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Bre901

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Messages posté(e)s par Bre901

  1. La différence entre un atterrissage réussi et un autre, c'est qu'après l'un des deux ( lequel ? ) , on peut redécoller rapidement .

    Ca c'est un atterissage parfait

    un bon atterissage c'est quand on peut sortir à pieds de l'avion :ph34r:

     

    Version anglaise : "A good landing is one you can walk away from. A perfect landing is one when you can fly the plane again"

  2. En cherchant des infos sur le décollage de SpaceShipOne, j'ai trouvé ceci :

     

    http://www.spacetoday.org/images/Rockets/XPrizeRockets/XPrizeKellySpaceTech.jpg

     

    Projet d'un des concurrents du X-prize (pas plus d'infos)

    Etant donné la réputation du 747 en matière de tourbillons marginaux, la position basse semble effectivement préférable et il vaut mieux bien tenir l'étagement :ph34r:

  3. Il est beaucoup beaucoup plus facile de modifier "à la main" 2 ou 3 lignes qui ressemblent à ceci :

     

    C4658465N00041765EDescartes

    C4724700N00255165ECosnes/Loire

    C4827530N00131381EChartres

     

    que des centaines de lignes qui ressemblent à cela :

     

    B1032244829153N00132980EA0085000850203077

    B1032264829135N00132988EA0085500855166056

    B1032284829120N00133023EA0085900859126067

     

    La déclaration "à posteriori" est à la portée de presque n'importe qui (il faut juste être capable de taper quelques caractères ou de savoir copier-coller dans Notepad)

     

    Je doute donc que cette proposition soit acceptée :unsure:

  4. Je proteste : c'est bien un planeur, et la force motrice est la différence entre le poids et la poussée d'Archimède (dont le sens peut changer selon la densité du "planeur"). S'il est plus lourd que l'eau, il plane vers le fond, sinon en direction de la surface.

     

    C'est d'ailleurs cette alternance de montées et de descentes qui lui donne cette grande autonomie (la seule dépense d'énergie est utilisée pour faire varier la densité)

  5. Est-ce qu'on peut parler de 'finesse' pour les pingouins, nageant sous l'eau je m'entends... sans battre des nageoires.

     

    Oui, fondamentalement, il n'y a que la nature du fluide qui change.

     

    La marine américaine développe des planeurs sous-marins qui peuvent altenativement planer vers le bas et vers le haut en faisant varier leur densité.

     

    Google : underwater glider (en anglais)

     

    Google : planeur sous-marin (en français - mais beaucoup moins de réponses)

  6. Pour rebondir sur ce que dit Pierre, je vole dans un club où le règlement de l'association prévoit l'obligation d'un vol de contrôle avec un instructeur en début de saison pour tous les pilotes, instructeurs compris. Personne ne râle et ça permet effectivement de redémarrer la saison dans de bonnes conditions. Dans la même veine, pas question de partir sur la campagne sans avoir fait 3 atterissages en solo sur le terrain.

     

    Il est vrai que ceci est plus important dans les clubs de plaine où l'activité se réduit fortement l'hiver et où les pilotes ont plus tendance à se rouiller l'hiver, mais le contrôle annuel permet effectivement de détecter les dérives ou d'éviter de prendre de mauvaises habitudes (et ne venez pas me dire que cela pose des problèmes d'organisation).

     

    Regardez ce qui se passe pour le PPL, même si ça fait râler quelques vieux moustachus attachés à leurs "privilèges de commandant de bord", le vol de contrôle est maintenant obligatoire.

     

    Ceci dit, le vol de contrôle n'est qu'une des briques de l'édifice.

     

    Il faut quand même noter qu'une grosse partie des accidents a eu lieu en montagne et soit en compétition soit en stage, dans des conditions où le stress est plus élevé que dans une activité régulière en club (en vrac : fatigue accumulée, on veut profiter des (rares) bonnes journées, remontage quotidien du planeur, environnement moins familier, concentration de machines dans des secteurs réduits, etc). C'est aussi sur ces facteurs-là qu'il faudrait pouvoir jouer, et là il n'y a que l'éducation et la sensibilisation qui pourront avoir un effet.

     

    Il me semble (mais je peux me tromper) que le taux d'accidents des pilotes "de passage" est significativement plus élévé que celui des locaux. C'est probablement sur cette population que la sensibilisation devrait être ciblée en priorité.

  7. Il y a un certain nombre de clubs, qui sans être en région parisienne n'en sont pas éloignés du tout et pratiquent des formes de tarifications flexibles (cotisation annuelle ou à la journée, forfait heures de vol ou facturation horaire).

     

    Tout à fait au hasard, :P je citerais Chartres (lien dans la signature).

  8. Je pense que le cap critique se situe aux alentours de 60/80 pilotes et 2000h par an. Avant, on peut fonctionner au bénévolat, par contre il paraît difficile de dépasser ce cap sans une oragnisation plus méthodique : piste ouverte toute la semaine en particulier.

     

    Le problème, c'est qu'il est difficile de payer un salarié à plein temps sans atteindre ce niveau d'activité. La solution a été, dans un certain nombre de clubs, les contrats d'insertion, type emploi-jeune qui ont permis d'alléger les charges pendant la montée en puissance du club. N'étant pas dirigeant, je ne rentrerai pas dans le détail des chiffres, mais je peux citer comme exemple Grenoble au début des années 80 (Ludovic et Olivier sont un peu jeunes mais ils pourront demander aux anciens).

     

    Ceci dit, la remarque de F-B est tout à fait pertinente, même dans les grands clubs, il est impossible de fonctionner sans bénévolat. Le salarié est là pour faire le chef pilote (tâche lourde pour un bénévole) pas 6 heures de remorquage par jour ni le secrétariat ni la gestion de la coupe fédé.

  9. Cet engin est une version biplace (unique) de l'ancienne version du PZL 106 qui avait un moteur en étoile à l'origine

    La version actuelle est à turbine

     

    Une autre vue du Kruk biplace (encore plus laide) : http://www.bredow-web.de/Berlin_Schoenefeld/PZL_106_Kruk/PZL_106_Kruk.JPG

     

    Un autre avion agricole/remorqueur de l'Est : le LET-37 Cmelak tchèque

    http://www.aeroflight.co.uk/mus/uk/u-z/wroughton10.jpg

     

    qui a évolué vers le 137T, version turbo (celui-là même qui a remorqué le troupeau de Blanik, voir ici)

     

    http://avia-dejavu.net/ok-vih.JPG

     

    Mais aucune des deux versions n'arrive à la cheville du Kruk en matière de laideur :sick::)

     

    une page d'avions agricoles (y compris encore une autre photo du Kruk biplace)

  10. En 89, je m'souviens, c'était le 15 août.

    Votre serviteur a fait Buno-Nemours en montée +1/+2 en ligne droite au bord d'attaque de la rue de nuages (en Janus avec un élève)
    biggrin.gifbiggrin.gifcool.gif

    Qui a dit "ancien combattant" au fond de la salle ? :rolleyes:

    L'explication est assez simple, il faut :
    - une couche convective avec une inversion qui bloque le développement vertical des cumulus
    - du vent qui déclenche des rues de nuages entre le sol et la couche d'inversion
    - une couche stable au dessus de ladite couche d'inversion (ça, c'est facile)
    - du vent orienté entre 60 et 90 degrés par rapport au vent dans la couche convective (ça c'est déjà moins facile)
    - dont la vitesse soit telle que la longueur d'onde dans la couche stable soit à peu près égale à la largeur des rues de nuages (là ça devient carrément rare).

    Dans ce cas, les rues de nuages jouent le même rôle que des chaines de montagnes sensiblement perpendiculaires au vent (cf la partie onde p166 dans l'édition 1993 du bouquin bleu)

    Il y a une description du phénomène et un croquis dans "La course en planeur" de Helmut Reichmann (p56)

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