Rembard

Et l écart de poids est de combien 100gr

Même moins : 80g

Mais c'est surtout au niveau du prix que la différence se fait

Bonsoir,

En tant que pilote privé je vole sur un Cirrus Lanaverre, mais, parfois également sur LS1F ou Pegase du club.

Je ne trouve pas la cabine du LS1F plus petite que celle du Cirrus ou de Pegase.

Par contre oui il est plus facile que le Cirrus. Son aile également rigide permet de détecter plus facilement les ascendances que celle plus souple du Pegase. Cette sensation sera plus proche du planeur de formation.

Bonsoir à tous,

Qui peut m'expliquer la différence entre LS6 15/18m et LS6-C 15/18m.

D'avance merci

Le club de Maubeuge, vend un LS1-F en bon état pour un prix qui peut entrer dans votre budget.

Ce planeur vol très bien, léger aux commandes et très sain. Machine idéale pour une transition vers un planeur monoplace.

https://www.segelflug.de/osclass/index.php?page=item&id=57576

Périmé peut-être, mais, quid de son état de fonctionnement.

Doit-il être contrôlé tous les 24 mois comme obligé avant la date de péremption.

A titre personnel, j'hésiterai longtemps avant de partir avec un parachute dont le fonctionnement n'est pas garanti.

Tant qu'à avoir un parachute, je préfère qu'il s'ouvre au moment où j'en ai besoin.

Donc de mon point de vue, même si périmé, je le ferai contrôler.

Maintenant quid des responsabilités sur des biplaces aussi bien privés que club ...

Ne vous leurrez pas, ce genre d'accident est également possible en remorqué : https://www.sust.admin.ch/inhalte/AV-berichte/2356_HB-1638_f.pdf

 

Ce pilote-là a également eu de la chance, bien qu'il ait terminé sur le dos... On pourrait dire "oui, mais c'était un Nimbus 3", mais j'ai vu la chose arriver à un Ka6CR-Pe...

Bien d'accord avec toi, mais, si les conditions sont déjà pas terrible pour du remorquage alors prendre la décision de partir avec le treuil est pour moi de l'inconscience ...

Dans le rapport il est indiqué "choix du décollage au treuil car herbe trop haute".

Bref décision totalement à l'opposé de ce qui est recommandé.

C'est chercher les ennuis.

Bonjour,

Si on regarde la CS 082, la dernière phrase indique que la remise en service ne peut être faite par le propriétaire.

Quand je regarde le fichier avec les CS-Stan, je constate que le propriétaire ne peut pas faire grand chose sur sa machine.

On en reparle dans 5 ans, quand le temps, les copains, les copines et les études auront fait leur œuvre.

Combien de temps va-t-il continuer le vol à voile ? A cet age, on en voit passer énormément sur les terrains et puis 1 ou 2 ans plus tard on ne les voit plus (soit ils sont partis ailleurs - mais, cela on l'apprend par le bouche à oreille, soit ils arrêtent totalement et ne remettent plus jamais les pieds sur un aérodrome).

Qu'il prenne plaisir à apprendre à voler, qu'il prenne plaisir à voler.

A 16 ans on a tellement d'envies et de vue sur plein de choses différentes que généralement cela évolue.

Ne me dites pas que je suis un vieux blasé, c'est l'expérience qui fait que j'en arrive à ce genre de conclusion pour avoir passé pas mal de temps dans des associations (club de vol à voile, club d'aéromodélisme, club sportif ...)

+1

Bonjour à tous,

Vous êtes là à vous étriper sur je ne sais quel broutille concernant les équipements et le planeur utilisé, d'ailleurs votre discours est tellement changeant qu'on ne sais même plus pourquoi vous vous écharpez (peut-être vous même non plus d'ailleurs).

Certes le vol de Klaus montre qu'il est sur une autre planète du vol à voile, ainsi que Baptiste, mais, à choisir je préfère rester terre à terre et je trouve la performance d'un jeune de moins de 25 ans qui réalise un vol de 800km dans les Hauts de France, depuis Abbeville en ASW27 bien plus remarquable (c'est mon point de vue).

La performance en est d'autant plus belle qu'il n'y a pas une équipe complète derrière lui pour préparer ce vol de longue date, qu'il est seul pour gérer les communication avec les organismes de contrôle, qu'il s'agit d'une machine que la plupart des vélivole peuvent se payer, bref un vol à taille humaine comme le commun des mortels du vol à voile peut réaliser.

Voilà, je ne veux surtout pas entrer dans la polémique et si vous avez envie de continuer à vous prendre le chou pour des broutilles comme vous le faites, svp, prenez votre téléphone, rencontrez-vous et discutez-en devant une bonne bière, je suis sur que vous trouverez un terrain d'entente.

Salutations vélivoles.

Phil

Bonjour à tous,

Tout d'abord, comme déjà dit, les LiFePO4 ont besoin d'une tension supérieure pour être chargées.

Ensuite, chaque élément doit être équilibré, cela se fait par le BMS qui sert également à protéger la batterie d'une décharge trop importante.

Enfin, il est important d'utiliser un chargeur spécifique car la courbe charge est différente des batteries traditionnelles au Pb.

Pour ceux qui comprennent l'anglais, voici un lien qui explique la différence de charge entre les 2 types de batteries :

https://www.power-sonic.com/blog/how-to-charge-lithium-iron-phosphate-lifepo4-batteries/

Bonne lecture.

Bonsoir,

Il n'y a pas que la taille de la voile à prendre en compte.

Par exemple l'AirPol SK94 qui est le plus grand toute catégories confondues, donc adaptés aux personnes les plus fortes, mais, malheureusement il n'est pas forcément des plus confortable.

A éviter absolument les parachutes Mars ATL88-90 même si le prix peut sembler intéressant, leur voilure est quand même vachement petite alors que sa masse maximum autorisée est annoncée à 110kg (cela signifie un taux de chute beaucoup plus élevé).

Regarde dans ton club, tu dois pouvoir trouver différents marques de parachutes et fait un essai. Pas seulement en le passant sur le dos, mais, également en t'installant dans un planeur pour voir comment tu te sens avec.

Je peux encore fermer les yeux sur les vols faits en bi places. On va dire que ce sont des vols d'instruction campagne (bien que le risque contamination est quand même plus grand), par contre, j'ai un gros doute sur les vols en mono place .

Bon dieu les gars, oui les mesures sont vexatoires, mais, si on n'y met pas un peu de bonne volonté on risque bien d'être cloués au sol et ne plus rien savoir faire. Je ne dis pas de ne pas voler, mais, évitons d'afficher ouvertement que l'on se fiche de la règlementation, on est sur un site visible par tous, cela devient du domaine publique, peut-être même que certains ont un transpondeur. Par conséquent on est repérable.

Voila c'était mon coup de gueule du jour. Si ça plait pas je l'effacerai.

Pour ce qui est du contrôle de la signature d'un fichier IGC, il y a des algorithmes qui permettent de faire cela.

SeeYou en utilise pour vérifier la validité du fichier.

Maintenant, cette signature vaut ce qu'elle vaut.

A partir du moment où on a l'algorithme, on peut très bien faire un fichier IGC totalement bidon avec une bonne signature.

Ce qui avait été fait à une époque par un pilote sans que personne ne s'en aperçoive. Je ne sais plus si cela était dans le but de tricher ou simplement démontrer que la clé n'était pas des plus sure.

Pour la Netcoupe je ne sais pas s'il est utile d'aller jusque là ...

Bonjour.

Je viens compléter le sujet que j'avais initié en janvier dernier.

Mes parachutes Mars (ATL-15) reviennent de pliage (plieur professionnel donc aucun risque sur la qualité du travail). Parachutes achetés en 2019.

Des 4 parachutes, 2 ont des déchirures sur les extracteurs. Il semblerais que cela est provoqué par le frottement entre le tissus et le ressort qui par sa souplesse n'est pas en tension (donc il bouge et frotte). C'est un problème de conception.

J'ai donc envoyé les parachutes chez Mars (à la demande de Mars qui n'a pas voulu m'envoyer les extracteurs). Ils ont remplacé les extracteurs car en garantie.

Lors de l'expertise, Mars me dit que les parachutes ont été mal pliés, mal utilisés, mal stockés, mal ..... Bref, en réalité on a utilisé les parachutes normalement comme les Spekon, National, Air-Pol qu'on a également en stock et qui ne nous posent pas de problème particulier.

Donc, je vais remonter l'info au niveau de la Fédé car il s'agit surtout d'un problème de sécurité (sans compte le coût d'achat).

Autre chose, je ne suis pas un cas isolé, d'autres clubs ont aussi acheté des Mars et ont les mêmes problèmes.

J'ai des photos des trous si cela intéresse quelqu"un.

Pour moi, le problème des Mars est que la voilure est beaucoup trop petite par rapport au sac, ce qui a pour effet de générer du frottement de tout côtés.

Le sac semble être le même que pour le National 490 dont la voilure est beaucoup plus grande.

Problème récurent chez nous en tout cas, du à cette relative souplesse, lorsque l'on rentre ou sort du planeur il faut absolument éviter que le parachute frotte sur le baquet du siège car cela a pour effet de faire sortir l'aiguille inférieure dans le meilleur des cas (ce qui permet de garder le sac fermé) ou les deux aiguilles et là ouverture complète du parachute dans l'habitacle. Par chance les pilotes on réussis à sortir du planeur sans faire sortir la voile du sac ce qui aurait pu amener à une dégradation de la voilure car elle semble plus fragile également.

Cela fait maintenant 2 ans que j'en replie et je n'ai encore rien constaté sur l'extracteur. En sachant cela, je serai encore plus vigilent sur cette aspect l'an prochain lors de la campagne de contrôle.

Pour ce qui est de l'envoi du parachute en réparation sous garantie, le fait de dire que le parachute n'est pas été utilisé comme il faut (il n'y a pourtant pas 36 manière de l'utiliser), pas replié comme il se doit (si on suit la notice je vois pas comment on peut se tromper), c'est une manière qu'à le fabricant pour se dédouaner de tout problème qui pourrait survenir dans la vie du parachute.

Non seulement ces parachutes ne sont pas terribles, mais, en plus le service n'a pas l'air top non plus ...

Bref, si c'est une question de budget, pour moi (bien que l'ayant trouvé inconfortable) je partirai sur un AirPol plutôt que sur un Mars. Après si le budget suit, pourquoi pas envisager un National ou Parachute de France (le plus chère sur le marché).

Le livre bleu n'est probablement pas mort.

Il n'y a pas que la France qui l'utilise ...

Bonsoir,

A Maubeuge, nous avons également pas mal d'activités différentes sur la même plateforme à savoir Parachutisme, écoles ULM, club avion et club vol à voile.

Les pistes utilisées sont parallèles (piste en dur pour motorisés et piste en herbe pour planeurs).

Tout se passe sans grosses difficultés, on évite de voler dans la zone de largage para quand l'avion annonce un lâché.

Les seuls avec qui c'est parfois tendu, c'est l'activité paramoteur qui font parfois un peu n'importe quoi, mais, aucun accident à déplorer.

Bonjour,

 

En tant que plieur au CAVA, je n'ai rien constaté de tel.

Par contre je les trouve très flasque et ce que je craignais est arrivé la saison dernière.

De par sa souplesse, les aiguilles qui maintiennent le sac fermé se sont fait la malle lorsque le pilote est sorti du planeur.

Résultat repassage sur la table pour inspection et fermeture avec en plus instruction de rappel par le chef pilote au briefing avant la mise en piste.

 

Phil

En complément à ce que j'ai dit, même si je n'ai rien constaté d'inquiétant sur ce parachute, c'est quand même celui qui a la surface alaire la plus faible en comparaison avec le National 490 ou l'AirPol (qui est le plus grand du marché). Par contre, personnellement, je n'en voudrai pas pour moi-même. Je vais voir cette année pour la 2ème année de contrôle comment il a vieillie.

Bonjour,

En tant que plieur au CAVA, je n'ai rien constaté de tel.

Par contre je les trouve très flasque et ce que je craignais est arrivé la saison dernière.

De par sa souplesse, les aiguilles qui maintiennent le sac fermé se sont fait la malle lorsque le pilote est sorti du planeur.

Résultat repassage sur la table pour inspection et fermeture avec en plus instruction de rappel par le chef pilote au briefing avant la mise en piste.

Phil

Bonjour,

Suis également surpris par rapport au C11-75L vu que la commande est totalement différente des autres.

Malheureusement, les juriste n'en ont que faire du bon sens ...

Mais je suis tout à fait d'accord avec vous, volons et redonnons vie à nos clubs.

Où est-ce écrit le vols à max 100km de son domicile au lieu de 100km à partir du terrain de décollage ?

La fédération ULM parle elle de 100km depuis son terrain de décollage et Bob annonce la même chose alors pourquoi en planeur on n'aurait pas le droit à 100km depuis son terrain de décollage ?

Salut .

Je reprends un post :

"Limiter les vols au solo, en local des aérodromes situés à moins de 100 km du lieu de résidence des pilotes"

J'en reviens donc à ma remarque (précédente)

Supposons que:( :peace:)

*J'habite à 99,999 Kms de mon terrain favori, situé bien sur, dans mon département!

J'y vais, je décolle ( :D) (( A propos nous l'avons (à 5) fait hier :speeeeed:) ]

Je peux, donc, faire 99,999 Kms vers mon domicile [( et ainsi vérifier si ma conjointe( ou mon copain) est bien confiné(e) seul(e!)!)]

Mais quid??

Puis-je faire 100 Kms dans le sens opposé?? Surtout si mon terrain est en limite du département???

J'attends vos réponses .

Vélivolement à tous!

Pour moi quand on parle de 100 km, c'est entre le domicile et le terrain.

La fédération ULM parle d'un rayon de 100 km autour du terrain pour les vols.

Y aurait-il deux poids, deux mesures ????