www.planeur.net | www.netcoupe.net | www.volavoile.net
Aller au contenu

M. Scherrer

Membres
  • Compteur de contenus

    338
  • Inscription

  • Dernière visite

Messages posté(e)s par M. Scherrer

  1. j'ai souvenir d'avoir vu un petit programme qui permettait de calculer a, b et c de la parabole qui se rapproche de la polaire quand on connait 3 taux de chute pour 3 vitesse

    Quelqu'un sait ou trouver ce petit programme ?

    merci d'avance

     

    bonjour

     

    ma petite feuille excel qui defini le calculateur papier a cette fonction

    ca se trouve sur planeur.net

    telecharger/pour le pilote/Calculateur papier

    http://www.planeur.net/_download/pdf-zip/calculateur.zip

     

    si vous êtes cablé excel, vous devriez retrouver ces parametres

    dans l'ongler 'Reglage"

    le rpincipe :

    1 on trace la poalire dans excel

    2 on place a la pointe de la souris 3 points (les croix rouges) pour trouver la meilleure parabole

    3 on recupere les parametre a b c

     

    matthieu

  2. Y a t'il quelqu'un qui utillise l'écran 303 raccordé avec le cambridge 302 ?

    Si oui, existe t'il un manuel en français et un fichier avec les aérodromes et vaches ?

    Merci d'avance pour vos infos

     

    j'utilise le 303.

     

    a ma connaissance, pas de manuel en francais. J'utilise : http://www.bas.uk.net/manuals.html

     

    Pour les fichiers, on en trouve au format cambridge sur internet.

     

    Matthieu

  3. Bonjour

     

    Sur les PCs récents, il n'y a plus de port série.

     

    Il est possible d'utiliser des adapteurs USB-> serie pour simuler le port, mais avec le MLR ca ne marche pas (soft : see you ou GPSdump).

    Comme je compte me separer de ma vieille babasse qui prends de la place (et qui ne sert plus aujourd'hui qu'au MLR) je ne vais plus pouvoir delogger...

    quelqu'un a t il une solution ? un config avec un adaptateur qui marche ?

     

    Sinon sur les ipaq il y a toujours un port série. Existe t il des softs qui délogguent les MLR sur Ipaq ? Et alors, où trouver de la doc sur la connectique ??

     

    merci d'avance !

     

    matthieu

  4. Modeliste comme Yateri, je pense cependant que cela n'est pas une tres bonne idée que de mettre des lipo dans un (vrai) planeur, sans que cela soit un peu éprouvé.

     

    Dans le cas de la batterie SAFT-GBLI, comme dans celui des batteries équipant l'ANTARES, il s'agit bien de Li-Ion dotées des mêmes circuits de protection. Dans les 2 cas ils sont fabriqués par SAFT! Ce ne sont donc pas des "Lipo", contrairement à ce que le lecteur précédent semble dire.

     

    Re

     

    Pour ce qui est de la distinction Lipo/Li-ion, ou puis je trouver de la doc ?

    Jusque là j'ai toujours considéré que c'etait le meme principe de fonctionnement,

    avec des "ingrédient" seulement un peu différent (cout).

     

    Quand au travail de la boite de Poitier (je n'etais pas encore allé sur le site avant l'écriture

    du post précédent, désolé), c'est le genre de chose dont je parlais quand je disais qu'il

    fallait avoir des produits validés et "vérouillés".

    Bref, pas du bricolage avec les "mille feuille" d'origine incertaines dont on commencait

    à parler...

     

    a+ matthieu

  5. Les prix sont en dollars, le résultat en Euros.

    Désolé pour la confusion ... (peut-être que les symboles monétaires ne s'affichent pas bien sur le forum, chez moi si)

     

    En ce qui concerne la qualité ... aucune idée. Personne n'est jamais venu se plaindre de ces packs "chinois", et pourtant il s'en vend ... et ça se compte pas en dizaines ou en centaines !

     

    Maintenant je ne met pas en doute que quand des Lions sont utilisées dans des activités industrielles aussi précises et couteuses que de l'armement, des sous-marins ou j'en passe, elles n'ont pas été soigneusement sélectionnées et testées ... mais peut-être peut-on se "contenter" de packs qui au lieu d'être sûr à 99,9% le sont à 97,5 ?

     

    Fred

     

    Hello

     

    Modeliste comme Yateri, je pense cependant que cela n'est pas une tres bonne idée que de mettre des lipo dans un (vrai) planeur, sans que cela soit un peu éprouvé. Quand on voit les videos qui circulent sur internet parmi les modelistes, genre :

    http://fabrice.estivals.free.fr/2S-950mAh-...est-FE2006-.wmv

    Bon la c'etait "pour rire", le pack etait foutu, mais je connais plusieurs personnes a qui c'est arrivé de façon "imprévue", soit en vol, soit en charge. Pour l'instant chez moi, ca ne m'est jamais arrivé, je touche du bois.

     

    Les lipos sont super là ou il y a un besoin de performance en terme de densité énergétique cad Ah/masse.

    Par exemple, c'est grace a l'arivée des premiers lipos qu'on a réussi a faire voler nos microbes, avec deux copains.

    http://perso.orange.fr/scherrer/matthieu/a...eles/kiool.html

    De la meme facon, sans Lipo pas d'Antares, ca c'est sur ! mais la derriere ya un PC qui tourne, qui s'occupe de la charge, qui surveille les batteries, etc... Bref, c'est étudié pour.

     

    De mon point de vue, sur un planeur dans lequel on vole, vu la quantité d'eau qu'on mets dedans on n'est peut etre pas a un kg pret, et autant etre sûr de ne pas etre descendu en flamme... pour le moment je reste avec des "betes" batteries au plomb. Par contre je les charge avec mon charguer de modelisme, qui fait un peu le bilan de santé de la batterie.

     

    Le jour ou il y aura de l'elec validée, je ne dis pas que je lorgnerai pas sur les Lipo...

     

    a+ matthieu

  6. salut

     

    mon experience de la chose, c'est qu'il est tres difficile de comparer deux contrats.

    j'ai vu 3 type d'assurance :

    1) celle qui ont tres peu d'exclusions (aucun sport a risque)

    2) Celle qui assurent si on est en regle et qu'on pilote une machine avec CDN, en dehors des comepts

    3) Celle qui excluent les activités aériennes

     

    attention aux assurances de type 2), des fois elles assurent l'activité avion mais pas le Vav..

     

    Dans tous les cas, le fait d'être "clean" du coté assurance a un cout que cela soit :

    - a cause d'une surprime sur un contrat pas trop cher avec des exclusions

    - parce que l'on prends un contrat avec moins d'exclusion mais de base plus chere.

     

    Au bilan me concernant, j'ai négocié l'assurance globalement, comme étant intégrée dans

    le prix du pret (aidé par le CIL).

     

    a+ matthieu

  7. :) mauvaise nouvelle il n'y a plus de M200 à Paray le Monial c'était pour moi le plus près... sauf un cadre correspondant à l'endroit fragile du fuselage, c'est déjà ça ! mais il reste plein d'autres belles choses ! ;)

     

    Pont sur Yonne est envisageable comme distance, je regarde de ce coté.

     

    à suivre...

     

    Apres il y a Moissac (82...)

    http://www.retroplane.net/forum/viewtopic....;highlight=m200

     

    Matthieu

  8. ...

    mais quid de l'influence du centrage (qui va probablement varier si je ballaste) sur la finesse ?

    ...

    Son principal effet est de modifier la portance ou déportance de la profondeur nécessaire pour obtenir l'équilibre de vol, et donc la trainée induite résultant de cette (dé)portance. Voir ici et pour une discussion plus détaillée.

     

    Hello

     

    Effectivement le centrage change la perfo chiffrée (finesse...), et comme l'explique Denis F dans un autre post, la deportance empennage n'ets pas forcement mauvaise (point trop n'en faut qd meme...).

    quelques crobars sur : http://perso.orange.fr/scherrer/matthieu/a...rs/trimdrag.PDF

    Cela dit quand on calcule les gains atteignable sur lesplages de centrage classique c'est assez petit...

     

    Je pense que le centrage agit egalement pas mal sur la performance ressentie. Vu que cela change les qualités de vol, il y a un compromis qui minimise la fatigue du pilote sur un long vol, plutot que le quart de poil de finesse qu'on peut y gagner...

     

    a+ Matthieu

  9. Contacte SamTT, il est dans la liste des membres et il a pratiqué la Nouvelle-Zélande pendant quelques mois l'année dernière, il y a actuellement un challésien là-bas!!

    Claire avait passé 3 semaines pour voler, elle avait de très bonnes conditions et des gens super sympa et pas du tout stréssé.

     

    hello

     

    SamTT a bossé chez Greg :

    http://www.foamworks.co.nz/sg/

    Il te donnera a coup sur des info ! Apparement ce ne sont pas des stressés, effectivement...

     

    En ce moment il y a la bas un autre francais appelé Julien Dorol.

     

    Matthieu

  10. Tes doutes sont légitimes, c'est pourquoi l'écoulement dans une soufflerie est très soigné.

     

    Pour avoir des condition "propre" pour des profils de planeur, c'ets tres dur techniquement.

    la problematique est la position de la transition laminaire/turbulent a une position

    similaire au vol. Celma depend enormement de la soufflerie, et il existe un "catalogue" des differentes

    soufflerie et des resultats que chacune donne sur un meme profil.

     

    ca n'ets pas pour rien que le DLR a equipé un Janus d'une "galerie de toit" pour avoir des

    mesures en conditions plus proches de la réalité...

     

    On a beau faire des prouesses en mécaniques des fluides numériques, on ne sait cependant toujours pas se passer des essais en soufflerie.

     

    (...)

     

    Donc là encore, l'expérimental a su completer la théorie.

     

    on ne sait pas se passer d'experimental, et on ne saura sans doute jamais s'en passer.

     

    Cependant les techniques d'aerodynamique numérique evoluent. On sait faire de plus en plus de chose,

    et des choses de plus en plus fines, des choses qu'on ne saurait pas faire en soufflerie.

     

    De l'autre coté la soufflerie n'ets pas le monde réel non plus, mais bien une forme de modélistaion

    de la réalité.

     

    c'est en mettant un bonhomme aux commandes de tout cela, un être doué d'intelligence et

    d'expérience, pour tirer le meilleur parti de chacun de ces deux outils, qu'on fait des progres

    dans la conception.

    Un ordinateur ca reste bete, ni plus ni moins q'une jauge de contrainte sur une balance de soufflerie...

     

    bon, assez philosophé.

     

    Matthieu

  11. Justement, comment font-ils pour valider les profils d'aile réalisé par ordinateur!!

    sand.

     

    Hé béh pour verifier ils mettent une tranche d'aile (1m50) dans une soufflerie qui a un tres faible

    niveau de turbulence, et compare au resultat du calcul. ainsi on valide la methode pour ce qui est

    du profil uniquement

     

    par contre, on ne peut pas mettre le planeur complet à l'echelle 1 dans une soufflerie.

     

    matthieu

  12. Hello

     

    je pense qu'il faut distinguer le facteur de charge que l'on ressent

    et la perte que l'on fait subir au planeur.

     

    On peut tres bien avoir deux situations à iso G mais avec des consequences

    tres différentes en terme d'energie consommée.

     

    la regle de Reichmann, c'est pour éviter les Cz trop faible, cad en dessous

    de 0.15 a peu pres. Je pense que 0.5G correspond à une regle pratique

    qui permet en vol de type dauphin de garder un peu de marge.

     

    Apres au niveau facteur de charge positif, il faudrait en theorie se placer

    au point de finesse max lors des ressources.

    Quand on deboule à 200km/h, on est bien en dessous de la finesse max. Quand

    on tire on a plutot tendance à se rapprocher du Cz de finesse max, ce qui

    est une bonne chose finalement.

    La "mauvaise situation", c'ets de tirer tellement qu'on depasse le Cz de finesse

    max.

    mais la encore, 3G à 200 et 3G à 120 c'ets pas pareil :

    3G à 200 -> Cz = 0.7 cad Cz sou la finesse max

    3g à 120-> Cz=1.7 cad décroché.... et ca consomme de l'énergie !

     

    a+ matthieu

  13. hello

     

    il n'existe pas de soufflerie adaptées pour y rentrer un planeur complet

     

    Aux US il existe de tres grosses installation, mais n'ont pas la propreté

    d'écoulement requise (niveau de turbulence requis) pour representer proprement

    les conditions de laminarité qu'on a en vol.

     

    La plupart du temps les souffleries adaptées en terme de turbulence sont trop

    petites (TU delft, Stuttgart)

     

    la soufflerie est utilisée pour la validation des profils d'aile qui sont maintenant

    sont dessiné par ordinateur (CFD). Il y a eu qq campagne d'essai sur les jonction

    aile-fuselage.

     

    Pour le coté qualité de vol, j'ai l'impression que c'ets du savoir faire empirique

    des constructeurs...

     

    Pour les planeurs allemand et meme les planeur de l'est (Diana) la conception aerodynamqiue

    est toujours plus ou moins sous traitée à des université, que cela soit au travers des akaflieg

    ou meme en direct avec les professeurs / chercheurs (Boermmans, Horstman, etc...).

     

    matthieu

  14. Autant que je me rappelle, et très schématiquement, la méthode consiste à introduire des micro perturbations oscillatoires dans la couche laminaire et à déterminer si elles s'amplifient (couche instable) ou s'atténuent (couche stable).

     

    hello

     

    je ne sais pas ce que c'ets que le principe "d'intermitance", mais ce que tu decris c'ets un

    des modes de transitions naturelle de la couche limite. en gros il y a des vagounettes qui se propagent

    dans la couche limite laminaire (qui agit alors comme un guide d'onde), et quand la vagounette

    deferle ca provoque la transition vers le turbulent.

     

    donc l'idée de base du controle de couche limite (dont le Sinha deturbulateur fait partie), c'ets d'annuler les vagounettes, ou du moins de les maintenir dans des proportions raisonnables. Un peu comme les casques d'avion "ANR" qui annulent le bruit en emmetant un son en opposition de phase.

     

    la difficulté, c'ets qu'il faut connaitre exactement la fréquence des dites pertubation pour pouvoir les combattre. Hors cette frequence depend de pleins de choses (epaisseur de couche limite, etc..)

     

    cela dit il existe d'autres modes de transition (par rugosité par exemple), donc ca ne résoud pas tout.

     

     

    Sinon Arnal & Co on fait des essais sur des avions d'affaire type falcon.

    Sur airbus, j'ai entendu parler de "peau de requin", cad une surface rainurée qui organise la couche limite turbulente (un airbus n'ets absoluement pas laminaire comme un planeur)

     

    concernant, le Sinha deturbuateur, localement il y a bien action sur la couche limite, les articles AIAA sont assez convaincant.

    l'interet de ce syteme c'ets qu'u final il est passif (pas besoin de puissance pour faire vibrer la couche limite)

    Par contre je suis sceptique sur les essais en vol (comparaison à un asw28), donc pour ce qui est du resultat observable par le pilote sur la perfo, le discours est emprunt de message publicitaire...

     

     

    a+ matthieu

  15. Hello

     

    Vous trouverez un calculateur pas cher et facile à fabriquer (un indice s'affiche chez vous sur votre écran...).

    Ca reprend l'idée du Barbera d'antan, mis sous excel 2003. On peut rentrer la polaire

    d'un planeur pour avoir des estimation de la finesse sol qu'on tire en fonction

    du calage McCready et du vent.

     

    http://www.planeur.net/telecharger/docs.ht...eload_coolmenus

     

    Notez que les échelles sont choisies pour coller avec les distances et altitudes "lambda",

    mais qu'elle sont parametrable pour avoir une règle à calcul encore plus universelle.

     

    Fly safe !

     

    Matthieu

  16. Que veux tu dire par polaires tabulées?

     

    J'avais bien un truc excel, mais je ne sais si cela peut te servir !

     

    oui c'est ca que je cherche...

    un truc ou la polaire est approximée par un polynome, et ou il y a les coeffs.

     

    je suis en train de preparer un calculateur à l'ancienne, type Barbera, avec

    l'aide de F Ragot...

    revisité avec Excel, ca permet de s'imprimer des trucs tres propres. La je cherche de quoi

    paramétrer le graphique de calcul de finesse sol fonction du vent...

     

    matthieu

  17. Il n'y a pas de raison que les ballasts ne soient pas compatibles. Ce que dit Invité_Jamy qui signe Matthieu, c'est que le Czmax réduit est compensé par la charge réduite. Je pense qu'il a tort de dire que c'est une condition expresse. Dans ce cas comme dans les autres, une augmentation de charge implique une augmentation de vitesse pour voler à la même incidence, donc à la même finesse. Autrement dit la réduction de charge par rapport à un planeur classique se traduira par une réduction de vitesse moins importante que ce qu'on aurait eu si on avait pu conserver le même profil avec le même écoulement. Si on jette un coup d'oeil sur le site de Schleicher, on voit que par exemple l'ASW27B est donné pour une vitesse de décrochage de 70 km/h avec une charge de 34 kg/m². Si les caractéristiques du profil ne changeaient pas, une réduction de charge à 27 kg/m² devrait réduire cette vitesse de décrochage dans le rapport des racines carrées des charges, ce qui donne 62 km/h, or pour le Shift c'est 65 km/h qui est annoncé.

     

    C'est vrai que j'ai raisonné de maniere conservative : je pensais "plus léger" pour retrouver les planeurs actuels.

    Mais rien n'empeche de "déstabiliser" un peu plus le compromis actuelle et de charger plus, d'autant que l'allongement permet d'accepter plus de charge.

     

    il faut dire qu'elle (la trainée induite) représente environ la moitié de la trainée totale à la finesse max et les 3/4 de la trainée totale au taux de chute mini.

     

    Un gd allongement cad un faible trainée induite, est surtout bénéfique pour monter. Cf le Disucs1 avec son aile assez peu allongée, qui aime spiraler vite cad a des Cz relativement faible.

    Apres d'accord ca joue dans la finesse max. Mas ceux qui savent voler et transiter (pas moi quoi...) volent en transition plutot à des Cz faibles, autour de 0.5, et la la trainée induite commence à moins compter : c'ets pour ca que le profil joue beaucoup dasn la "personnalité" d'un planeur.

    J'ai exploité des igc (Denis G saura de quoi je parle...) avec une moulinette perso. Quelques soit la charge, il semble que les "bons pilotes" utilisent toujours la meme aerodynamique, apres la vitesse sur trajectoire dépend de la quantité d'eau.

     

    Sinon une question : dans le vol en dauphin, on échange constamment vitesse contre altitude. Plus que la charge c'est la masse du planeur qui rentre en jeu dasn ces echanges d'energie : Un planeur léger ne va t il pas etre désavantagé et faire un peu "bouchon" ??

     

    Matthieu

×
×
  • Créer...