:

  7.  

    Comme disait Bert précédemment, à propos d'une intervention du même auteur, ça, c'est vraiment du n'importe quoi...

    Rien de plus à ajouter.

    quel auteur? merci pour cette intervention fort utile :zorro:

    Peace and love ! :peace: L'auteur en question se reconnaitra... Ma contribution ne te vise pas. C'est par coïncidence et maladresse de ma part qu'elle suit une intervention tout à fait contributive.

  8. La consommation d'oxygène au repos (relativement strict) communément admise est de l'ordre de 250 ml STPD par minute. Il faut également compter 250 ml à la minute par tranche de 20 W d'exercice effectué... ce qui arrive très vite en planeur (mouvements, dépenses de thermorégulation, hyperventilation). Je ne suis pas sûr qu'à 5000 mètres un débit de 300 ml/min suffise à conserver une pression partielle artérielle d'oxygène à des niveaux corrects...

  9. Le problème avec l'oxygéne liquide : c'est trés trés froid, alors si il y a une défaillance mécanique tu risques de te geler la glotte voir les coucougnettes si il y a fuite.

    ca vaut pas le coup de prendre ces risques.

    Merci ! Je ne le savais pas ! Je cherchais des réponses, pas des plaisanteries.

  10. Est-ce que l'utilisation de l'oxygène liquide est envisageable ? Est-ce que cela peut avoir de l'intérêt ? (coûts, aspects pratiques, autonomie). Ce sont des questions que je me pose devant l'utilisation qui en est faite chez les insuffisants respiratoires. Est-ce quelqu'un en a déjà utilisé et peut-on avoir, le cas échéant, son retour d'expérience ?

  11. Bon,

    Sinon, on a disserté avec le toubib qui ne croit pas bien, lui aussi, à toute cette machinerie médicale, on en fait trop. Bref, globalement tout le monde (bon, il y a bien quelques égarés qui applaudissent ces bonnes volontés sécuritaires, personne n'est parfait) souhaiteraient diminuer les contraintes en tout genre pour ladite visite (on reste bien dans le cadre de la visite aéro dans une aviation de loisir) mais il s'avère que le "système" les complexifie, va comprendre Charles (...Boulenguez...hahahaha), c'est les antagonismes de la vie vélivoles, mais pas que !

     

    Société de ouf !

    Tout cela ne m'amuse plus... Quand on voit qu'ils ont réussi à vider de sa substance et en grande partie la médecine du travail, on ne comprend même pas pourquoi ils se cramponnent autant sur le même concept en médecine aéronautique. On évoque le recours au médecin traitant pour déterminer l'aptitude au travail, et on argue d'expertise pour le médecin aéronautique (c'est pourtant le cas pour le médecin du travail : la médecine du travail est une spécialité à part entière, ce qui n'est pas le cas, quoi que l'on en dise pour la médecine aéronautique).

  12. Au moins, c'est clairement expliqué, exactement comme on me l'avait présenté naguère [merci Nénesse] : la question que j'ai posée à ce sujet, à l'époque, à un responsable club, c'est de savoir s'il acceptait ( et/ou s'il en avait le droit) d'utiliser des détenteurs de la licence "légère" comme pilote VI...

  13. Avec les cheveux blancs, la sagesse devrait t'être venue. Quelle idée aussi d'en demander trop, d'espérer beaucoup. Avec de petites attentes, on est moins déçu... Désolé de te le dire comme ça, mais dans le vol à voile, c'est comme dans la vraie vie, il va falloir t'y faire, il est grand temps. et bonheur et prospérité pour tes autres activités... :flowers:

  14. La passerelle FFVV-FFPLUM ne concerne que les licenciés FFVV qui désirent faire de l'ULM hors club de vol à voile ! Là il ne faut payer que la licence FFPLUM, l'assurance est la même pour les deux activités.

     

    Si ton club de vàv exploite un ULM (remorqueur ou pas) la licence FFVV te couvre à l'identique sans supplément et sans avoir à être adhérent de la FFPLUM, pour les deux types de machines.

    Cela ne saute pas franchement aux yeux quand on lit les documents que propose la FFVV... Au point que je préfère m'affilier et m'assurer à la FFPLUM, et "prendre" une licence FFVV sans assurance, les clauses de cette dernière n'apparaissant pas franchement explicite. J'ai la chance de piloter un Taurus, mais cette machine ne semble pouvoir "accepter", aux yeux de la FFVV et de son assurance responsabilité civile, que des élèves en instruction et leur instructeur (par ailleurs obligatoirement pilote ULM, et incidemment amputé du pouvoir de lâcher l'élève vélivole... [va-t'en comprendre, Charles])

  15. Biplace, électrique, école, ULM... Il faudrait peut-être qu'ils regardent du côté de la Slovénie : le Taurus de Pipistrel répond déjà facilement à ces critères (et pas seulement sur le papier). [je n'ai pas d'actions chez Pipistrel, mais j'avoue avoir un petit faible pour le Taurus]. :flowers:

  16. Des anecdotes comme celle-là, je pourrais en raconter des centaines (j'ai une longue [malheureusement] carrière derrière moi), cela explique mes réserves et réticences vis-à-vis des examens complémentaires mal compris, mal utilisés, mal prescrits, mal interprétés... mais réglementaires !

  17. J'ai ma visite le 12 nov prochain, le gars me dira le pourquoi du comment.

    Quand je fais ma visite annuelle pour la plongée, y'a pas tout ce toutim, une visite "normale" plus un test d'effort et roule ma poule. Il suffirait d'ajouter un test des yeux pour la visite aéro et zou !

     

    Mais nous sommes dans un pays de l'excellence, les étrangers dises de l'arrogance... hihihi, bref, il faut optimiser

     

    Au fait, pour les vraiment passionnés qui ont une "incapacité française", y'a pas moyen d'aller faire une visite dans un pays de la cee moins "excellent" et venir voler nos cieux ?

    Vraiment passionné, j'ai trouvé ma solution : l'ULM. Il y a des ULM déguisés en planeur qui sont des machines tout à fait honnêtes...

  18.  

    Halte à la parano ! :sick:

    C'est ça l'approche global de la santé :speeeeed:

    Rien à voir avec l'approche globale de la santé tout à fait souhaitable. Personne n'empêche un praticien de faire son métier

    Ce que je conteste, c'est l'appréciation réductrice et réglementaire du résultat des examens pratiqués. et prescrits réglementairement peut-être de façon simpliste.

    L'exemple de l'examen d'urine est démonstratif : dépister une hématurie est "intéressant", la vision globale de la santé va inciter à la recherche, entre autre, d'une lithiase.

    Mais une fois diagnostiquée, on en fait quoi, de cette lithiase, au regard de l'aptitude aéronautique ? On cloue le pilote au sol, au nom du principe de précaution, ou on le laisse voler ? Quelle réglementation va aider à trancher, à faire tomber le couperet ? C'est justement cette réglementation que je critique, pas l'attitude du médecin et sa vision globale de la santé.

    Et on peut citer beaucoup d'exemples d'affections pour lesquelles se pose le même dilemne...

  19. Bonjour,

     

    Lors de ma dernière visite médicale, le toubib, autour d'une discussion ouverte sur l'évolution de la réglementation aéro, m'a soumis l'idée d'ajouter une prise de sang pour recherche de Gamma GT et/ou autres drogues........

     

     

    ULM, vous avez dit ?

    Encore un médecin nostalgique à la recherche d'un indicateur fiable ? Un peu dépassé peut-être ?

  20. Bonjour,

    quelle pathologie peut on découvrir dans les urines qui puisse entrainer une crise incapacitante en vol?

    merci de votre réponse.

    Une hématurie (microscopique évidemment) par exemple, témoin d'une lithiase susceptible d'entraîner une crise de coliques néphrétiques (qui peut être très invalidante...).

    Mais le problème, je le répète, n'est pas à ce dépistage, mais surtout à ce que l'on fait des résultats : empêchera-t'on de piloter, et/ou avec quelles restrictions, un sujet qui présente une telle hématurie. D'où mon obsession pour les aspects prédictifs des examens préconisés, ECG et autres....

  21. J'ai déjà dit aussi tout ce que je pensais de l'ECG dans ses aspects prédictifs : l'intervalle éventuellent modifié ne change rien à l'affaire...

    La détermination d'aptitude médicale reste un exercice difficile dont certains grands esprits pensent s'exonérer en s'abritant réglementairement derrière un éventail (un paravent ?) d'examens complémentaires inutiles et/ou mal interprétés, par surcroît couteux. :flowers:

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