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JdeM

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Messages posté(e)s par JdeM

  1. Bonjour à tous,

     

    J'ai un copain qui a un LX8000 (dans son Taurus).

     

    Tout récemment, l'appareil a cessé de fonctionner (le LX, pas le Taurus). Le tout premier tableau s'affiche, et tout s'arrête là. Impossible d'aller plus loin.

     

    Quelqu'un a-t-il déjà eu le problème ?

     

    Ça semble un cas de retour à l'usine (un périple de plusieurs milliers de kilomètres pour l'instrument). Le constructeur lui a communiqué une procédure, mais qui ne peut servir que si l'appareil se rend au bout de son démarrage, ce qu'il ne fait pas.

     

    Merci à l'avance !

     

    Jean

  2. Je viens de lire que le CNVV avait mis une activité treuil à son programme et qu'un nouveau Skylaunch 2 était arrivé au terrain il y a quelques jours.

     

    J'ai également remarqué qu'il semblait y avoir un ASK-21 ajouté au parc biplace, ainsi qu'un Arcus (à venir ou déjà rendu : je ne sais pas).

     

    Quelqu'un en sait-il plus long ?

     

    Jean

  3. Tiré du compte rendu de la FFVV

    2006 = 37 921 treuillées

    2007 = 39 708 treuillées

    2008 = 45 446 treuillées

    2009 = 57 400 treuillées

     

    Merci Janusman.

     

    Rien n'est acquis, mais les efforts déployés par ceux qui ont cru au treuil semblent avoir porté fruit.

  4. Rigolades mises à part, je connais un instructeur qui a tapé dans un Vautour avec un Marianne, dans les Pyrennées il y a quelques années de cela: il ne faut pas prendre ce genre de choses à la légère!

     

    Bons vols, et ne vous rapprochez pas trop de nos amis en spirales :-)

    Yannick

     

    Récemment, j'ai failli (à 50 cm près) me farcir un goéland à bec cerclé en ASK-21. Ouf !

     

    Trois ou quatre jours plus tard, je me suis retrouvé au milieu d'une tribu d'urubus à tête rouge (ça fait en moyenne 1,85 mètres d'envergure ce volatile) ; ils étaient entre 10 et 15 et c'est la première fois que j'en voyais autant ensemble. Habituellement, ils sont très calmes mais cette fois, à cause du nombre, il y en a deux ou trois qui se sont affolés et je leur ai rendu leur thermique. Il faut dire que j'étais en Twin Astir. Il y a de quoi faire peur :rolleyes:

     

    Enfin, eu comme compagnon de vol (en situation bien contrôlée, même s'il était proche - c'est même lui qui s'est approché pour voir si c'était un planeur américain) un superbe pygargue à tête blanche (plus de 2 mètres d'envergure). Une belle bête quand même ! Pas étonnant que les Américains l'aient adoptée comme emblème aviaire.

  5. Le problème des treuils de planeur est qu'il s'en construit moins de 10 par an sur tout le globe .

     

    Le marché est donc très très petit et les industriels souhaitant s'investir dans cette fab se comptent sur les doigts de la main .

     

    Au jour d'aujourd'hui , on compte 1 fab aux us ( Roman) , 1 fab en GB ( Skylaunch) , 2 en Allemagne ( Tost et Integrale) , Herkule , Perrin, Egger et MEL ont arrêté.

     

    Je ne savais pas que MEL avait abandonné la partie. C'est récent ?

  6. Bonjour à tous,

     

    Nous avons un ASK-21, pas très vieux pourtant, mais dans lequel les cols de cygne (flexible) des deux micros Becker ne tiennent plus en place. Ce sont les plus chers, mais pas les plus durables.

     

    Connaissez-vous un bon truc pour réparer ces supports de micro sans devoir acheter l'ensemble au complet ?

     

    Merci à l'avance !

     

    Jean

  7. Vélivoliste est absent du Petit Robert. Vélivoler (voler en planeur) également, mais il semble fréquemment utilisé si on en juge le résultat en faisant une recherche Google.

     

    Au Québec, dans le milieu vélivole bien sûr, on emploie également l'adjectif vélivolable, en météo surtout. Une météo vélivolable, c'est une météo qui permet de tenir en l'air. Si la météo n'est que volable, on sait que c'est tout juste bon pour l'école de début et les vols d'initiation.

     

    Par ailleurs, le grand public connaît de plus en plus l'expression vol à voile. Ce serait donc bête de la faire disparaître au moment où elle s'installe dans le vocabulaire des gens.

  8. bonjour à tous,

    je vous soumets ce retex car je ne suis pas sûr d'avoir fait le bon choix mais ça s'est quand même bien passé.

    Lundi j'ai dû décoller aile basse car j'étais le dernier de la série, les autres planeurs étaient en l'air et il n'y avait plus personne d'autre pour me tenir l'aile.

     

    (...)

     

    Voilà, si vous pouviez me faire part de vos réflexions sur ce sujet car je ne suis pas sûr d'avoir désaxé dans le bon sens, j'ai peut être eu de la chance cette fois ci que tout se passe bien. Y a-t-il une méthode qui a fait ses preuves ? Merci.

     

    Je l'ai fait à maintes reprises, sur plusieurs types de planeur (des biplaces surtout), et ça s'est toujours bien passé.

     

    Mais je n'ai jamais désaxé le planeur. Je n'y vois pas l'avantage. Par contre, ce qui améliorait le départ, c'était de désaxer (un peu, pas trop) l'avion, afin d'être certain que le souffle de l'hélice aille complètement vers l'aile basse. Avec un peu de vent de face, ce n'est pas trop long avant de voir l'aile se soulever.

  9. Quoiqu'il en soit, je soutiens à 200% la démarche de la FFVV de se promouvoir sur ces supports sociaux, parce qu'aujourd'hui c'est aussi comme ça que l'on communique!

     

    Que l'on communique ? Je dirais plutôt que l'on gazouille.

     

    Je doute fort de l'utilité de Facebook pour amener des gens sur les terrains de vol à voile. Mais nous ajouterons volontiers une rubrique à nos formulaires d'inscription : « Comment avez-vous connu le vol à voile ? » avec Facebook et Twitter parmi les choix de réponses. S'il s'avère que c'est le cas, que Facebook et Twitter ont non seulement fait découvrir à des gens que le vol à voile existe, mais les ont aussi transportés au terrain, nous vous en ferons part. Mais d'ici là, le scepticisme reste très légitime.

     

    Je suis inscrit à Facebook, et j'y ai déjà passé plusieurs heures. Le constat : un monde superficiel et surtout, très éphémère. Vous pourriez par exemple lancer un groupe d'adeptes de la météo vol à voile. Ça semble fonctionner car en trois jours, vous réunissez 250 adeptes. Quelques messages, puis trois autres jours plus tard, le silence s'installe : la durée de vie de votre groupe d'adepte est arrivée à terme. Dans le meilleur des cas, ça peut durer deux semaines.

  10. Avec l'informatisation de nos planeurs c'est une p- ware, ça doit se trouver dans les bonnes pharmacies.

    :lol:

     

    Tant qu'à faire dans le virtuel et le logiciel, allons-y pour le pissauciel.

     

    Et tiens, Pissauciel®.

  11. Parmi les solutions économiques qui semblent bien fonctionner, il y a le sac Ziploc (sac de plastique avec une fermeture à pression) rempli de litière pour chats.Pour trouver la quantité idéale de litière à mettre dans le sac, vous pouvez faire des tests à la maison. Un petit pipi de gars nerveux, c'est 200 ml. Un pipi moyen, c'est 300 à 350 ml. Et celui qui soulage à fond peut aller jusqu'à 500 ml.

    Côté écologique : il y a de la litière biodégradable et un ziploc peut être rincé à fond et réutilisé quelques fois.

     

    À l'exception du Diana, tous les planeurs polonais, aussi bien la famille SZD (Junior, Acro, Puchacz, "55", et le nouveau Perkoz) que les "PW" : PW-5 et le biplace PW-6, sont équipés des canalisations permettant d'uriner en vol.Un tuyau souple se terminant par une grosse poire en caoutchouc est logé au pied du manche. Ça reste tout de même plus ou moins sportif, :) selon la position plus ou moins allongée du pilote... Mais plus besoin de balancer des sacs plastiques dehors.

     

    Il y a une deuxième exception : le Puchatek. Mais c'est rare qu'on vole sur la campagne avec cet engin...

     

    En place avant d'un biplace, ne soyez pas trop timide : il est possible que la personne en place arrière ait accès à votre intimité, avec la réflexion dans la verrière.

     

    L'urinoir polonais sur les planeurs, c'est bien. Sur une machine club cependant, il faut souhaiter que les utilisateurs pensent à laver la chose après usage, car il n'y a pas de chasse d'eau automatique.

  12. Salut

    un SF25 avec 90chevaux (toute la cavalerie présente!) décolle péniblement un K13 sur une piste en dur de 1500m de long.

     

    90 chevaux ? Donc un Limbach !

     

    J'ai l'impression que ces moteurs sont très peu efficaces si on les compare aux Rotax.

     

    J'ai un peu d'expérience sur Grob 109B (ce n'est pas un Limbach, mais c'est tout comme - i.e. un moteur VW quatre cylindres à plat, refroidi à l'air - 95 chevaux). C'est très poussif au décollage et en montée. Je n'oserais jamais remorquer avec ça. Pourtant, on remorque avec un Super Dimona, à peine moins lourd, mais avec juste un peu plus de puissance annoncée.

     

    Les piètres performances du Grob 109B pourraient être attribuées à deux facteurs : la pleine puissance se fait autour de 3300 tours/minute, ce qui est trop rapide pour un entraînement direct, le tout entraînant un hélice de petit diamètre, peu efficace.

     

    J'ai eu l'occasion d'essayer un Lambada et un Sinus. D'accord, c'est plus léger qu'un Grob 109B, mais avec 80 chevaux, ça grimpe comme un chasseur (et nous avons remorqué un Libelle avec le Sinus, d'une piste en dur de 350 mètres, sans vent, et ça s'est très bien passé).

     

    Donc, pour transformer un TMG en remorqueur d'appoint, je serais porté à dire : oubliez le Limbach et regardez plutôt du côté de Rotax (plus fiable que le Limbach par ailleurs).

  13. Hello à tous.

     

    Après un contact au CNVV hier, j'ai appris que la MécaVol, dont l'édition papier est épuisée, est disponible en version fichier quelque part sur la toile. On l'aurait d'ailleurs vu sur un site fédéral... Mes recherches du jour n'ayant pas abouti, quelqu'un peut-il communiquer le lien ?

     

    ici :

    http://formation.ffvv.org/documents-pedagogiques/

    JM

     

    Quelqu'un m'a fait remarquer que le document École de Vol sur la Campagne avait été amputé de 2 pages, soit les pages 32 et 33, qui ont été visiblement oubliées.

     

    Même si ce document date un peu, il est encore d'actualité pour les débutants. Est-ce que quelqu'un peut corriger cette lacune ?

     

    Merci !

  14. Homme généreux et chaleureux, il a su se faire des amis de l'autre côté de l'Atlantique.

     

    Presque treize ans après un séjour de quelques semaines à Challes-les-Eaux, j'en ai gardé un souvenir impérissable.

     

    Mes sincères condoléances à ses proches !

     

    Jean

  15. Et pourquoi pas le Lamson L-106 Alcor ?

    As-tu des détails sur la pressurisation et le chauffage solaire ainsi que les vols de recherche

    dans le "Chinook arch" ?

     

    En fouillant un peu, on peut trouver quelques articles (presque exclusivement en anglais) sur le projet et les tout premiers vols, mais pratiquement rien sur le déroulement de l'expérience. Je n'en suis pas certain, mais je crois que ce n'est pas allé très loin et je me demande même si le projet n'avait pas avorté en cours de route.

  16. AF sortis pour régler le taux de chute à 5 m/s, un planeur qui voudrait maintenir son altitude devrait, pour rester au centre du thermique, remonter le vent à chaque tour (l'ovalisation), de sorte qu'il ferait du sur-place par rapport au sol. Et là, il est probable que son calculateur de vent lui donnerait des vents calmes.

    Ben non, le calculateur en spirale il fait comme tu peux le faire avec un GPS tout simple :

    (Vitesse sol Maxi - Vitesse sol mini)/2 = vitesse du vent

    et la direction du vent c'est celle où tu "ovalise" en carton, soit le passage au cap de la Vitesse sol mini.

     

    Avec AF ça risque de durer moins longtemps :rolleyes:

    Je n'ai pas besoin de te faire un dessin !

     

    Vu comme ça, c'est différent. Je croyais que c'était le décalage des cercles (ou ovales) qui étaient calculés.

     

    Reste à voir si sur plusieurs tours consécutifs, il fait la moyenne des minimum et des maximum. Ce serait plus précis car sur un seul tour, ça donne souvent des résultats plutôt approximatif, surtout quand l'échantillonnage est fixe et relativement espacé.

  17. Je ne comprends rien : le vent c'est le déplacement horizontal de la masse d'air par rapport au sol.

    Les principes de mesure sont différents en spirale et en ligne droite (les capteurs nécessaires et les précisions aussi).

    Le vent varie dans l'espace et dans le temps mais c'est toujours le vent

    et pour faire du sur-place il faut le remonter :blush:

     

    Le remonter ?

     

    C'est ce que nous faisons, un peu à la fois (chaque tour) pour rester centré dans le thermique.

     

    Imaginons un thermique à partir d'une source qui ne se déplace pas (tiens, le parc de stationnement d'un WalMart géant) :rolleyes:

     

    Par vent calme, ce thermique ressemblerait à une colonne s'élevant au-dessus de sa source, à la verticale, peu importe la vitesse verticale.

     

    Maintenant, supposons que l'air dans ce thermique s'élève à 5 m/s et que la vitesse horizontale du vent soit également de 5 m/s (on va supposer une vitesse constante pour simplifier les choses car si on commence à calculer les variations de trajectoire causées par le cisaillement, on n'est pas sorti du bois). Notre thermique serait théoriquement incliné à 45°. Si la base de cette colonne ne change pas d'endroit, il en sera de même pour le sommet ainsi que tout autre endroit le long de la colonne.

     

    AF sortis pour régler le taux de chute à 5 m/s, un planeur qui voudrait maintenir son altitude devrait, pour rester au centre du thermique, remonter le vent à chaque tour (l'ovalisation), de sorte qu'il ferait du sur-place par rapport au sol. Et là, il est probable que son calculateur de vent lui donnerait des vents calmes.

     

    Ce serait plus facile à expliquer avec des dessins, mais je n'en ai pas.

  18. Il y a vent et vent... le vent mesuré en spirale est souvent moins fort que le vent en transition.

     

    La différence n'est pas très grande, mais effectivement, la dérive observée en thermique (en enroulant) est moins grande que la vitesse réelle du vent. C'est normal car nous descendons dans une colonne d'air inclinée. À la limite, si on sortait les AF pour avoir un taux de montée nul (par rapport au sol), théoriquement, nous pourrions faire du sur-place même s'il vente, en autant que la source du thermique ne change pas d'endroit.

  19. Pas frileux les gens du Vermont (USA)...

     

    Un treuil, un lac gelé et un bon vieux Blaník L13 dont la roue a cédé la place à un ski.

     

    Petite parenthèse : je n'ai jamais eu l'occasion d'essayer ce type d'attelage au treuil (des Blaník L23 plus récents en sont également équipés), mais a priori, je n'ai pas trop avoir deux crochets au lieu d'un (il y a déjà eu des incidents suite au largage non simultané des deux crochets).

     

    Il y a aussi la peinture sur le fuselage qui n'a pas trop l'air d'aimer ça.

     

    Par contre, les crochets étant plus près de l'axe de tangage, c'est peut-être plus agréable à piloter.

     

    http://www.flypmsc.org/images/blanikonski.jpg

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