JBL

Exploiter les courants d'air, c'est ce qu'on fait chaque fois qu'on vole. On ne consomme aucun combustible. Juste l'électricité du treuil qui nous envoie en l'air. Et qui sait, après l'Antarès, peut-être un jour un remorqueur électrique? Pour ladite électricité, on a le choix: - brûler du fossile et produire du CO2 - boucher des vallées pour des barrages, si on a de l'eau ('z'avez vu la gueule des barrages cette année?) - fissurer des atomes lourds et produire des éléments pour lesquels on n'effectue pas de neutralisation totale - exploiter l'énergie solaire et/ou les courants d'air, certes pas présents en continu, mais avec une production relativement constante d'une année à l'autre La fusion nucléaire n'est pas exploitable pour l'instant. Le coût d'un kWh produit par l'une ou l'autre méthode est évidemment très différent. L'impact sur la vie des génération futures aussi. Les éoliennes, je les trouve plutôt belles, aériennes. S'il y a un léger impact sur mon activité vélivole, ça me dérangera moins que les câbles électriques et autres téléphériques. Quelle portion de vos vols s'effectue à moins de 100m/sol à des endroits ou seraient implantées des éoliennes?

Pour un aéronef, le vent est RELATIF.

Traduction par moi : Le but de la Classe Club est de préserver la valeur de "vieux" planeurs alors performants, de fournir des championnats internationaux à faible coût mais de haute qualité, et de permettre aux pilotes qui n'ont pas accès à des planeurs "top performance" de prendre part à des concours aux plus hauts niveaux. Dans d'autres classes, seuls les meilleurs peuvent concourir, ayant accès aux meilleures machines. Tout le monde peut concourir en classe club, les très bons comme les moins bons. Selon le niveau de la compétition, telle ou telle population sera plus ou moins représentée. Si pour un championnat régional on aura moins de têtes connues, il est normal qu'au niveau d'un WGC, on ait d'excellent pilotes.

Le Meeting Aérien International de Roanne aura lieu le 10 septembre 2006 Le site web est en cours de création, vous y êtes les bienvenus. Et comme je ne suis pas expert webmestre, vos suggestions sont aussi les bienvenues. Au programme, outre des militaires dont les ministres n'ont pas encore signé la venue, quelques éléments alléchants pour nous passer du baume au coeur après le démantèlement de notre Caravelle. Ce post gonflera au fur et à mesure des confirmations au programme. Le Lockheed 1049 de Super Constellation Flyers devrait arriver dans la matinée. LFLO est tout juste assez large pour ce bel oiseau! Présenté en vol et en statique, il sera possible de le visiter, en accord avec l'équipage. Le Catalina, avion amphibie avec les flotteurs qui peuvent être remontés en bout d'aile. Visite également possible. Daniel SERRES effectuera une présentation de voltige en planeur, en musique.

planeur : グライダー gu - la - i - dâ : glider comme nombre d'autres mots nippons (ni mauvais... désolé il fallait que je la fasse), on prend un mot étranger et on l'écrit approximativement en katakana dans la même fibre : クラブ : ku ra bu : club ビデオ : bi de o : video

Cela ne me semble pas vraiment simple à réaliser en planeur, quoique pas idiot du tout. Quelques points cependant: Dans le cas du cycliste derrière un autre, de la voiture derrière un camion, dans les deux cas la personne "tirée" profite des modifications de la masse d'air créées par le véhicule devant elle. De la même manière qu'un gros caillou planté dans une rivière modifie l'écoulement derrière lui, un véhicule génère une traînée, traîne de l'air avec lui. Les constructeurs automobiles tendent à faire diminuer cela, mais les constructeurs de camions ont d'autres contraintes et les cyclistes "classiques" ne s'en occuppent que lorsqu'il s'agit de sucer la roue d'un congénère. Dans la plupart de ces cas, la traînée générée n'est pas stable, les tourbillons sont alternés gauche-droite. Dans le cas du vol, nombre d'oiseaux migrateurs ménagent leurs forces en volant en V, profitant des tourbillons d'extrémité générés par celui devant eux, et se relayant au rôle de Leader. Stables dans le cas d'un aéronef, saccadés dans le cas d'un oiseau, ces tourbillons ont le mérite de toujours tourner dans le même sens. De là à les exploiter... je suppose qu'il faut être à une distance précise, et être excellent pilote en avion à moteur... En planeur, difficile de recoller au bon endroit si on s'en écarte. Maintenant, niveau coût énergétique pour celui qui est devant... la traînée générée est la même quoi qu'il se passe derrière...

J'ai commencé cette année fin février, et obenu mon BPP en fin d'été. Commencer tôt permet, si on est assidu et régulier, de progresser rapidement et de profiter au mieux de la fin de saison de thermiques. Tant qu'on n'a pas le BPP (validation test théorique et test pratique), on ne peut pas voler sans qu'un instructeur suive le vol, soit avec soi en double commande, soit du sol dans le cas d'autorisations vol solo. Dès lors, afin de mettre toutes les chances de son côté, il vaut mieux passer le théorique planeur pas longtemps avant le test pratique. Ainsi, tout ce qu'on aura appris durant la formation à la fois pratique et théorique lors des vols et briefings, et en aidant les autres vélivoles sur la piste, facilitera le passage de l'examen théorique. Cette connaissance, acquise au fur et à mesure et mise en application durant les vols, sera bien plus bénéfique qu'un bachottage du bouquin bleu visant à faire un score au QCM.

Gimme some lovin' Je ne connaissais que la version des Blues Brothers, je ne sais pas de qui est celle-ci

Pour ma part, à la reconnection, on m'avertit que mon email a été changé car il fait doublon dans la base de données. De manière cohérente, lorsque j'essaie de saisir ma réelle adresse email dans mon panneau de contrôle, on me dit que c'est impossible, pour la même raison.

Télémécanique en offre un vaste choix, même des magnétiques codés, pour des sécurités.

- Lecture du manuel de vol préalable. Les instructeurs (et non-instructeurs aussi, d'ailleurs) posent des questions plutôt orientées sécurité. - Briefing machine par l'instructeur avant le premier vol, en plus du partage d'expérience des précédents pilotes. Manoeuvres d'urgence, emplacement éventuellement peu habituel de certaines commandes, particularités de comportement du planeur par rapport à la machine habituellement pilotée jusque là. - Le premier vol est un tour de piste élargi, juste pour une première prise en main.

Je ne sais pas ce qu'il en est dans le cas du snowkite, mais à ma connaissance le kitesurf se pratique avec un harnais, les bras servant seulement à contrôler la voile. Enfin... contrôler... à voir la vidéo, c'est pas vraiment ça.