Bonjour chèr(e)s vélivoles :-) J´ai trouvé un article, disons plutôt une "légende urbaine", sur les canons à poulets que l´on teste sur les pare-brises, réacteurs, voire bords d´attaques d´avions autant civils que militaires, l´article est écrit en anglais, mais ca vaut la peine d´essayer de le lire: http://www.snopes.com/science/cannon.asp Sur Wikipedia voici l´article sur les canons à poulet (l´article francais ne mentionne pas cette lègende urbaine...comme toujours les contributions francaises...hem hem): http://en.wikipedia.org/wiki/Chicken_gun Sinon j´ai une version plus courte, et traduite: voila bonne rigolade :-) "Dans le dernier numéro du magazine américain "Meat and Poultry", la rédaction cite avec délectation un article récent de la revue "Feathers",organe de la Fédération de l'industrie volaillère de Californie, ou l'on conte l'intéressante (et véridique !) histoire suivante: Il semble que l'administration aéronautique fédérale américaine (FAA) ait un moyen unique de tester la résistance des pare-brises d'avions. Le système est composé d'un pistolet qui lance des poulets morts sur lesdits pare-brises à la vitesse approximative d'un avion en vol. La théorie est simple : si le pare-brise résiste a l'impact de la carcasse, il devrait survivre a une véritable collision avec un oiseau vivant. Des ingénieurs anglais se sont montrés tres intéressés et ont décidé ainsi de tester la résistance des pare-brise du modèle de locomotive à grande vitesse qu'ils sont en train de développer; ils ont donc emprunté le lanceur de poulet américain,l'ont chargé et ont fait feu. Le poulet sol-sol a explosé la vitre du train, traversé le fauteuil du mécano, défoncé la console d'instrument de bord avant de s'encastrer dans le panneau arrière de la cabine de pilotage. Les Belges un peu surpris, ont alors demandé à la FAA de vérifier la validité de leur test. La FAA s'est donc livrée a un examen de la procédure pour aboutir à la recommandation suivante : "IL FAUT DECONGELER LE POULET AVANT LE CRASH!!!" Rigolades mises à part, je connais un instructeur qui a tapé dans un Vautour avec un Marianne, dans les Pyrennées il y a quelques années de cela: il ne faut pas prendre ce genre de choses à la légère! Bons vols, et ne vous rapprochez pas trop de nos amis en spirales :-) Yannick