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cboulenguez

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Messages posté(e)s par cboulenguez

  1. J'ai installé récemment un Flarm sur la casquette de mon LS3, sur lequel j'utilise depuis longtemps un MLR qui ne m'a jamais fait de souci. Lors du deuxième vol dans cette configuration, le MLR s'est arrêté au bout d'environ 1/2 heure. A la tentative de remise en route, il se coupait systématiquement au bout de quelques secondes. La panne persistait après le retour au sol, le MLR restant alors "allumé", mais ne détectant plus les satellites. Au prix de manoeuvres brutales (software) non décrites dans le manuel, il s'est mis à refonctionner normalement. Je pense en première hypothèse à une influence de l'émission du Flarm sur le récepteur du MLR. Je n'ai pas encore tenté l'expérience à nouveau.

    Quelqu'un d'entre les utilisateurs aurait-il eu le même type de souci, et si oui, comment a-t-il fait pour en faire le diagnostic et y remédier ?

    Merci de vos réponses

    cboulenguez

  2. Ad augusta per angusta !

    Tout se mérite. Il n'ya pas à ma connaissance de plaisirs faciles (ou alors ils sont un peu frelatés)

    Courage, ça va s'arranger, et là tu vas finir par te rendre compte de ce que tu as failli louper.

    Et alors là, bienvenue au club !

    Charles Boulenguez

  3. La véritable réponse est là : la "taxe du fainéant", c'est le peu d'engagement des volontaires sur un dépannage pour un sujet qui ne participe pas habituellement aux "corvées".

    Quand on est bien impliqué dans toutes les activités du club, pas de problème pour trouver des dépanneurs. Quand l'attitude à cet égard est réservée (pour ne pas dire plus), c'est beaucoup plus difficile.

    Il ne faut pas très longtemps dans un groupe pour se faire une idée sur l'attitude sociale des uns ou des autres : une précédente contribution soulignait la relation inverse entre le zèle professionnel, la relation à la famille et le degré d'ensoleillement. Beaucoup peuvent observer cette relation, ne pas être dupes des alibis et autres prétextes avancés. La conséquence spontanée en est la diminution de la "solidarité" envers les sujets qui "abusent". C'est certainement plus précis que de mesurer le travail de l'un ou l'autre.

    En résumé, dans un club, quand tu bosses, quand tu donnes un coup de main, quand tu "vois" le boulot qu'il y a à faire, et que tu sautes dessus, tu as beaucoup moins de mal à trouver un dépanneur, ou une aide pour ce que tu ne peux pas faire seul.

    Bons vols, vivement que la saison redémarre !

    Charles Boulenguez

  4. Holà !

    Evitons les mots désagréables et les idées qui blessent !

    Je connais au moins un médecin qui s’implique dans son club, autant pour les travaux d’hiver que pendant la saison, qui vole beaucoup (autant que possible), et qui, par surcroît, a le toupet d’être un « privé », et de ne pas en avoir honte.

     

    Arrêtons les classifications schématiques, les caricatures à gros traits, la lutte des classes déjà évoquée !

    Ce n’est pas en fustigeant certaines catégories que vous réglerez le problème.

     

    Dans notre club, comme dans beaucoup d’autres, il y a un système un peu comparable à votre « taxe du fainéant », mais ce n’est pas cela qui importe, mais plutôt l’attitude associative qu’il faut développer à longueur d’année. L’ambiance en devient plus conviviale, la fréquentation de l’atelier plus assidue.

    C’est tout simplement un état d’esprit qu’il faut créer et maintenir. Sinon, effectivement, cela me serait beaucoup plus facile de verser ma « taxe », et de prendre des nouvelles du club au prochain printemps. Je revendique ma participation à l’entretien des planeurs du club, et essaie d’en faire autant que les autres, mais c’est difficile, je suis un peu paresseux !

     

    Bons vols, après de bons travaux d’hiver, sans avoir besoin de mesurer la quantité de travail de chacun !

    Charles Boulenguez

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