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delta217

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Tout ce qui a été posté par delta217

  1. Affiliation ? La FFVV prévoit la possibilité de voler sur des ULM (voir la note fédérale), et d'ailleurs elle fait bien voler des lambada à St Auban. Donc, il s'agirait bien de rester "FFVV". Je vois finalement 3 problèmes : - un problème culturel, illustré par la question "où va-t-on marquer les heures de vol ?" - un problème d'audace, lié un peu au précédent, car il faudra à un moment prendre la décision de vendre le remorqueur, et c'est donc quasiment un billet aller simple.... - certes un problème d'assurance, mais est-il insurmontable (Individuelle Accidents,... Négociation avec son assureur...) ? A tort ou à raison, les ULMistes s'en accomodent. Il y a aussi des risques : - celui de baisser la garde au niveau des procédures et donc de la sécurité : le "vol à voile" pratiqué avec des ULM doit rester procédurier s'il veut être sérieux - celui de la "reprise en main sécuritaire" par nos administrations bien-aimées... J'ai un peu de mal à y croire, du fait de l'ampleur pris par le mouvement ULM, et donc l'activité économique, aussi minime soit elle, qui est derrière (notamment dans les pays de l'Europe de l'Est). Je voudrais que les micros club s'expriment.... (merci Flo !). Anecdote de micro club : 5 pilotes remorqueur Dimanche prochain 21 aout : 1 HS (votre serviteur - jambe platrée), 4 indisponibles, donc toutes les machines au fond du hangar....
  2. Vision si pessimiste ? En tout cas, j'ai le sentiment qu'on y va tout droit, qu'on le veuille ou non : à Aspres cet été, nous avons constaté le recul confirmé de l'aviation avec CDN, tandis que les ULM foisonnent. Après tout, si un virage vers l'ULM nous permet de continuer de faire du "vol à voile" (les machines que je cite à mon sens le permette), avec moins de contraintes, pourquoi-nous en plaindrions nous ? http://bayart.jp.free.fr/images/49.jpg Surtout si l'alternative est de disparaître du ciel... La question des brevets doit être adressée à notre fédération. Pour moi le seul problème est la gestion des équivalences (pouvoir passer facilement de l'un à l'autre). Dans notre cas, la dernière mouture consisterait à maintenir une activité planeur "pur" (le mot a-t-il un sens ?), ou une activité pour les "puristes" (çà c'est sûr qu'il y a une réalité derrière ce mot !), en allant voler ailleurs (en montagne, mais nous avons aussi deux clubs à moins de 50km de notre terrain actuel). Cela fait des années que l'on dit que l'ULM est cuit, et que l'administration va y mettre de l'ordre. Et pourtant... Mon sentiment est que nous - les petits clubs fragiles - devons trouver une solution avant qu'il ne soit trop tard (caisse vide, patrimoine réduit à néant).
  3. Nous sommes un petit club qui survit tant bien que mal, et sans doute de plus en plus mal....: 15 à 20 membres, 300 à 500 heures selon la météo, un avenir plus qu'incertain compte tenu du retrait de l'état de notre plate forme (Paray le monial). Notre piste fait 600m, et la "tolérance" dont nous jouissions pour y pratiquer le vol à voile (imaginez vous avec 550m de piste devant le nez, un Twin derrière, un jour de canicule....) risque bien de prendre fin en 2007. De plus, notre trésorerie souffre passablement de notre remorqueur qui effectue 50 malheureuses heures par an. Alors, nous lorgnons du côté des ULM, et plus particulièrement du Silent 2 IN, en attendant le Taurus biplace. Et on se demande si notre avenir ne passe pas par un virage vers ce type de machine, qui nous libèrerait de pas mal de contraintes (remorqueur, possibilité de voler seul en semaine, cauchemars administratifs divers et variés...). L'alternative serait le treuil, mais avec 600m de piste.... Certainement que d'autres (petits clubs) sont confrontés aux mêmes difficultés, et envisagent peut-être aussi ce type de solution. Vos réflexions sur ce thème m'interessent.
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