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Delta_Charlie

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À propos de Delta_Charlie

  • Date de naissance 14/06/1978

Profile Information

  • Genre
    Homme
  • Localisation
    Challes-les-Eaux

Profil pilote

  • Badge FAI
    Badge 3 Diamants
  • Région de vol
    Alpes du Nord
  • Instructeur
    Non
  • Voltige
    Non
  • Planeurs préférés
    asw22ble, H-201, ls6

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642 visualisations du profil
  1. Salut Christian, Alors comme ça on traine sur les forums des vélivoleux ! Le 25 au 1/3 vole toujours bien ? Bonne chance pour le LS10, il y en a pas beaucoup qui trainent (du moins en France et ailleurs surement ...), dommage ... A+ Fabrice
  2. Ce sont les membres qui gèrent leur déclaration et la soumission de comme prévu (électroniquement ou papier). Pour les contrôles, c'est le rôle des commissaires netcoupe (dont je fais partie). Le logiciel ne traite que les vols libres, on n'a pas de soumission en doublon car il détecte si le vol est soumis ou pas. Lors de l'inscription au club, on demande au membre s'il souhaite mettre lui-même ses vols ou s'il ne le fait pas, donner l'autorisation au club de le faire, cette donnée est gérée par le soft. Pour ton deuxième point, je ne comprends pas toute ta question, pour moi il n'y a que deux cas, le comme prévu papier avec control manuel ou l'électronique, le mixte des deux m'étonne un peu ... à moins que je me trompe. Ceci dit, mon logiciel ne sert pas à faire du control, c'est une aide qui permet de rendre la gestion de la netcoupe moins pénible et plus rapide pour les responsables club, en aucun cas il ne se substitue à eux.
  3. Bonjour, Au Centre Savoyard de Vol à Voile Alpin (Châlles), pour gérer la soumission des vols sur la netcoupe et perdre le moins de km possible, nous avons automatisé les tâches les plus pénibles. Il y a trois étages à ce flux de données (si je peux me permettre cet abus de langage ...): Les deloggages (la récupération des fichiers igc des planeurs provenant des flarm et lx), faites pas 2 ou 3 personnes, tout les vols sont stockés sur un serveur FTP pour permettre l'accès de n'importe où. Le traitement des fichiers .igc (affectation du planeur, affectation du pilote, check pour voir si le vol est ou pas sur la netcoupe et s'il a moins de 2 mois), stockage des vols par pilotes et planeur. Création d'un répertoire de soumission par planeur. La soumission netcoupe faite pas 1 personne à la main. Un petit historique s'impose. Quand j'ai mis le pied dans cette tâche des délogages/soumission au club en 2007/2008, nous étions encore dans une logique "ancienne" coupe fédérale où les pilotes nous signalaient leurs vols dans un cahier et nous allions les chercher dans les enregistreurs de vols qui étaient principalement des lx. En 2007, avec la généralisation des flarms avec lecteur SD au club, la nature du boulot a évoluer car chaque pilote ayant son propre compte netcoupe pouvait dès lors récupérer et déclarer lui-même ses vols, le cahier a finit par disparaitre. Soumettre des vols à la chaine était une tâche laborieuse car il fallait calculer la distance avec see-you et la renseigner sur la netcoupe. Pendant l'été 2008, l'importance de la netcoupe en France nous à fait rapidement basculer dans un mode "full-soumission", c'est à dire tout ce qui est valide doit être soumis. Tous les flarm ont été équipés d'une SD card, laissée en permanence dans le planeur sauf pour passer les vols sur le PC. Mais les pilotes récupérants aussi leurs vols, ils manipulaient les cartes du club ... et cela a été l'hécatombe, on a perdu 60 % des cartes, sauf deux ou trois qu'on a retrouvées sous un baquet lors de visites annuelles. Le traitement était interminable, je me rappelle qu'un membre alors en stage s'est coltiné tout les renommages à la main (avec les planches de vol papier) pendant la saison, sur le club de Challes, il y a de quoi devenir fou ... Et pas question de mobiliser des ressources salariales sur ce sujet (ce n'est pas une vérité établie comme nous le démontre d'autre clubs mais ce n'est pas le sujet). Pour la saison 2009, il était clair qu'on ne pouvait pas continuer comme cela, et la vie est trop courte pour passer des heures à classer des fichiers igc ! C'est ainsi que je me suis lancé dans le développement d'un logiciel flanqué d'une interface graphique basée sur du TCL/TK (sorte de langage C interprété) le tout encapsulé dans un "Virtual File System" pour la portabilité sur tout OS. Le but, faire en 1 minute ce qui prenait des journées de travail répétitif et inintéressant, le tout avec un risque d'erreur proche de zéro. Après deux ans d'utilisation, ce logiciel s'est amélioré, tant graphiquement que fonctionnellement. Actuellement, en voici les grandes fonctionnalités: Visualiser la planche de vol avec des fonctions de tri basées sur l’immatriculation d’un planeur, le pilote ainsi que les dates. Faire un état des lieux des délogages afin de définir des priorités. Affecter chaque vol à un pilote en faisant la corrélation entre la planche de vol (sous format csv sortant du système de gestion du club) et le nom du fichier igc. Etre capable pour chaque planeur de générer un répertoire contenant tous les fichiers igc non soumis sur la netcoupe de moins de 2 mois. Pour cela, on utilise l’export Excel club de la netcoupe pour la corrélation. Une fois la question du logiciel de traitement réglé, il nous faut améliorer notre méthode de délogage car c'est notre gros point faible. Pour les flarms, nous autorisons les manipulations des membres pour qu'ils soumettent eux-mêmes leur vol. Il y a beaucoup moins de perte depuis que les cartes SD club sont marquées par une couleur orange fluo. Il nous reste tout de même une grosse marge de progression sur cette partie en amont du reste. Enfin la soumission n'est pas si terrible que cela encore qu'un module remplissant automatique les champs lors de la déclaration d'un vol serait un plus, ce sera peut-être une évolution du logiciel ... Quoiqu'on en dise, c'est un travail laborieux basé sur la régularité et ce n'est facile de trouver des bénévoles qui s'engagent sur du long terme, je comprends que cela puisse lasser ! Kenavo, Fabrice Garré
  4. Si, si Thierry, on va aller plus loin puisqu'on va déménager le CSVVA à Guiscriff-Scaer, on trouvera bien une pente exposée Nord-OUest pour les sorties de treuillées, et on va renomer le club CBVVA -> Centre Bigouden de Vol à Voile Armoricain (Bon ok, certain puristes diront que Scaer n'est en pays Bigouden mais ça sonne bien)
  5. Z'êtes les bienvenus ! Ceux et celles de chez vous qui sont passés par là cet été se sont pas plaints de l'accueil ;-) C'est incroyable de voir la rade de Brest avec l'aile d'un planeur ! Ayant été étudiant là-bas pendant 5 ans, il arrivait souvent d'avoir des conditions de traine de dingue, surtout en automne. Dis moi Philippe, t'as pas essayé de faire de la pente sur le roc'h Trevezel ? J'en étais resté à Plémeur-Bodou, après Brest, il va falloir songer sérieusement à virer Ouessant ! :rolleyes: Et encore bravo !
  6. Pertinente intervention (qui me va très bien également ) de la part de MD, mais si on regarde les gros bras en fin de liste, on pourrait être tenté d'imaginer une autre liste ! Aller, Kenavo
  7. Dites moi fougueux GYR, Quel est votre age ?
  8. Delta_Charlie

    Maquettes Planeur

    J'ai pendant les vacances présenté les deux ASH25 de mon club (l'un monté et l'autre démonté) à un modéliste qui avait besoin de prendre des photos pour certains détails (notamment pour le découplage des flapperons lors du passage du cran landing, mécanique dans le fuselage, intérieur cabine ...). Son projet en cours : un ASH25 radio commandé à l'échelle 1/3 ... cela commence à faire gros surtout pour l'avion remorqueur qu'il faut pour le mettre en l'air. Il m'a expliqué que les profils de sa bestiole sont optimisés pour cette échelle (pour pas dire exclusifs ...) et c'est du tout carbone. La suite au printemps où il m'a promis de l'amener au terrain contre un baptême dans le modèle à l'échelle 1. Pour ce qui est du prix à l'unité de volume ... A+ Fabrice
  9. C'est très simple: - Grosse boite (jusqu'à 10 semaines parfois, et peut-être plus si ça se trouve ...) - Ma copine s'appelle Ventus 2c ou toute autre bécane en fonction des afinités de chacun Fabrice
  10. Delta_Charlie

    Krassair

    oui mais 45 essais quand même ... t'étais énervé avant ou après le 45e essai ? perso j'ai stoppé à 4 ... Avant oui, apres non
  11. Delta_Charlie

    Krassair

    45 eme essais => 9 ca m'enerve ces jeux !
  12. Delta_Charlie

    Nouveau Defi !!

    Ah j'oubliais, il faudra mettre le chauffage en face pour samedi pour eviter que le gelcoat gele !
  13. Pour du cable acier, on amenera un treuil de Challes par la route la prochaine fois, faudra trouver des volontaires pour le convoyage (au briefing par exemple)... En tous cas, etant de la region (un peu plus au nord), planeur + plage = super photos ! Par contre les planeur ont du avoir un rincage du train apres cette experience maritime ? Kenavo, Fabrice
  14. Chronique Le planeur de Bourvil, par Francis Marmande LE MONDE | 26.07.06 | 14h31 • Mis à jour le 26.07.06 | 14h31 La Grande Vadrouille : on avait toujours tenu ce film pour ce qu'il est. On apprend ces jours-ci qu'il s'agissait en fait d'une sorte de chef-d'oeuvre. Avec sa vision primesautière de la seconde guerre mondiale, vingt ans plus tard (tournage en 1965) - Paxton l'historien est en plein boulot -, le document serait plutôt du genre angoissant. Son titre déjà. Mais enfin bon, les Hospices de Beaune éclairés par Claude Renoir... A quoi tiennent les réputations ? Au détail. Au déchaînement imaginaire du détail. Ainsi : une polémique enflammée entoure "le planeur de Bourvil et de De Funès". Un faux exemplaire (en fait, un Caudron C800 rouge revêtu de la signature des deux comiques) trônerait, pour la plus grande joie des amateurs émus, en un musée d'Azay-le-Rideau. Or, dans le film, on voit un Castel C25S sans haubans. Les deux pilotes s'y tassent côte à côte, ce qui déjà, dans les salles, faisait rire. Il faut dire que les carlingues de planeur de cette époque ont toujours un vague air de cercueil fantaisie. Pour l'instant, j'y aurai passé plus d'heures que dans un couffin, fût-il fantaisie. L'été 1965, là-haut, sur le terrain, nous étions fous. Fous d'avions, fous de fuselages, fous d'empennages papillon, fous des nuages qui se font et défont, fous du vent qui rend fou, fous d'une prise de terrain réussie, comme d'autres sont fous de folie. Le terrain, juché tel un porte-avions échoué en montagne, herbu et caillouteux, envahi de moutons carillonnant la nuit, siégeait dans un nid de nuages et de sommets aux noms chantants. Plus près, le vent, plus loin, l'océan. On sortait titubant, radical, anticolonialiste à jamais, de la guerre d'Algérie. La plupart d'entre nous n'avaient pas l'âge du permis de conduire. Mais on volait. Des planeurs, ces avions sans moteurs aux ailes de géant, tout nous plaisait. Tout. Pour quelles raisons ? Trop : Freud, phallus, fuselage, frayeurs, free, frivole, fantaisie. Princes de la glisse et du paradoxe. Voler sans explosion dans l'invisible. Se faire à l'invisible, repérer l'ascendance à des riens, éviter le danger mais pas la peur, suivre d'imaginaires couloirs, grimper dans l'onde, sans jamais rien voir de ses yeux. Les planeurs combinaient tous les mérites : sublimes à regarder, même les plus moches ; sculptures volantes, résultante ailée de tous les arts pratiques, si sonores (le zef s'y engouffre en sifflant des sornettes) ; génialement inutiles ; n'ayant strictement aucune autre raison que de planer ; et surtout, sans pardon, aussi exigeants qu'un stradivarius ou un Miura. A 5 mètres près, 10 noeuds en trop ou en moins, quelque infime erreur d'appréciation, c'était la casse ou la mort. Régulièrement, des pilotes de long- courriers passaient leurs congés à se ressourcer, retrouver en planeur la précision, le doigté, l'élégance et la justesse. Nous, nous prenions l'air badin. Jégat, l'instructeur, pilotait avec l'art d'un violoncelliste. Ascendances ou cumulus, il se faisait voyant. Racontait des histoires. Un avion de la 30e génération (on en était au Boeing 707 ; 2 % seulement des Français avaient pris l'avion une fois dans leur vie), un gros-porteur, donc, se tient prêt au décollage. Voix suave de l'hôtesse : "Mesdames et Messieurs, vous venez de prendre place à bord du plus gros porteur de la 30e génération. Nous sommes 14 807 à bord. Vous trouverez au 5e pont cinq hôtels de toutes catégories, plus vingt-trois restaurants ; au-dessous, la reproduction à l'identique du central de Roland-Garros ; au 3e, trois lieux de culte, la cellule psychologique et le commissariat, etc." Quand la voix finissait par souhaiter bon vol, en carlingue, le commandant un peu lassé balayait les 7 000 cadrans d'un soupir : "Bon, c'est pas tout ça... Maintenant, faut faire décoller cette grosse connerie. Francis Marmande Article paru dans l'édition du 27.07.06
  15. Ce sera ce week end, sous les orages ... Fabrice
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