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Boulenguez

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Profile Information

  • Genre
    Homme
  • Localisation
    Lille
  • Intérêt(s)
    Vol à voile

Profil pilote

  • NetCoupeur
    Non
  • Badge FAI
    Badge Argent
  • Région de vol
    Hauts de France
  • Instructeur
    Non
  • Voltige
    Non
  • Planeurs préférés
    LS3a, Taurus
  1. J'ai séjourné à Aubenasson. J'ai apprécié l'homme, et la gentillesse de la famille. Je lui fais part ici de ma sympathie attristée.
  2. Boulenguez

    Exigences Médicales

    Philippe, je souscris presque entièrement à ton point de vue. Par une triste ironie du sort, je suis porteur d'une affection (expressément définie en toutes lettres) qui me rend inapte médicalement au vol à voile en France, mais qui est tout à fait permise par l'Europe avec ma (nouvelle) licence européenne. La lourdeur de nos institutions (dont les médicales) plus que la solidarité professionnelle que tu évoques est responsable de cet état de fait qui me cloue au sol alors que les textes européens me permettraient de voler. Je ne sais combien de jeunes vélivoles on a perdu, on en a au moins perdu un vieux. :D
  3. Boulenguez

    Microphone

    ... surtout quand elles ont à leur base un violent coup de gong !
  4. Ce que je croyais en savoir, c'est que tout aéronef (et tout navire) doit pouvoir fournir une liste d'équipage (identification, et rôle de chacun), et que par dérogation, la planche de vol en fait office pour le planeur. Ce serait donc un document officiel au départ. Qu'on s'en serve pour la facturation ou à d'autres fins ne serait qu'un plus. La dématérialisation ne change rien à la question. Mais je n'ai jamais cherché à approfondir le sujet...
  5. C'est un problème épineux, sujet à beaucoup de discussions passionnées. On peut discuter longuement sur la valeur prédictive de la visite médicale, on peut aussi évoquer, outre l'ULM, le problème délicat de la conduite automobile. Les points de vue divergent, mais les plus péremptoires ne sont pas forcément les meilleurs (ce serait tellement plus simple)
  6. Oui, mais il faut faire attention à Erquinghem-Lys, si on ne prend pas garde, on se retrouve en Belgique d'un côté, et dans le Pas de Calais de l'autre, sans pouvoir déterminer ce qui est le pire
  7. On peut schématiser la respiration en mécanismes imbriqués : la ventilation, la perfusion et la diffusion. La difficulté de réaliser une bonne ventilation assistée consiste à ne pas gêner la circulation pulmonaire, et donc de réussir un improbable compromis entre les pressions hydrostatiques. Je ne sache pas que la pression osmotique ait quelque chose à voir là dedans.
  8. Rien que le fait d'exister implique une consommation d'oxygène, et un rejet de gaz carbonique. Le seul moyen efficace de réduire son empreinte carbone, c'est de mourir, ce que personnellement je trouve exagérément triste.
  9. Bonjour, L'accent circonflexe est peut-ètre de trop ? Et un vol en planeur peut être une expérience unique, mais pas sûr qu'elle soit franchement utile.
  10. Le problème n'est pas celui de la précision de la mesure dans un échantillon biologique à plus ou moins 2% près, c'est celui de ce qui est effectivement mesuré en fonction de la vascularisation de la zone où l'on place le saturomètre et de ce que ça représente vraiment. On ne peut lire que la saturation de la zone explorée (doigt, lobe de l'oreille, front) dans les conditions de température, de pression et de métabolisme ou elle se trouve, ce qui ne renseigne que fort peu sur la saturation oxyhémoglobinée effective du sang artérialisé moyen présent dans les veines pulmonaires. Et encore, la saturation n'est en elle-même qu'un pis-aller, il vaudrait mieux pouvoir mesurer la pression partielle artérielle d'oxygène, et encore plus idéalement le contenu artériel en oxygène (c'est ce que suggère d'ailleurs indirectement l'éminent Dr Heini Schaffner au travers de sa comparaison avec le remplissage des avions). Je ne suis pas expert mondial, mais j'ai quand même un peu de bouteille. Dr C. Boulenguez ex MCU-PH 47 ans d'explorations fonctionnelles respiratoires
  11. Difficile de répondre à ta question. De mon expérience (47 ans de mesures des gaz du sang) ressort qu'il est surtout question de susceptibilité individuelle. La mesure de la saturation oxyhémoglobinée par oxymétrie de pouls n'est pas non plus exagérément fiable, il serait illusoire d'en tirer des conclusions précises, et encore moins des corrélations individuelles. Si tu y arrives, il faut publier. Bon courage
  12. Le système de ballastage du LS3a ne m'a pas paru rudimentaire du tout. Il est simple, pas de prise d'air dont on ne voit d'ailleurs pas bien l'utilité. Un bout de tuyau d'arrosage standard de diamètre classique inséré en force (à peine) fait parfaitement l'affaire. Le seul "gag" que j'ai eu (une fois) résultait du manque de souplesse des poches : j'ai du aspirer pour les remettre à plat...
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