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Florent CEMENCE

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Profile Information

  • Genre
    Homme
  • Localisation
    din ch'Nord
  • Intérêt(s)
    -tous sujets mécanique, électronique, composite
    -Formation & pédagogie,
    -50% vol à voile ultra-simple, 50% vol à voile "élaboré".

Profil pilote

  • NetCoupeur
    Oui
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    Aucun
  • Région de vol
    Nord
  • Voltige
    Non
  • Planeurs préférés
    PW5 & 6, LS8, Janus

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  1. L'élève est porteur de son dossier de progression, Il fourni une copie au DTO par voie numérique régulièrement (copies qui s'entassent et qui ne servent pas dans la vie du club) Il l'apporte à son FI, le FI ne "cherche" pas le dossier ni au bureau ni sur le web, il a une vue d'ensemble instantanée. Le FI renseigne à la fin du vol lors du débriefing La protection des données est assurée par l'intéressé lui-même. Je n'ai pas dit que c'était la "meilleure" solution, c'est un compromis.
  2. Bonjour, Même constat en ce qui concerne le nombre de candidats instructeurs. Je partage ce qui est fait dans le club : Garder la fonction d'instructeur plaisante au quotidien (administratif...) Fin des vols => détente avec les copains (pas d'administratif à la place des moments détentes ni plus tard chez soit) Un niveau théorique "avancé" des potentiels candidats est valorisé par le club (TKI avant de devenir FI) Expérience mini des candidats : la règle EASA des "100h et 200lancements" est une règle plus intéressante que l'ancienne règle Française des "200h" (que personne ne voulait changer...) pour mon club. Le vol plané "tour de piste" est une activité qui apporte satisfaction, qui permet de se mettre en l'air, et n'est pas évoqué comme un échec. (Vraiment) Beaucoup d'énergie...mais ça semble un sujet critique. ++ Florent
  3. Bonjour, Merci pour le message qui développe les intentions de Dynamique2028 au sujet de l'idée de devenir entité qualifié pour la gestion des licences et des DTO. Le sujet est très différent de "l'entité qualifiée pour l'examen théorique SPL planeur" initial de ce fil. Je propose à l'administrateur de renommer ce sujet en "Campagne electoral - Gestion de l'entité qualifiée FFVP examen théorique SPL" et de créer un nouveau sujet avec le message de dynamique 2028 "Projet d'entité qualifiée FFVP pour les licences et DTO" C'est peut être un peu trivial comme manip (es-ce que ça respecte les règles du forum? s'assurer que dynamique 2028 n'y voit pas de soucis?), mais je pense que c'est indispensable pour rendre la compréhension de ces sujets accessible. Le sujet est trop pointu pour y laisser des pièges de compréhension à ceux qui ne sont pas expert en règlementation. Merci d'avance des vélivoles qui ne voient ça que de loin, je suis joignable en MP si besoin, ++ Florent
  4. Bonjour, Arf, les discutions dans les assemblées ou dans les commissions seraient-elles filtrés ? Évidement, c'est la nature humaine... Surtout que ce sujet est tout à fait mineur...en apparence. Quelques soit le sujet, s'il n'y a pas d’écrits sur la place publique, il reste possible d'annoncer sur la place publique que le sujet n'a jamais été évoqué. Mais "partager" sur la place publique est souvent vu comme peu agréable... Difficile équation. ++
  5. Bonjour, C'est bien la situation que je comprend aussi à ce jour. Je re-précise que mon objet n'est pas directement la tarification de l'examen, mais l'articulation de son accessibilité : L'accès à l'examen proposée par l'entité qualifié FFVP devrait être égale quelque soit la provenance du candidat (mêmes conditions, mêmes tarifs). Le montant à payer est ensuite un choix politique, comme dit au début. Oui, la FFA est entité qualifiée depuis peu aussi. Dans ces cas là (ULM et PPL), l'accès à l'examen (méthode et tarifs) ne dépend pas du cursus de formation... c'est beaucoup plus important chez ces deux fédérations car il existe déjà un écosystème de différents cursus de de formation théorique. Le système actuel de la FFVP ne permet pas l’émergence d'autres systèmes de formation, c'est ce point qui me semble dommage. A l'heure où les clubs réclament des améliorations dans le système E-learning sans pouvoir agir eux-même (impression?), une concurrence mesurée entre différents outils de formation permettrait de challenger les outils entre eux pour une amélioration continue. Par exemple, les clubs qui font l'effort d’organiser des cours théoriques en présentiels : Tout le monde s'accorde à dire que c'est génial, mais le système FFVP interdit l'enregistrement officiel de ces cours dans la formation théorique des élèves, et interdit le passage de l'examen sans acheter le E-learning...et l’exécuter jusqu'au bout. En conclusion (conclusion perso), selon la FFVP, une personne allergique au E-learning ne pourrait pas faire de vol à voile. Les grands noms du vol à voile français sont-ils tous des fana de l'informatique? Est-il raisonnable de se passer d'un des ces grands noms dans un mouvement en décroissance ? On a deux systèmes qui ont pour objectif de cibler tout le monde : Utilisation du Elearning FFVP (majoritaire) et formation distanciel/présentiel par d'autres moyens (Livre bleu, travail personnel, cours, visites...). L'objectif du second est de récupérer ceux que le E-learning perd mais aussi de pouvoir valoriser l'investissement des instructeurs théoriques. Enregistrement sur fiche de progression propre au DTO. Ceux qui suivent le E-learning 100% finissent par venir au cours présentiel... Le passage de l'examen : c'est une bidouille mais effectivement, on est obligé de créer une fiche de progression bidon dans GESASSO. ++ Florent
  6. Hello, Après des tests, j'ai l'impossibilité de faire passer un examen SPL théorique, au sein de l'entité qualifiée FFVP, si le candidat n'a pas acheté le pack "e-learning+examen", ou acheter un "examen" à 60€. Licencié FFVP ou pas. Soit c'est moi qui n'ai pas bien compris... soit j'ai bien compris et ça montre qu'il est possible que certains n'aient pas bien compris la réalité, handicapé par la communication FFVP est trop peu claire à ce sujet (conclusion qui n'engage que moi). @Leche Pascual, si tu as le mode opératoire pour faire passer un exam à un membre FFVP qui n'a pas le pack, de façon gratuite, je prend !!! Merci ++
  7. Bonjour, J'ouvre un nouveau sujet pour évoquer une piste pour rendre les communications électroniques de la FFVP plus intégrés au mouvement: Les communications électroniques sont adressés par la FFVP, de façon ciblées (j'imagine via les informations contenues dans la base HEVA, mais je n'en sais rien en fait...). Lorsqu'on est destinataire, il est impossible de savoir qui d'autre à reçu la même communication (président?, instructeurs? commissaires sportifs?). Ce qui demande soit un effort systématique pour savoir qui a reçu quoi, soit de transférer en double au niveau du club pour garantir que l'info est passée. C'est ni agréable, ni efficient, ni écolo. Personnellement, je prend l'habitude d'écrire dans le haut de mes correspondances à large diffusion les rôles des personnes à qui je l’envoie. Afin de donner aux destinataires une bonne conscience de la situation sur cette communication faite par correspondance (pourquoi telle ou telle personne est en copie...). La correspondance, par nature, ne permet pas de comprendre qui d'autre reçoit l'info, comme lors d'une réunion classique...ou au bar. Il suffirait donc d'ajouter dans le haut de chaque courriel de masse les paramètres de ciblages utilisés dans la base de données (du genre "e-mail envoyé aux rôles présidents, trésoriers et commissaires sportifs de la base HEVA"). Ces paramètres, de facto compréhensibles par quasi tous les vélivoles, permettraient : Une meilleure conscience de qui reçoit quoi, comme évoqué plus haut, pour traiter au mieux l'info qui tombe. Derrière les envois de la FFVP, il y a des humains qui ont le droit d'avoir une idée du ciblage différente, ou de se tromper sur le ciblage. Écrire ce qui a été fait permet aux clubs de compléter selon leurs idées à eux, si besoin. De comprendre les causes d'une personne qui remonte "j'ai pas reçu telle ou telle communication", et éventuellement corriger les rôles dans la base HEVA si il s'agit d'un défaut de configuration des rôles. A mon sens, il s'agit d'une action corrective qui demandera très peu d’effort à la FFVP, qui va dans le sens d'une meilleure interface FFVP / Clubs / Licencié(e)s. Y a t-il des vélivoles qui ont déjà rencontré ce problème ? Ai-je loupé un truc et en fait tout est déjà fait ? Y a t-il un haut responsable FFVP apte à prendre ce sujet à corps? Comme d'habitude dans mes posts de ce genre, ce point à été remonté lors de deux précédentes AG de Comité régional, à divers réunions de bureau de Comité régional, et je sais que les hauts dirigeants FFVP actuels ont reçu l'info. ++ Florent
  8. Mon premier sentiment a été aussi la culpabilité, mêlée d'incompréhension. J'ai failli me mettre à l'avion du coup
  9. Hello, Pas sûr que je me suis fait correctement comprendre. En résumé, il faudrait : Rendre l'examen accessible de façon équitable, sans discrimination en fonction du DTO (aujourd'hui les DTO qu n'utilisent pas le E-learning FFVP sont discriminés). Arrêter la vente liée formation + examen, qui est illégale puisque tous les "vendeurs" de contenu de formation théorique ne peuvent pas proposer ce pack. Dans le but de pérenniser la solution obtenue "d'entité qualifiée" (pour la grande satisfaction des pratiquants). Je ne pense pas qu'il y ait une utopie, mais une simple petite remise à l'heure des pendules. Le fonctionnement de l'examen théorique en interne à la FFVP était bon avant l'avènement du E-learning en 2021. La FFA désignée entité qualifié semble faire les choses correctement, a mes yeux (et à priori aux yeux de la loi mais je ne suis pas suffisamment doué en droit pour avancer cela). Je ne comprend pas bien ce qui rebute dans le fait d’œuvrer de manière plus claire, plus élémentaire (vu l'état du mouvement, il faut faire des choix) et égalitaire. La qualité attire la qualité, les talents, les gens motivés et précis. Travailler de manière brouillonne déçoit les gens et appauvrit le mouvement en les menant de déception en déception (consulter le sujet sur la page d’accueil GESASSO et le bilan carbone...) Je n'ai pas évoqué la dilution des prérogatives de notre actuelle fédération, mais l'ajustement de l'offre proposée par notre fédération en ce qui concerne l'examen. Cet ajustement n'est pas la mer à boire car il s'agit de s'inspirer de ce qui existait avant : examen indépendant (Historiquement DGAC et gratuit, puis en club et gratuit, puis la situation actuelle de regroupement anormal depuis la sortie du e-learning FFVP en 2021 : voir ce sujet qui détaille l'histoire de qui a fait quoi). Totalement ; non. Comme dit dans mon message plus haut, il s'agirait de "mieux" ségréger les choses. Surtout d'un point de vu légal et du "devoir d'égalité" envers tous les candidats qui viennent passer un examen. Ai-je mal expliqué dans le premier message que ces info ont déjà été remontés précédemment de la sorte? Merci pour l'échange, Florent
  10. Bonjour à tous, Je souhaite profiter de cet espace d'échange pour aborder un point lié à la formation théorique SPL dans notre mouvement. Aujourd'hui, la FFVP propose un cursus de formation théorique en ligne, et elle est désignée par l'autorité entité qualifiée pour organiser les examens théoriques et délivrer des certificats de réussite théorique. il me semble qu'il y ai un grand mélange qui ne rend pas service au mouvement vélivole. Je m'explique. Les DTO mettent en œuvre un contenu de formation théorique, parmi ceux proposés (ou vendu) par pleins d'acteurs différents libres de créer leur truc, utilisant différentes méthodes ou modes opératoires. A ce jour par exemple la FFVP propose son E-learning. L'examen théorique est proposé uniquement par l'autorité, ou une entité désignée par l'autorité (entité qualifiée). C'est une tâche exclusive de l'autorité. A ce jour, la FFVP est désignée entité qualifiée pour l'examen théorique SPL par l'Arrêté du 18 juin 2021 (au passage, bravo!). Je suis convaincu que, aujourd'hui, ces deux activités au seins de la FFVP ne sont pas ségrégées de la bonne façon. Jamais aucun système ne doit être juge et parti. En plus de créer un trouble de la conscience de la situation chronique dans le mouvement, le fonctionnement actuel ne challenge pas au mieux les activités de formation et examen (si c'est la même commission qui gère ces deux sujets). Formation et examen devraient être mieux séparés. Un exemple béton qui caractérise ce flou est une phrase dans une profession de fois des élections en cours : "La FFVP est entité qualifiée pour les formations théoriques avec WIngu"...une mauvaise conscience de la situation de nos hauts dirigeants... Point problématique, la FFVP réalise aujourd'hui une vente liée de son outil de formation et de l'examen théorique. Bénéficiant de sa situation d’exclusivité octroyé par l'autorité sur la partie examen, pour vendre avec la prestation de formation où elle est potentiellement en libre concurrence. Ce que ne peut pas faire n'importe quel concepteur de cours théorique, il s'agit d'un monopole "pirate" qui expose notre fédération à des risques...essentiellement financiers. Je précise que ces éléments ont été porté à la connaissance de l'équipe fédérale actuelle par un nombre significatif de vélivoles et de clubs, à l'occasion de 2 courriers formels en Février et Mars 2021, en plus d'échanges plus informels. Avec le renouvellement des équipes dirigeantes et l'avènement des autres fédérations aéronautiques comme entités qualifiées, je rouvre ce sujet. Cette situation ne semble pas avoir conduit à des difficultés pour la FFVP jusqu’à aujourd’hui, mais il parait raisonnable de traiter l'anomalie avant qu'elle ne conduise à des difficult€s cout€us€. Proposer le passage de l'examen comme aujourd'hui mais avec une organisation pilote indépendante* (une commission examen?), et une tarification indépendante. Gratuit, comme avant, est un choix de tarification cohérent avec l'engagement des bénévoles examinateurs et de leurs moyens techniques. Quelques euros ne semble pas non plus inacceptables, ou encore une tarification nationale, perçue par les clubs au bénéfice des clubs? Le choix du montant est un choix politique. Pour être indépendant, l'outil WINGU devrait comme avant être extrait de GESASSO (avec interroger la base HEVA pour éviter les ressaisies comme avant). Comment savoir si la formation est terminée sans lien avec GESASSO? Avec l'attestation de fin de formation théorique délivrée par le RP du DTO, que devra contrôler le FE(s). Ainsi tous les élèves, venant potentiellement de modes de formations théoriques différents, seraient enfin traité de manière égale. Les mots de passes de l'appli WINGU devraient être indépendant de "mon compte FFVP", et l'époque nécessiterait une authentification forte. Je me fiche de me faire usurper "mon compte FFVP", mais pas l'outil qui délivre un certificat de réussite avec mon nom...et il y a malheureusement des moyens trop "simples" d'usurper un compte FFVP aujourd'hui... Une conséquence, c'est que la FFVP proposera son cursus de formation SPL théorique avec une tarification indépendante de l'examen. La FFVP sera inattaquable par d'autres éventuelles entités qui pourraient développer leur cours théorique SPL. Imaginez la DGAC, entité publique, imposer ses propres cours théoriques PPL par une tarification fallacieuse? traiter les élèves provenant de différents DTO de manière différentes? Y-aura-t il une équipe candidate apte à comprendre cette problématique? Je suis évidement disposé à contribuer. Salutations, Florent
  11. hello, Bravo / merci Stéphane pour ce résumé clair Je pense aussi que ce coté "impossible de ne pas avoir 5 lancements sur le mode de lancement dans les 24 mois" au moment d'un test de délivrance peut rendre la compréhension floue. l'article SFCL.155 c) sur l'expérience récente mini pour les modes de lancement indique que dans les 24 mois, il faut 5 lancements (2 pour l'élastique), et c'est tout ! Il n'y a pas de second alinéa qui évoque que "alternativement, dans les 24 mois, un test avec un FE(s) serait admissible pour valider l'expérience récente concernant le moyen de lancement". Un tout jeune pilote qui vient de passer son test SPL doit vérifier qu'il a bien 5 lancements dans les 24 mois (donc forcement durant sa formation) pour le mode de lancement qu'il souhaite utiliser en PIC avec sa toute nouvelle SPL. Pour illustrer un cas non conforme lors de la délivrance, il faut aller chercher des situations très bancale : si un élève passerait son test délivrance SPL en remorquage et qu'il n'aurait pas 5 lancement remorquage dans les 24 derniers mois (une formation trrèèèès longue qui débute en remorquage et qui se termine principalement au treuil avec moins de 5 lancement remorquage dans les deux dernières années), alors il ne peut pas décoller en remorquage en PIC malgré son test réalisé en remorquage
  12. Ce n'est pas une source règlementairement officielle, mais le schéma expose le point de vu développé ci-dessus : http://www.ato.cnvv.net/pilote/spl-ou-lapls/prorogation-renouvellement-spl/ (et ne pas oublier de penser aux moyens de lancements qui ne sont pas évoqués sur ce lien, une autre page du même l'évoque en parle)
  13. Une subtilité : il ne faut pas dire "SPL plus valide" (= retrait de la licence par l'autorité?) mais "SPL avec une expérience récente insuffisante". Dans le langage courant c'est communément mélangé (et on s'en fou!), mais la différence est utile pour comprendre certaines lignes de la réglementation. Dès que l'expérience récente est de nouveau suffisante, le titulaire peut exercer à nouveau les privilèges de sa SPL (comme pour les modes de lancement (SFCL.155 c) et d) ), comme pour les qualifications FI(s) (SFCL.360)) L'astuce de la réglementation réside dans la possibilité de recouvrir, pour certains aspects, l'expérience récente sans avoir besoin d’exercer les privilèges d'une SPL. Vraiment astucieux n'est-ce pas ? EDIT 19h45 : Vols en double avec FI(s) + supervision par FI(s) durant le nombre de vols manquant est considéré comme étant aussi performant pour la sécurité des vols qu'un test par un FE(s). Pour mémo, un FI(s) peut inscrire dans le carnet de vol d'un pilote "vol d'instruction non satisfaisant (+ détails)", ce qui empêche le pilote d’exercer les privilège de sa SPL avant d'autres vols en instruction double commande, même si l'expérience récente est re-atteinte. ++ Florent
  14. Bonjour, Le petit mot clef pour cette question est à la fin de la phrase "ii) deux vols d’entraînement avec un FI(S); ou ". Si on résume ça fait : 1) i) et 1) ii) ou 2) Donc, tu as le choix de consulter un FI(s)* pour une remise à niveau en instruction double commande puis en instruction solo supervisé jusqu’à atteindre les minimums, ou, consulter un FE(s) qui te fera un test sur tout le programme SPL-planeur (le formulaire de test devra être archivé dans ses papiers + dans tes papiers). Comme dit V17, ceci ne valide que le tronc commun de la SPL-planeur, pour laquelle il faut un moyen de lancement valide. Ce point est abordé au SFCL.155 c) et d). Aucun test ne pourra se substituer à l'expérience recente minimum, la seule solution pour le moyen de lancement est de consulter un FI(s)* et d'effectuer les lancements manquant en instruction double commande ou en instruction solo supervisé, pour chaque moyen de lancement qui sera utilisé et déjà détenus sur la SPL. Les vols effectués dans le cas du choix 1) ci-dessus peuvent compter ! Comme dit bob, il faudra regarder les minimums requis à chaque fois qu'une qualif supplémentaire est utilisée : Emport passager, voltige, remorquage par TMG...etc *Info en plus facultative : Ces vols d'instructions ne faisant pas parti d'une formation initiale, ils pourraient être fait en dehors d'un DTO, sous la seule responsabilité d'un FI(s). Pas de raison que ce soit le cas me direz vous puisque les FI(s) actifs font probablement parti d'un DTO ! Mais ce point ouvre la possibilité au FI(s) de faire ces vols d'instructions sur n'importe quel AD, sur n'importe quel planeur navigable (biplace ou monoplace privé?). Bref en dehors du champ de la déclaration du DTO. Méfiance tout de même pour les FI(s) : faire "tout seul" implique de savoir faire correctement les choses sans le support d'un DTO. ++ Florent
  15. Bonjour, Je considère comme toi qu'avec la majorité des planeurs purs, il est raisonnable de considérer qu'un FI(s)-planeur-pur puisse gérer le vol quoi qu'il arrive et ne crains pas d'accident, s'il est devant ou derrière. Une chance ! En TMG, il semble exister un plus grand nombre de commandes critiques parfois accessibles que d'une seule place (SF28?) : Le frein de roue (SF25 aussi parfois), le contact magnéto, le robinet d'essence, le réchauffage carburateur... La réglementation nous explique qu'elle choisi d'autoriser seulement les personnes ayant reçus une formation FI(s)-TMG à "abandonner" ces commandes au profit de l'élève, au moment de la formation où le FI(s)-TMG jugera que c'est le bon moment. La réglementation demande à ceux qui ne sont pas FI(s)-TMG de garder l’accessibilité de toutes les commandes du CdB. C'est la position du curseur sur la sécurité des vols choisi par la réglementation EASA. Personnellement : Lors des vol de formation "planeur-pur" à l'aide d'un TMG, je pense que ça n'a jamais gêné mon élève d'être en place passager (= pas accès à toutes les commandes) puisqu'il a justement accès a toute les commandes principales de vol. Yes, la limite est nette de loin, nette de près, mais floue si on regarde avec une loupe pour quelques situations*. Tant que le FI(s)-planeur-pur reste dans le cadre d'un vol en TMG que pourrait faire n'importe quel pilote TMG*, il me semble qu'il n'y a pas de problème. *Pour descendre plus bas que 150m/sol (jusque 50m/sol) tant qu'il n'y a aucun danger pour les biens et les personnes au sol, je ne sais pas s'il faut considérer la capacité à être instructeur sur le type (=pas le droit), ou le classement officiel du vol en vol d'instruction dans le carnet de vols (=on a le droit) Oui oui, je l'ai lu ce texte ; tu devrais également le lire. Tu verras qu'il n'y a pas la réponse posée par la question objet de cette discussion. Voici ce que dit le texte dont tu cites les références : C'est au paragraphe 4 de SFCL.315 Certificat de FI(S) — Privilèges et conditions de Je soupçonne un malentendu. Quelques points pour éclairer mon point de vu afin d'essayer de s'aligner : Nous discutons de la formation de pilote SPL. Les articles qui parlent de ça sont les articles "SFCL.1xx" (115 à 160). SFCL.2xx c'est les qualif additionnelles, SFCL.3xx les FI(s), SFCL.4xx les FE(s) L'article SFCL.130 évoque un cursus de formation pratique (15h...) avec des minimums à faire dans la catégorie souhaitée (7h sur les 15h en planeur-pur si qualif planeur-pur, 6h sur les 15h sur TMG si qualif TMG). On peut conclure que malgré une formation planeur pur, quelques heures en TMG sont admises dans le total tant que le minimum en planeur pur est réalisé (et inversement : quelques heures en planeur pur admises si formation initiale TMG*). L'article GM1 SFCL.130(a)(2)(iv) apporte un éclairage officiel et opposable sur les conditions d'utilisations du TMG utilisé éventuellement pour la formation planeur pur lorsque l'instructeur n'est pas instructeur TMG*. *Détail pour rire : pour le cas d'une formation initiale TMG, l'instruction éventuellement faite en utilisant un planeur pur ne nécessite pas ce débat puisque un FI(s)-TMG est forcement avant ça un FI(s)-planeur-pur (la réglementation SFCL est construite comme ça). ++
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