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Vos Avis Sur L'achat D'un Planeur Motorisé


Rob

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Tout est dans le titre, nous discutons actuellement de l'achat futur d'un planeur motorisé (ULM inclus), afin de renouveler le parc, relancer l'activité, et pourquoi pas recruter de nouveaux types d'adhérents. Nous avons pensé au DG 505 MB, qui semble très performant, mais le choix ULM peut aussi correspondre à nos attentes (adieu GSAC, etc...). Je pense au TeST 14 Bonus, mais nous n'avons aucun retour, car trop récent. Nous en avons sûrement oublié, je compte sur vous !

 

Merci

 

Robin SIMON

S8
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A mon avis, un motoplaneur à dispositif d'envol rétractable n'est pas la meilleure idée pour un club. En effet, l'utilisation d'une telle machine (sortie et rentrée du moteur, démarrage, gestion des températures, etc...) exige beaucoup de rigueur dans l'application des procédures. De ce fait, il est nécessaire de s'entraîner régulièrement aux différentes manoeuvres. Dans un club, les gens volent souvent sur des machines différentes et de ce fait risquent de ne pas avoir l'entrainement suffisant pour ne pas faire d'erreurs. Nous avons eu au Pic St Loup un Twin3SL. L'utilisation du moteur n'avait rien de bien compliqué ni d'insurmontable. Pourtant, il s'est vite avéré que seuls les pilotes s'entrainant régulièrement sur cette machine pouvaient l'utiliser en toute quiétude. Une mauvaise application des check-lists et c'est le moteur qui ne démarrait pas ou le pylone qui restait bloqué à mi-course. Au contraire, un privé qui ne vole que sur sa machine et qui la connaît parfaitement a moins de chances de se retrouver face à de telles situations. Ensuite, il est vital d'éditer et de faire respecter des règles strictes d'utilisation du moteur : pas de rallumage en vol en dessous d'une certaine altitude ni sans être en local strict d'un aérodrome ou d'un champ vachable.
Gliders pilots do it better
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bonjour

 

pour moins de risques dus aux pertes de perfos lors de la sortie du pylone...

il existe au moins 2 planeurs ou la sortie de l'helice ne degrade pas trop les performances du planeur STEMME S10 et S15... et permet de faire le demarrage moteur "plus sereinement"

 

en plus c'est des biplaces cote a cote et ils sont pas moches

 

bon ok c'est un peu plus chere...

 

@+

 

cyrille

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A mon avis, un motoplaneur à dispositif d'envol rétractable n'est pas la meilleure idée pour un club.
J'approuve entièrement. Après plus de 20 ans d'utilisation de différents planeurs à moteur rétractable, je suis de plus en plus convaincu qu'il ne s'agit pas de planeurs de club.

 

Au contraire, un privé qui ne vole que sur sa machine et qui la connaît parfaitement a moins de chances de se retrouver face à de telles situations

 

Moins de chances, c'est vrai, mais le risque de faire une erreur n'est jamais nul.

 

TRES IMPORTANT et qui ne vient pas forcément à l'esprit du profane : lors d'une remise en route du moteur, il faut être en local immédiat d'une piste ou d'un champ atterrissable. La finesse d'un DG 400 moteur sorti arrêté n'est que 13 au lieu des 45, tout théoriques, annoncés par le constructeur. Il serait suicidaire de penser : je suis dans une vallée sous finesse 20 + 200 m de rab d'un aérodrome, il me manque 200 m pour passer un col, je remets en route là ou je suis. Ce qu'il faut faire dans ce cas, c'est planer "en lisse" jusqu'à voir le terrain sous un angle très important ( 45°, c'est pas mal ) avant de remettre en route. Tant pis si la montée au moteur est, dans ce cas, plus longue.

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On possède déjà un SF 25 C avec pas variable qui marche bien, mais peu de gens s'en servent , ça s'apparente trop à un avion , finesse moyenne... C'est pour ça qu'on recherche un motoplaneur plus fin, sachant que seuls des gens bien formés voleront dessus, en imposant par exemple un minimum d'heures dans l'année, ou autres solutions pour garder l'entrainement.
S8
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Si tu veux "relancer l'activité" il faudra que le nouvel appareil vole un maximum. Si tu imposes trop de contraintes ou de limitations, ton appareil ne volera pas suffisamment, son bilan financier d'exploitation risque fort d'être mauvais et tu ne relanceras rien au bout du compte.

 

Essai peut être de faire voler plus et mieux ton SF 25 (instruction campagne, att extérieurs, reco champs, vols d'hiver, ballades entre copains, stages extérieurs, etc...).

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il existe au moins 2 planeurs ou la sortie de l'helice ne degrade pas trop les performances du planeur STEMME S10 et S15... et permet de faire le demarrage moteur "plus sereinement"

Non, Cyrille, il y en a trois : les Stemme S10 et S15 et... le Sonata ! :P;)

Yurek
http://www.yankee-romeo.com
If God meant man to fly, He'd have given him more money.
Honni soit qui mal y pense ! http://informatiquefrance.free.fr/sms/sms_04.gif

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Invité Jean-Marie Clément
La finesse d'un DG 400 moteur sorti arrêté n'est que 13 au lieu des 45, tout théoriques, annoncés par le constructeur.

 

Les 45 s'appliquent à la configuration moteur rentré, faut-il le préciser ?

Pour info, la finesse max du Nimbus 4D passe de 60 à 15 moteur sorti et arreté (valeur mesurée indiscutable). Elle est probablement encore inférieure moteur sorti et hélice en moulinet, cas de figure lorsque la courroie est cassée (c'est arrivé à Régis Kuntz et Didier Hauss, ils peuvent témoigner).

 

En aucun cas, ce genre de machine, Stemme compris, ne peut etre laissé entre toutes les mains, sauf nombre restreint de pilotes ayant la mentalité (et si possible la licence) "avion", habitués aux procédures, à l'application scrupuleuse de check-list "papier", et surtout, entrainés et préparés... au pire!

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TRES IMPORTANT et qui ne vient pas forcément à l'esprit du profane : lors d'une remise en route du moteur, il faut être en local immédiat d'une piste ou d'un champ atterrissable.

A-B-S-O-L-U-M-E-N-T !

Mais cela ne suffit pas !

J'étais, hélas, témoin d'un incident qui a bien failli se transformer en catastrophe, lorsque le pilote d'un DG808 tentait de mettre en route en circuit de piste... au début du vent arrière plus précisement. Comme vous pouvez imaginer, il n'a jamais reussi de démarrer son moteur, ni de le rentrer, d'ailleurs. Il n'avait aucune chance de faire son circuit et il est passé - par miracle - a un mètre des arbres qui longent la piste. Je connais (sans les avoir vu) deux autres cas qui se sont déroulés dans des conditions similaires.

Il faudrait donc en plus dire : à 200 m/sol on s'occupe de son atterrissage et que de ça. Et on oublie le moteur, même en circuit de piste...

Yurek
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Salut,

 

On a un DG 500 MB dans mon club, mais pas pour les mêmes raisons car on a deux remorqueurs à coté. Je connais pas le planeur car il est trop lourd aux commandes pour moi, donc je donnerai aucun commentaires sur ces qualités de vols, mais ce que je peux dire c'est qu'un DG 500 demande de l'entretien et un soin que les membres d'un club ne donnent pas toujours volontiers (ou de manière continue)...

 

Il est aussi grand et peut demander un montage-démontage qui un jour ou l'autre engendrera des petits bobos, style ralonge qui tombe par terre au montage ou autre (si si on a eu ça). Sans compter les problèmes inhérents à la manipulation d'un moteur rétractable qui peuvent appraître en vol.

 

Mais autrement le DG est une bonne alternative pour nos pilotes qui veulent voler en semaine et qui ne trouvent pas toujours de pilotes remorqueurs, ou qui souhaitent voler un bon biplace. Par contre je l'ai rarement vu voler le week end lorsqu'il est en compétition avec un duodiscus, des ask 21 ;)

 

Le club vaudois de Montricher (www.planeur.ch) a aussi un DG 500 MB, et il vole beaucoup, ils ont peut etre un avis à donner?

 

Voilà c'est tout :D

 

Jennifer

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Encore un truc que je sais sur le DG 500, il n'est pas certifié au décollage par vent de travers moyen (sauf vent faible), et les instruments ne marchent plus avec la pluie (mais vraiment plus du tout dès la première goutte d'eau).

 

Donc faut éviter les averses, ca parait con mais bon.. , en plus le profil se dégrade méchamment sous la pluie, ça devient un caillou (moteur rentré bien sûr)!

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J'étais, hélas, témoin d'un incident qui a bien failli se transformer en catastrophe, lorsque le pilote d'un DG808 tentait de mettre en route en circuit de piste... au début du vent arrière plus précisement.

 

C'est bien pourquoi j'ai parlé d'un angle de 45°, soit finesse 1. On peut transiger à environ 30°. Je confesse qu'il m'est arrivé une fois, une seule, de faire la même connerie que celle ci-dessus. Le moteur n'a pas démarré suite à une autre erreur que j'avais faite, d'où ma remarque que même un pilote connaissant bien sa machine et entraîné n'est pas à l'abri d'une fausse manip. Ca s'est bien terminé, mais... Depuis, il m'arrive de remettre en route en circuit de piste, mais je le fais beaucoup plus tard (base ou finale) sous un angle qui me permet de faire la piste quoi qu'il arrive, et après avoir au préalable sorti le train. Le seul risque est alors d'atterrir long si ça ne démarre pas.

 

A déconseiller absolument :

 

- aux pilotes insuffisamment entraînés ;

- sur un champ ;

- sur une piste difficile ou courte.

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Depuis, il m'arrive de remettre en route en circuit de piste, mais je le fais beaucoup plus tard (base ou finale) sous un angle qui me permet de faire la piste quoi qu'il arrive, et après avoir au préalable sorti le train.

Tatave, ça a l'air tellement bien rodé comme procédure que je suis sûr que tu t'entraînes plus souvent que tu veux bien nous le dire à la radio ;):D

(pas taper, pas taper)

- vinch -
Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse
s'élancer vers les champs lumineux et sereins;
Celui dont les pensers, comme des alouettes,
Vers les cieux le matin prennent un libre essor,
-Qui plane sur la vie, et comprend sans effort
Le langage des fleurs et des choses muettes!

(Charles Baudelaire, Elévation)

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OK, je suis d'accord avec vous, pour qu'une machine soit rentable; il faut qu'elle vole un maximum. Mais force est de constater que nos planeurs de "perfo" (DG300 et Pégase) ne volent pas beaucoup non plus, de l'ordre de 100 H chacun... Beaucoup de pilotes ont peur de la vache, et ne sortent donc pas du local, et finalement se lassent. Certains volent une heure ou deux, voire trois, et se posent en plein milieu d'aprem, par ennui, alors que le temps passe si vite en circuit !! C'est aussi ce qui nous a amenés (membres du CA) a penser au motoplaneur, qui redonnerait goût au cicruit à certains. Les Suisses de Fricktal possèdent aussi un DG500 MB, ils ont des gros soucis de fiabilité des périphériques moteur, mais les perfos sont au rendez-vous, je continue à me renseigner. Evidemment le moteur devient un outil de plus à gérer, mais qu'importe le nombre de pilotes volant dessus, du moment qu'il vole beaucoup ? La plupart des membres de mon club sont lachés sur Pégase, et il n'est pas rare de les voir dans le hangar en plein mois d'Août... Alors que faire dans ces conditions ?
S8
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100 heures pour un Pégase c'est très bien !!!

En moyenne, nos mono sont à peine à cela.

 

Par contre, les biplaces sont de plus en plus utilisés et cette tendance semble se confirmer dans nombre de clubs. Vols mutuels en local qd la MTO est moyenne ou en circuit dés que c'est possible.

Pour cela, il faut des planeurs pilotables par tous (donc éviter les 25 m), même si la sécurité est assurée par un noyau de pilote cdt de bord plus restreint. Et des planeurs agréables, fins, pilotables ..... , il n'en existe pas 36 : le Duo si vous êtes riche ou le Janus (mais est peut être un peu moins accessible pour ceux qui volent peu).

Et si vous êtes fauché : le Marianne qui n'est certes pas exempt de défaut mais permet déjà de faire du grand tourisme.

 

Je suis des plus réservé sur le SF qui est surtout un outil de formation et les ULM (plusieurs clubs les ont déjà revendu).

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Beaucoup de pilotes ont peur de la vache, et ne sortent donc pas du local, et finalement se lassent

 

Peur de se poser ou peur des difficultés à se faire dévacher ?????

 

La première est un pb de formation et d'entrainement qui ne peut se résoudre que si les ITV plus qq autres circuitent.

 

La deuxième disparaît également lorsque le club a une tradition de vol sur la campagne et donc l'habitude des dévachages. Plus délicat le dimanche soir, mais ds ce cas on circuite en papillon et on réserve les circuits aller-retour pour le samedi.

 

 

Maintenant, il est probable que la sortie du local est plus difficile dans certaines zones géographiques.

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Je ne crois pas qu'un motoplaneur soit la solution au problème de la peur de la vache et à celle de quitter le local qui en est la conséquence. Le stress d'avoir à remettre le moteur en route hors du local est encore plus grand que celui de la vache, puisqu'il faut être prêt à cette vache en cas de non démarrage du moteur et sans possibilité de récupérer une finesse raisonnable, donc une gestion du plan beaucoup plus pointue. Avec une telle "solution", je vois bien quelques rares privilégiés lachés sur le beau biplace motorisé en profitant un max, pendant que le reste continue à tournicoter en local avec les Pégases et DG300, ou même ces derniers restant encore davantage au hangar parce qu'un de leurs pilotes potentiels est quand même dans l'autre place du beau biplace.

La solution serait plutôt du coté formation, entrainement, entr'aide (pour les dépannages), circuits en groupe, pilote(s) (instructeur ou pas, mais c'est dans le role d'un instructeur) dynamique(s) entrainant les autres.

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