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Jean-Philippe Chenu

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Tout ce qui a été posté par Jean-Philippe Chenu

  1. Pour paraphraser notre ami JdM ("...J'ai appris par le plus grand des hasards que le port du parachute n'était pas obligatoire au Québec..."), j'ai aussi appris par hasard (conversation avec Aeroconcept) que le port du parachute n'était pas obligatoire en Allemagne de la part des autorités aéronautiques (LBA). Exemple: dans le manuel de vol du Discus, il est écrit, au "chapitre 2.3 Equipement minimum, a) En opération normale: un parachute (manuel ou automatique) OU un coussin de dos d'épaisseur minimum 8cm lorsque compressé".Le coussin est donc imposé par le constructeur au cas ou le pilote n'utiliserait pas de parachute (le dos du siège est conçu pour qu'il soit rempli au minimum). C'est pourquoi les "ateliers agrées" ne font pas de contrôle du parachute! Quant à la durée de vie, seules comptent les recommendations du fabricant. En pratique, en Allemagne, l'usage du parachute est tellement répandu que probablement la grande majorité des pilotes (comme moi) le croit obligatoire. Quid de la Belgique? Un parachute doit passer une inspection annuelle (repliage) par un technicien agrée et a une durée de vie limitée à 10 ans. Mais pour un planeur immatriculé en Allemagne (ou autre part), peut-on y voler sans parachute? Et faut-il le faire inspecter? Est-il limité à 10 ans de vie? Il semble que d'un pays à l'autre, il faille dissocier, d'un point de vue règlement aéronautique ,l'usage du planeur et l'usage du parachute. Ce commentaire n'enlève rien à l'idée que c'est un équipement indispensable comme cela a été souligné par certains et qui exige un contrôle sérieux.
  2. Une brochure donnant des explications complètes : « Chargement et centrage du Planeur » édition 2, janvier 1996 qu’on devrait encore pouvoir se procurer au CNVV. Copropriétaire d’un planeur, nous avons organisé une séance de pesées avec « pilote équipé » c. à d. des configurations de poids différentes (avec ou sans 3e batteries à l’avant, etc). Cela nous a permis de constater des différences importantes de placement du centre de gravité…donc des comportements différents du planeur en vol ! Par un petit tableau Excel simple, utilisant les quelques formules de la brochure et sur base des résultats des pesées (en réalité assez simple et rapide à organiser…si le club dispose du bon matériel) et en faisant varier le poids des éventuelles gueuzes additionnelles on peut « choisir » le positionnement du centre de gravité selon ses critères personnels (comme dit précédemment entre 50 et 75% de la plage admissible). Si je me qualifie de « pilote moyen », mon intérêt vient de la différence de poids avec mon partenaire (moi ,+10kgs) et même en vol de « tourisme », mon centrage m’a paru un peu lourd en thermique. Effectivement , la pesée m’a montré que le centrage se situait à…43,8% ! En pratique il n’est pas toujours aisé de placer une gueuze précise en queue. Surtout pour les planeurs de clubs. Et attention lors de changement de pilote sur le même planeur avec le risque de dépassement de la limite arrière !
  3. La note fédérale "Vol de pente" est datée du 7 juillet 2005 (format .pdf) Rédigée par l'équipe pédagogique du CNVV, elle a été validée par la commission Formation-Sécurité de la FFVV présidée par François Hache La présentation est claire, synthétique, rappelle les règles et notions essentielles du pente. J'avais téléchargé ce document. Je puis l'envoyer à ceux qui le souhaite.
  4. J'ai repris le vol à voile en 2001, une formation complète à partir de St-Hubert et de quelques stages dans le sud de la France. Ensuite je m'inscris dans un club, toujours à St-Hubert, où "la campagne" est une pratique normale autant que le plaisir des vols locaux. Question d'état d'esprit, d'atmosphère, d'écoute, d'apprentissage à son propre rythme et certainement de participation aux activités puisque le vol à voile ne survivra pas sans apport actif des pilotes eux-mêmes. J'ai fait mes premiers vols campagne en 2004. Un peu. En 2005 un peu plus. En 2006, ah le mauvais temps, mais je m'élance, nous allons encore en France, en Espagne… Si tu souhaites des informations: jpchenu@skynet.be. Merci la Belgique, merci la France…et planeur.net! Bien, je signe…un jeune de 66 ans…
  5. Au plaisir de la réciproque lors d'une ballade dans le ciel, me faire piquer ne fera pas de mal à mes recherches d'élévation...
  6. Dans ce même sujet du forum j'écrivais ce qui suit le 20 mai 2005 (page 2) à propos du livre acheté en 2002 dans une librairie à Paris: "Dans la liste de JNV du 13 mai 2005, rubrique "Aventures liées au vol à voile", j'ajouterais la référence suivante que j'ai eu beaucoup de plaisir à lire: "Planer...Mon Rêve", de Claude André VINCENT, édition Actipôle Offset, mars 1999. Il raconte ses émotions de pilote planeurs avec une dernière partie surprenante... " L'auteur a fait carrière comme technicien en aéronautique, a beaucoup voyagé, séjourné à l'étranger. Il décrit des expériences et sa passion dans les années 1970 au travers de divers lieux (Issoire, St-Auban, etc) et, je répète, avec une dernière partie à surprise. Comme renseignement il est écrit: "Cet ouvrage est disponible par correspondance à l'adresse suivante: AZAN EDITEUR 11 Lotissement Chassat 63115 MEZEL Tél 04 73 83 58 74
  7. L'hiver aidant, je constate que j'ai les 2 livres suivants: a) la liste de JNV du 13 mai 2005 relève "René Fossier/Olga Girod - Le Vol à Voile - édition P. Fournié 1937". Je possède la réedition de 1948 "profondément remanié et complété..." selon la préface mais aussi, seulement, signé par René Fossier avec la deuxième page mentionnant simplement "A la mémoire d'Olga Girod qui a donné sa vie au vol à voile" et, en introduction de l'auteur, un vibrant hommage à cette dernière. "Les Planeurs du Monde - volume II" publié par l'OSTIV, janvier 1963, en 3 langues (francais, allemand, anglais). C'est une compilation par pays (un peu comme les trois ouvrages de Martin Simons) de planeurs existant, une page par appareil avec photo, nombreuses données techniques et un petit commentaire
  8. Jean-Philippe Chenu

    Boissons

    Quote: Gilles Navas "Pour l'autre aspect, j'ai aussi abandonné les Péniflex" Bien, merci pour le commentaire, mais quel système utilises-tu alors?
  9. Pour le débat je cite l'expérience suivante (été 2005): un ami me raconte après son vol (non, non, l'ami ce n'est pas moi!): "Vers la fin du remorquage, peu avant l'altitude prévue, je traverse une ascendance, je veux donc vite me larguer , j'annonce à la radio, pour le remorqueur, "F-xxxx se largue"...et je ne trouve pas immédiatement la poignée de largage, il se passe quelques secondes, puis je largue...j'ai eu peur (du dégagement de l'avion)" Je lui ai fait les commentaires suivants: - j'ai constaté effectivemment que dans l'un ou l'autre club (rare) on doit annoncer par radio le largage mais je n'aime pas, ton incident ne m'étonne pas, - je m'efforce (de ne pas oublié) d'avoir en remorquage, toujours la main contre la poignée de largage d'autant qu'il arrive (cela m'est arrivé) qu'elle soit coincée sous la cuisse (poignée près du manche) et sachant que je dois être attentif au besoin éventuel de sortir les AF (rattrapage du remorqueur) par la même main. - en tout cas au décollage la main doit être prête à larguer au 1/4 de sec (cas classique du cheval de bois) Il me paraît donc - qu'il peut être dangereux d'annoncer un largage qui ne se fait pas, le remorqueur dégageant brusquement - qu'il vaut mieux que le pilote remorqueur constate par lui-même que le planeur..est absent! Par ailleurs, selon les clubs, j'ai entendu des règles particulières ("ici on dégage à droite", etc).
  10. Une brochure complète et bien faite: "Chargement et Centrage du Planeur". Elle pose les problèmes et montre ce qu'il faut faire pour déterminer le centrage que l'on choisit en fonction des performances recherchées par pilote. Editée et vendue par St-Auban.
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